Cinq ans viennent de s'écouler. Cinq longues années durant lesquelles la France - et pas n'importe laquelle, celle d'Emmanuel Macron - aura tenté de regagner sa place sur la scène internationale. Cinq terribles années marquées par un enchaînement de gifles publiques sans précédent. C'est l'heure d'un triste bêtisier, avant de faire le choix de reconduire ou pas notre charismatique timonier. L'Ukraine, dont nous parlions récemment, n'est que la cerise sur le gâteau - ou le dernier clou sur le cercueil, c'est comme on voudra.
France et politique française - Page 980
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Diplomatie française sous Macron : cinq ans de gifles, cinq ans de honte
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Sur la chaîne Youtube de France Inter, les jeunes préfèrent… Zemmour et Le Pen
La journée du 22 février a été pour les candidats à l’élection présidentielle l’occasion d’un grand oral devant les jeunes. France Inter organisait avec l’association « Chemins d’avenir » une journée spéciale « Des candidats et des jeunes ». Pendant 45 minutes, un candidat était auditionné par 14 jeunes de 15 à 25 ans. Il devait présenter devant eux une mesure phare pour la jeunesse puis répondre à une série de questions. Sept candidats sont ainsi passé successivement au banc d’essai : Fabien Roussel, Éric Zemmour, Yannick Jadot, Christiane Taubira, Anne Hidalgo, Valérie Pécresse et Marine Le Pen. Résultat ? A droite, le pragmatisme, à gauche l’idéologie. Eric Zemmour, Valérie Pécresse et Marine Le Pen ont présenté aux jeunes des propositions concrètes.
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L'Euro et Marine Le Pen, le drapeau Français,Ukraine et Russie, Charles Gave et Léonard font l'actu.
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Résister au fascisme de la doxa ambiante : conversation de survie GW Goldnadel et Charles Gave.
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Antifas : blanc-seing pour gardes rouges
Selon que vous serez d’ultragauche ou d’ultradroite, la Macronie vous rendra blanc ou noir. Pourtant violents et antidémocratiques, les antifas bénéficient d’une étrange mansuétude tandis qu’ils pourrissent la campagne de Zemmour.
Ils imposent leurs idées à coups de poing. Ils veulent museler quiconque ne pense pas comme eux. Ils prônent des idéologies extrémistes. Les « Zouaves de Paris » vont être dissous, a promis Gérald Darmanin. Voila pour la droite. Et pour la gauche ? Ils imposent leurs idées à coups de poing. Ils veulent museler quiconque ne pense pas comme eux. Ils prônent des idéologies extrémistes. Pour dissoudre les antifas, il faudrait un dossier en béton, s'est excusé platement Gérald Darmanin, comme s'il avait reçu mission de protéger des supplétifs du régime.
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Annonce et retour du Réveil des Moutons
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Zemmour et Le Pen suspendent leur campagne pour se concentrer sur l’obtention des parrainages
La candidate du Rassemblement National et le candidat de Reconquête sont les principales victimes avec, Mélenchon, de la règle des 500 parrainages. L’une est à 450, tandis que l’autre est à deux tiers.
Jusqu’au 4 mars, les deux candidats du camp national vont s’atteler à récolter les parrainages manquant pour être candidat à l’élection présidentielle. Ils ne leur reste qu’une dizaine de jours.
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MÊME PAS HONTE!
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Des élus écologistes accusent Valérie Pécresse de prise illégale d’intérêt
Lundi 21 février, les élus écologistes d’Île-de-France Mobilités (IDFM) ont saisi le procureur de la République du parquet de Paris contre la présidente de région, à savoir Valérie Pécresse, la candidate LR pour l’élection présidentielle.
Lors d’un point-presse, David Belliard, adjoint (EELV) du maire PS de Paris Anne Hidalgo et soutien de Yannick Jadot, accuse Valérie Pécresse de « prise illégale d’intérêts ».
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Ces députés LREM de 2017 qui ne se représenteront pas : un signe révélateur
Leurs noms s'égrènent depuis quelques jours dans la presse : ces marcheurs de la première heure, élus députés LREM en juin 2017, qui ne se représenteront pas aux législatives de juin prochain. Le phénomène pourrait être banal mais, dans le cas de la majorité macroniste, il ne l'est pas. D'abord, car il atteint une certaine ampleur : ils seraient plusieurs dizaines dans ce cas. Ensuite, parce que ces sortants qui ne veulent pas rempiler le disent, et souvent sur le mode de la déception et de la critique. Les causes peuvent être personnelles, mais elles sont surtout politiques, et pas à la gloire du macronisme.