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France et politique française - Page 3532

  • Postures et impostures

    Réagissant à la crise des éleveurs, Marine Le Pen a prôné mardi une « re-nationalisation » de notre politique agricole. Une renationalisation qui, idéalement, devrait être étendue à tous les aspects de notre vie politique largement sous la coupe du parti de l’étranger atlanto-bruxellois. Le 8 juillet, l’ancien élu belfortain, ex ministre et ex dirigeant du MRC, Jean-Pierre Chevènement,  publiait sur son blogue une longue déclaration, intitulée « La France en grand ». Prenant acte de la «  crise historique de longue durée » subie par notre pays, qui « s’est fortement aggravée avec la dérégulation néolibérale, le choix d’une monnaie unique viciée dans son principe même et l’inféodation qui résulte des traités européens »,  il appelait au « rassemblement autour d’un projet réellement alternatif ». «C’est ce projet d’alternative républicaine que République Moderne (RM, une nouvelle structure créée pour l’occasion NDLR),  à travers des rencontres périodiques, se propose de faire surgir.»

     Jean-Pierre Chevènement propose ici  une alliance, allant de l’extrême gauche au petit parti de Nicolas Dupont-Aignan.  Il explique que RM s’adresse « au-delà des partis et des clivages politiques obsolètes, à tous ceux, socialistes, communistes, radicaux, gaullistes, démocrates, républicains, femmes et hommes de progrès (sic) qui croient que la France, loin d’être finie, a encore un rôle majeur à jouer pour équilibrer l’Europe et donner aux idées républicaines leur portée universelle face aux désordres engendrés par la globalisation. »

    Le manque de sincérité de la démarche de Jean-Pierre Chevènement, la faiblesse ontologique de son combat souverainiste, éclate une nouvelle fois ici, constate Bruno Gollnisch, avec sa posture « ni-ni » : ni RPS-ni FN…mais surtout ni FN ! Il est en effet parfaitement absurde de prôner le (nécessaire) rassemblement de tous les patriotes de bonne volonté en en excluant de facto, la première formation qui défend la souveraineté de notre pays, à savoir le Front National. De même, M. Chevènement feint encore de croire que les communistes défendent la nation, lesquels s’échinent en outre, tout comme lui-même, à minorer criminellement la question, pourtant centrale et essentielle, de l’immigration.

     Déjà, lors de la dernière campagne présidentielle, il avait refusé la main tendue par Marine en affirmant caricaturalement  que «  le Front National restera le parti de l’ethnicité et ne deviendra jamais celui de la citoyenneté. » Nous le relevions pareillement, le patriotisme du  jacobin-républicain   Jean-Pierre Chevènement achoppe historiquement   sur la question de l’identité française.

     Il est ainsi tout aussi révélateur que l’ex ministre de François Mitterrand, qui a appelé à voter pour le très bruxellois Hollande en 2012,  s’inquiète dans ce même texte d’une « une gauche et d’une droite interchangeables » qui se « (succèdent) au pouvoir pour y conduire, pour l’essentiel, la même politique néolibérale et inféodée ». Ce qui est parfaitement juste, mais sa crainte découle du fait que cette politique de l’RPS suscite chez notre peuple une réaction de défense immunitaire,  au sens ou les politiciens en question font ainsi,  écrit-il,  « le lit du Front National ».

     Et M. Chevènement, d’en rajouter une louche, en n’hésitant pas à mentir assez grossièrement en affirmant que le FN, qu’il baptise ici d’ « extrême droite », «  se nourrit de la désespérance du peuple mais ne propose aucune alternative crédible, bien au contraire. Son accession au pouvoir, ruineuse pour l’image de la France dans le monde, nourrirait le  clash des civilisations  que souhaitent les fanatiques et serait un mauvais coup porté à notre pays.»

     L’ex sénateur du Territoire de Belfort sera présent lors des universités d’été de la formation de Nicolas Dupont-Aignan a confirmé ce dernier qui vient de donner un entretien au quotidien Nord Eclair. Le dirigeant de Debout la France y présente son candidat  aux élections régionales de Nord-Pas-de-Calais-Picardie, lequel  sera opposé à Marine Le Pen, ce qui fait objectivement les affaires du républicain Xavier Bertrand, même s’il s’en défend.

    «On a énormément de différence» (avec Marine et le FN, NDLR) expose M. Dupont-Aignan dans ce journal. «Nous n’avons pas le même projet politique, pas la même vision de l’Europe ; je n’ai jamais été contre l’Europe mais pour une Europe des Nations et des projets ; je ne suis pas pour le rétablissement de la peine de mort. Qu’il y ait des points communs dans la dénonciation du système qui tue la France à petit feu, oui je l’assume, En revanche vous ne me ferez pas diaboliser le FN, car cela n’a pas de sens. Notre alternative patriotique me paraît plus sérieuse. On veut nous assimiler au FN car la pensée dirigeante ne veut surtout pas qu’il y ait des gens raisonnables capables de changer le système. Le système s’effondre mais les électeurs ne veulent pas confier la France au FN, donc ils s’abstiennent. Nous offrons la seule voie possible, la rupture raisonnable ! ».

     Le FN ne serait donc pas raisonnable –raisonnable pour qui?- capable d’une rupture censée avec ce Système délétère ? Propos qui permettent à M Dupont-Aignan de justifier lui aussi le « ni FN-ni RPS », son refus de faire alliance avec un mouvement  dont il a pourtant repris quasiment mot pour mot des pans entiers de son programme…

     Quoi qu’ils en disent, l’attitude d’ostracisme vis-à vis du FN d’un Nicolas Dupont-Aignan, d’un Jean-Pierre Chevènement ou d’autres souverainistes velléitaires, quels que soient l’intelligence et la pertinence de beaucoup de leurs analyses, revient à légitimer le Système en place en attaquant la formation politique la plus à même de le renverser.

     Sur le site de Polemia dans son avant-propos et la première section publiée du lexique « Cinq cents mots pour la dissidence », il est rappelé la définition politique du mot ami que ces derniers feraient bien de méditer. « La discrimination entre l’ami et l’ennemi est l’acte fondateur de la politique, d’après le politologue Carl Schmitt : on ne peut pas faire de la politique sans désigner son ennemi principal. Ceux qui prétendent fonder une attitude politique sur le  ni-ni  adoptent en réalité une posture impolitique : ils se condamnent à être le simple objet de ceux qui savent faire de la politique, qui sont, eux, de vrais sujets politiques ». Tout est dit.

    http://gollnisch.com/2015/07/22/postures-et-impostures/

  • Pour le PS, les carottes sont cuites !

    Il n'y a pas que les agriculteurs et les éleveurs qui sont en colère contre le gouvernement. Les buralistes donnent également de la voix.

    Après s'en être pris à des radars, ils ont déversé ce matin près de quatre tonnes de carottes - emblème de leur profession - devant le siège du Parti socialiste, rue de Solférino à Paris.

    C

    Michel Janva

     

  • Filippetti et Montebourg rappelés à l'ordre par le président du groupe PS au Sénat

    Didier Guillaume accuse les deux anciens ministres socialistes de «cracher dans la soupe».

    Ne parlez plus d'Aurélie Filippetti et d'Arnaud Montebourg à Didier Guillaume. À ses yeux, les anciens ministres socialistes, débarqués du gouvernement en août 2014 et aujourd'hui proches des frondeurs ont tourné casaque trop vite. «Chez moi on appelle ça cracher dans la soupe. Ma grand-mère disait toujours ‘il faut avoir la reconnaissance du ventre'», s'est exclamé mardi sur Public Sénat le sénateur PS.

    «Ils ont été choisis à un moment par le chef de l'Etat pour être membres d'un gouvernement, donc aujourd'hui un peu de retenue», a-t-il déclaré lors de l'émission Preuves par 3 Public Sénat/AFP/Dailymotion. «Monsieur Montebourg et Madame Filippetti ont été servis par la République (...) ils ont été ministres du Redressement productif et de la Culture. Mais quand on est membre d'un gouvernement, on doit dépasser sa petite personne, on ne s'appartient plus», a ajouté Didier Guillaume.

    Le sénateur n'apprécie pas qu'Aurélie Filippetti réclame régulièrement une primaire socialiste pour désigner le candidat de la gauche en 2017. «Je pense que des primaires, mais des primaires larges, des primaires de toute la gauche (...) sont inévitables», expliquait la députée, invitée de BFM-TV en juin. Didier Guillaume lui répond fermement que «lorsqu'un président de la République est sortant, s'il décide de se représenter, s'il est en situation, si les principaux responsables politiques autour de lui veulent aller dans cette direction, il n'y a pas besoin de primaire».

    Une analyse toutefois démentie par un sondage OpinionWay réalisé en juin pour Le Figaro et LCI où l'on apprend que 76% des sympathisants socialistes réclament une telle primaire.

    Tristan Quinault Maupoil

    source : Le Figaro  lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFZVyyVZZSXDulEqw.shtml

  • Bayrou ou le baiser de Judas dont Juppé ne se remettra pas

    Il nous aura tout fait, le Béarnais avec ses ergots à la Chantecler et sa tête grosse comme un melon de Cavaillon.

    J’y vais ou je n’y vais pas ? Bayrou ne rate pas une occasion de vanter tous les mérites dont il se croit paré. Il est bien le dernier. Notre homme ne se plaît que dans les hautes sphères, et pour tout dire, il se rêve en homme providentiel.

    Il nous aura tout fait, le Béarnais avec ses ergots à la Chantecler et sa tête grosse comme un melon de Cavaillon. Ses modèles ? Henri IV, son compatriote navarrais, dont il a écrit une biographie ; de Gaulle, l’homme seul, envers et contre tout ; et Mitterrand, dont il loue une pugnacité qu’il espère égaler en se représentant à la présidentielle.

    Il ira en 2017 dès lors que Juppé ne se présentera pas, parce qu’il se sera fait rouler dans la farine avec des primaires qu’il ne peut remporter.

    Il ira parce que Hollande l’a déçu. Il ira parce qu’il hait Sarkozy, l’arriviste bling-bling et inculte, et qu’il s’imagine en recours contre Marine Le Pen. Il ira parce qu’il s’y croit, jusqu’à se vanter d’une virilité de grand fauve dont Hollande est dépourvu et qu’il appuie par ses références appuyées au Vert galant et à l’élevage de pur-sang dont il occupe ses temps libres.

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  • « PLUS BELLE LA VIE » : UN FEUILLETON DE PROPAGANDE ISLAMIQUE ! (l’Imprécateur)

    La collusion entre la propagande nazie et la propagande islamique a commencé dans les années 30 avec les déclarations de Hadj Amin el-Husseini, Grand mufti de Jérusalem, disant en substance que le nazisme était un modèle pour l’islam et une bonne chose pour le développer dans le monde par l’extermination des Juifs.

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    Tuez les juifs partout où vous les trouvez, leur sang qui coule réjouit Allah 

    Aussitôt, Hitler y trouvant un allié susceptible de déstabiliser l’influence anglaise au Moyen-Orient et un moyen d’étendre le nazisme au-delà de ses limites eurocentriques coutumières, les efforts de propagande de l’Allemagne nazie à destination des musulmans du Moyen-Orient furent intensifiés.

    Il fallait cependant faire sauter un énorme obstacle, celui de la barrière apparemment insurmontable créée par l’idéologie raciale nazie. Il fut donc décidé d’insister sur le thème « l’ennemi juif » qui trouvait un écho très fort dans le monde arabe, en créant un acteur politique en apparence réel, baptisé « juiverie internationale » tenu pour responsable de tous les malheurs du monde arabe, mais aussi occidental et notamment des causes de la guerre annoncée. Les ministères nazis concernés par la propagande (Affaires étrangères, Propagande, Armée et SS) recrutèrent des collaborateurs musulmans pour que les traductions d’allemand en arabe soient parfaites. Bien que cette collaboration entre l’islam et le nazisme n’ait duré que quelques années, se terminant naturellement avec la fin de la guerre en 1945, elle a laissé des traces qui renaissent aujourd’hui dans la propagande de l’islam intégriste, notamment les principales accusations relevant de l’antisémitisme radical. La haine profonde des Juifs partagée par les musulmans et les nazis ne relevant pas que des circonstances géopolitiques propres à la première moitié du XXème siècle, « elle se nourrit d’éléments de leurs civilisations respectives » (Jeffrey Herf, Hitler, la propagande et le monde arabe, Ed. Calman-Lévy 2012) et nous rappelle que les idéologies peuvent être simultanément des instruments servant des desseins politiques aussi bien que religieux (1).

    Dans sa directive n°30 sur la politique à mener au Moyen-Orient, Hitler déclare : « Le mouvement de liberté (Freiheitsbewegung) arabo-musulman est notre allié naturel« , et l’antisémitisme radical nazi trouva aussitôt un terrain d’entente avec l’antisémitisme radical enraciné dans le Coran et les commentaires qui en ont été faits dans les hadiths. Les deux se mêlant dans les émissions de propagande qui furent dès lors diffusées jour et nuit, préparées par des groupes se réunissant à Berlin qui mélaient nazis arabophones et arabes pronazis, essentiellement des Palestiniens et des Irakiens qui ne voyaient qu’une chose : cela leur permettait de trouver un public nombreux (2) et réceptif à la lutte antijuive (Israël n’avait pas encore été recréée) dans leurs pays respectifs. Les nazis apportant leur maîtrise des techniques de propagande moderne au service d’un regain de la version fondamentale de l’islam. Mais ce n’est pas leur habileté technique qui exacerba le plus l’antisémitisme radical musulman, tout leur art consista à comprendre que certains courants de l’islam étaient autant de points d’entrée pour une réception positive du message nazi.

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  • Regard sur l’Actu #15 : Un été chaud, chaud, chaud !!!

    La France durant les vacances d’été… On ne se soucie plus de rien, c’est les congés et on vit au ralenti. Moins de pression, moins de règles, on se croit tout permis. C’est un étrange sentiment qu’on ressent partout, comme si le temps s’arrêtait durant deux mois et que tout devenait dérision et amusement. La racaille se sent pousser des ailes et l’Etat-autruche paraît encore plus couillon et dépassé qu’à l’accoutumé dès qu’il s’agit de maintenir un semblant d’ordre. L’été, c’est la fête ! On l’a encore vu ces jours-ci avec des centaines de voitures qui ont cramé pendant que l’eau des bouches à incendie se répandait dans les rues pour amuser et rafraîchir la part la plus exotique de notre population. Rien que pour le vendredi 3 juillet, plus d’une centaine de ces bouches furent vandalisées dans notre beau département du nord, à Lille, Roubaix et Tourcoing, villes délicieuses s’il en est. Le phénomène a vite gagné toute la France, notamment la Seine-Saint-Denis où plusieurs maires ont courageusement pris des arrêtés municipaux interdisant cette pratique, ce "jeu", cette "mode" comme ils disent dans les médias ! Quel panache Messieurs ! La France a besoin d’audace et vous n’en êtes pas avares ! Après les bouches à incendies, ça a été aussi les razzias dans les piscines municipales qui ont dû, pour plusieurs, fermer leurs portes face aux bandes qui venaient y foutre la merde… sans jamais être inquiétées. Et je ne parle pas des attaques de piscines privées… Pfff… La canicule, ça ne nous réussit pas ! A chaque jour sa peine et ça n'en finit pas. Après un petit rafraichissement à la piscine, pourquoi ne pas s’en prendre à un commissariat ou à une gendarmerie ? Une vingtaine d’entre eux ont été attaqués ou ont subi des tirs depuis le début du mois. Des assauts comme à Neuilly-Plaisance dans la nuit du 13 au 14 ont été menés par pas moins d’une centaine de « jeunes » ! On s’amuse bien en France, surtout en région parisienne ou du côté de Lyon, là où la majorité de ces incivilités ont eu lieu. Comme d’habitude, seuls les syndicats de police ont réagi. Les pouvoirs publics ? Rien, nada ! Ils sont en vacances, bordel ! Bien sûr, au milieu de tout cela, il y a les Français normaux qui subissent sans rien dire et continueront à le faire car l’Etat fait tout pour réprimer la moindre tentative de résistance à ce bordel quasi-généralisé et encouragé. Voyez la victime de Dinan, superbe ville de Bretagne qu’on croyait tranquille et préservée, qui a été mise en garde à vue et poursuivie pour s’être défendue face à un lynchage… pendant que gendarmes et magistrats, lâches et tenus en laisse ne font rien. Un autre exemple récent, le pauvre René Galinier, 78 ans, incarcéré dès la fin de son procès pour 5 ans de prison (dont 4 avec sursis) car la « justice » l’a reconnu coupable de tentative de meurtre pour avoir osé se défendre face à un cambriolage… L’Etat ne vous protégera pas mais protégera ceux qui vous veulent du mal. Tirez-en les conclusions qu’il faudra mais sachez qu’une réaction de la part d’une population hébétée et qui s’habitue à tout n’est pas à attendre tout de suite… ni cet été, ni le prochain… Vous ne pouvez compter que sur vous. Et votre bonne étoile.

    Encore un projet de loi sur les étrangers !

    Un énième, oui. Qu’on discute alors que vous êtes à la plage ou dans les bouchons ! Pendant qu’une part de l’Italie burnée résiste courageusement (avec l’appui musclé de Casa Pound !) à l’envahisseur, l’Europe plie sous la pression des peuples venus du sud et le système fait tout pour nous en imposer encore plus. Marché ! Droits de l’homme ! Destruction des Européens ! La France en première ligne, pas seule dans ce merdier mais en première ligne quand même ! Le nouveau projet de Cazeneuve, prétextant des simplifications administratives, a surtout pour but de fixer encore davantage les étrangers de manière légale sur notre sol en délivrant des titres de séjour plus facilement. Rien d’étonnant, nous sommes habitués, surtout avec ce petit fonctionnaire plein d’égard envers tout ce qui n’est pas de chez nous et qui déclarait encore récemment, à Calais, que « Trop de migrants qui pourraient bénéficier de l’asile en France hésitent encore. Nous devons leur faire comprendre clairement que l’asile en France est la meilleure chance pour eux. ». Pour eux comme pour les autres ! Je parle de cette « immigration choisie », défendue hier par Sarkozy et aujourd’hui par le Gouvernement avec son projet de « passeport-talents » (nom à la con sentant la comm’ bobo parisienne). Alors qu’un sacré pourcentage de diplômés français se cassent à l’étranger ou cherchent à le faire, on ne va pas chercher à les retenir ! Non, on va les remplacer, comme on remplace la population blanche ! Je résume : on attire des étrangers censés apporter à la France savoir et attractivité / qui vont coûter un max et ne jamais repartir / et qui, s’ils sont vraiment des « talents » manqueront à leurs pays d’origine / pays qui seront encore plus en difficulté du fait de la fuite des cerveaux et dont la population viendra, à terme, inévitablement chez nous. Le tiers-monde en Europe pour les nuls !  

    France, prosterne-toi!

    Comme si on n’en avait pas assez avec nos « potes » de l’intérieur, il faut aussi se coltiner leurs lointains cousins de l’étranger qui viennent contribuer, eux aussi, à égayer notre été… Attention ! Déroulez le tapis rouge, voici la famille royale saoudienne qui débarque pour ses vacances près de Cannes, à Vallauris exactement. On les attire tous, hein ? Le roi Salmane se ramène en force avec 400 ou 500 personnes (esclaves et gros bras compris) qui sauront mettre de l’ambiance à Vallauris ! La sympathique smala y possède une villa et arrive dans quelques jours…  A tout seigneur, tout honneur : pour avoir la paix, les Saoudiens avaient fait entamer des travaux avec dalle de béton et tout et tout pour privatiser la plage jouxtant leur résidence… Tranquille la vie, surtout que cette plage est publique… Mais bon, sachant que la France est un pays de faibles et de traîtres où l'on peut tout se permettre dès qu’on est puissant et/ou friqué et/ou étranger, y avait pas trop à craindre des autorités locales. Mis à part Michelle Salucki, maire de la commune, qui avait tenté de faire arrêter les travaux entrepris par les serviteurs royaux, tout le monde s’est agenouillé ! La préfecture a bien évidemment interdit l’accès à la plage publique de Vallauris. Le sous-préfet de Grasse, Philippe Castanet, a ainsi déclaré à l’AFP : « dès que la Garde royale saoudienne nous aura donné le jour d’arrivée de l’avion du roi […] avec un délai de prévenance de 24 heures, l’accès au littoral sera interdit par des policiers, pour le temps des vacances du roi ». La France s’abaisse devant le monde entier et en est, bien évidemment, la risée. En voici une nouvelle preuve.

    Une reine à Béziers

    Une reine, idéalement, ça doit faire rêver les petites filles de par sa beauté et son style mais aussi jouer un rôle politique, quel qu’il soit. Notre histoire en multiplie les exemples. Le joli minois que vous voyez ici n’est pas la nouvelle reine de France mais celle de Béziers. Elle répond au doux nom de Fleur Nougaret-Fischer et « a pour mission de représenter, du haut de ses 22 printemps, "l'identité Biterroise, ses traditions et sa culture" » en lien direct avec le service culturel de la ville héraultaise. Belle vitrine, certes, mais attention, la jeune fille, étudiante en droit, a remporté « un concours où beauté physique et connaissance de l'histoire et des traditions biterroises étaient jugées à critère égal. » Choisie par Robert Ménard et d’autres personnages importants de la ville, Fleur « doit dorénavant faire acte de présence lors des férias, des fêtes médiévales et des vœux du maire. Autre engagement à respecter : "se comporter en toutes circonstances et en tous lieux avec grâce, élégance et dignité." » lit-on dans metronews.fr qui feint de jouer le journalisme d’investigation en révélant que la jeune femme « partage l'avis de son maire sur certains thèmes qui lui sont chers ». Si elle a passé le concours, c’est en connaissance de cause, non ? Il est vrai que les statistiques ethniques de Béziers ne jouent pas toujours en faveur des Blancs mais, pour une fois, on peut souffler : la discrimination positive n’est pas à l’honneur. Zut alors, ça fait enrager les médias qui auraient voulu une énième Miss métisse fan de hip-hop et titulaire d’un bac -4 comme c’est la norme en France occupée. Ça change, hein, une Blanche ! Rien que pour ça et pour l’image sympathique que la Reine de Béziers peut donner de sa ville, on ne va pas bouder notre plaisir face à cette nouvelle affirmation d’identité de la part du célèbre édile de Béziers !

    Rüdiger / C.N.C.

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Projet de loi immigration : toujours plus de droits !

     Toujours plus de droits pour les étrangers, des mesures de lutte contre l’immigration illégale a minima, le gouvernement poursuit sa logique immigrationniste avec ce nouveau texte, qui passe au cœur de l’été et en procédure accélérée pour éviter au maximum le débat.

    Les députés français examinent depuis lundi l’examen d’un projet de loi controversé sur l’immigration qui propose d’améliorer les conditions de vie des résidents légaux en France tout en renforçant la lutte contre l’immigration illégale. c’est du moins la volonté affichée, puisque dans les faits, le texte, avec la carte de séjour pluriannuelle et l’assignation à résidence comme dispositif par défaut des immigrants illégaux ne fait que leur faciliter la vie.

    Le texte prévoit en effet prévoit la création d’un titre de séjour de deux à quatre ans, après un premier d’un an, destiné à éviter aux étrangers d’avoir à se rendre chaque année en préfecture. Cette mesure a été approuvée hier soir par les députés. Pour en bénéficier, un étranger devra justifier de son “assiduité et du sérieux de sa participation aux formations prescrites par l’Etat dans le cadre du contrat d’intégration” et ne pas avoir “manifesté de rejet des valeurs essentielles de la société française et de la République”.
    Les titulaires du titre pluriannuel pourraient ensuite demander la carte de résident. Un amendement PS voté en commission la donne de plein droit au bout de trois ans pour les parents d’enfants français ou les conjoints de Français.

    Bref, des contrôles de l’ordre du symbolique et un boulevard vers la naturalisation, étape suivant la carte de résident.
    Pour Marion Maréchal-Le Pen ce texte va donner

    des droits toujours plus favorables aux étrangers, notamment l’élargissement du regroupement familial, l’assouplissement de la procédure des étrangers malades, l’incitation pour les étudiants qui ont fini leur cycle de rester en France.

    Les reconduites à la frontière pour les déboutés du droit d’asile seraient facilitées et si l’assignation à résidence serait privilégiée à la détention, les forces de l’ordre pourraient mener la personne concernée à son consulat afin d’obtenir les papiers nécessaires à son expulsion… pour peu bien sûr que les clandestins soient restés sagement dans leur lieu de résidence plutôt que de disparaitre dans la nature !

    Le député Les Républicains Guillaume Larrivé, un proche de Nicolas Sarkozy et l’un des seuls orateurs de la droite “modérée” sur ce texte a appelé à “rompre avec cette idéologie immigrationniste” et accusé le gouvernement d’avoir “une pratique qui est celle de l’augmentation de l’immigration”. Il propose d’agir dès le pays d’origine en limitant la délivrance de visa d’immigration aux candidats faisant la « preuve de leur capacité d’intégration ». Une fois en France, les immigrés verraient ensuite leurs conditions d’accès aux prestations restreintes. Surtout, il proposera que l’Assemblée puisse définir, tous les ans, un « plafond d’immigration » appliqué notamment au regroupement familial, en fonction des besoins économiques.

    Parmi les amendements qui font débat, l’un d’eux dispose que les enfants nés à l’étranger de parents étrangers, arrivés sur le territoire français avant l’âge de 6 ans et ayant depuis lors résidé habituellement en France, puissent acquérir la nationalité française sur simple déclaration à leur majorité. Pour le député Les Républicains Guillaume Larrivé, c’est un moyen déguisé d’accorder la nationalité aux clandestins :

    Nous ne sommes pas favorables à l’idée absurde selon laquelle tous les étrangers venus illégalement par le regroupement familial deviendraient automatiquement français à l’âge de 18 ans.

    http://fr.novopress.info/

  • Nos éleveurs victimes de l’embargo sur la Russie ?

    Il y a près d'un quart de siècle, nos éleveurs de poulets se sont retrouvés dans la débine, tout cela parce que de brillants stratèges avaient décrété judicieux de faire la guerre à Bagdad, en 1990, alors que l’Irak ne jurait alors que par la volaille bretonne…

    Quand nous étions plus jeunes, nos camarades communistes avaient pris pour habitude de nous affirmer : « Si tu ne t’intéresses pas à la politique, la politique, elle, s’intéressera à toi. » La maxime vaut toujours pour la géopolitique.

    Ainsi, l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois qui a récemment fermé ses portes, c’était parce que General Motors, géant américain qui détenait alors 5 % de la traditionnelle firme au lion, nous a obligés à abandonner le marché iranien, le deuxième client à l’étranger de Peugeot… Pis : alors que Téhéran s’apprête à commercer avec le reste du monde, les entreprises françaises, jusque-là les mieux placées, risquent bien de payer les pots cassés de l’incompréhensible intransigeance d’un Laurent Fabius dans les récentes négociations menées avec l’Iran.

    Après, on peut toujours prétendre que cela ne nous concerne pas et que nos hommes et femmes politiques seraient mieux inspirés de s’occuper d’affaires plus franco-françaises. Ah bon ? La preuve par nos éleveurs, actuellement au bord d’une nouvelle grande jacquerie. Certes, on ne saurait défendre de manière inconditionnelle des paysans dévoyés qui élèvent des animaux à la chaîne, polluant au passage rivières, plages et paysages. Mais s’ils donnent désormais dans l’élevage aussi intensif qu’industriel, c’est aussi parce que certains technocrates les y ont poussés, à coups de directives européennes et de grasses subventions financées par l’argent des contribuables.

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  • Corrélation entre les médias et les partis politiques

    Lu dans l'Action Française 2000 :

    A"Les partis politiques ont pour but la conquête, l’exercice et la conservation du pouvoir. À cet effet, ils concèdent à l’opinion publique, composent avec elle pour l’amadouer et gagner son soutien électoral. Or, l’opinion publique est tributaire des médias qui la façonnent et qui servent de relais au pouvoir républicain. C’est la raison pour laquelle il existe une corrélation entre les médias et les partis politiques, qui sont dans l’obligation d’adopter un langage “politiquement correct” pour promouvoir leur démagogie.

    Les querelles internes au sein du Front national le démontrent. En dérapant dans les médias, le président-fondateur de ce parti dérogeait à cette règle, ce qui l’a empêché d’arriver au pouvoir tout au long de sa carrière politique. En lui succédant, Marine Le Pen a procédé à une “dédiabolisation” du parti. Autrement dit, elle souhaite éviter de le compromettre, en adoptant un langage “politiquement correct”, conforme au lexique politico-médiatique, sans heurter la susceptibilité des groupes de pression qui détiennent les clefs du pouvoir médiatique (considéré comme le quatrième pouvoir au sein de la République). Cette démarche semble légitime eu égard à la logique et aux objectifs des partis politiques. Ce conflit idéologique, mais aussi stratégique, au Front national met en exergue l’existence d’une ligne rouge que les politiques ne doivent pas franchir s’ils comptent accéder au pouvoir. Cela confirme l’existence de groupes de pression, qui façonnent et maîtrisent le pouvoir politique au sein de la République, que Charles Maurras a longuement évoqués et analysés dans un mémoire, Pour réveiller le grand juge, rédigé dans sa prison de Clairvaux où il était détenu entre 1947 et 1952."

    Michel Janva