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religion - Page 128

  • TVL : Les coulisses du voyage de 4 parlementaires en Syrie

  • Combattre la christianophobie d’État

    La profanation régulière des tombes chrétiennes et le saccage répétitif du mobilier liturgique de nos églises - en des proportions bien plus considérables que les actes de vandalisme dont sont régulièrement victimes les autres confessions - n’alarment plus personne en haut lieu.

    Perpétuellement campé aux abonnés absents lorsqu’il s’agit de défendre les minorités chrétiennes persécutées en terre d’islam, au point de taire la religion chrétienne des 21 Égyptiens décapités en Libye par les barbares de l’État islamique, le gouvernement de François Hollande manifeste, avec la complicité de nos élites politico-médiatiques, une sourde hostilité à l’égard du fait chrétien en France.

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  • Qui est «Jihadi John», le bourreau de l’État islamique ?

    «Jihadi John», le bourreau de l’État islamique, a été identifié comme étant Mohammed Emwazi, un citoyen britannique qui résidait à Londres. Une révélation que l’on doit notamment au Washington Post et à la BBC même si la police n’a pas souhaité confirmer l’identité du tueur.

    «Jihadi John» s’est rendu célèbre en menaçant – avec un fort accent britannique – les pays occidentaux dans plusieurs vidéos de décapitation. On le voit notamment avant les supplices des otages américains James Foley, Steven Sotloff et Peter Kassig, des Britanniques David Haines, Alan Henning, mais aussi du Japonais Kenji Goto.

    http://fr.novopress.info/

  • "Génocide des chrétiens d'Orient : où sont passés les défenseurs des droits de l'homme?"

    Maxime Tandonnet, dans le Figarovox, reprend à son compte le terme de "génocide" appliqué par Jean d'Ormesson aux Chrétiens d'Orient :

    [...] "Ce génocide, comme tous les grands génocides de l'histoire, se déroule dans la passivité et la lâcheté de la communauté internationale. Une poignée de Kurdes déterminés, dont de nombreuses femmes, a montré que l'État islamique était loin d'être invincible. Dès lors, l'échec de la communauté internationale à mettre fin au massacre, ou bien son indifférence, est incompréhensible. L'histoire retiendra les noms des dirigeants qui n'ont pas bougé le petit doigt face à ce génocide. La France a certes pris des initiatives, dont l'envoi du porte-avion Charles de Gaulle, mais elle ne peut pas être seule, engagée sur tous les fronts, dans la lutte contre la barbarie. Le silence des milieux politiques et intellectuels, en Europe et dans le monde, est une abomination. Où sont-ils passés les défenseurs des droits de l'homme? Pourquoi une telle indifférence face au sort de minorités chrétiennes ?

    Serait-ce la vieille haine de la religion chrétienne -écraser l'infâme- qui s'exprime dans cet abandon? Une intervention armée d'une coalition internationale, pour mettre fin à un génocide, cela n'aurait strictement rien à voir avec les opérations militaires passées qui ont eu pour effet de déstabiliser des États et de répandre le chaos au Moyen-Orient. Cette fois-ci nous sommes dans une situation radicalement différente, celle d'un génocide en cours, comparable au «Kamputchéa» des Khmers rouges dans les années 1976-1979, ou au Rwanda dans les années 1990, pour ne parler que des génocides récents. Le refus d'agir, dans de telles circonstances, relève de la non assistance à personne en danger, voire de la complicité passive de la part de la communauté internationale." [...]

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Houellebecq croit au retour du religieux

    Extraits d'un entretien accordé par Houellebecq à La Vie :

    4484229_3_eede_michel-houellebecq-a-paris-le-3-septembre_deaaeb90ef5f0a783d398036e1b7995c"Durant mon enfance, chez mes grands-parents, il y avait zéro religion. Sans véritable antipathie – contrairement à leurs amis communistes, qui étaient davantage anticurés (...) Mais la religion est entrée dans ma vie depuis l’âge de 13 ans au moins. Un ami de ma classe avait essayé de me convertir à l’époque. J’ai d’ailleurs conservé la Bible qu’il m’avait donnée. J’en ai lu une bonne partie aujourd’hui. (...) J’ai une vision de la religion plus proche de la magie. Le miracle m’impressionne ! (...) Je veux savoir si le monde a un organisateur et comment c’est organisé. J’ai fait des études scientifiques. Il y a une vraie curiosité chez moi pour la manière dont tout ça fonctionne. Ce qui fait qu’aujourd’hui je ne me définis plus comme athée. Je suis devenu agnostique, le mot est plus juste. L’un des amis de mon père lui avait dit qu’il se ferait incinérer, qu’il n’y aurait pas de cérémonie religieuse. Mon père lui a rétorqué : « Je te trouve bien présomptueux. » C’est un peu le sens du pari de Pascal (...)

    Il y a une apparition positive des catholiques dans le roman : lorsque les jeunes viennent assister à la lecture de Péguy. L’orateur au « visage ouvert et fraternel » impressionne le narrateur. J’ai eu l’occasion d’observer le visage de ces jeunes à une JMJ, celle de Paris, où j’étais allé par curiosité. Globalement, je ne suis pas persuadé que les perspectives pour le catholicisme soient uniquement négatives dans mon livre. Aujourd’hui, l’idée d’un cosmos organisé apparaît même plutôt plus pertinente qu’à l’époque de Voltaire : l’argument du grand horloger tient, l’évidence d’une organisation de l’ensemble de l’Univers. Les découvertes scientifiques renforcent l’impression d’une organisation générale plus qu’elles ne la diminuent... (...)

    Oui, la religion aide beaucoup à faire société. Comme Auguste Comte, je pense qu’à long terme, une société ne peut tenir sans religion. Et effectivement, on voit aujourd’hui des signes d’effritement d’un système apparu il y a quelques siècles. Mais je crois au retour du religieux. Même si je ne peux pas vous dire pourquoi il survient maintenant. Mais je le sens. Dans toutes les religions. Dans le judaïsme, je vois bien que les jeunes sont plus croyants et pratiquants que leurs parents. Chez les catholiques, il y a des signes – les JMJ, la Manif pour tous."

    Philippe Carhon

  • Le président du CRIF reconnaît que les violences antisémites sont le fait de musulmans

    Le président du Conseil représentatif des institutions juives, Roger Cukierman (photo), a affirmé lundi que « toutes les violences [antisémites] aujourd’hui sont commises par des jeunes musulmans ». Il a ajouté que, en matière d’antisémitisme, Marine Le Pen est « irréprochable personnellement ».

    Le FN « dédiabolisé » est‑il en passe de gagner ses galons de respectabilité républicaine ?

    On en est loin ! Le propos tenu, presque anodin, était noyé dans une phrase ne manquant pas de rappeler que le FN comptait encore, selon lui, des « négationnistes », des « vichystes » et des « pétainistes ». M. Cukierman s’est empressé de compléter qu’il ne voterait jamais Front National et que Mme Le Pen n’avait pas sa place au dîner du CRIF.

    Les représentants des musulmans et leurs affidés se sont néanmoins offusqués de ces déclarations

    Les représentants du Conseil français du culte musulman (CFCM), qui sont, eux, des habitués de la grand’messe annuelle du CRIF, ont immédiatement annulé leur venue. Quant à Jack Lang, il a affirmé que Cukierman était : « En infraction avec l’esprit du 11 janvier » ! Jack Lang sous‑entend donc que faire usage de sa liberté de penser et d’expression peut constituer une infraction !

    C’est justement le projet du président de la République qui, à la différence du CRIF, n’est pas prêt de changer de logiciel

    Comme le bulletin de réinformation en rendait compte hier, François Hollande a rappelé son projet de pénalisation de toute pensée déviante : il souhaite « que toutes les paroles, tous les écrits de haine, qu’ils soient antisémites, racistes, homophobes, ne relèvent plus du droit de la presse, mais du droit pénal ».

    http://fr.novopress.info/

  • Les paroles de "paix" de l'imâm de Copenhague la veille des attentats

    L'imâm de Copenhague a prescrit la guerre plutôt que le dialogue avec les Juifs... la veille des attentats. Une vidéo proposée par l'Observatoire de l'islamisation (sous-titres en anglais) :

     

    "Notre prophète Mohammad avait des voisins juifs à Médine. A-t-il appelé à des relations plus étroites, à l’harmonie et au dialogue avec eux, selon les méthodes de l’ONU et de ceux qui appellent à concilier le Vrai et le Faux ? Ou bien les a-t-il appelés à adorer Allah ? Lorsqu’ils ont violé leur serment et qu’ils n’ont pas accepté son appel – vous savez très bien ce qu’il leur a fait. Cela figure dans sa biographie (Sîra). Il a déclaré la guerre aux Juifs."[...]

    Mais à part ça, il va de soi que l'islam n'a rien à voir avec l'antisémitisme. Padamalgam.

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Un nouveau bobard : l’islamo-fascisme

     

     Nos médias avaient déjà testé depuis quelque temps l’appellation « islamo-fascisme », de préférence à celle de djihadisme, trop ciblée à leurs yeux. Ainsi «Le Monde» du 16 octobre 2014 avait-il déjà titré par exemple que « les islamo-fascistes prennent en otages l’Afrique et le Proche-Orient ». Mais l’expression a pris un sens désormais officiel dans la bouche du premier ministre Manuel Valls après l’attentat islamiste de Copenhague. Ce n’est pas neutre puisque l’acte politique essentiel consiste à désigner l’ennemi.

    Avec la désignation de l’islamo-fascisme, la gauche tente en effet un nouveau tour de passe-passe sémantique à son profit .

    Une assimilation trompeuse

    Pourtant l’assimilation du djihadisme au fascisme ne peut sérieusement être invoquée, sauf à la réduire à la haine des juifs.

    D’abord le djihadisme se réclame à l’évidence de l’islam – même si ce serait à tort, selon l’oligarchie et les représentants de l’islam officiel.

    Mais le fascisme européen ne s’est jamais réclamé de l’islam, ni d’aucune religion particulière, d’ailleurs, même si en son temps Mussolini se présentait comme le protecteur de l’islam… pour essayer de faire accepter par les autochtones musulmans sa tentative de recréer l’empire romain d’Afrique !

    Le fascisme fut historiquement un phénomène européen : on nous l’a assez rabâché pour nous culpabiliser ! Mais il est bien difficile de prétendre sérieusement que le djihadisme serait, lui aussi, d’essence européenne.

    Le fascisme fut un dérèglement de la fonction guerrière, transformant la société en caserne, et c’est pourquoi il fut détruit par la guerre. Le djihadisme est certes brutal, cruel et violent mais il constitue surtout une entreprise théocratique : c’est donc un dérèglement de la fonction spirituelle.

    Enfin, le fascisme est mort en 1945 – alors que le djihadisme est en plein essor.

    Le communisme du XXIe siècle ?

    Si l’on voulait vraiment trouver des analogies historiques, c’est d’ailleurs plutôt du côté du communisme que du fascisme qu’il faudrait se tourner.

    Le professeur Jules Monnerot disait que le communisme était « l’islam du XXe siècle ». L’islamisme ne serait-il pas, lui, le communisme du XXIe siècle ?

    Car, comme le communisme des origines, il utilise systématiquement la terreur pour sidérer les populations. Comme le communisme, il se veut « de tous les pays », comme l’EI refuse les identités, les traditions et les frontières. Comme le communisme, il s’affirme en rupture radicale avec les valeurs occidentales. Comme le communisme des origines, il veut un strict respect du dogme : le Coran ou le Capital, censés être lus à la lettre.

    Padamalgam, les fascistes sont de retour

    Désigner l’islamo-fascisme ne repose donc sur aucune analogie historique sérieuse. Mais cela sert avant tout à renouveler le « padamalgam » officiel pour le plus grand profit du pouvoir.

    L’expression ne se borne pas à suggérer, en effet, que l’islamisme n’aurait rien à voir avec l’islam. Elle va plus loin puisqu’elle est destinée à nous faire croire que l’islamisme ne serait en réalité qu’un fascisme, qui nous « renvoie aux heures les plus sombres de notre histoire ».

    Ainsi la singularité de la montée en puissance mondiale de l’islamisme – entorse manifeste et sanglante au mythe cosmopolite de la mondialisation heureuse – se trouve réduite par la magie des mots à une sorte deremake de la seconde guerre mondiale. Sauf que les Russes ne sont plus cette fois dans le camp des bons : ce qui est bien commode pour ceux qui ont décidé de miser électoralement, une nouvelle fois, sur les votes des électeurs musulmans, et aussi de masquer leurs propres responsabilités dans le drame.

    Un fascisme bien commode

    En exhumant le fascisme, nous revoilà en terrain connu, donc rassurant, puisque cela fait au moins plus de 80 ans que la gauche prétend lutter contre – surtout d’ailleurs depuis qu’il a disparu politiquement, militairement et moralement en Europe.

    En outre, on n’oubliera pas que dans l’historiographie dominante le fascisme est de droite.

    Donc, suivez bien le regard de notre premier ministre : les méchants islamistes sont évidemment de droite et précisément d’extrême droite. La preuve : c’est qu’ils sont antisémites.

    C’est déjà ce qu’on nous suggérait de l’identité du tueur de Toulouse, jusqu’à ce que l’on découvre, avec consternation à gauche, qu’il s’appelait Merah. Comme en son temps l’attentat de la rue Copernic fut imputé à la droite extrême par la gauche, jusqu’à ce qu’on découvre qu’il était l’œuvre d’un Palestinien du FPLP.

    Et si l’islamisme est fasciste cela signifie que la gauche n’en est pas responsable. CQFD.

    D’ailleurs, M. Valls dit « islamo-fascistes » et non pas « facho-islamistes », la dernière partie de l’expression mettant bien l’accent sur sa cible principale : le « fâââchisme » que l’on doit, bien sûr, tous ensemble, combattre de Nation à République, conformément à « l’esprit du 11 janvier », comme dit le président de la République. Et si possible encore en 2017.

    Envolée la responsabilité de l’oligarchie !

    Evoquer l’islamo-fascisme évite évidemment d’aborder la question de l’immigration et de l’islam, puisque les méchants ne sont plus des musulmans, mais seulement des fascistes à barbe.

    Cela permet d’effacer, par un coup d’éponge magique, la responsabilité écrasante de l’oligarchie dans l’importation du djihadisme en Europe, d’effacer sa responsabilité dans l’immigration de peuplement, sa responsabilité dans la complaisance vis-à-vis du communautarisme et vis-à-vis des Etats qui soutiennent l’islam radical, sa responsabilité dans la destruction des Etats laïcs du Moyen-Orient, sa responsabilité dans le désarmement moral et militaire des Européens, sa responsabilité dans le laxisme judiciaire et pénal enfin.

    Mais tout cela est fort opportunément occulté par l’invocation de l’immonde fascisme, éternellement renaissant. Ce qui est pour le moins curieux, d’ailleurs.

    Une nouvelle manœuvre contre les droites

    Invoquer l’islamo-fascisme permet une nouvelle fois d’intimider la droite, du moins ce qu’il en reste, et de placer sur le même plan le djihadisme criminel, la critique populiste du Système ou le refus de l’immigration et de l’islamisation. Au nom de la préservation du « vivre ensemble », bien entendu : un bel amalgame, hautement revendiqué celui-là !

    Notre ministre de l’Intérieur n’entend-il pas poursuivre « l’extrémisme » ou « les discours de haine », notamment sur Internet où, paraît-il, les candidats au djihad s’autoradicaliseraient ?

    La liberté d’opinion dans le collimateur

    Mais ces concepts très flous renvoient en réalité à la théorie du « milieu intellectuel » dont la gauche a toujours abusé lorsqu’elle voulait neutraliser l’ascension de la droite populiste. Car la gauche nous a toujours fait croire que les mots pouvaient tuer.

    Ainsi, lors de l’affaire de Carpentras, la gauche au pouvoir n’a cessé d’accuser le Front national d’avoir créé, avec ses « idées nauséabondes », un climat antisémite propice à la commission de la profanation. Ce n’est d’ailleurs pas une spécialité française puisqu’aux Etats-Unis la théorie du « climat intellectuel » a aussi été utilisée pour réduire au silence, par de lourdes peines, des mouvements suprémacistes en les rendant instigateurs indirects de crimes ou d’attentats racistes pourtant commis par d’autres.

    En Europe aussi, l’accusation « d’incitation à » la haine est largement utilisée contre ceux qui dénoncent l’immigration ou l’islamisation, comme aux Pays-Bas ou en Allemagne par exemple, alors même qu’on ne peut leur imputer d’actes criminels précis – à la différence notable des djihadistes qui, eux, ont du sang sur les mains.

    Mais quand il s’agit de protéger le Système, le « padamalgam » ne vaut plus !

    Par un habile retournement, le combat contre l’islamo-fascisme va permettre de fourbir de nouvelles armes… contre ceux qui refusent l’islamisation et la soumission de l’Europe – et que le Système traite de fascistes…

    Les djihadistes doivent penser que ces roumis sont décidément trop stupides.

    Michel Geoffroy, 18/02/2015

    http://www.polemia.com/un-nouveau-bobard-lislamo-fascisme/