France et politique française - Page 367
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Eric Zemmour : Je suis heureux de ce réveil français. Faites gagner la France dimanche !
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Vers un barrage contre l’Extrême Gauche
Il y a la Place de la République un soir d’élection et il y a la France. Les gens de la Place de la République, quand ils sont quelques milliers, s’imaginent qu’ils sont la France, et que la France entend leur message et les suit. Mais ils ne sont qu’un microcosme braillard, haineux et déconnecté du reste d’un pays qui n’a pas le temps, lui, de se livrer à des exactions gratuites et injustifiées sur le mobilier urbain et les commerçants laborieux. Ils donnent à voir ce qu’est réellement cette extrême gauche à près de 29 %. Elle n’accepte pas le verdict des urnes, est donc par essence, anti démocratique, plus extrême donc, que l’autre extrême, qu’elle prétend combattre et qui ne casse rien quand elle perd une élection.
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« Economie. Le programme LFI est anticonstitutionnel. Démonstration ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La Constitution est nos institutions sont choses très sérieuses. Très importantes.
Alors il faut parfois faire des rappels à la loi… c’est essentiel.
Il faut avoir le courage de dire ce qui doit-être dit.
Si tout le monde connait l’article 1 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, pour les autres les connaissances de la population sont nettement plus nuageuses et brumeuses !
Article 1er
“Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune”.
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Le spectacle pitoyable de la patrouille des castors
Bernard Germain
C’était prévisible et c’est ce qui s’est passé.
Entre juin 2022 et ce 30 juin 2024, le RN a multiplié par 3 son nombre de voix, passant de 4 millions de voix à plus de 12 millions. Peut-on montrer de manière plus claire l’exaspération des Français du fait de la politique de Macron qui est en train depuis 7 ans de consciencieusement détruire notre pays, soutenue par tous les bien pensants et même par une partie de la gauche ?
On remarquera que déjà 39 députés du RN sont réélus dès le 1er tour, comme Marine Le Pen, Julien Odoul, Sébastien Chenu,… etc. Ce qui montre sans équivoque leur enracinement local, et que leur élection n’a rien à voir avec un coup de colère des habitants de leurs circonscriptions. C’est un vrai vote d’adhésion.
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Le Sursaut corse : Nicolas Battini, de la prison à l’action politique
Polémia
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Victoire du RN : la méthode anti-crachats
Il fallait être solide pour voter RN le 30 juin. Avec la propagande qu'on s'est tapée pendant trois semaines, une certaine force de caractère était requise au moment de mettre le bulletin dans l'urne. Pas simple de donner sa voix au racisme et au fascisme ressuscité, arrosés de sauce nazie avec des rasades de Vichy. Le tout rabâché 24h sur 24, ad nauseam, par les médias aux ordres. Mais, ma bonne dame, puisqu’on vous dit que c’est pour la bonne cause !
Au vrai, l’opération a plutôt bien fonctionné. Partant d'un socle de 31 % aux Européennes, renforcé par LR-Ciotti (3 à 4%), bénéficiant de la quasi disparition de Reconquête (5 %), le RN était crédité logiquement de 36 à 38 % dans les sondages. Il a terminé à 33 %. Décevante victoire.
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Néonazis ukrainiens entraînés par l’armée française au camp de La Courtine en Creuse. Comment est-ce possible Emmanuel Macron !?
Le 22 mai dernier, Mediapart a publié une enquête de Sébastien Bourdon sur « l'armée française [qui] entraîne des néonazis ukrainiens au combat » [1]. « Un groupe venu en France [au camp de La Courtine, dans le sud de la Creuse,] à la fin de l'année 2023 comptait dans ses rangs d'authentiques néonazis. Une donnée que l'armée française ne pouvait ignorer : l’un portait le symbole de la SS tatoué sur le visage » [2].
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Il faut entendre le peuple…
Les Français ont retrouvé massivement le chemin des urnes à l’occasion du premier tour des législatives. Le premier enseignement est bien celui-ci. Quand l’enjeu est important, les électeurs ne boudent pas, ce qui donne au résultat une valeur non plus symbolique, mais bien réelle de l’état du pays et de ses composantes. Il n’y a pas seulement un clivage droite/gauche, mais bel et bien des nuances complexes du paysage politique où deux forces s’opposent sans pouvoir décider seules. L’anachronisme de la situation vient de là, sans compromis, avec des mariages douteux entre gens qui soi-disant se détestent. Le principe même de la Vième République est donc fragilisé. Conçue pourtant pour trouver une stabilité avec une majorité claire, nous voilà replongés dans le doute et l’incertitude. La décision reviendra aux électeurs, au-delà des consignes de vote de formation qui sont devenues incapables de peser autrement que par du verbiage incantatoire sur la supposée nocivité du RN.
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Meaux : une lycéenne de 15 ans violée par un Tunisien sous OQTF
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Bilan de la Macronie : en marche vers un danger trop connu
Bernard Plouvier
Il est évident que le bilan du séjour élyséen de notre Génial Grand Timonier ne peut qu’être provisoire. Constitutionnellement, notre moderne Attila conserve une capacité de nuisance, en dépit de ses déculottées électorales… à moins que par un beau geste – que l’on n’espère pas trop de Sa Suffisance –, il ne s’en aille comme le fit Charles de Gaulle en 1946 puis en 1969.
Même s’il nous réserve des surprises, il restera tristement célèbre pour deux évidences.