France et politique française - Page 872
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#102 - Marcel Gauchet pour ses livres sur les échecs de Macron et le clivage Gauche-Droite
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Présidentielles 2022 : Emmanuel Macron profite-t-il de la crise sanitaire ?
14/01/2022 – FRANCE (NOVOpress)
Depuis maintenant deux ans, le Covid fait les gros titres des médias. Avec cette cinquième vague, à trois mois de la Présidentielle, bien des préoccupations majeures des Français sont mises à l’écart du débat public. Cette situation profite-t-elle au sortant, Emmanuel Macron?Les autres candidats sont-ils bâillonnés par ce «rapt médiatique» du covid ? Éléments de réponse avec Stéphane Rozès, enseignant à Sciences Po et président de la société Conseils, analyses et perspectives (Cap).
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Pourquoi Estrosi veut enfermer… et ruiner les non-vaccinés
Estrosi a lui aussi trouvé les méchants, les vrais, ceux qui pourrissent la vie des Français. Le maire de Nice l’a dit sur BFM TV : il veut confiner chez eux les non-vaccinés et les priver, au passage, d’assurance chômage… Tant qu’à faire, au cas où on n’aurait pas compris, l’élu puise dans le vocabulaire employé pour le terrorisme. Ces non-vaccinés constituent, pour lui, « une menace dans notre pays ».
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L’obstacle des 500 signatures n’est pas une « posture victimaire »
Ne pourront se présenter à l’élection présidentielle que les candidats ayant recueilli au moins 500 signatures parmi les 42 000 élus pouvant parrainer, 500 élus dans 30 départements différents. Mathématiquement, jusqu’à 84 personnes pourraient donc se présenter simultanément. Mais la levée de l’anonymat décourage certains élus qui craignent menaces, exclusions, saccages, voire agressions.
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Les “idées neuves” de Geoffroy Didier, vantées par Valérie Pécresse, ce sont les idées de gauche sur la culture de mort
Avec Guillaume Peltier, Geoffroy Didier avait créé La Droite forte. Dix ans plus tard, le premier vient de rejoindre Éric Zemmour comme porte-parole de campagne et vice-président de Reconquête!, le deuxième a été nommé directeur de la communication de Valérie Pécresse.
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Bascule en vue
Maurice Bernard
En mai 2017, Anne-Laure Debaecker, de l’hebdomadaire Valeurs Actuelles, interroge Christophe Guilluy dont le dernier livre Le crépuscule de la France d’en haut vient d’être publié (VA n°4198 du 11 au 17 mai 2017). Cet entretien, paru quatre jours après l’élection d’Emmanuel Macron, commence par une mise en garde prémonitoire du géographe à l’intention du nouveau président :
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LE PRIVILÈGE BLANC EXISTE... ET ALORS ?
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Les libéraux se déshonorent en avalisant le passe vaccinal, par Ivan Rioufol
Où sont passés les libéraux ? Ils devraient être à la pointe des contestations contre la collectivisation des peurs sanitaires et l’intrusion du pouvoir politique dans les vies intimes. En réalité, rares sont les Républicains, parti dépositaire de la pensée libérale, qui protestent contre les atteintes constantes aux libertés, sacrifiées au nom de l’hygiénisme d’Etat. Le spectre d’une société aseptisée, adepte de la ségrégation et de la dénonciation, laisse de marbre les prétendus défenseurs de la démocratie et de la république. Ce lundi, sur Europe 1, le sénateur Claude Malhuret a offert la caricature du dogmatisme, construit sur la haine de l’autre et un monde divisé entre gentils et méchants.
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Un maire se débarrasse du portrait « emmerdant » d’Emmanuel Macron
Dans l’océan de maires restés sans réaction concrète face à la déclaration polémique d’Emmanuel Macron, un élu se révolte. La rébellion se déroule dans la commune de Lavaurette, charmante localité située à 80 doses de Montauban (38 km, en mesure du monde d’avant). Ici comme ailleurs, des non-vaccinés vivent dans l’emmerdement présidentiel.
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Election présidentielle : que manigancent-ils ?
Mardi 11 janvier, Gérald Darmanin, à sa demande, nous précise un communiqué laconique du Conseil constitutionnel, a rencontré Laurent Fabius, président de cette institution.
« Le ministre a évoqué la possibilité que, après concertations, le Gouvernement élabore de nouvelles mesures d’organisation qui apparaîtraient rendues nécessaires par la crise sanitaire, afin de garantir le bon déroulement de l’élection présidentielle. Le Président du Conseil constitutionnel en a pris bonne note et lui a confirmé que l’adoption de telles mesures appelleraient un contrôle constitutionnel, chargé aux termes du premier alinéa de l’article 58 de la Constitution, de veiller à la régularité de l’élection du Président de la République ».