L’élection présidentielle qui doit se dérouler cette année est paradoxale. Sans doute est-ce la plus décisive depuis 1981 et la rupture avec la continuité de la Ve République amorcée par l’arrivée des socialo-communistes au pouvoir, alors que partout ailleurs, ils s’effondraient en même temps que la contestation du capitalisme libéral. Pourtant, perçue pendant longtemps comme une fatalité permettant au manipulateur d’être reconduit face au même adversaire qu’en 2017, elle ne paraissait qu’une formalité.
France et politique française - Page 869
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LE TOTALITARISME A CHANGÉ DE CÔTÉ ! (I)
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“Il est temps d’assurer l’entière sécurité de nos joyaux historiques et des Français catholiques.”
Communiqué de Marine Le Pen :
Ce mercredi 5 janvier, un homme présenté comme « un marginal » a pénétré dans la Basilique de Saint-Denis, nécropole royale de l’Ancien Régime, pour saccager plusieurs statues et vitrines à la barre de fer.
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Le Premier ministre belge fait la leçon au président en titre du Conseil de l’Union européenne : Emmanuel Macron
Et sur la scène internationale, comme ils disent ? Sur ce théâtre où, forcément, il est le seul à savoir jouer, et où un Éric Zemmour ou une Marine Le Pen donnerait de la France une image évidemment détestable. Comment nos voisins et partenaires européens ont-ils reçu la phrase désormais historique d’Emmanuel Macron : « Les non-vaccinés, j’ai très envie de les emmerder. Et, donc, on va continuer de le faire, jusqu’au bout. C’est ça, la stratégie. » Bien sûr, c’est le em… qui a concentré les efforts des traducteurs.
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Message de Marion Maréchal contre le passeport vaccinal et la politique de Macron
Message de Marion Maréchal diffusé hier 8 janvier lors de la manifestation à Paris contre le passeport vaccinal et la politique du gouvernement Macron.
Un message de Steve Bannon a également été diffusé :
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Les envies d’Emmanuel Macron, on s’en fiche un peu, non ?
Poursuivons l’explication de texte de la déclaration fracassante ou fracassée d’Emmanuel Macron au sujet des non-vaccinés, car elle est riche de renseignements sur la personnalité de l’homme. Or, l’élection présidentielle étant la rencontre d’un homme (ou d’une femme) et d’un peuple, comme il est convenu d’en convenir, il faut analyser la moindre parole, surtout si elle est écrite, pour essayer de toujours mieux comprendre à qui on a affaire. D’autant que cinq ans, visiblement, n’ont pas suffi pour beaucoup de Français.
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MACRON ET LA LOGIQUE ARCHAÏQUE DU BOUC ÉMISSAIRE
L’éditorial de François Marcilhac
Ce n’est pas la grossièreté du verbe qui indigne à juste titre les Français : Pompidou avait employé le même, les commentateurs ne se sont pas faite faute de le rappeler, mais c’était justement dans un objectif totalement différent, pour ne pas dire opposé. Oui, ce qui indigne avec raison nos concitoyens, c’est l’objectif du chef de l’Etat, contraire autant à ses devoirs constitutionnels qu’à la dignité de sa fonction : non seulement diviser les Français — la République, régime des partis et de la brigue permanente s’en occupe d’elle-même — mais désigner certains d’entre eux comme de mauvais Français, voire leur dénier la qualité de citoyens, avec les droits et devoirs afférents, faute de pouvoir (encore) la leur ôter (faudra-t-il avoir le passe vaccinal pour voter en avril prochain ?)
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AFFAIRE KOHLER : LE SCANDALE QUI MENACE MACRON
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« Pour détruire un peuple, il faut détruire ses racines ». N’oubliez jamais cet avertissement d’Alexandre Soljenitsyne
Eric Zemmour était hier aux Sables d’Olonne, en Vendée, entouré notamment de Philippe de Villiers et Patrick Buisson. Dans son discours, le candidat a déclaré :
Je crois que c’est ça qui m’a tout de suite plu avec la Vendée : c’est sa dimension à la fois épique, historique et fondamentalement insaisissable.
Le pardon de Bonchamps au seuil de sa mort, Charette affrontant son exécution avec panache, Cadoudal s’opposant à Bonaparte… C’est bien simple : la Vendée, c’est un panthéon de géants et de héros !
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La France et l’armée à l’os ; d’abord reconquérir, ensuite reconstruire…
Didier Lecerf
Le 3 septembre 1939, le gouvernement français décrète la mobilisation générale, par affiches et par radio. Pas d’ordinateurs, pas d’internet, pas de smartphone, très peu de téléphones fixes : l’essentiel se fait, se transmet par notes manuscrites ou tapées à la machines à écrire… Pourtant, très rapidement et sans problèmes majeurs, quatre millions et demi d’hommes appartenant à vingt-neuf classes d’âge rejoignent, en train le plus souvent, les deux cent soixante-quinze dépôts militaires de métropole puis leur affectation. Chacun d’entre eux y reçoit une arme, des munitions et un paquetage, entièrement fabriqués en France et jusque-là stockés dans des conditions satisfaisantes et régulièrement contrôlés : casque, capote, pantalon, linge et effets de toilette, brodequins, gourde, ceinturon, bretelles de suspension, cartouchières, masque à gaz, etc... Au bout d’une douzaine de jours, soixante-douze divisions d’infanterie comprenant plus de quatre cents régiments sont à pied d’œuvre, appuyées par trois mille chars de différents types, plus de onze mille canons, mille trois cents avions…
On connaît la suite de l’histoire…
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Vaccin français "Valneva" : silence suspect ? | Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°647