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religion - Page 184

  • Boko Haram : le prétexte US-raélien ou le 11/9 bis, par Laurent Glauzy

    « Le groupe sanguinaire Boko Haram, de mouvance salafiste, qui revendique la création d’un État islamique dans le Nord du Nigeria, serait-il une construction des États-Unis servant à justifier une intervention au Nigeria ? Ainsi, Boko Haram ne serait qu’une répétition du fameux le 11 septembre, qui a permis, en 2001, l’invasion de l’Afghanistan et du puissant Irak de Saddam Hussein.

    Alain Chouet, officier du renseignement français, ancien chef de poste de la Direction générale de la sécurité extérieure (DGSE) à Damas, avance dans la publication numérique Mondafrique (certainement avec l’approbation de ses supérieurs, dont celui de Hollande) que « Boko Haram est un monstre utile ». Concernant le chef de Boko Haram, Aboubakar Shekau, Chouet demande s’il est « un fou, un drogué irrationnel, un ancien chef de bande ? Les média l’ont décrit ainsi. Mais je l’ai entendu sur des vidéos faire ses revendications dans un arabe classique parfait. Ce qui est loin d’être commun en Afrique. »

    Le groupe armé Boko Haram existe depuis 2002. Mais, aujourd’hui, il ressemble à une armée de milliers d’hommes. Or, un fou drogué et inculte ne peut pas gérer une telle rassemblement.
    Avec l’enlèvement, à la mi-avril, de 223 étudiantes, Aboubakar Shekau donne même l’impression qu’il inscrit sa mouvance dans une logique internationale. Cette action terroriste a nécessité une importante organisation et a entraîné un coût économique.

    Alain Chouet souligne que Boko Haram possède d’importants capitaux lui permettant de rémunérer ses hommes de main, ainsi que d’embrigader et de séquestrer des personnes. Alain Chouet évoque même le va-et-vient, entre Ryad et Kano (repaire de Boko Haram), de valises pleines de dollars.

    L’officier du renseignement ajoute que des valises ont été vues, avec des porteurs différents, transiter par le Soudan, l’Afghanistan, la Lybie, la Syrie, le Mali et la Tunisie.

    Il affirme qu’« il y a une grande quantité de riches donateurs privés » en Arabie Saoudite et au Qatar prêts à fournir des fonds à Boko Haram. Alain Chouet assure que le Nigeria « est un pays où l’intégralité de la rente pétrolière est confisquée par les élites. Ce système a tenu pendant une vingtaine d’années, parce que les cadres de l’administration d’État et de l’armée étaient essentiellement des musulmans du Nord (45 % de la population est islamique), qui distribuaient une petite partie des bénéfices, assez pour calmer la colère populaire, chaque jour confrontée à la corruption du pouvoir. Cependant, à partir de 2000, la situation s’est inversée : la population du Sud a augmenté son contrôle sur le secteur public et l’armée. La finance islamique, entre les mains des banques internationales, a permis d’instrumentaliser cette colère. Jusqu’alors, Boko Haram était un mouvement de révolte locale, agité par des revendications économiques locales. Il n’était donc pas intéressé par le djihad, qui sort plutôt du moule saoudien.

    L’enlèvement des lycéennes, leur conversion de force annoncée le 12 mai par Aboubakar Shekau, et leur libération en échange de celle de prisonniers du groupe islamiste aux mains du gouvernement, ont bien entendu suscité la plus grande indignation dans le monde (à commencer par la femme du président américain Obama). Cette mise en scène sonne bien comme un prétexte orchestré pour légitimer une nouvelle ingérence « humanitaire » occidentale en Afrique. Plusieurs organisations non gouvernementales ont d’ailleurs appelé à l’intervention de l’entité supranationale Illuminati qu’est l’ONU.

    Il est à ce propos intéressant de constater que le nom officiel du groupe est Jama’atu Ahlul Sunna Lidda’awati Wal Djihad, est traduit en arabe par « la communauté des disciples de la tradition de l’Islam pour la prédication et la guerre sainte ». Quant à l’appellation de Boko Haram, qui proviendrait des populations locales du Nord-est du Nigeria, elle signifie en langue haoussa « l’éducation occidentale est un péché » : « boko », de « book », « livre » en anglais, et « haram », « interdit » en arabe - soit le rejet d’un enseignement perverti par l’occidentalisation. Dans un tel contexte terroriste, montée de toute pièce et aussi grossier que le 11 septembre, l’intervention de l’Occident devient une « nécessité ».

    Comment aussi ne pas imaginer que le président nigérian, Jonathan Goodluck a provoqué l’enlèvement de ces étudiantes pour consolider son pouvoir, et celui du pétrole anglo-américain ? De plus, Jonathan Goodluck, évangéliste baptiste – mouvance religieuse proche des États-Unis et de la CIA à laquelle appartient John Davison Rockefeller - a demandé l’aide d’agents secrets israéliens, dans le but unique de libérer les étudiantes (Nigeria News du 20/5/14) ! Voilà une belle occasion offerte à Israël pour s’ingérer dans les affaires de la première puissance économique d’Afrique, pays que connaît néanmoins Jonathan Goodluck pour y effectuer ses pèlerinages. »

     Laurent Glauzy

    http://www.contre-info.com/boko-haram-le-pretexte-us-raelien-ou-le-119-bis-par-laurent-glauzy#more-32873

  • Fêter ramadan à la mairie de Paris aux frais du contribuable ? Pour le FN et l’UMP, ça suffit !

    ramadan-invitation-delanoe-2013-mpi

    Depuis 2001, la mairie de Paris a pris l’habitude d’organiser une fête dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris pour célébrer le début du Ramadan. C’est bien sûr le socialiste Bertrand Delanoë qui avait pris cette décision et la socialiste Anne Hidalgo qui lui succède à la mairie de Paris n’a pas l’intention d’y mettre fin. Le 9 juillet 2014, l’islam devrait une fois de plus être à l’honneur à l’Hôtel de Ville.

    Cette année, un appel d’offre prévoyant une enveloppe budgétaire de 70.000 euros a été lancé par la mairie à destination des prestataires. «Les concerts refléteront la diversité des cultures de l’Islam, avec une programmation comprenant des artistes de renom», annonce la mairie.

    ramadan-hidalgo-mpi

    Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller de Marine Le Pen, a réagi par un communiqué publié ce mercredi.

    Le Front national réclame l’annulation de la fête, organisée «aux frais du contribuable». Une demande partagée par Jérôme Dubus, conseiller UMP.

    http://medias-presse.info/feter-ramadan-a-la-mairie-de-paris-aux-frais-du-contribuable-pour-le-fn-ca-suffit/10618

  • Fêter ramadan à la mairie de Paris aux frais du contribuable ? Pour le FN et l’UMP, ça suffit !

    ramadan-invitation-delanoe-2013-mpi

    Depuis 2001, la mairie de Paris a pris l’habitude d’organiser une fête dans les salons de l’Hôtel de Ville de Paris pour célébrer le début du Ramadan. C’est bien sûr le socialiste Bertrand Delanoë qui avait pris cette décision et la socialiste Anne Hidalgo qui lui succède à la mairie de Paris n’a pas l’intention d’y mettre fin. Le 9 juillet 2014, l’islam devrait une fois de plus être à l’honneur à l’Hôtel de Ville.

    Cette année, un appel d’offre prévoyant une enveloppe budgétaire de 70.000 euros a été lancé par la mairie à destination des prestataires. «Les concerts refléteront la diversité des cultures de l’Islam, avec une programmation comprenant des artistes de renom», annonce la mairie.

    ramadan-hidalgo-mpi

    Bertrand Dutheil de La Rochère, conseiller de Marine Le Pen, a réagi par un communiqué publié ce mercredi.

    Le Front national réclame l’annulation de la fête, organisée «aux frais du contribuable». Une demande partagée par Jérôme Dubus, conseiller UMP.

    http://medias-presse.info/feter-ramadan-a-la-mairie-de-paris-aux-frais-du-contribuable-pour-le-fn-ca-suffit/10618

  • Cristeros est diffusé dans 75 salles

    Le succès continue pour le film retraçant l'épopée des chrétiens du Mexique. Avec le WE de l'Ascension, il y a plein de possibilités d'aller au cinéma dans les75 salles qui programment Cristeros cette semaine. Vous trouverez les séances près de chez vous sur le site d'Allociné.

    Michel Janva

  • Soudan : Meriam vient d’accoucher, en prison


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    Des centaines de personnes se sont rassemblées hier au soir à Paris, à proximité de l’ambassade du Soudan, pour exiger la libération de Meriam Yahia Ibrahim Ishag, chrétienne soudanaise condamnée par le régime islamiste de Khartoum à 100 coups de fouets pour “adultère” (alors qu’elle est marié religieusement à un chrétien) et à la pendaison pour “apostasie”.

    Elle vient d'accoucher ce matin dans sa prison.

    Michel Janva

  • Soudan : Meriam vient d’accoucher, en prison


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    Des centaines de personnes se sont rassemblées hier au soir à Paris, à proximité de l’ambassade du Soudan, pour exiger la libération de Meriam Yahia Ibrahim Ishag, chrétienne soudanaise condamnée par le régime islamiste de Khartoum à 100 coups de fouets pour “adultère” (alors qu’elle est marié religieusement à un chrétien) et à la pendaison pour “apostasie”.

    Elle vient d'accoucher ce matin dans sa prison.

    Michel Janva

  • Rappel : Manifestation devant l’ambassade du Soudan ce soir à Paris

    Rendez-vous lundi 26 mai, dès 19 h. Ambassade du Soudan 11 rue Alfred Dohodencq à Paris.

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    Michel Janva

  • Eleutheros, pour aider les ex-musulmans de France convertis

    Anne-Claude Ranson, présidente d’Eleutheros, association qui a pour objet de défendre et promouvoir la liberté de conscience, de choix et de pratique de la religion chrétienne en France, déclare à Présent :

    "Un certain  nombre de personnes, notamment d’anciens musulmans, rencontrent aujourd’hui chez nous, dès lors que l’entourage a connaissance de leur conversion au christianisme, des intimidations, des pressions, des menaces voire des persécutions parfois insoupçonnées ou pouvant passer pour des faits divers. En effet, le droit à l’apostasie dans l’islam n’est pas reconnu pour les musulmans : lorsqu’on naît musulman, on doit le rester toute sa vie ; dans la charia, la sanction est la mort. Même le Conseil Français du Culte Musulman (CFCM), créé au sein de notre République laïque pour être un interlocuteur avec le gouvernement, ne reconnaît pas ce droit dans sa charte. Au moment de sa création, notre gouvernement, après le refus d’une première mouture où cette liberté était mentionnée, n’a finalement entériné que la deuxième version proposée par le CFCM dans laquelle toute liberté de conscience et de droit de changer de religion est refusée implicitement à tout musulman. Voilà pourquoi, parmi ces musulmans qui se convertissent au christianisme, beaucoup préfèrent taire cette conversion.

    Par ailleurs, on peut noter aussi les pressions intolérables subies au sein des couples « christiano-musulmans » pour que le conjoint chrétien se convertisse à l’islam et que les enfants issus de ces unions soient obligatoirement musulmans. De même, le chrétien isolé en banlieue « musulmane » peut éprouver d’autres « mésaventures » destinées à le chasser hors de son quartier. [...]"

    Michel Janva

  • Crise à l’IUT de Saint-Denis: quand les étudiants racontent la dérive du système

    Menaces de mort, salle de prières clandestine et malversations financières, l’Institut Universitaire de Technologie de Saint-Denis traverse une crise sans précédent, au détriment des étudiants. 

    Un groupe de jeunes étudiants s’avance dans la rue Jean Marcenac pour aller en cours. Ils longent le bâtiment principal de l’Institut Universitaire de Technologie (IUT), un gros bloc gris posé face à la place du 8 mai 1945 en plein centre-ville de Saint-Denis, pour s’approcher de l’entrée. Il est 9 heures, ce mardi 20 mai au matin et les grilles sont plus fermées que d’habitude, le contrôle des cartes d’étudiants plus strict. Depuis les révélations de RTL ce lundi sur la quinzaine de menaces de mort reçues par le directeur Samuel Mayol et la découverte, lors d’une alerte à la bombe, d’une salle de prière clandestine dans les locaux, l’IUT de Saint-Denis est en crise ouverte. 

    Ce coup de tonnerre intervient alors que le chef du département «Techniques de commercialisation» de l’IUT, Rachid Zouhhad, a été destitué en avril pour dysfonctionnements majeurs et soupçons d’emplois fictifs. 

    Nommé en septembre 2012, l’homme aurait changé à la rentrée 2013 la moitié des 120 vacataires habituels de l’année précédente, certains remplacés par des proches. Selon RTL, 4800 heures seraient concernées pour un montant total de 200.000 euros. Le groupe d’étudiants qui arrive en cours est directement concerné par ce scandale. 

    Matières pas au programme, absences à répétition 

    Ils sont tous en première année dans ce département de techniques de commercialisation et subissent de plein fouet les conséquences des malversations administratives. «Tout allait bien au début de l’année scolaire» raconte l’un d’eux. «Mais on a rapidement vu que la situation n’était pas normale». 

    Matières enseignées qui ne sont pas au programme national, absences à répétition de professeurs... Finalement, les étudiants sont envoyés en stage au premier semestre, alors qu’ils ont normalement lieu en seconde partie d’année. Et pour couronner le tout, le premier semestre, un des étudiants soupçonne l’administration de «trafiquer les notes» pour compenser l’absence de cours et ainsi les augmenter. 

    Face aux dysfonctionnements à répétition, la situation s’envenime. Des graffitis «Zouhhad dehors» font leur apparition sur les murs de l’établissement et les étudiants font circuler une pétition, massivement signée, réclamant le départ du chef de département. Mais au mois de janvier, pas d’amélioration. Les étudiants se voient alors offrir près d’un mois de vacances car l’IUT est incapable d’assurer leurs cours. Seule explication fournie par l’administration: des «restructurations» sont en cours. «C’est le contraire qui s’est passé» s’indigne Alicia. «On nous envoie un nouvel emploi du temps toutes les semaines mais ça change tous les jours». «Quand on vient ici, on n’est jamais sur d’avoir cours» rajoute un autre étudiant. «On peut nous demander de venir à 8h30 et ne pas avoir cours avant 11h». 

    Cours de ‘compta’, le compte n’y est pas 

    Depuis, Rachid Zouhhad est parti, «remercié» en avril. Mais son départ n’a pas arrangé les choses car certains enseignants sont partis avec lui. Le professeur de comptabilité, anciennement directeur des études, ne s’est pas présenté aux élèves depuis le mois janvier. «Il soutient ouvertement monsieur Zouhhad et enchaine les arrêts maladie» s’indignent les étudiants. «Notre nouvelle responsable pédagogique tente d’améliorer les choses», explique une étudiante, sans trop y croire. Pour rattraper le retard, les étudiants du département vont devoir enchaîner les cours dans certaines matières et ils s’inquiètent pour leur avenir. «On n’avance pas, on n’apprend rien, on est déçu» disent-ils en choeur. La semaine prochaine, ces étudiants devront rendre un dossier pour leur cours de comptabilité. Or, au second semestre, ils ont assisté à leur premier cours de cette matière... hier. 

    Concernant la salle de prière clandestine, découverte par la police lors d’une alerte à la bombe en février dernier, les étudiants se font moins diserts, voire bottent en touche. Ils étaient au courant pour la salle de prière mais n’ont pas particulièrement ressenti de prosélytisme au sein de l’IUT, expliquent-ils. On sent néanmoins que le sujet de la religion n’est pas facile à aborder dans cet établissement et que les étudiants sont mal à l’aise. Comme le résume l’un d’eux de manière laconique, «la parole de Dieu est importante ici».

    Source : http://etudiant.lefigaro.fr/les-news/actu/detail/article/crise-a-l-iut-de-saint-denis-quand-les-etudiants-racontent-la-derive-du-systeme-5412/

    http://www.oragesdacier.info/2014/05/crise-liut-de-saint-denis-quand-les.html

  • Après le porc à la cantine et le petit Jésus à Noël, virons la fête des Mères !

    La République, notre mère à tous, est bien embêtée.   

    Encore un drame ! C’est sûr, avec l’arrivée dimanche de la fête des Mères, il va y avoir besoin de soutien psychologique…

    Les psys nous le disent et nous le répètent : on ne saurait confondre géniteur et parent. Papa et maman sont ceux qui nous nourrissent, nous éduquent (en principe), nous nettoient les fesses quand on s’est gavé de pruneaux, nous balancent une taloche quand ils sont excédés, font un câlin quand on a le cœur gros… Bref, ceux qui nous élèvent. Au quotidien. D’accord, autrefois c’était simple : parents et géniteurs se confondaient. Sauf à de rares exceptions – la sauvagerie de la guerre, par exemple, ou la dure mortalité des femmes en couche –, on ne connaissait pas les affres de la séparation. Aujourd’hui, il en va autrement et la République, notre mère à tous, est bien embêtée : soucieuse, au nom de l’égalité, d’envoyer les petits enfants souhaiter une bonne fête à toutes leurs mamans, elle va bientôt, pour cette même raison, ne plus pouvoir en fêter aucune : il y en a trop. C’est bête, hein ?

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