Lors de son discours d’intronisation à la présidence française du Conseil de l’Union européenne (PFUE), Emmanuel Macron répondra à la question : « Qu’est-ce qu’être européen ? », selon Le Parisien de ce 18 janvier. De Strasbourg, le président de la République, en pleine campagne électorale même s’il n’est toujours pas candidat, parlera une vingtaine de minutes. Il devrait balayer la souveraineté européenne, la réforme de la zone euro, les transitions écologique ou numérique. Les sondages d’opinion ne sont pas très vaillants depuis quelques jours, à l’image du sondage Cluster17-Marianne où il apparait à 22,5%, en recul de 0,5 point sur la vague précédente. Macron compte sur son podium européen pour redonner du souffle à une campagne qui commence à en manquer.
France et politique française - Page 870
-
Pourquoi la présidence européenne sera le tombeau du président Macron
-
Pass-vaccinal : périmé mais imposé – JT du mardi 18 janvier 2022
Au programme de cette édition, retour sur le pass-vaccinal. Votée la semaine dernière par les parlementaires, la mesure liberticide montre déjà son inutilité sur le plan épidémique avec le variant Omicron. Une réalité comprise par de plus en plus de Français.
-
Eric Zemmour : après les « polémiques », le candidat réplique
Au micro d’Apolline de Malherbe dans BFMTV-RMC, Eric Zemmour est revenu sur sa politique concernant des établissements spécialisés pour les enfants handicapés. L’occasion aussi de revenir sur sa condamnation pour provocation à la haine raciale.
Le candidat Reconquête à l’élection présidentielle s’est défendu en citant les « milliers de parents d’enfants handicapés qui m’ont écrit », il leur répond « moi, je les comprends ».
-
Grand remplacement : « Dans certains collèges, il n’y a plus d’enfants blancs »
En reportage dans les banlieues depuis dix ans, le journaliste Arthur Frayer-Laleix raconte la fracture ethnique et sociale. Il déclare dans Ouest-France :
Les prisons sont remplies en grande majorité par des jeunes garçons, de 18-25 ans, qui viennent des quartiers défavorisés. Lors d’un reportage, j’ai rencontré d’anciens détenus d’une prison à Villepinte, en Seine-Saint-Denis. L’un y avait retrouvé un copain de CM2. L’autre, un ancien camarade de prison de son frère. En banlieue, tout le monde ne va pas en prison, mais la plupart y ont des amis, des voisins ou des connaissances. […]
-
ERIC ZEMMOUR, OU LA RÉVOLUTION CONSERVATRICE !
Lors des prochaines élections présidentielles et législatives, le choix crucial auquel les Français sont confrontés est celui de la survie de la France, ou non, puisque son identité, sa souveraineté, et donc son existence sont aujourd’hui menacées culturellement par la double pression d’une démographie par trop dépendante d’une immigration non-européenne et de l’impérialisme économique et linguistique anglo-saxon, les deux becs de la tenaille mondialiste. Les prénoms sont évidemment les symboles de ce processus. L’Etat qui a construit la France est aujourd’hui incapable de la préserver tant il a abandonné son autonomie au profit d’instances technocratiques supranationales, tant il s’est alourdi de charges excessives, tant il a multiplié les obstacles internes à son fonctionnement.
-
L’Ecole en grève : autopsie d’une exaspération
Le macronisme, par ses improvisations sanitaires, est en train de se mettre l’Ecole à dos. L’appel à la grève, lancé pour jeudi par l‘ensemble des fédérations de l’Education nationale, s’annonce très majoritairement suivi dans le premier degré. Les protestataires contestent la succession de protocoles disparates imposés dans la panique par une caste de technocrates coupés de la vie des gens ordinaires. Critiquant ce mouvement, le ministre de l’Education, Jean-Michel Blanquer, a déclaré mardi : « On ne fait pas grève contre un virus ».
-
Pécresse : tromperie sur la marchandise
La candidate LR aux élections présidentielles enchaîne les prises de position et grandes déclarations qui laisseraient penser qu’elle est de droite. Pourtant, la carrière politique de Valérie Pécresse est jonchée de retournements de veste, de trahisons en tout genre, de clientélisme de bas étage et de conflits d'intérêt. Bref, les traditionnelles méthodes de son mentor d’hier, Chirac.
Lire la suite ICI
Source : L’Incorrect, janvier 2022
-
Gérald Darmanin dénonce des bras
Depuis des décennies, les néonazis étaient à nos portes. Ce samedi 15 janvier restera gravé dans les mémoires. Les heures les plus sombres défilaient dans les rues de Paris. Devant une photo de la manifestation anti-passe vaccinal montrant un groupe d'olibrius bras tendus vers le ciel, Gérald Darmanin tombe de sa chaise.
-
Et si le « quoi qu’il en coûte » d’Emmanuel Macron n’était qu’une imposture de plus ?
Dont le seul but est l’enrichissement de ses amis…
C’est ce qui vient fatalement à l’esprit lorsqu’on lit le dernier rapport de l’ONG Oxfam sur les inégalités économiques dans le monde, publié aujourd’hui 17 janvier 2022.
Nouveau rapport d’Oxfam sur les inégalités mondiales
La fortune des milliardaires dans le monde a plus augmenté en 19 mois de pandémie qu’au cours de la dernière décennie. Un record sans précédent, mis en lumière dans le nouveau rapport d’Oxfam sur les inégalités mondiales !
A l’occasion de l’ouverture du « Davos Agenda », Oxfam pointe un enrichissement historique des milliardaires tandis que, dans le même temps, la crise a provoqué une intensification de la pauvreté chez celles et ceux qui étaient déjà en difficulté avant la pandémie.
-
Zineb El Rhazoui : le soutien à Emmanuel Macron qui ne passe pas
La militante, écrivain et journaliste franco-marocaine a apporté son soutien au Président de la République sortant. Annoncé via un tweet posté sur son compte, l’adhésion au chef de l’Etat a fait polémique sur la toile.
Dans ce tweet posté le 15 janvier, elle annonce fièrement : « J’ai décidé de m’engager pleinement pour le Président Emmanuel Macron et sa réélection. C’est le choix du cœur et de la raison. La France en a besoin. »
Connue pour être la rescapée des attentats de Charlie Hebdo, menacée de mort à de nombreuses reprises et sous protection judiciaire, Zineb El Rhazoui fait de la lutte contre l’islamisme son cheval de bataille. A prime abord, on aurait pu pensé un ralliement de la nouvelle macroniste à Marine Le Pen ou à Eric Zemmour plus tranchés sur la question de l’islamisme.
Que nenni, pourtant elle était moins enthousiasmée par le chef de l’Etat il y a de cela quelques années. Dans un article de l’hebdomadaire Le Point, elle pouvait critiquer « le mépris de Macron », dorénavant elle l’obtiendra tous les jours.