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France et politique française - Page 3478

  • Les tollés de la gauche face au FN

    Les socialistes sont aux abois. Leur hantise est de voir une ou plusieurs régions tomber aux mains du Front national en décembre, ce qui serait pour eux, si l’on peut dire, la consécration suprême de leur échec.

    On l’avait compris depuis les charges de policiers sur les poussettes de la Manif pour tous en 2013 : l’État, lorsqu’il est aux mains des socialistes, atteint un degré de partialité et de déchaînement de haine qui nous ramène vite – pour reprendre justement les phrases toutes faites de la gauche – aux heures les plus sombres de notre histoire. Je veux parler de celles de la Terreur. Cette partialité, ce déchaînement de haine s’accentuent, se développent de façon débridée, au fur et à mesure que la gauche perd pied, perd la main sur la réalité – du reste, l’a-t-elle jamais eue ? -, et que son échec est désormais flagrant, définitif, à 18 mois de l’échéance.

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  • Si nous continuons ainsi avec ce capitaine et cet équipage : « Nous sommes perdus ! »

    Appel aux Peuples de France

    C’est vrai, nous ne sommes ni amis, encore moins camarades, ni frères non plus et nous ne sommes pas tous « Charlie ». Nous sommes des Gens de France, qui y sont nés ou qui y vivent ; tous passagers d’un même bateau, et si il coule, nous sombrons avec lui : des premières à la cale, de bâbord à tribord, grands ou petits, riches ou pauvres, rien n’y fera ; pour une fois, l’Egalité sera réelle. Ne comptez pas non plus sur la Fraternité, l’instinct de survie aura tôt fait d’en faire une foutaise, quant à la Liberté, vous aurez le choix de mourir noyé ou glacé...

     

    Grâce à Dieu... Pour les croyants et même les incrédules, si le vaisseau France est bien piloté il supportera tempête et roulis et arrivera à bon port. En revanche, et c’est là qu’il faut, Gens de France, m’accorder toute votre attention, si nous continuons ainsi avec ce capitaine et cet équipage ; « Nous sommes perdus ! » Le capitaine est fou ou suicidaire, son équipage incompétent ou pire... En pleine tempête, déjà en surcharge, continuer à pratiquer le sauvetage en mer tous azimuts, c’est le naufrage assuré... Ne m’appelez plus jamais France [Sic], mais le radeau de la Méduse !

    Rien ne va plus, le vaisseau n’est plus dirigé, et c’est là, presqu’une chance, car quand le capitaine tient la barre, il fonce, vent debout, tel « Le Hollandais volant » sur les écueils les plus meurtriers qu’il puisse trouver, et son équipage applaudit, des « Roses minitels aux Vers de Terre écolos »... Et nous, les passagers, on macère dans la cale. Il est temps de se mutiner ! De monter sur le pont de ce bateau négrier et de mettre aux fers cette bande de pirates incultes et mortifères avant qu’ils ne nous conduisent dans les eaux putrides où leurs amis ont plongé la Grèce. Nous sommes tous concernés, passagers Gens de France, le déluge est proche, et si notre vaisseau fou ne devient pas vite une « Arche de Noé », je vous le redis : « Nous sommes perdus ! »

    Tout est possible, si nous nous réveillons à temps. Il suffit de ne pas admettre que notre splendide vaisseau royal « France » soit transformé en un vieux rafiot qui ne tient plus que par son pavillon et sa peinture, prestigieux restes d’un...Ancien régime !

    Le capitaine et l’équipage sont à mettre aux fers en réfrénant l’irrésistible envie qui nous démange de les balancer par-dessus bord... Heureusement pour eux, ni le crime, ni la vengeance ne font partie de nos us et coutumes. Les fers suffiront et une fois à terre quelques années dans un cul de basse fosse les dissuaderont de revenir nous diriger. Après cette première mesure essentielle et salutaire, il faudra faire le bilan et notre mea-culpa de tous les petits arrangements et de toutes les tolérances que nous avons admises et qui nous ont menés là où nous en sommes... [....]

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    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Si-nous-continuons-ainsi-avec-ce

  • La droite et les migrants : la recomposition est en marche

    Et nous, électeurs et militants de droite, combien de temps encore allons-nous accepter d'être les complices de ceux qui nous trahissent ?

    Le politologue Jérôme Sainte-Marie a parfaitement éclairé l’impact de la crise des migrants sur la situation politique française.

    Incontestablement, l’opinion, malgré la vague émotionnelle orchestrée par les médias et les élites, reste sur ses positions : plus de 55 % des Français sont opposés à l’accueil obligatoire des migrants.

    Mais cette opinion divisée en deux blocs nettement identifiés va devoir choisir, aux prochaines élections de décembre, puis à la présidentielle, entre trois options, car notre système est devenu, depuis deux ans, un tripartisme. Or, face à la crise migratoire, deux partis seulement ont une position claire : la gauche se retrouve quasi unanimement dans l’idéologie de l’accueil à tout va, retrouvant une unité de façade permettant de masquer ses échecs économiques et sociaux ; et le Front national et ses alliés y sont opposés, continuant à agréger les électeurs hostiles à cette immigration incontrôlée et encouragée par Bruxelles, M. Hollande et Mme Merkel.

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  • Bachar el-Assad : «Si vous vous inquiétez des réfugiés, arrêtez le soutien aux terroristes»

    Dans un long entretien accordé aux médias russes, le président syrien Bachar el-Assad donne une leçon de realpolitik à l’occident. L’occasion de revenir sur la situation dans la région et les prises de position de nos hommes politiques sur le sujet.

    Certes, le régime de Bachar el Assad n’a rien de sympathique : c’est une dictature d’un modèle assez « traditionnel », qui a conduit son lot de guerres d’agression, de répression brutale et, à une époque, a soutenu des mouvements terroristes au Moyen-Orient.
    C’est aussi un régime qui permet à ses ressortissants une certaine liberté, notamment religieuse, et qui assurait à son peuple un certain bien-être matériel avant le déclenchement de la guerre.
    C’est surtout actuellement le seul rempart à l’État Islamique sur le terrain et à, ce titre, un acteur incontournable de la région.

    Un point que ne manque pas de souligner Bachar el Assad dans son interview :

    Il n’y a pas le moindre contact ou la moindre coordination entre le gouvernement syrien et son homologue américain ni entre nos deux armées. Et tout cela parce qu’ils ne peuvent avouer, ne peuvent accepter que nous soyons la seule force capable de se battre contre l’État islamique sur le terrain.

    Le bon sens même, une notion qui ne semble pas effleurer Manuel Valls, qui s’enferre dans un discours dicté par les États-Unis

    Bachar al Assad est une grande part du problème, il ne peut en aucun cas être la solution. Transiger, pactiser serait d’abord une faute morale. Et peut-être d’abord une faute stratégique.

    déclarait-il le 15 septembre devant l’Assemblée nationale.
    À rapprocher de la prise de position du département d’État américain, exprimée par son porte-parole John Kirby :

    Il [Assad] est la raison pour laquelle les groupes terroristes comme Daesh sont apparus […] Le régime d’el-Assad a permis aux groupes comme Daesh de se développer et se renforcer en Syrie

    À l’inverse, le Front National, par la voix de Marion Maréchal Le Pen, soutient l’idée d’une coalition contre Daesh qui inclurait Assad. François Fillon est aussi sur cette même ligne, estimant que le régime d’Assad est sur le point de tomber alors qu’il constitue le dernier rempart contre l’État islamique. Une position à laquelle Jean-Yves Le Drian, ministre de la défense, semble se rallier du bout des lèvres
    Les mêmes regardent aussi la Russie avec sympathie, y compris dans son soutien au pouvoir légal syrien. Il faut souligner que ce soutien n’a rien d’étonnant au vu des traités signés de longue date entre ces pays et qu’il faut la mauvaise foi américaine et la docilité des médias officiels pour s’en offusquer.

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  • 3 ex-Républicains : "Nous aurions préféré des alliances avec le FN qu'avec les socialistes"

    Le député Gilbert Collard a annoncé mardi que 3 élus du parti « Les Républicains » rejoignent le « Rassemblement Bleu Marine » : Laurent Milesi, vice-président de la communauté de commune de Vers-Pont-du-Gard, Mélanie Dufour, conseillère municipale d’opposition à Redessan et Joffrey Léon, élu d’opposition à Uchaud. Ils expliquent :

    R"Joffrey Léon : Quand je me suis engagé en politique, il y avait le RPR de Pasqua notamment. Les programmes de l’époque sont dans la même ligne que ceux du Rassemblement Bleu Marine d’aujourd’hui. Le problème, c’est qu’on ne s’y retrouvait plus chez Les Républicains.

    Laurent Milesi : Oh que oui ! On n’est plus sur la même ligne idéologique.

    Joffrey Léon : Allez, je vous donne un exemple. Pendant les élections départementales en mars dernier, sur ma zone de Vauvert, on me demande de dire que Jean Denat est l’homme à abattre, l’ennemi public numéro un. Et au deuxième tour, on me dit d’appeler à voter pour lui. Faut savoir ! Moi, j’ai maintenu ma ligne de conduite."

    Votre principale raison de quitter Les Républicains était le "Front Républicain" de Jean-Paul Fournier aux Départementales, contre l'avis de Nicolas Sarkozy. Pourtant, n'est-ce pas là que l'on reconnaît un leader ? Un homme capable de s'opposer à la ligne du parti pour respecter ses convictions ?

    Mélanie Dufour : Nous aurions préféré des alliances avec le Front National qu'avec les socialistes."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Sondage : 54 % des Français contre le“mariage pour tous”

    C’est un sondage choc réalisé par l’Ifop et commandé par Frigide Barjot, ex-porte-parole de La Manif pour tous, aujourd’hui présidente de son mouvement L’Avenir pour tous.

    Cette enquête, que Valeurs actuelles a pu consulter et dont nous publions les résultats en exclusivité, révèle que, plus de deux ans après l’adoption de la loi Taubira, seuls 46 % des Français souhaitent, en 2017, “conserver la loi Taubira sur le mariage et l’adoption pour les couples homosexuels avec reconnaissance à l’état civil des enfants conçus à l’étranger d’une mère porteuse (GPA) ou par insémination artificielle (PMA avec donneur anonyme)”, comme c’est actuellement le cas.

    Les opposants au “mariage pour tous”, majoritaires, sont en revanche divisés en deux camps : ceux souhaitant l’“abrogation pure et simple” de la loi (22 %) et ceux souhaitant une “réécriture dans le sens d’une union civile en mairie pour les couples homosexuels avec droits égaux aux couples hétérosexuels sans adoption plénière” (32 %). « Deux ans après le vote de la loi Taubira, dont l’examen avait suscité une intense mobilisation, l’opinion française reste divisée sur cette question, relève Jérôme Fourquet, directeur du département opinion de l’Ifop et auteur de l’étude, selon qui « une majorité d’électeurs de droite souhaite aujourd’hui une réécriture (40 %) ou une abrogation (36 %) ».

    La question brûlante du “mariage pour tous” pourrait donc s’inviter dans la prochaine élection présidentielle et, avant cela, dans le débat pour la primaire à droite…

    Vu sur Valeurs Actuelles

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Sondage-54-des-Francais-contre-le

  • L'Etat à la recherche d'argent auprès de l'économie collaborative

    Quand il s'agit de trouver de nouveaux impôts, de nouvelles sources de financement pour l'Etat pléthorique, nous pouvons faire confiance à nos élus.

    Unknown-12Un rapport de la commission des finances du Sénat préconise queles revenus issus de l'économie collaborative soient centralisés et transmis automatiquement au fisc, qui les taxerait à partir de 5000 euros.

    Les revenus que les particuliers tirent de sites comme Le Bon coinBlaBlaCar ou Airbnb, sur lesquels on peut échanger des biens (voiture, logement, tondeuse…) ou des services (covoiturage, bricolages, cours de cuisine…) échappent la plupart du temps à toute taxation.

    En 2014, 70% des internautes français, soit près de 31 millions de personnes, avaient déjà eu recours à ce types de sites. Il y a donc du beurre à se faire pour l'Etat. La Commission des finances du Sénat a formé un groupe de travail pour étudier la façon dont l'administration fiscale peut réagir à ce phénomène, qui représente un manque à gagner et crée une concurrence déloyale vis-à-vis du commerce traditionnel...

    Dans leur rapport, les auteurs distinguent ceux qui recherchent un complément de revenu, et ceux qui en font une véritable activité commerciale. Ainsi le revenu moyen d'un hôte français qui loue son logement sur Airbnb est d'environ 3600 euros par an. Tandis qu'un chauffeur UberPop, avant la suspension du service, gagnait 8200 euros par an. Parallèlement, un conducteur inscrit sur Blablacar ne cherche généralement qu'à rentrer dans ses frais. 

    En théorie, les revenus des particuliers sur les plateformes Internet sont imposables (notamment à l'impôt sur le revenu) dès lors qu'ils sont réguliers. Mais dans les faits, les revenus sont rarement déclarés, rarement contrôlés et donc rarement imposés et le fisc n'a tout simplement pas les moyens de les contrôler.

    Michel Janva

  • Entretien avec Jacques Bompard : À l’heure du Grand Remplacement

    — Si vous étiez le maire socialiste d’Orange, combien de migrants logeriez-vous dans le théâtre antique ?
    Jacques Bompard : Les mairies socialistes ont répondu qu’elles étaient favorables à l’accueil… mais pas sur leur territoire. Tout comme les autres maires, je n’ai aucun pouvoir d’empêcher les gens de venir à Orange s’ils le veulent. Par contre, j’ai le pouvoir, et le devoir, de ne pas dépenser l’argent municipal. Toute cette histoire d’accueil est étonnante, le pays se comporte comme lorsque des gens recueillent un petit chat ou un petit chien. Le petit chien fait pipi dans le salon, le petit chat s’accroche aux rideaux, au bout de quelque temps on se débarrasse de l’animal. Or les migrants, ou les réfugiés, ou les clandestins – on ne sait plus très bien comment les nommer – ne sont pas des petits chiens ou des petits chats. Ils ont des droits, à défaut de devoirs. Mais l’État français va se débarrasser d’eux et ce sera aux collectivités locales de s’en occuper. Pendant ce temps, d’autres États, milliardaires ceux-là, ne prennent personne. Nous prend-on pour des imbéciles ? J’aurais tendance à le penser, d’autant plus que les sondages montrent que les Français sont majoritairement hostiles à « l’accueil ».

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    — Vous avez déposé en juin deux propositions, lutte contre l’immigration, lutte contre le Grand Remplacement. Pourquoi distinguer les deux alors que, comme vous le soulignez dans ces textes, ils sont liés ?
    J.B. : Le projet de loi de lutte contre l’immigration vise à établir qu’on a le droit de demander à la République de stopper l’immigration. Celui de lutte contre le Grand Remplacement est plus philosophique. Il considère qu’il y a des primo-occupants de l’Europe qu’on doit défendre et non remplacer. Or il y a bien un remplacement organisé par nos politiques.

    — Organisé activement ou toléré, passivement ?
    J.B. : Tout le mandat de François Hollande prouve qu’il existe une volonté de casser le pays. Comment expliquer ce Grand Remplacement sinon par la haine des gouvernants pour leur peuple ? Cette détestation de soi est telle qu’elle tend au suicide. Lorsque j’évoque la philosophie chrétienne dans l’hémicycle, il faut voir les moues dégoûtées que certains députés prennent… Quand j’ai déposé une proposition de loi concernant l’avortement, juste pour qu’on laisse aux femmes un délai de réflexion – juste cela, ce que j’estime être le minimum avant un acte lourd de conséquences pour l’enfant comme pour la mère –, les réactions ont été violentes. C’est pour cela qu’il est vain de s’en remettre à des partis politiques, de voter et de laisser la main à des élus. Une élection n’est pas un blanc-seing. Il faut s’impliquer personnellement, voter et suivre ce que fait le député ou le maire. Je promeus une école de la responsabilité dans le domaine politique.

    — Quel est l’avenir de ces différentes propositions que vous avez déposées ?
    J.B. : Le gouvernement choisit ce qu’il met à l’ordre du jour. Lutter contre l’immigration, le Grand Remplacement et la christianophobie n’est évidemment pas sa priorité ! Il préfère qu’on parle d’autre chose. En tout cas mes propositions, qu’elles concernent la famille, le travail ou l’immigration, ont un lien et une cohérence : elles sont un projet de gouvernement. Le député n’est pas élu pour discourir devant ses pairs, mais pour légiférer, ne l’oublions pas.

    — Vous souhaitez introduire la christianophobie dans la loi Gayssot, au même titre que le racisme et l’antisémitisme. Utilisez-vous la loi Gayssot ou la bonifiez-vous ?
    J.B. : Pourquoi punir un discours contre l’islam tout en laissant attaquer le christianisme ? Même le diable peut porter Pierre. Vu les conditions dans lesquelles nous nous battons, nous avons peu le choix des armes. Je fais du judo, d’une certaine façon : j’utilise la force de l’adversaire à mes propres fins. Et, en ce qui concerne la loi Gayssot, le raisonnement par l’absurde n’est pas dénué d’intérêt ni d’humour.

    — Vous souhaitez que « la France interdise le financement public d’actions christianophobes ». Une pratique qui a déjà cours à Orange ?
    J.B. : À notre arrivée à la mairie d’Orange, nous avons trouvé un patrimoine chrétien en déshérence. Nous l’avons relevé peu à peu. N’est-ce pas là l’utilisation normale de subventions municipales ? Le patrimoine est une richesse à la fois économique et culturelle, plus que cela : identitaire et spirituelle. Mais nous n’avons pas fait que défendre ou promouvoir cet héritage. Nous avons consacré Orange au Sacré-Cœur et, du haut de la colline Saint-Eutrope, la Sainte Vierge veille sur la ville. Ce n’est pas inutile, je crois.

    Propos recueillis par Samuel Martin

    http://fr.novopress.info/