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Dans le dernier numéro de « Poitiers mag », l’organe de communication de la municipalité de Poitiers, un article rappelle et précise la décision municipale qui organise l’extinction de l’éclairage public de minuit à cinq heures du matin. Ceci est bien, à un moment où il faut protéger la biodiversité, surtout réduire la consommation d’électricité et que les collectivités territoriales doivent faire des économies. Mais, on s’interrogera sur les exceptions signalées dans ce magazine : « Quelques exceptions demeurent toutefois. Hors centre-ville, les zones piétonnes et celles sous vidéosurveillance, les abords des discothèques et une portion de la promenade des cours sont éclairés… dans le centre-ville, l’éclairage fonctionne toute la nuit en zone piétonne ainsi que sur quatre axes situés aux quatre points cardinaux. »
Des policiers de Fréjus (Var) sont tombés dans un guet-apens, jeudi 8 septembre en début de soirée. Vers 20h30, rapporte BFMTV, les pompiers sont appelés pour un feu de chariot dans le quartier de la Gabelle. Arrivés sur place, accompagnés par la police, ils sont cependant tombés nez-à-nez avec une trentaine d’individus hostiles. Une pluie de projectiles divers et de mortiers d’artifice s’est alors abattue sur les policiers et les pompiers.
Le Ruffin des villes, parcourant les rues d’Amiens-Nord, distribuait des tracts avec « la tête à Mélenchon, en bien gros » car c’était « le succès presque assuré, son nom servait de passe-partout ». À l’inverse, le Ruffin des champs, changeant de clientèle, prenait soin d’effacer toute référence à son encombrant patronage : « dès qu’on s’éloignait, pour le dire avec un euphémisme, cette affection n’était guère partagée, et mieux valait le gommer de nos affiches, de nos documents ».
François Ruffin s’est donc mis en tête, de reconquérir l’« électorat populaire de la France des gilets jaunes, des France périphériques », comme il le déclarait au micro de France inter, le 6 septembre dernier. Une « reconquête » car cet électorat est parti depuis longtemps chez Marine Le Pen : « La gauche a-t-elle lâché l'affaire ? », s’interrogeait le député Insoumis. « Je le crains, et je viens de faire un livre pour dire que je ne veux pas ça », ajoutait-il.
Des déclarations précédées de plusieurs interviews dans la presse nationale, et notamment Le Monde qui, en juin dernier, soulignait la volonté du député de la Somme de faire entendre sa différence au sein de La France insoumise (LFI). Une différence source de tensions car elle appuie là où ça fait mal en révélant l’imposture de Mélenchon et des Insoumis qui, pour accéder au pouvoir, ont fait le choix de sacrifier la France périphérique pour la France des « minorités », la lutte des classes pour les luttes sociétales.
Plusieurs députés LFI se sont empressés de dénoncer les propos de leur collègue. Alexis Corbière, élu du 93, a réagi sur Twitter : « Pourquoi taire nos bons scores dans les départements qui sont aussi populaires ? » Un autre député insoumis, Antoine Léaument, lui a reproché de « participer à la logique de division du peuple de nos adversaires » en « opposant les citoyens des quartiers et des campagnes ». Les mauvaises langues verront là les prémices d’une guerre des chefs provoquée par les annonces de départ du Líder Máximo. Jean-Luc Mélenchon a pourtant menacé : « Le premier qui déclenche une guerre civile [au sein de LFI], il aura affaire à moi. »
Ces petites querelles permettent de mettre au jour le cynisme de Mélenchon et des Insoumis qui ont trahi les « classes populaires » en reprenant la stratégie de Terra Nova, le think tank progressiste qui encourageait, en 2011, la gauche à se mettre plus en conformité avec « la France de demain ». Entendez : remplacer son électorat traditionnel ouvrier par l’électorat des jeunes, des diplômés, des femmes et surtout des minorités. La laïcité sourcilleuse de Mélenchon a ainsi été passée par-dessus bord et ce sont désormais des imams qui appellent à voter pour lui. Ajoutons à cela quelques déclarations bien outrancières contre la police et le Líder Máximo est devenu l’icône des quartiers perdus de la République.
Mélenchon est finalement comme Macron : ses convictions suivent la direction des vents dominants. Dans un entretien paru dans LVSL en 2021, Manuel Cervera-Marzal, sociologue venu de l’extrême gauche et auteur d’une enquête sur la stratégie des Insoumis, expliquait qu’après l’échec de 2017 à la présidentielle, il y avait eu un débat au sein de LFI pour déterminer où se trouvaient les voix manquantes qui auraient permis l’accès au second tour. Deux lignes s’opposaient : d’un côté, ceux qui estimaient qu’elles se situaient « du côté des classes populaires blanches, des zones rurales ou péri-urbaines plutôt en déclin, désindustrialisées, la diagonale du vide » ; de l’autre, ceux qui misaient sur les banlieues des grandes métropoles où se trouvent « les classes populaires racisées, descendantes de l’immigration ». Voilà qui a le mérite de la clarté. Comme le reconnaissait alors le sociologue, on ne tient pas le même discours aux uns et aux autres « sur des thèmes sensibles comme la laïcité, l’immigration, la police ». C’est bien tout le problème de François Ruffin.
Mélenchon, lui, semble avoir tranché en faisant le choix de sacrifier les « classes populaires blanches » sur l’autel de la « créolisation de la société ».
Notre opinion concernant le Président de la République pouvant parfois sembler un peu caricaturale, nous avouons nous rassurer dans la lecture de quelques commentaires provenant de personnes qui, finalement, ne manquent généralement pas de perspicacité, comme le démontrent les quelques échantillons ci-dessous.
Un ressortissant congolais sous le coup d’un mandat de recherche
Vendredi 9 septembre à 7h20, les policiers de la brigade des réseaux franciliens s’approchent d’un homme qui vient de franchir les barrières sans titre de transport. Ils procèdent alors à un contrôle. « Ils lui ont demandé ses papiers d’identité mais il n’en avait pas », explique une source proche de l’affaire. L’homme donne son nom et une rapide vérification permet aux agents de l’identifier comme un ressortissant congolais sous le coup d’un mandat de recherche lancé par un magistrat du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine). Il est alors transporté dans les locaux du service départemental de police judiciaire des Hauts-de-Seine (SDPJ 92) et placé en garde à vue.
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Bernard Germain (Reconquête) et Pierre Cassen (Riposte Laïque) sont parmi les organisateurs de la manifestation du samedi 17 septembre prochain à Callac, contre le Projet Horizon. Nous les avons interrogé pour connaitre leurs motivations, alors que la population locale est très partagée sur ce dossier, chaud.
Breizh-info.com : Une manifestation est annoncée le 17 septembre sur Callac. Qui sont les organisateurs ?
L’organisateur de la manifestation est un « Comité d’Organisation », dont sont membres plusieurs organisations et partis : Reconquête, Riposte Laïque, Résistance Républicaine, Parti de la France