Faux, disent-ils en chœur, mais la réalité est tout autre.
De très nombreux lecteurs nous demandent s’il est exact que les dons faits à l’armée israélienne sont déductibles de l’impôt sur le revenu dans les limites des plafonds habituels.
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Faux, disent-ils en chœur, mais la réalité est tout autre.
De très nombreux lecteurs nous demandent s’il est exact que les dons faits à l’armée israélienne sont déductibles de l’impôt sur le revenu dans les limites des plafonds habituels.
Réaction d’Alliance Vita à l’annonce du président de la République :
« Face à l’intensification du travail, les jeunes plongent dans un malaise profond : « Je m’enfonçais dans le travail, je n’avais plus de distance » » proclame le titre de cet article du Monde qui revient sur les états d’âmes d’une jeunesse inadaptée au travail en général et au monde du travail en particulier ce que le journal n’ose pas dire.
« Tâches absurdes, rythme intense, précarité de l’emploi, absence de seniors pour les guider… les transformations du monde professionnel génèrent de la souffrance chez les jeunes salariés. Le nombre d’arrêts-maladie explose chez les moins de 30 ans. »
Guillaume Drago *
Le président de la République vient de confirmer sa volonté de « graver dans notre Constitution la liberté des femmes de recourir à l’IVG », selon ses propres termes, de façon à la rendre « irréversible ». Cette volonté déjà affirmée le 8 mars dernier lors de la Journée de la femme intervient à un curieux moment, à l’heure de deux conflits majeurs, en Europe et au Moyen-Orient, suscitant une tension mondiale et décuplant le risque terroriste. Le citoyen peut légitimement s’interroger sur l’ordre des priorités présidentielles. Il existe pourtant une raison conjoncturelle qui explique la parole dominicale du président.
« La politique de la France se joue-t-elle dans les banlieues ? » La question est posée dans le titre de l’article de Frédéric Sirgant évoquant les prises de position d’Emmanuel Macron sur le conflit Israël-Hamas, prises de position qui ne peuvent faire abstraction de la réalité sociétale de notre pays. Mais en lisant nombre de vos commentaires de la semaine écoulée, c’est à se demander si, finalement, il y a encore une politique de la France !
Selon des informations concordantes, l’AFP aurait donné consigne à ses rédacteurs de ne pas utiliser le mot « terroriste » au sujet du Hamas. Désormais, massacrer en masse des centaines de femmes et des enfants pare qu’ils sont juifs, des personnes âgées en les brûlant et les égorgeant, exterminer à l’arme blanche ou par le feu des civils désarmés pendant une fête ou dans les maisons, aller chercher des nouveau-nés pour les torturer devant leurs parents ne relèverait donc plus du terrorisme. Bref, répandre la terreur n’aurait plus de rapport avec le terrorisme. Mais dès lors, pourquoi qualifier de terroristes les tortionnaires de Charlie Hebdo, de la porte de Vincennes, du Bataclan ou de Nice? Et les auteurs du 11 septembre 2001? Nous voilà au cœur du problème, un organisme chargé en principe d’informer qui se transforme en officine idéologique de nature extrémiste et totalitaire, sur un mode orwellien, justifiant implicitement, par le choix des mots ou leur bannissement, les pires atrocités commises. Confondre l’information et la propagande, qui plus est banalisant une tuerie de masse: nous voici de nouveau au coeur de l’esprit totalitaire.
MT