
L’élu du Lot-et-Garonne dit vouloir combattre les députés LFI de son département qui “proposent une opposition systématique”. Il ne dit pas non en revanche à un travail en commun avec le RN.
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L’élu du Lot-et-Garonne dit vouloir combattre les députés LFI de son département qui “proposent une opposition systématique”. Il ne dit pas non en revanche à un travail en commun avec le RN.
« Le Blanc, quitte ma ville ! On est chez nous ici ! » La démission de Boris Venon, adjoint au maire divers gauche des Mureaux (Yvelines), a déjà fait couler beaucoup d’encre, depuis le 28 septembre dernier. Responsable de l’habitat et de l’urbanisme, l’élu muriautin jette l’éponge après avoir reçu de nombreuses insultes racistes et homophobes agrémentées de menaces de mort. Derrière cette décision se cache le tragique changement de visage des Mureaux.
Du sursis pour avoir voulu prostituer sa fille de 13 ans…
L’ex-magistrat Olivier Bailly a vu sa peine allégée par la cour d’appel de Besançon. Il n’écope finalement que de deux ans de prison avec sursis. L’ancien magistrat dijonnais avait été condamné en première instance de deux ans de prison dont un ferme à effectuer à domicile. C’était visiblement encore trop pour les juges qui ont secouru leur confrère malgré les faits. Olivier Bailly avait en effet proposé à des internautes d’avoir des relations sexuelles avec sa fille de 12 ans à l’époque. Il expliquait à ses interlocuteurs qu’ils pourraient la forcer, l’humilier et lui uriner dessus… Il avait aussi suggéré des viols collectifs et évoqué je cite “un réseau de pédo”. Olivier Bailly était, vous vous en doutez peut-être, juge pour enfants, avant d’être révoqué au commencement des révélations sur cette affaire !
Information dans le JT de TVL
Bien sûr, ils sont présumés innocents. C’est dit.
Mais le parquet national financier ne va pas chercher par les oreilles l’homme de confiance et principal collaborateur du président de la République sans un minimum de biscuits. Le secrétaire général de l’Élysée Alexis Kohler est mis en examen, ce 3 octobre, pour prise illégale d’intérêts. Il est, en outre, « placé sous le statut de témoin assisté du chef de trafic d’influence ». Une victoire célébrée par l’association Anticor qui avait porté plainte.
Quelques heures auparavant, le garde des Sceaux Éric Dupond-Moretti était renvoyé devant la Cour de justice de la République, lui aussi pour « prises illégales d’intérêt ». Le ministre de la Justice a droit à deux s, « prises illégales » : à tout seigneur, tout honneur !
Mis en cause pour « prise illégale d'intérêts »
C'est la première fois qu'un ministre français en exercice est renvoyé devant la CJR, juridiction spécialement chargée de juger les ministres ou ex-ministres pour des crimes ou délits commis dans l'exercice de leurs fonctions. Éric Dupond-Moretti avait été mis en examen en 2021 pour avoir ordonné, juste après sa nomination au ministère de la Justice, l'ouverture d'enquêtes administratives contre des magistrats avec lesquels il avait eu des différends lorsqu'il était avocat.
La liste des villes touchées par l’installation contrainte de foyers de migrants s’allonge. Elle est désormais complétée par Cuers, une commune de 12.000 habitants située entre la Provence verte et la mer. Ce jeudi 29 septembre, le maire Bernard Mouttet a posé le sujet sur la table lors du conseil municipal... sans même que cette question soit spécifiée à l’ordre du jour ! Une surprise que les Cuersois n’ont pas tous appréciée, déplorant notamment le manque de transparence du maire sur ce sujet qui les touche directement.
Bernard Germain vient de présenter à Jean-Marie Le Pen la situation que subissent les habitants de Callac et ses environs.
Mercredi dernier, Bernard Germain, prote-parole de l'Association de défense de Callac et ses environs, était invité sur les ondes de Radio Courtoisie cliquez ici pour expliquer les raisons de l'opposition d'un nombre grandissant d'habitants de la commune et de sa région au projet Horizon visant à installer à court terme 70 familles de migrants dans ce bourg breton.
Depuis 2017, M. Macron exerce un pouvoir de plus en plus personnel qui subrepticement efface la démocratie en France. Arrivé au pouvoir davantage par un coup d’Etat judiciaire que par le choix des électeurs, il gouverne non grâce à une adhésion populaire, mais par une peur savamment entretenue : peur des violences liées aux manifestations des “gilets jaunes”, violences souvent provoquées d’ailleurs et utilisées pour récupérer l’électorat modéré, puis peur du covid, bien plus efficace pour réduire les Français à la docilité que la peur du “changement climatique”, tentée également, peur de “l’extrême-droite”, enfin, lors des deux élections présidentielles qui ont permis au président d’être élu et réélu face à la candidate du RN dans la crainte de l’instabilité voire du désordre, mais sans réunir une majorité derrière un projet.