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France et politique française - Page 3136

  • Attaque islamiste : un prêtre et un fidèle égorgés dans une église près de Rouen

    Dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray, près de Rouen, un prêtre et un fidèle ont été égorgés – le prêtre est mort, le fidèle est entre la vie et la mort – au cours d’une attaque islamistemenée ce matin par deux hommes. « Selon des sources concordantes, écrit Le Point, les deux hommes auraient crié « Daech » en pénétrant dans le lieu saint en pleine messe. » Les deux terroristes avaient pénétré dans l’église en pleine messe, prenant en otages le prêtre, deux religieuses et deux fidèles. La BRI et le Raid, alertés, sont intervenus mais le massacre avait déjà eu lieu. Les deux djihadistes ont été abattus. François Hollande doit se rendre sur place, ainsi que le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve.

    Ils attaquent désormais nos prêtres, nos églises. Ce n'est plus possible, plus possible.

     
  • Agriculture : pitié pour nos vaches, nos cochons, nos poules, nos paysans !

    Dans cette agriculture industrielle et mondialisée, nos paysans français ne partent pas gagnants ; et c’est tout à leur honneur.

    « L’élevage français reste en crise », note Le Figaro dans ses fameuses pages « saumon » de ce lundi 25 juillet. Quelle clairvoyance… D’où un article fait de bric et de broc, écrit du pied gauche, d’où il ressort que, nonobstant les aides européennes – des centaines de millions d’euros annuels –, les quotas laitiers qu’on supprime côté rue avant de les remplacer côté cour, la paysannerie française est tout bonnement en train de crever la gueule ouverte.

    Et toujours la même antienne : « Il faut être compétitif ! » Soit un système permettant à des riches de plus en plus riches de vendre toujours plus et à toujours moins cher à des gueux de plus en plus gueux. Nos chers libéraux, et ce Figaro (leur organe emblématique), ont visiblement oublié, malgré la chute du mur de Berlin, que l’Histoire demeurait tragique. Pourtant, ce sont les mêmes qui nous assènent quotidiennement que la vie n’est que lutte de chaque jour. Faudrait savoir, les gars…

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  • Face à Bruxelles, la France se rebiffe

    L’Europe communautaire et sa politique commerciale n’ont pas la cote. Sans les remettre radicalement en cause, le Gouvernement en tient compte et infléchit son discours.

    Article publié dans L’Action Française 2000

    Le référendum en faveur du Brexit annonce-t-il le détricotage de l’Union européenne (UE) ? Dans l’immédiat, tenant compte de la défiance qu’elle inspire, le Gouvernement français s’est manifestement décidé à infléchir son discours, sinon sa politique. « Quand l’Europe n’est pas le bon niveau de décision, alors elle doit s’effacer, et laisser les États décider », a ainsi déclaré Manuel Valls, devant quelque deux cents militants socialistes réunis à Belleville-sur-Mer le 26 juin, comme le rapporte Euractiv. Dans ce contexte, la politique commerciale, censée relever de la compétence exclusive de l’UE, s’avère particulièrement exposée aux critiques. Sans doute la hantise des poulets américains traités au chlore n’aura-t-elle rien arrangé... Au point où en sont les discussions, « il ne peut pas y avoir d’accord de traité transatlantique », a même prévenu le Premier ministre.

    Accord avec le Canada

    Un "Accord économique et commercial global" (AECG ou CETA) n’en a pas moins été conclu dernièrement avec le Canada. Sa version définitive a été validé le 13 mai par le Conseil européen des chefs d’État ou de gouvernement, plus de neuf ans après l’ouverture des discussions. Paris a salué « un accord ambitieux, équilibré et mutuellement bénéfique ». D’autant que « le Gouvernement de Justin Trudeau s’est rallié à la proposition européenne de Cour de justice des investissements ». « Porté par la France, ce nouveau dispositif rompt définitivement avec l’ancien système d’arbitrage privé », s’est félicité le Quai d’Orsay. Matthias Fekl, secrétaire d’État chargé du Commerce extérieur, de la promotion du Tourisme et des Français de l’étranger, en a fait la promotion devant ses homologues du G20 le 10 juillet ; ce dispositif aurait « vocation, à terme, à devenir une cour multilatérale des investissements », explique le ministère des Affaires étrangères. [....]

    La suite sur le Journal d’un eurosceptique désabusé

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Face-a-Bruxelles-la-France-se

  • Terrorisme, mode d’emploi (à l’usage des « modérés »)

    Réflexion d'un lecteur du Salon beige :

    Le fait que l’Etat Islamique du Levant (quel joli nom que ce repaire d’hachachins !) n’ait pas revendiqué l’attentat de Nice me suffit pour croire qu’il n’en est pas le commanditaire.

    C’est un « individu lambda » ainsi que l’appel son ex-avocat qui n’a commis que des petits délits de droit commun (comme vous et moi évidemment, ou tout individu lambda - ?-). Or, il vient d’apprendre une bien mauvaise nouvelle : sa femme veut divorcer ! Lambda al muslim est un mauvais musulman : il ne bat pas sa femme. Alors l’idée lui vient de se faire terroriste. Ça fait trop longtemps qu’il s’ennuie avec les « modérés ». Mais ce qui est bien dans leur religion de paix et d’amour et de tolérance, c’est qu’on peut tout mélanger pourvu que ce soit pour la bonne cause. Se venger de son divorce sur des centaines d’innocents pour la gloire d’Allah, c’est plus que possible, c’est conseillé par leur Saint Coran (leur Dieu sur terre). 70 vierges l’attendent pour le consoler de sa garce de fatmah dont l’initiative montre bien que pour elle c’est trop tard : elle est infestée par le virus de l’occident.

    Oui, c’est bien un individu « lambda » que nous avons là. Mais il n’a pas eu de chances : il est né musulman. Toutes ses rancoeurs, ses ressentiments, depuis qu’il est un homme, peuvent être interprétés, « transfigurés », « glorifiés » par la « Cause ». Mentir à un chrétien n’est pas péché, Tuer pour Allah, non plus, il est œuvre de propagation de la Vérité, le cœur a beau être réticent, l’œuvre d’Allah sera toujours au-dessus…

    Mes très chers frères, il n’y a pas d’islam modéré, pour la simple raison que l’Islam se nourrit des humiliations. Ils apparaissent  plus au moins modérés selon qu’ils s’éloignent ou non de la loi islamique. Mais qu’ils viennent à être humiliés, la tentation sera grande de masquer leur rancœur par ce « martyre meurtrier » qui montrera au monde qu’on n’était pas n’importe qui… Le ressentiment et la Cause d’Allah, voilà le cocktail de leurs armes de destruction massive…

    Lorsque il y a un an et demi, un employé assassina, égorgea et exposa la tête de son patron au nom d’Allah, nous étions prévenus : Toute vexation que subira un musulman pourra le transformer en terroriste…

    Et pour ça, messieurs les gouvernants, ils n’ont pas besoin de Daesh (la lessive qui rougit tout). Et croyez moi, c’est autrement plus inquiétant…

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/07/terrorisme-mode-demploi-%C3%A0-lusage-des-mod%C3%A9r%C3%A9s.html

  • Sandra Bertin, la policière municipale, maintient ses accusations contre Cazeneuve

    Sandra Bertin, la policière municipale qui a accusé, dans le Journal du dimanche, le ministère de l’Intérieur de lui avoir fait subir des pressions pour qu’elle modifie un rapport sur le dispositif de sécurité après l’attentat du 14 juillet à Nice a maintenu dimanche soir ses accusations.

    Il y a un commissaire de police qui s’est présenté dans mon bureau, m’expliquant être envoyé par le cabinet du ministère et avoir besoin d’éléments de réponse quant au visionnage des caméras.

    http://fr.novopress.info/202707/sandra-bertin-policiere-municipale-maintient-accusations-contre-cazeneuve/

  • Emeute à Mantes la Jolie

    Les forces de l’ordre venues dans le quartier du Val-Fourré pour sécuriser une intervention des pompiers, a été visée des projectiles. Deux impacts de pierres ont été relevés sur la carrosserie d’une voiture de police.

    Déjà, dans la nuit de vendredi à samedi,  la police était tombée dans un guet-apens. Cinq conteneurs poubelles avaient été incendiés au milieu de la chaussée et une vingtaine de casseurs avaient jeté des pierres, des cocktails Molotov et des mortiers d’artifice sur la police.

    Heureusement que c'est l'état d'urgence, sinon les policiers auraient passé un sale quart d'heure.

    Michel Janva

  • Hollande/ Macron : rien ne va plus, faites vos jeux !

    Le président Hollande, avec cette voix hésitante et cet air penaud qui lui donnent un style incomparable, a, avec toute la fermeté dont il est capable, recadré le turbulent Macron lors de son intervention télévisée du 14 juillet. L’hôte de l’Elysée a donc rappelé l’exigence de solidarité gouvernementale et fixé les limites à ne pas dépasser ; limites, au demeurant, déjà largement franchies.

    De fait, l’émancipation accélérée de Macron est une méchante pierre dans le jardin de Hollande.

    François Hollande se croit toujours dans les magouilles de congrès du Parti socialiste, où l’on négocie dans l’ombre les petites trahisons, les arrangements inavouables et les petits ralliements.

    Depuis des mois, François Hollande multiplie ses petites manœuvres pour   diviser ses ennemis, isoler la gauche de la gauche, fractionner les écologistes, rallier les plus vénaux, rassembler ses fidèles, etc., etc.

    L’ancien secrétaire général du PS excelle à ces jeux tordus et la rumeur médiatique le disait bien reparti pour entamer son deuxième tour de piste pour 2017 : le plus petit dénominateur commun d’une gauche émiettée et divisée, en quelque sorte. Avec l’aide du Machiavel de sous-préfecture qu’est Cambadélis et quelques anciens de la vieille garde trotskyste, l’affaire pouvait paraître assez facilement gérable.

    Sur le papier le raisonnement est juste, certes, mais voilà : dans la réalité les choses sont plus complexes. En effet, le Système en place, c’est-à-dire les forces économiques et idéologiques qui contrôlent la mécanique du pouvoir, ne misent plus sur Hollande (*).

    Macron au centre du jeu politique

    Les temps sont durs, et l’élection autrichienne, comme le Brexit, sont de sérieux coups de semonce pour le Système. Hollande est trop démonétisé pour vraiment faire le job… comme ils disent !

    Et c’est là où le phénomène Macron prend toute son importance. Jeune, brillant et doté d’un physique de gendre idéal, Macron a été poussé dans la sphère politique pour mener à terme la rupture libérale que la vieille gauche est incapable d’accoucher – n’oublions pas qu’un de ses mentors est Jacques Attali.  Il a donc le profil idéal pour mener à bien cette mission.

    Libéral en économie, libertaire en matière sociétale, communautariste en termes d’identité, absolument atlantiste et pro-américain et mondialiste convaincu, il incarne parfaitement la modernité idéologique anglo-saxonne globalisée ; qu’il sert sans état d’âme.

    A ce titre, il est une pièce maîtresse du jeu politique actuel. Utilisé par François Hollande pour donner une image moderniste de la gauche et séduire le patronat, Macron a désormais pour mission de torpiller le retour de l’hôte de l’Elysée. La question désormais est donc bien de savoir si, face à la menace d’une candidature Macron hors PS, François Hollande pourrait encore prendre le risque d’une candidature présidentielle.

    Hollande : combien de divisions?

    Pris en sandwich entre un Mélenchon sur sa gauche, un Macron sur sa droite et un candidat écolo sur ses arrières, quelles seraient alors vraiment ses capacités à trouver un espace politique pour mener campagne ? Sa cote pourrait ne pas dépasser les 10% : un risque difficile à assumer pour un président sortant !

    Voilà les questions amères que Hollande, dans la solitude du pouvoir, doit aujourd’hui se poser. Le pauvre Manuel Valls, de son côté, se voit, lui, déposséder du rôle de leader de la gauche moderne dont il a tant rêvé. En l’état de l’opinion, les chiffres sont cruels pour le premier ministre. Selon le dernier sondage de BVA du 13 juillet sur la cote des candidats socialistes, Macron arrive en deuxième position comme meilleur candidat de la gauche, aussi bien pour les militants socialistes, qui le placent derrière Hollande, que pour ceux de la gauche en général, qui le mettent derrière Martine Aubry. Manuel Valls se contente d’une quatrième place.

    Le Système veut la recomposition politique sur ses bases libérales, européistes et atlantistes, par une jonction des centres gauche et droit et l’axe Juppé/Macron incarne aujourd’hui au mieux cette dynamique. L’affaire n’est vraiment pas gagnée pour François Hollande.

    Didier Beauregard 18/07/2016

    Note :

    (*) Sur ce thème voir les précédents articles :

    Hollande à la manœuvre en vue de 2017- 22/12/2015
    Hollande liquide le PS pour solde de tout compte- 2/03/2016

    http://www.polemia.com/hollande-macron-rien-ne-va-plus-faites-vos-jeux/

  • Le nouvel amalgame

    Bernard Plouvier

    S’il est un amalgame absolument intolérable à un esprit européen, c’est bien celui réalisé par le très sympathique Donald Trump, ces jours-ci. Dans son programme électoral, il promet aux libres citoyens des USA, terrifiés – à juste titre – par le risque de nouvelles surprises désagréables, de limiter de façon draconienne l’immigration en provenance de France et d’Allemagne.

    On comprend bien le dilemme des honnêtes citoyens US. Ils ont suffisamment à faire avec la montée en puissance de la délinquance et de la criminalité des Noirs et des Latinos endogènes, pour ne surtout pas importer le terrorisme islamique. Et ils ont amplement raison.

    Toutefois, l’amalgame de Trump passe mal chez un Européen de souche : il assimile nos honorables immigrés d’origine africaine, moyen-orientale et proche-orientale & leurs rejetons, naturalisés dès leur naissance par le grotesque « Droit du sol », à des « Français » ou à des « Allemands ».

    Il est vrai que – par la faiblesse coupable des gouvernants – des millions d’immigrés extra-européens sont titulaires d’un passeport français, allemand, belge, danois, suédois, norvégien, britannique, néerlandais etc. Il est pourtant évident que, pour beaucoup d’entre eux, il ne sont que des Européens de papiers, restés fidèles à des coutumes extra-européennes et à une religion de haine meurtrière envers les « infidèles », recommandant la guerre religieuse (le Djihâd), au nom d’une divinité arabique, tirée des hallucinations d’un individu qui vivait il y a quatorze siècles.

    L’amalgame trumpien, détestable en soi, n’est hélas ! que trop mérité. Élection après élection, les citoyens d’Europe donnent l’apparence du Pouvoir à des agents de l’économie globale et de la mondialisation politique, qui ont l’ordre de pratiquer une politique d’invasion de l’Europe par des individus venus, non pas d’un autre continent, mais d’une autre époque : le Moyen Âge, dans sa hideur fanatique, barbare et meurtrière.

    On comprend que les populations blanches ou extrême-asiatiques des USA ne veulent pas d’un afflux de ces indésirables qui ont transformé radicalement la vie de la France, de la Belgique et de l’Allemagne : viols en série, attentats devenus quasi-quotidiens, par la veulerie de politiciens incapables, ineptes, inaptes et corrompus (les uns par l’argent des évergètes islamo-pétroliers ; les autres par une repentance devenue grotesque par sa durée et son intensité).

    Plutôt que de grogner sur Trump et ses déclarations trop peu nuancées, il serait temps que les Nations européennes, les vraies – celles qui sont composées d’Européens de souche -, chassent les incompétents et les pourris, mais aussi celles et ceux qui sont devenus insanes à force de compassion pour les misères des peuples du Tiers-Monde.

    Il faut définir l’ennemi de l’Europe. Ce n’est sûrement pas la Nation britannique et son Brexit – saine réaction de défiance envers l’immigration-invasion -, encore moins Poutine et les chefs d’États danubiens qui repoussent l’invasion musulmane ; ce n’est pas Trump. L’ennemi de l’Europe, c’est à l’évidence l’islam djihadiste.

    C’est aussi une certaine stupidité européenne. À trop gémir sur les misères exotiques – et l’on reconnaît volontiers que les fous furieux Bush junior et Obama ont mis à feu et à sang un grand nombre de pays islamiques -, on oublie les 2000 cités de non-droit qui égaient la vie des Français, les dizaines de viols quotidiens d’Européennes par les fruits pourris de l’immigration, les milliers d’actes quotidiens d’incivilité de même origine et le racisme anti-Blancs qui est devenu la réalité permanente des Français.

    Il est stupide d’amalgamer, dans les discours made in USA à usage électoral, les immigrés-envahisseurs aux Nations européennes. Mais il est tout aussi stupide – et suicidaire à moyen terme – de continuer à ergoter sur l’islam et le Tiers-Monde. L’unique question à évoquer est celle des conditions matérielles et du calendrier du grand retour des immigrés extra-européens dans leur continent d’origine. Tout le reste n’est que bruit inutile et poursuite du vent.   

    NDLR : A ce propos, avez-vous lu "Le Grand rembarquement", le roman-choc de l'été 2016 d'Emmanuel Albach ?

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  • Politique magazine : c'est aussi un site à lire, consulter régulièrement, faire connaître ...

    Couverture du numéro de juillet-août de Politique magazine

    Une présence sur le net : le site quotidiennement actualisé  dePolitique magazine.

    Ce site - qui correspond parfaitement à ce que doit être la version numérique d'un mensuel de la qualité de Politique magazine - vit, se développe et se renouvelle rapidement. Il s'agit là de toute évidence,  de la réalisation d'une véritable équipe, large, jeune, intelligente et dynamique qui donne à réfléchir sur la politique, l'économie, les idées, l'art et la culture, les faits de civilisation. Bref, il en résulte un site que l'on trouve plaisir et intérêt à consulter régulièrement. Nous lui empruntons souvent ses articles qui nous ont le plus retenus.   

    Politique magazine l'a présenté dans les termes reproduits ci-dessous. •

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    www.politiquemagazine.fr

    Découvrez le site de Politique magazine, mensuel de référence de l’actualité politique depuis plus de 10 ans.

    Fier du succès de son site actuel, Politique magazine entend donner un élan plus puissant à la diffusion de ses idées. Son objectif est clair : faire entendre une voix discordante dans le paysage médiatique monocorde d’aujourd’hui. Au cœur de sa réflexion, la question de la légitimité républicaine. Elle se pose, gravement, face à la succession des échecs des différents gouvernements.

    Pensé pour la commodité et l’agrément de ses lecteurs, vous retrouverez sur ce nouveau site :

    Une information régulièrement mise à jour, autour de trois axes principaux :  

    « Le meilleur des mondes », où figurent des articles sans concession centrés sur l’actualité politique, sociale et économique ;

    « Idées » où sont rassemblés les textes les plus représentatifs de Politique magazine, qui pense que la politique, au sens vrai du terme, fait la sagesse des gouvernements ;

    « Civilisation » où se retrouvent des critiques et commentaires de l’actualité culturelle. 

    L’ensemble des articles publiés dans Politique magazine, accessibles gratuitement pour tous les abonnés grâce à un identifiant et un mot de passe personnel.

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  • Journal du Lundi 25 juillet 2016 : Politique / Le gouvernement livre le complot sur un plateau