Si le volet économique et social a semblé un temps écarté de la campagne au profit de sujets régaliens (immigration et sécurité), il est revenu en force en fin d’année, pour des raisons inattendues : la reprise mondiale post-Covid, puis la guerre en Ukraine ont accéléré l’inflation et exacerbé les inquiétudes des Français pour leur pouvoir d’achat, obligeant tous les candidats à se positionner sur ce thème.
France et politique française - Page 825
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Election présidentielle : le pouvoir d’achat est l’arbre qui cache la forêt.
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°658
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En visite à Dijon pour parler de l’éducation, Emmanuel Macron se paie la tête des Français
Le Président-candidat était, ce lundi, en campagne à Dijon, une journée consacrée au thème de la jeunesse et de la formation professionnelle. Accompagné du sénateur ex-socialiste François Patriat et du maire de la ville, François Rebsamen, nouvellement rallié à sa cause, il devait commencer sa visite par un déjeuner au lycée des Marcs-d'Or, avec des élèves et des professeurs. Les journalistes n'ont pas eu le droit de le suivre : pour des questions « de neutralité du service public en période de campagne », selon son équipe. Étrange neutralité, qui ne concerne apparemment pas le candidat Macron.
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RETRAITES - LE DANGEREUX PROJET D’EMMANUEL MACRON
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Les rapports entre l’Etat et les religions (Islam, Islamisme, Communautarisme) : les Français plébiscitent Eric Zemmour et Marine Le Pen
Les Français adhèrent majoritairement aux propositions d’Eric Zemmour ou de Marine Le Pen.
C’est notamment ce qu’il ressort d’une grande enquête auprès de 3 000 personnes que l’Ifop a menée pour Ecran de Veille, les Français ont été amenés à se prononcer sur les propositions des candidats à l’élection présidentielle en matière de lutte contre l’islamisme, la radicalisation et plus largement les rapports entre l’Etat et les religions.
L’article et l’intégralité de l’enquête est à retrouver sur Breizh-Info
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Le choc des meetings
Au nombre de vues sur Youtube, il n’y a pas photo :
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La tombola de LREM pour remplir l’unique meeting de Macron
On a beau être disruptif, nouveau monde et tout ce que vous voulez, il y a des figures imposées dans une campagne présidentielle. Il faut aller au contact du peuple, par exemple. « Je sais, c'est affreux, le peuple, j'en ai parmi mes gens », constatait déjà Pierre Desproges. Mais il n'empêche, ce sont les illettrés qui votent, ceux qui ne sont rien, et il faut aller leur serrer la louche. Il faut aussi accepter le débat, se colleter avec les autres candidats, se plier aux « je ne vous ai pas coupé la parole » et autres « vous racontez n'importe quoi aux Français ». C'est difficile, bien sûr, de ne pas être au-dessus de la mêlée, mais la plupart du temps, pour gagner, il faut se battre, et la politique ne fait pas exception à la règle.
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ATTENTION, UN RÉCIDIVISTE EST EN TRAIN DE CHAPARDER L’ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE ! (III)
Mac Kinsey, le scandale de trop !
” Il y a quelque chose de pourri au royaume du Danemark” . Cette formule célèbre tirée du Hamlet de Shakespeare est souvent utilisée lorsqu’une odeur de scandale commence à stimuler le sens olfactif de l’opinion publique. Il semblerait que le covid, dangereux pour l’odorat, ait des effets collectifs sur ceux qui fabriquent l’opinion publique. A moins que ce ne soit l’odeur de la poudre qui à partir de l’Ukraine se répande sur l’Europe et empêche de de sentir autre chose. Or, un remugle insistant émane de l’Etat français, et de la caste qui le dirige autour d’un homme qui en est la caricature.
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Bilan du quinquennat Macron : en marche vers la banqueroute ?
Le Cercle national des économistes a émis une note sans concession du bilan économique du quinquennat Macron. Inquiétant :
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Ces signes qui montrent que Macron ne fera pas 30 % le 10 avril
Il est déjà réélu et ses partisans se concentrent, nous apprend Le Figaro, vendredi soir, sur la soirée de sa réélection et le jour de sa passation de pouvoir avec lui-même : « Selon des sources concordantes dans l'entourage du Président, le décorum devrait être identique aux prédécesseurs. Pas de tapis rouge dans la cour et d'arrivée remarquée à l'Élysée : le chef de l'État réélu descendrait de son bureau jusqu'à la salle des fêtes, où le président du Conseil constitutionnel Laurent Fabius le proclamerait officiellement Président réélu, avant le 13 mai au soir, date d'expiration du mandat actuel. »