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En 2001, Sorj Chalandon, journaliste à Libération, revenait sur la manière dont son journal avait traité la question de la pédophilie, ne réfutant rien du passé, et tentant de l’expliquer. Voici des passages édifiants de sa justification, vous épargnant des descriptions pornographiques :
« Liquidation », écrivait Frédéric Rouvillois dans son livre sur Macron comme définition de son projet (Liquidation – Emmanuel Macron et le saint-simonisme, Cerf, 2020). Le projet de Macron, c’est cela : liquider tout ce qui restait solide dans la société française, certains habitus et mœurs, certaines structures, certains projets (devenir propriétaire d’une maison, la léguer, avoir un métier dont on est fier et pas seulement un « job »), rendre tout liquide, tout réversible, tout jetable (notamment les traces de notre histoire), tout interchangeable (les peuples, les gens, les sexes, les métiers, les territoires, etc.). Éparpillé façon puzzle : cela veut dire que notre pays et notre peuple ont été mis en morceaux. Dispersés et hachés menu. Éparpillé : c’est le résultat de la politique de Macron. Un peuple dispersé, affaibli, atomisé. Loin de n’avoir « rien fait », comme on l’entend parfois, Macron a presque tout réalisé de son programme. Vendre l’industrie française : c’est le capitalisme de connivence. Conforter l’oligarchie : c’est le pacte de corruption lié au covid, c’est-à-dire à l’interdiction de traiter les malades du covid hors utilisation de vaccins (ceux permettant des superprofits aux membres de la caste – ceux qui ont propulsé Macron et qui attendaient leur retour sur investissement).
Cette défense de la rédactrice en chef « Idées » de L'Express, dans les colonnes d'un magazine en ligne qui incarne la fachosphère nauséabonde (le bruit des bottes, etc.), ne risque pas d'arranger son cas ! Ainsi va le débat d'idées en 2023. Il n'empêche : quelque chose doit être dit pour rendre hommage au courage de Laetitia Strauch-Bonart, qui a commis un crime odieux, cette semaine. Rendez-vous compte : elle a renvoyé dos à dos l'extrême gauche et l'extrême droite. Dans l'émission « C ce soir », interrogée pour savoir s'il était bien raisonnable de débattre chez Valeurs actuelles (magazine du Reich, si vous l'ignoriez !) quand on s'appelait Hugo Clément, elle a eu l'intelligence (et, redisons-le, le courage) de retourner la question vers l'extrême gauche. Tempête sur le plateau. La journaliste s'est donc demandé innocemment, puisqu'aller débattre avec les gens de droite, c'est cautionner le fascisme, pourquoi aller débattre à la Fête de l'Huma, ce ne serait pas cautionner les millions de morts du communisme. Stupeur. Haine, un peu masquée mais pas trop, de Laure Adler, qui n'aurait pas imaginé ça sous Mitterrand. Moche, de vieillir.
Deux bandes rivales se sont affrontées esplanade François-Mitterrand, dimanche 16 avril. Une rixe entre des jeunes de Tours-Nord et de Saint-Pierre-des-Corps, sous le regard apeuré des habitants du quartier.
Arrivés très vite sur place, les forces de l’ordre ont tenté de disperser la foule à l’aide de gyrophares et coups de klaxon.
Le ministre de l’Économie et des Finances, vient de mettre les pieds dans le plat. A-t-il été frappé d’un éclair de lucidité ? Toujours est-il qu’il a déclaré : « Nos compatriotes en ont raz le bol de la fraude et de voir que des personnes envoient illégalement l’argent du contribuable au Maghreb ou ailleurs ».
Cela fait plus d’un an que la majorité des médias de grand chemin ont fait le choix du soutien à l’Ukraine et du dénigrement de la Russie. Pourquoi les VRP de l’atlantisme ont-ils si facilement porte ouverte dans les médias français ?
Une chose est sûre : traiter un sujet de façon binaire n’est jamais un signe de bonne santé intellectuelle. Et Natacha Polony, dans un récent édito sur le sujet, a bien raison de railler « un an d’escroquerie intellectuelle » offert par la classe médiatique française. Aussi, dans ce papier, un mot retient notre attention : « néoconservatisme ». La directrice de Marianne n’hésite alors pas à parler de « tribune libre » accordée aux « représentants les plus forcenés » de ce courant. Mais qui sont ces hommes qui ont leur rond de serviette dans les médias ? Et déjà, qu’est-ce que le néoconservatisme ?
L'intervention télévisée du chef de l'État, ce 17 avril, ne dépare pas la série. Collection désormais interminable, la liste s'allonge de ces prestations essentiellement creuses. Or, Emmanuel Macron prétend encore faire perdre leur temps aux drogués du petit écran. Continuellement depuis 2017, l'audimat baisse. Tendance fâcheuse pour les régies publicitaires elle reflète la lassitude des citoyens. Par centaines de milliers, ils s'étaient engouffrés dans le prétendu "grand débat", ouvert en janvier 2019, supposé répondre à la crise des gilets jaunes de l'année 2018. On n'y reprendra plus les Français.
Au programme, retour sur l’impopularité d’Emmanuel Macron.
Après 6 ans au pouvoir, le chef de l’Etat ne peut plus envisager un seul déplacement sans recueillir le rejet des Français. Une situation de plus en plus délicate à gérer pour tout l’exécutif.
Après un premier recours judiciaire victorieux pour l’association fin 2021, le maire de la commune, Yannick Moreau, farouche protecteur de son patrimoine, a fait appel, en plus de et lancé un referendum local auprès de ses administrés. 94 % des Sablais ont voté pour le maintien de cette statue.