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Montée de l’Islam en Afrique, menace pour la France!
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Cet islam qui veut notre mort (Présent 8295)
Le temps n’est plus où le ministre de l’intérieur attribuait à un fou l’agression de policiers, quoique ce fût au cri d’Allah Akbar. Après l’attentat de Copenhague succédant à ceux de Paris et de Bruxelles, nul n’oserait parler d’une loi des séries. Même François Hollande a établi un lien : « Ce qui s’est produit (au Danemark), c’est ce qui était déjà à l’œuvre en France il y a plus d’un mois. Ce sont les mêmes cibles qui avaient été choisies par le terroriste. » Il a tout de même « oublié » un autre élément de similitude : l’islamisme. Car nous ne sommes pas face à l’offensive continue d’un terrorisme sans nom, sans visage, sans idéologie, mais nous sommes confrontés au terrorisme islamique. Cet adjectif semble écorcher les lèvres de nos dirigeants car sa racine, c’est « islam », ce qui est très embêtant car, officiellement, l’islamisme n’a rien à voir avec l’islam, quoique sans le second le premier n’existerait pas.
Si nous n’osons pas nommer notre adversaire, nous avons déjà perdu une bataille. Si nous nous trompons sur son objectif également. Or, à en croire le chef de l’Etat, les terroristes islamiques, en France et au Danemark, combattent « les valeurs de la liberté, du droit, de la protection de chaque citoyen ». Ce serait, en somme, des ennemis des fondamentaux de la République. Or, la guerre qu’ils nous font est accessoirement politique et essentiellement religieuse.
L’Etat islamique et ses épigones n’ont jamais fait mystère de leur objectif : établir partout la charia, la loi islamique, ce qui suppose que le monde entier devienne musulman. Ils nous proposent de nous convertir ou de nous couper la tête. Le moyen de nous convaincre, c’est la terreur. Il n’est guère « correct » non plus de parler de guerre de civilisations, c’est bien pourtant ce dont il s’agit entre l’Occident modelé par le christianisme et l’islam, qui l’a toujours combattu hier et veut encore l’abattre aujourd’hui. Il ne sert à rien de dire que cet islam-là n’est pas le « vrai », comme l’ânonnent quotidiennement nos dirigeants, puisque de toute façon, c’est celui-là qui veut notre mort.
Le gouvernement, pour éviter de nouvelles vocations de tueurs au croissant, va renforcer l’éducation civique à l’école, des missionnaires des valeurs républicaines vont s’y déployer et y chanter la beauté du « vivre ensemble » sur l’air de « Si tous les gars du monde… » Car, voyez-vous, si les Kouachi et Coulibaly, en France, et Omar, au Danemark, ont basculé dans l’islamisme, c’est parce que, pendant leur scolarité, ils ont souffert d’un déficit d’instruction civique. La vérité est que ces terroristes étaient parfaitement intégrés grâce, entre autres, à l’école de la République. Un des éducateurs des frères Kouachi en a témoigné : « On a du mal à imaginer que ces gamins, qui ont été parfaitement intégrés, puissent comme ça délibérément tuer. » Ils sont « post-intégrés », ils ont été « désintégrés » par la propagande islamiste sur internet. L’école et la famille ne dispensent plus que 10 % des connaissances des jeunes, 90 % viennent de la Toile. Le ministre de l’Intérieur se tourne vers Google et Facebook pour leur demander de faire quelque chose pour empêcher les sites islamistes d’embrigader notre jeunesse. Il faudrait plutôt interpeller systématiquement ceux qui les consultent, même s’il faut une loi nouvelle pour cela. Régulièrement on apprend que des centaines, voire des milliers de pédophiles en Europe sont arrêtés, piégés sur les sites infâmes qu’ils consultent. Est-ce impossible pour les terroristes potentiels ? Ce serait aussi, d’une autre façon, protéger nos enfants…
Guy Rouvrais
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Complices de l’islamisme: il faudra rendre des comptes un jour…
Comment ne pas se souvenir de cette phrase d’Alain Juppé, l’homme qui remit la Légion d’honneur à l’imam UOIF de Bordeaux Tareq Oubrou : "L’islam est aujourd’hui la deuxième religion de France, et il n’est pas question de la stigmatiser."
À Amsterdam, le 30 octobre 2010, lors d’une manifestation de soutien au député hollandais Geert Wilders, traîné devant les tribunaux pour avoir dénoncé l’islamisation de son pays, l’homme politique britannique Paul Weston tenait ces propos : « Laissez-moi vous dire ceci, à vous tous, menteurs et traîtres carriéristes socialistes. Vous détenez le pouvoir maintenant, mais dans une décennie, nous détiendrons le pouvoir et nous vous demanderons des comptes. Nous vous traînerons devant un tribunal du style Nuremberg où vous serez jugés pour haute trahison, et pour la première fois depuis longtemps, nous serons vos juges. »
Je ne pouvais m’empêcher de penser à ces paroles, au lendemain des nouveaux attentats de Copenhague, quand je lisais que le matin même de la tuerie, notre ministre de l’Intérieur, toute honte bue, osait, en voyage au Maroc, tenir ces propos de soumis : « Je veux redire avec force notre condamnation la plus sévère des actes antimusulmans qui ont suivi les attentats. »
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Après l’exécution de 21 chrétiens, l’Égypte bombarde l’Etat islamique en Libye
Tôt lundi matin, les avions de combat de l’armée de l’air égyptienne ont visé des camps, des sites d’entraînement et des arsenaux du groupe terroriste. Dans la foulée, la France et l’Egypte ont demandé une réunion du Conseil de sécurité des Nations unies et de nouvelles mesures contre l’Etat islamique.
Des hommes portant des combinaisons oranges, semblables à celles d’autres otages exécutés ces derniers mois en Syrie, sont conduits le long de la plage pour être exécutés par la branche libyenne de l’Etat islamique. Crédits photo : -/AFP
Le président égyptien Abdel Fattah al-Sissi avait averti : les « assassins » seront punis de la manière « adéquate ». Moins de 24 heures après la diffusion d’une vidéo montrant la décapitation de 21 Égyptiens coptes revendiquée par l’État islamique (EI), des avions de combats de l’armée de l’air égyptienne ont bombardé tôt lundi matin des positions de Daech en Libye. Dans le viseur de l’armée : des camps, des sites d’entraînement et des arsenaux de l’EI situés à proximité de la frontière avec la Libye.
Dimanche, la branche libyenne du groupe terroriste a mis en ligne une vidéo montrant la décapitation de 21 Égyptiens de confession chrétienne copte, récemment kidnappés en Libye. Sur cette vidéo de 5 minutes, des hommes portant des combinaisons oranges, semblables à celles d’autres otages exécutés ces derniers mois en Syrie, sont alignés sur une plage les mains menottées dans le dos. Un homme habillé en treillis militaire s’exprime en anglais avec un couteau à la main alors que les autres bourreaux, un derrière chaque prisonnier, sont intégralement vêtus de noir et silencieux. Tous sont masqués.
Le corps d’Oussama ben Laden
Le groupe djihadiste dit agir en représailles à d’anciens incidents sectaires en Égypte, durant lesquels l’Église avait été accusée d’avoir empêché la conversion à l’islam des épouses de deux prêtres coptes. Une incrustation au début de la vidéo situe la scène dans la province de Tripoli ( « Wilayat Tarabulus » pour l’EI) et un autre message écrit explique que les victimes sont « des gens de la Croix fidèles à l’Église égyptienne ennemie ». « Aujourd’hui, nous sommes au sud de Rome, sur la terre musulmane de la Libye (...) cette mer dans laquelle vous avez caché le corps du cheikh Oussama ben Laden, nous jurons devant Allah que nous allons la mêler à votre sang », assène-t-il avant que les bourreaux ne décapitent les 21 Egyptiens au couteau [...]
La suite sur Le Figaro.fr
http://www.actionfrancaise.net/craf/?Apres-l-execution-de-21-chretiens
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Padamalgam : Le Monde s'indigne
Le Monde ne s'indigne pas des meurtres à répétition commis par des adeptes de l'islam. Non : Le Monde s'indigne du... "racisme" diffus de ceux qui osent utiliser ce néologisme :
"Depuis deux jours, les hommages des internautes français aux attentats survenus le 14 février au Danemark sont pollués, à la marge, par un discours à connotation raciste. « Le tueur terroriste de #Copenhague s'appelle Omar (...) mais n'oubliez pas dès demain votre biberon médiatique #Padamalgam », ironise par exemple un membre de Twitter. « L'Etat islamique affirme dans une vidéo avoir décapité des Egyptiens, car ils étaient chrétiens. Mais chut... #PADAMALGAM », commente un autre. « Pour ceux qui avaient un doute sur l'identité du voleur de voiture dans la #Drome Mais #PADAMALGAM », peut-on encore lire.
Les auteurs de ces messages sont assez transparents sur leur idéologie politique : on y retrouve pêle-mêle des « Français de souche », des militants frontistes, des zemmouriens, des catholiques proches de la Manif pour tous ou encore des anarchistes de droite."
Dans ce sens là, l''amalgame est permis et même chaudement recommandé. N'est-ce pas ?
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Le mot "chrétien" ne fait pas partie des valeurs de la République
Lu sur le blog de Yves Daoudal :
"On constate que le mot « chrétien » a disparu du vocabulaire de la République.
Dans son communiqué sur le martyre des 21 coptes, François Hollande condamne « l’assassinat sauvage de 21 ressortissants égyptiens », alors que les islamistes soulignent qu’ils les ont tués en tant que chrétiens.
Dans sa déclaration sur la profanation du cimetière juif de Sarre-Union, il remarque la montée des « actes antisémites » et ajoute : « il y a eu aussi des actes antimusulmans, des actes antireligieux ».
95% des profanations frappent les chrétiens, mais le mot est désormais tabou.
Cela va de pair avec le fait que les médias évoquent à peine, en passant, l’assassinat des 21 coptes. A comparer avec le traitement de l’actualité quand c’est un journaliste qui est assassiné, ou un ressortissant américain, ou quand on s’en prend à un dessinateur ou à une synagogue. Et l’on n’a pas oublié le silence quasi total sur les centaines de morts du Nigeria quand Boko Haram a pris la ville de Baga. Tout le monde était Charlie, personne n’était un nègre chrétien… Il serait intéressant de faire une étude sur ces différences de traitement médiatique et de montrer la hiérarchie des valeurs… Pour tout dire : la hiérarchie raciste des médias.
Et les journalistes, tous plus asservis les uns que les autres au système en place, s'étonnent du succès de La France Big Brother qui dénonce leconditionnement médiatique !
Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Les contradictions de Manuel Valls
Lu ici :
Manuel Valls affirme vouloir "combattre le discours des Frères Musulmans" mais inaugure leurs mosquées.
Manuel Valls a jugé, lundi 9 février sur Europe 1 : « Il faut combattre le discours des Frères musulmans dans notre pays, il faut combattre les groupes salafistes dans les quartiers ».
Interrogé sur la manière de lutter contre ce discours, Manuel Valls a indiqué qu’il doit être combattu « par la loi, par la police, par les services de renseignement. Beaucoup de choses sont faites », a assuré Manuel Valls.
Gigantesque contradiction, Valls a inauguré la Grande mosquée de Cergy en juillet 2012, qui avait choisi pour premier imâm Tahar Medhi, fervent soutien des Frères Musulmans d'Egypte."
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Provocation : une église du Cher transformée en mosquée
Le quotidien La Croix vient de reprendre une information sortie par LeBerry.fr. Une église catholique du Cher, désacralisée et mise en vente par le diocèse de Bourges, pourrait être rachetée par une association marocaine, pour en faire une mosquée. Cette affaire nous rappelle la Grande Mosquée de Cordoue transmuée en cathédrale, mais aussi la Basilique Sainte Sophie de Constantinople convertie en mosquée.Il est vrai qu’on nous dit qu’il n’y a pas assez de mosquées en France. C’est pour cette raison que les musulmans sont amenés à prier dans la rue. Le Japon a pourtant trouvé la parade. Plutôt que de financer la construction de mosquées ou d’autoriser les fidèles à réquisitionner l’espace public pour y organiser des prières de rue, l’Etat nippon circoncis l’exercice du culte musulman aux lieux d’habitation. De cette manière, les Japonais ne se sentent pas agressés chez eux par des pratiques religieuses étrangères, qui peuvent toutefois s’exercer librement.Mais revenons en France, où la Gauche et les associations anti-racistes dénoncent souvent ce qu’ils considèrent comme des provocations, faites aux musulmans. Quand l’hebdomadaire satyrique Charlie Hebdo a publié des caricatures de Mahomet, la Gauche a dénoncé des provocations inutiles et irresponsables. Quand Jean-François Copé, candidat à la présidence de l’UMP, a parlé du racisme anti-Blanc et des pains au chocolat arrachés des mains des enfants blancs pendant le ramadan, il s’agit bien encore de cela : il faut cesser de provoquer la communauté musulmane.Mais n’est-ce pas une provocation faite à la communauté catholique par la communauté musulmane, quand il est question de racheter et de transformer une église en mosquée ? -
L’UDMF, un parti musulman aux élections départementales
La réalité a-t-elle fini par rejoindre la fiction ? À moins que ce ne soit l’inverse, la fiction n’ayant fait que consigner la froide réalité d’une société en voie d’islamisation douce. « Si l’islam n’est pas politique, il n’est rien », selon une citation attribuée à l’ayatollah Khomeyni par Michel Houellebecq dans Soumission.
« Donner une voix à une partie de la population qui ne se retrouve pas dans les partis traditionnels », tel est l’objectif que se fixe l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) et son chef, Najib Azergui, qui présente des listes dans 8 cantons sur les 2000 que compte la France, de Bobigny à Bagneux, en passant par Les Mureaux, Strasbourg, Lyon, Nice ou Marseille.
Ce micro-parti qui revendique un petit millier d’adhérents s’appuie sur un réseau de sympathisants disséminés aux quatre coins de France. « Sur le modèle […] antérieurement utilisé en France par le Parti communiste, l’action politique proprement dite était relayée par un réseau dense de mouvements de jeunesse, d’établissements culturels et d’associations caritatives » (Soumission, p.51-52).
Cette formation politique microscopique n’en nourrit pas moins des ambitions présidentielles. À l’instar de Fraternité musulmane dans Soumission qui veillait à « conserver un positionnement modéré », l’UDMF écarte, évidemment, toute volonté d’« installer la charia en France ». Doit-on le croire, depuis qu’un Tariq Ramadan, brillant intellectuel musulman, au lendemain du 11 septembre, nous a habitués à la tactique – plus subtilement dissimulatrice que la « taqiyyah » chiite – du double langage, c’est-à-dire non pas la formulation de deux pensées contraires devant deux publics opposés, mais la présentation d’un « message cohérent qui sera compris de manière différente par deux auditoires différents » (Christopher Caldwell, Une révolution sous nos yeux, 2011) ?
Aristide Leucate
La suite sur Boulevard Voltaire
http://www.actionfrancaise.net/craf/?L-UDMF-un-parti-musulman-aux
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Gueule de bois : le voile est tombé, et c’est un linceul
Maintenant, le bon peuple va se trouver confronté à deux dangers : le temps du terrorisme ou l’avènement d’un "Patriot Act" qui n’en portera pas le nom mais en aura tous les attributs.
Qui a pu croire que permettre l’entrée de tant d’immigrés, essentiellement d’origine africaine et musulmane, depuis tant d’années, tant de décennies, se ferait sans dégâts collatéraux. C’était, et c’est encore une erreur fatale, ultime signe d’orgueil de nos politiques qui croient pouvoir tout maîtriser. Ceux-là mêmes qui prétendent exporter la démocratie au nom des droits de l’homme, dans des pays qui n’en connaissent même pas le sens. Ces politiques ont fait, à bon marché, la peau de quelques dictateurs, permettant l’émergence de l’hydre terroriste avec des millions de têtes, qu’il sera difficile à l’avenir de faire retourner dans la boîte où elle était enfermée et dont elle n’aurait jamais dû sortir.