religion - Page 133
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TVL : Père Toukik Eïd, curé du village martyre de Maaloula
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Le Coran d’abord ! (Présent 8293)
Alors que responsables politiques et religieux, largement relayés par les médias, nous répètent inlassablement depuis des mois qu’il faut à tout prix se garder de faire l’amalgame et que les islamistes ne sont pas représentatifs de la communauté musulmane, le Berlin Social Science Center vient de rendre publique une étude assez édifiante, aux termes de laquelle il apparaît que, pour une majorité écrasante de musulmans français, non seulement il n’existe qu’une seule interprétation du Coran, mais qu’en outre celle-ci doit primer sur la loi française.
Lors de cette enquête, le Berlin Social Science Center a demandé à quelque 9 000 musulmans et chrétiens dans six pays de l’Union européenne (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, France, Suède et Autriche) de répondre par « oui » ou par « non » aux trois affirmations suivantes :
1/ Les musulmans doivent retourner vers les racines de la foi;
2/ Il n’y a qu’une seule interprétation du Coran. Chaque musulman doit s’y tenir ;
3/ Les règles religieuses sont plus importantes que les lois.Et les résultats, publiés récemment par le Journal of Ethnic and Migration Studies, sont pour le moins édifiants. Ainsi, à la première affirmation, 61,4% des musulmans français ont répondu par « oui », contre 66,1% des Belges, 65% des Autrichiens, 54,5% des Néerlandais, 49,9% des Allemands et 43,4% des Suédois.
Mais plus révélatrices encore sont les réponses apportées aux deux autres affirmations : pas moins de 81,7% des musulmans français ont en effet estimé qu’il n’y avait qu’une seule interprétation du Coran et que chaque musulman doit s’y tenir (contre 82,2% des Belges, 79,1% des Autrichiens, 74,3% des Néerlandais, 67,4% des Suédois et 57,1% des Allemands). Quant à savoir si les règles religieuses sont plus importantes que les lois, les musulmans français arrivent en tête avec 73,2% de réponses positives, contre 73,1% chez les Autrichiens, 70% chez les Néerlandais, 69,6% chez les Belges, 52,1% chez les Suédois et 45,1% chez les Allemands.
Regard positif envers l’EI
Des résultats qui mettent sérieusement à mal le discours officiel selon lequel les islamistes seraient ultra minoritaires et non représentatifs des musulmans. Des résultats à rapprocher aussi de ce sondage qui avait été réalisé en juillet dernier par ICM Research pour l’agence de nouvelles russe Rossiya Segodnya parmi 1 000 personnes âgées de plus de 15 ans dans plusieurs pays européens, et enregistrait « jusqu’à 15% » de Français affirmant avoir un regard positif envers l’Etat islamique. Là encore, ce soutien français était le plus élevé parmi tous les pays interrogés dans le cadre de ce sondage, les Anglais étant 7% à approuver les actions de l’Etat islamique et les Allemands seulement 2%. Pire encore : ce sondage soulignait que chez les jeunes Français de 18-24 ans et 25-34 ans, le soutien à l’EI atteignait respectivement 27% et 22% !
Soumission
L’Union des démocrates musulmans français (UDMF) présentera des candidats dans 8 cantons (sur 2000) lors des élections cantonales de mars prochain : Bobigny (Seine-Saint-Denis) Bagneux (Hauts-de-Seine), Les Mureaux (Yvelines), Marseille, Lyon, Nice et Strasbourg. Elle possède déjà un premier élu à Bobigny après que le parti ait apporté son soutien à la liste de l’actuel maire UDI Stéphane de Paoli. Najib Azergui, d’origine marocaine, se défend de vouloir «islamiser la société» ou de vouloir «installer la charia en France».
L’UDMF préconise le développement de l’industrie alimentaire Halal pour relancer l’emploi et le recours à la finance islamique pour assainir l’économie. Le parti veut autoriser le port du voile dans les établissements scolaires.Franck Delétraz
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Un parti musulman aux prochaines élections départementales en France
Un parti musulman devrait présenter quelques candidats aux prochaines élections départementales en France. Il s’agit de l’Union des démocrates musulmans français (UDMF) qui possède déjà un élu à Bobigny.
Najib Azergui, le fondateur de ce parti, se défend de vouloir islamiser la société française et vouloir installer la charia en France.
Il n’en reste pas moins que l’UDMF propose de développer l’industrie halal pour relancer l’emploi, défend le port du voile dans les établissements scolaire et évoque le recours à la finance islamique pour assainir l’économie…
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Retour sur l’« affaire Redeker » – par Vincent Revel
Aujourd’hui, nous avons l’impression de découvrir que l’islam politique pose problème tout en continuant de nier l’évidence. Malgré la triste réalité à laquelle nous sommes confrontés, notre hypocrisie est tenace.
Pourtant, souvenez-vous, le 19 septembre 2006, Robert Redeker, professeur agrégé de philosophie au lycée Pierre-Paul Riquet de Saint-Orens-de-Gameville près de Toulouse, publiait dans le Figaro « une tribune libre musclée et intitulée » : « Contre les intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ? » Malheureusement pour lui, comme certains lui firent comprendre, il ne s’attaqua pas à la « bonne religion. » Rapidement, il fut rejeté par les autres professeurs et il nous expliqua dans son ouvrage Il faut tenter de vivre que « pour être bien vu ici (au sein de l’Education nationale) il faut être athée agressif, mais exclusivement contre le catholicisme. »Ces collègues enseignants lui reprochèrent avec dureté « un délit d’opinion. »
Face un tel déferlement de violence verbale, tout homme sensé aurait pu se demander quel fut son crime pour mériter autant d’attention ? Qu’avait-il pu bien faire pour se retrouver isoler à ce point, abandonné par ses collègues et sa hiérarchie, mis au ban de la société ? Son crime fut d’oser tout simplement mettre par écrit son point de vue concernant l’islam et son prophète ! Naïvement, il avait dû penser qu’au pays de Voltaire il était encore possible de s’exprimer librement sur tout.
Recevant des menaces puis une condamnation à mort lancée sur « un site islamiste crypté », Redeker dut, avec sa famille, vivre sous protection policière dans des lieux tenus secrets. De nombreux courriels lui furent adressés dans lesquels il put découvrir la haine qu’il décrivait à juste titre peu de jour auparavant dans son article.« Sale porc, fils de pute, parasite, caniche, sale juif » sont les mots aimables annonçant sa fin prochaine.
Face un tel déferlement de violence verbale, tout homme sensé aurait pu se demander quel fut son crime pour mériter autant d’attention ? Qu’avait-il pu bien faire pour se retrouver isoler à ce point, abandonné par ses collègues et sa hiérarchie, mis au ban de la société ? Son crime fut d’oser tout simplement mettre par écrit son point de vue concernant l’islam et son prophète ! Naïvement, il avait dû penser qu’au pays de Voltaire il était encore possible de s’exprimer librement sur tout.
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[Communiqué du Bloc Identitaire Lyon] Lyon est devenue une terre de djihad
Le Bloc Identitaire Lyon a depuis longtemps sonné l’alarme face au danger des djihadistes présents dans le Rhône et aux risques réels d’attentat qu’ils représentent. Une information parue cette semaine dans la presse lyonnaise est venue malheureusement nous donner raison.
A la suite de l’arrestation d’un habitant de Meyzieu soupçonné d’encourager la lutte armée au nom de l’islam, la préfecture a livré un chiffre effarant : environ 70 jeunes habitants du Rhône sont surveillés par les services de police en raison de leurs velléités de départ en Syrie ou de leur attachement au djihadisme ! A l’image des frères Kouachi et d’Amedy Coulibaly, les auteurs de la vague meurtrière de janvier dernier qui a fait plus d’une quinzaine de victimes, on est en droit de se demander combien ne sont pas surveillés !
La question cruciale désormais n’est pas de savoir qui souhaite partir faire le djihad ou combien sont revenus, mais le nombre de terroristes souhaitant passer à l’acte en Europe.
Car la folle équipée de Khaled Kelkal dans les années 1990, les arrestations multiples de terroristes dans les banlieues lyonnaises et les incidents graves qui se multiplient devant les synagogues, montrent une chose : Lyon est devenue une terre de djihad.
Nous assistons à l’émergence d’une nouvelle espèce de terroristes, ne souhaitant plus combattre à l’étranger mais voulant imposer par les armes dans notre pays et dans notre ville, leurs préceptes islamistes.
Nous exagérons ? Dans la même semaine, le conseil régional du culte musulman Rhône-Alpes s’est inquiété et a porté plainte face à la radicalisation des esprits dans plusieurs mosquées lyonnaises (à Oullins et à la Duchère) où des « imams auto-proclamés » tentent de prendre le pouvoir.
Face à cette menace terroriste grave, personne ne pourra prétendre lutter contre le djihadisme sans remettre en cause l’immigration massive et l’islamisation de notre pays. Pour cela, ce n’est pas d’union nationale derrière ces dirigeants qui ont failli mille fois dont nous avons besoin, mais d’un sursaut national les chassant du pouvoir !
Bloc Identitaire Lyon
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https://twitter.com/BI_LyonLien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, religion 0 commentaire -
On ne se moque pas de Mahomet depuis Mahomet
Pour tordre le cou au padamalgam ambiant, Bernard Antony rapelle :
"Car, oui ou non, Mahomet a-t-il fait égorger les poètes juifs Kab Ibn al-Ashraf et Abu Rafi parce qu’ils s’étaient moqués de lui ?
Oui ou non a-t-il fait assassiner la poétesse Asma Bint Marwân pour un peu de moquerie, tuée dans son lit alors que le plus jeune de ses cinq fils pas encore sevré dormait sur sa poitrine ?
Oui ou non, pour quatre vers d’ironie, a-t-il fait périr de même dans son sommeil le vieillard centenaire Abû Afak parce qu’il s’était un peu moqué de lui ?
Ces faits sont rapportés dans les Hâdiths (« faits et gestes » de la vie du prophète) et dans la Sira (« biographie »), livres fondamentaux de l’islam, presqu’aussi sacrés que le Coran.
Mais certes Mahomet n’a pas tué que des poètes !
Oui ou non, à Médine en 627 a-t-il en personne décapité ou fait décapiter tout au long d’une journée le millier d’hommes de la tribu juive des Banu Qorayza, ayant fait distribuer les femmes et les enfants comme butin ?
Oui ou non, après la prise des fortins de la palmeraie de Khaybar s’attribue-t-il la jeune Safiyya dont le père, le rabbin Hoyey, avait été égorgé à Médine et dont il fait torturer le mari, Kinâna ibn Rabî, pour savoir où il a caché ses biens ?
Enfin, oui ou non, ordonne-t-il la lapidation des femmes adultères, les amputations des voleurs, les tortures et la décapitation pour ses ennemis ?
Et nous n’évoquerons pas ici le Coran et ses centaines de mentions de l’enfer dans lequel sont jetés pour l’éternité les « associateurs » coupables du seul péché qu’Allah ne pardonne jamais : associer d’autres dieux à Dieu comme le font les chrétiens.
Alors comment peut-on tout de même découpler totalement les crimes des jihâdistes et des terroristes de l’exemplarité qu’ils invoquent du modèle de Mahomet ?
Là réside l’évidente difficulté du « pas d’amalgame » érigé en slogan simpliste ! Comment distinguer l’islam-religion du système de théocratie totalitaire de son fondateur et de la charia qui en découle ? Là réside le défi pour éviter que l’islamisme jihâdiste le plus extrémistes ne devienne chaque jour un peu plus l’islam réel. Ce défi ne sera pas relevé avec du déni de réalité, du refus de vérité et du double langage. [...]'
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Profanation de 5 églises en trois jours près de Lyon
Et pas un mot dans la presse. Imaginons qu’une synagogue est été vandalisée… Trois jours de pleurnicherie, de dénonciation du nouvel antisémitisme, 50 ressources des forces de l’ordre mobilisées H24 pour retrouver les auteurs etc.. Pour les églises, rien ! Alors qu’il y avait déjà eu 4 autres profanations dans le même département (l’Ain) en novembre 2014 ! (voir ici)
- Vendredi 6 février 2015, les paroissiens de Neuville-les-Dames, dans le groupement paroissial de Châtillon-sur-Chalaronne, ont découvert que le tabernacle de l’église Saint-Maurice avait été fracturé, et que le ciboire (coupe qui contient les hosties) qu’il contenait avait été dérobé.
- Le même soir, les paroissiens d’Ambronay ont remarqué eux aussi le vol d’un ciboire à l’église Notre-Dame.
- Samedi 7 février, à Vonnas a été constaté le vol de deux ciboires de l’église Saint-Martin.
- le samedi 7 février, le curé de Montluel a découvert que le ciboire et les hosties de la collégiale Notre-Dame-des-Marais avaient été volés.
- Dimanche 8 février, à Jujurieux (groupement paroissial de Pont-d’Ain), Les fidèles ont découvert qu’un autre ciboire avait été dérobé dans l’église Saint-Etienne.
Dans quatre cas (sauf à Montluel donc), les hosties consacrées n’ont pas été dérobées, mais abandonnées sur place.
Source : FDS
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80 djihadistes français tués en Syrie et en Irak
Lu ici :
"Ce sont près de 1 400 personnes qui ont été identifiées, Français ou résidents, comme étant en relation avec ces filières. Environ 750 y séjournent ou ont séjourné, 410 seraient aujourd'hui sur place, 260 repartis, et 80 Français ou résidents en France ont été tués sur place", a déclaré le Premier ministre lundi sur Europe 1."
Et ce ne sont que les chiffres officiels jugés communiquables aux Français par le gouvernement socialiste... Ce ne sont en fait que des estimations qu'il faudrait sans doute multiplier par 3 pour approcher de la vérité.
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"Islamophobie" : il faut cesser les amalgames de la pensée molle et de la lâcheté
Lu sur le Figarovox :
"[...] En relayant abondamment le concept d'islamophobie, les médias et quelques décideurs politiques portent une lourde responsabilité et surtout tombent dans le piège de certains leaders islamistes. Le rêve ultime de ces idéologues qui crient systématiquement à l'islamophobie est de mettre en place une France communautarisée, segmentée, fracturée...
Enfin, le concept d'islamophobie a également pour objectif de minorer l'antisémitisme. Certains imams radicaux sont foncièrement antisémites. Tout ce qui peut saper le poids supposé de la communauté juive dans la sphère publique doit être combattu selon eux. L'islamophobie est l'une de ces armes. Tout ce qui peut nier l'antisémitisme en France et dans le monde doit être mis en œuvre... On remarque d'ailleurs que l'étendard de l'islamophobie a tout de suite été brandi après les attentats, alors que les victimes de l'hyper-cacher étaient juives et ont été tuées parce qu'elles étaient juives. Ne l'oublions pas. [...]
Alors oui, il faut cesser les amalgames de la pensée molle et de la lâcheté. Oui, il faut combattre chaque jour le racisme qui est incompatible avec notre République. Mais, non, il ne faut pas confondre racisme et islamophobie, car cet amalgame sera fatal à nos valeurs républicaines, au premier rang desquelles la laïcité... que certains rêvent de voir disparaître. Soyons vigilants et résistons! [...]"
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Haute-Savoie : la « Libre Pensée » fait retirer une statue de la Sainte Vierge dans un jardin public
Choquée par l’apparition, en 2011, d’une statue de la Vierge dans un parc municipal, la Fédération de la Libre Pensée de Haute Savoie (encore eux !) avait demandé au maire de Publier (Haute-Savoie), Gaston Lacroix, de la déplacer. Le tribunal administratif de Grenoble vient de lui donner raison, en décidant « d’annuler les décisions » de refus du maire.
« Considérant que la statue de la Vierge portant l’inscription ‘Notre Dame du Léman veille sur tes enfants’ constitue un emblème religieux ; qu’il est constant que le terrain sur lequel elle a été édifiée est un parc public ; que (… ) la commune ne pouvait légalement autoriser l’installation de cette statue sur le domaine public communal », le tribunal administratif, au nom de la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État, a décidé « d’annuler les décisions (…) par lesquelles le maire de Publier a refusé de déplacer la statue de Notre Dame du Léman en dehors du domaine public communal ».
« Cette statue est un repère »
Gaston Lacroix, le maire (divers gauche) de cette commune de 6 500 habitants, n’aurait « jamais pensé que l’affaire prendrait une telle ampleur »: « J’ai eu les services de l’État hier, raconte-t-il. Ils sont bien embêtés, car le jugement ne réclame pas le retrait de la statue. Alors que faire? ».