Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

religion - Page 187

  • Avant Jean-Paul II, l’Église de France avait peur, peur de gueuler la vérité

    De François Teutsch :

    "[...] Jean-Paul II, c’est une phrase : « N’ayez pas peur ! » Peu d’entre nous s’en souviennent, nous étions trop jeunes. C’était un coup de tonnerre dont les répliques n’ont jamais cessé depuis. Je vous parle d’un temps que les moins de 40 ans ne peuvent pas connaître… L’Église de France, en ce temps-là, semblait partir au gré des modes et des idéologies, se repliait sur elle-même. Elle avait peur, peur d’affronter le monde et lui gueuler la vérité en pleine figure ! Elle avait peur de son histoire, de sa tradition, du sang de ses martyrs et de la sainteté de ses anciens. Elle ne craignait rien tant que le regard des autres, rien tant que de passer pour ringarde. Elle préférait l’action sociale à la prière, les revendications syndicales à la contemplation silencieuse. Honteuse d’elle-même elle se diluait lentement dans un monde hostile.

    N’ayez pas peur ! Le prêtre polonais, formé clandestinement au risque de finir à Treblinka, n’a pas eu peur ; l’évêque de Cracovie en lutte permanente contre le totalitarisme communiste n’a pas eu peur ;le cardinal qui poussa Paul VI à promulguer Humanae Vitae n’a pas eu peur. Dans un monde bipolaire où l’Occident vivait sous la menace des SS 20 d’Allemagne de l’Est, cette parole prophétique a fait l’effet d’une bombe. Jean-Paul II fut l’incarnation du courage, jusqu’à la fin. Ses dernières années furent aussi le témoignage émouvant d’un homme usé, malade, épuisé, dont le regard clair et la voix toujours forte ont proclamé à la face du monde la magnifique dignité de la personne humaine.

    Karol Wojtyła était un géant que le monde a adoré détester. L’Église qui l’honore aujourd’hui rend hommage à un de ses plus grands papes. Un de ceux qui ont permis la renaissance d’une institution bimillénaire, qui lui a redonné la foi, l’espérance et la charité. Un homme dont la parole a sauvé une génération de chrétiens tentés par la tiédeur. Qu’il soit reconnu saint n’est qu’une immense action de grâce."

    Michel Janva

  • Nouvelle provocation d’Obama vis-à-vis du Saint Siège

    Ce n’est pas la première. Déjà le Vatican avait été obligé de refuser la nomination d’un ambassadeur américain envoyé par Obama parce qu’il était favorable à l’avortement. Un jour il déclara que Dieu « bénissait » l’activité de Planned Parenthood International(l’équivalent du planning), organisation qui fait la promotion de l’IVG dans le monde entier.

    Cette fois-ci il envoie une délégation pro-avortement aux cérémonies de canonisation de Jean XXIII et de Jean-Paul II. Or, le pape François à la suite de ses prédécesseurs a fait de multiples déclarations sur le sujet appelant l’avortement « un indicible crime ».

    Cette délégation comporte :

    • John Podesta , l’ancien chef de la Maison Blanche sous Bill Clinton et conseiller actuel du président. Il a fondé le Centre de gauche de réflexion pour le Progrès de l’Amérique.
    • Le républicain Xavier Becerra, président de la Chambre Caucus démocratique classé 100 % pro-avortement par le groupe pro-choix NARAL qui finance et soutient toutes les initiatives en faveur de l’avortement.
    • Katie Beirne Fallon, adjointe au président et directrice des affaires législatives à la Maison Blanche.

    Lire la suite 

  • Manuel Valls a été hué par les pèlerins français

    Les catholiques français ont hué le premier ministre à son arrivée à la tribune, avant le début de la cérémonie de ce matin à Rome.

    Précision très importante de Mgr Podvin : les Français, place Farnèse, n'ont pas sifflé Valls pendant la messe, mais lors de son arrivée.

    A l'issue de la messe, Manuel Valls a rapidement salué le Souverain Pontife (d'après nos informations, le Premier ministre aurait dit au pape qu'il n'y avait que 10 000 personnes sur la place...) :

    V

    Michel Janva

  • Les numéros Hors-Série de L'Homme Nouveau

    L’abonnement aux numéros hors-série de L'Homme Nouveau, c’est :

    • 4 numéros par an
    • sur des thèmes d’actualité et de fond
    • au tarif exceptionnel de 25 € par an (19€ en format numérique)

    ALes hors-série de L’Homme Nouveau sont un outil privilégié pour s’instruire et se former sur des thèmes controversés.  Grâce aux compétences de spécialistes (historiens, philosophes, écrivains…) les différentes facettes de chaque sujet sont traitées de façon pédagogique mais approfondie. Les lecteurs définissent ainsi la « marque » de L’Homme Nouveau : un journal « fidèle à l’Église »« qui forme et réinforme ».

    Les thèmes des numéros précédents :

    1. Les 60 ans du dogme de l’Assomption
    2. Jean-Paul II
    3. J’ai voulu avorter, enquête au Planning familial
    4. 10 mythes anti-chrétiens. L’histoire répond.
    5. Pour en finir avec Satan
    6. Quand l’Église en Chine s’éveillera
    7. Les soins palliatifs, répondre à l’euthanasie
    8. Ils ont écrit sur Jeanne d’Arc
    9. 50 ans après Vatican II
    10. Mariage et adoption pour tous ? La vérité sur une manipulation idéologique
    11. De Benoît XVI à François Ier, Habemus Papam
    12. À l’école de la Visitation
    13. Y a-t-il trop d’hommes sur terre ? Enquête au cœur de l’eugénisme
    14. Des martyrs aux dissidents… Ils n’ont rien lâché !

    Vous pouvez vous abonner et/ou commander les numéros de votre choix au tarif préférentiel de 5 € l’unité en appelant le 01 53 68 99 76 ou ici.

    Michel Janva

  • Autour de la politique religieuse

    On a vu, en ces dernières années, se répandre chez trop de nos catholiques, un singulier état d’esprit ; il consiste à tenir le christianisme pour une panacée politico-sociale, capable de remédier par elle-même à tous les maux politiques. Rien de plus fallacieux et de plus illusoire, si l’on songe que la diffusion du christianisme n’a pas suffi à tout arranger dans la société. C’est risquer de le compromettre que d’en attendre des réalisations parfaites dans un ordre politique et terrestre qui n’est pas sa fin propre.

    Mais cet apparent optimisme religieux ne cacherait- il pas une sorte de renoncement à agir dans le monde, par impuissance à en résoudre les difficultés ? Car cette postulation messianique d’une cité parfaite, dont tous les citoyens seraient des saints, s’accommode fort bien d’un pessimisme catastrophique à l’endroit de la cité présente, que l’on renonce du même coup à organiser et qu’on abandonne « au processus de corruption » qui la travaille. Faudra-t-il donc attendre la conversion de tous les citoyens pour rétablir l’ordre dans la rue, l’honnêteté dans la vie publique, la responsabilité dans les corps de l’État ? Un tel absolutisme politico-religieux mène pratiquement à une sorte d’indifférentisme civique qui fait de ceux qui s’en réclament de véritables émigrés de l’intérieur.

    HENRI MASSIS

    Les idées restent Lyon, Lardanchet, 1941

    Si ces lignes étaient signées Charles Maurras, on crierait au naturalisme, mais elles sortent de la plume d’un écrivain catholique, qui, après L’Enquête d’Agathon avec Alfred de Tarde, a écrit sur Ernest Psichari et Jacques Rivière, qui a composé deux séries de Jugements (Renan, Barrès, Gide etc.), défendu le thomisme avec Maritain, avant de se séparer de lui après 1926, quand Rome crut bon de condamner l’Action française, condamnation fort provisoire levée par Pie XII dès 1939. Henri Massis était rédacteur en chef de la Revue Universelle que dirigeait Jacques Bainville. Sa Défense de l’Occident révèle parfois des accents prophétiques. Henri Massis a rassemblé dans Les idées restent des pages sur l’art, la littérature, la morale, la politique et l’histoire « non pas comme une anthologie, mais comme une somme des réalités essentielles éparses dans ses livres ».

    “Indifférentisme”

    Nous relèverons quelques expressions : « panacée politico-sociale » marque déjà une réserve ; le christianisme est présenté comme le remède miracle de guérisseurs qui ne sont pas des médecins. « C’est risquer de le compromettre » souligne une réserve encore plus grande. La religion en tant que telle ne doit pas être impliquée dans les luttes de la cité qui ne sont point « sa fin propre ». Henri Massis parle ensuite de « postulation messianique » : nous risquons de  sortir de l’ordre politique et naturel pour entrer dans une sorte de "sens de l’histoire"  que le catholicisme traditionnel a toujours r e j e t é . « L a conversion de t o u s l e s c itoyens » pour « l’ordre dans la r u e » r e l è v e d’une utopie moralisante, moralisatrice. L’ordre dans la rue se situe avant la cité de Dieu.

    Mais que deviennent nos catholiques entraînés dans cette nébuleuse ? Ils vont tomber dans un « absolutisme politico-religieux », la pire des attitudes politiques qui les mènera à un « indifférentisme civique » . Ils deviendront naïvement les complices du désordre et de l’erreur puisqu’ils ne prendront pas parti pour ceux qui ont politiquement raison. Qui se résigne à voir la France en république travaille en fait pour le désordre qui est l’anarchie dans les têtes avant même de l’être dans l’État.

    Lisons le De Regno de saint Thomas, nous avons un exposé de politique naturelle. La Politique tirée de l’Écriture sainte de Bossuet ne se réfère pas non plus à l’enseignement de l’Évangile, elle induit des préceptes politiques de l’histoire du peuple hébreu dans l’Ancien Testament à la lumière des principes d’Aristote et de saint Thomas. L’épanouissement spirituel de l’homme suppose l’ordre dans la cité, mais il ne le fonde pas. "Politique d’abord."

    Gérard Bauddin L’Action Française 2000 n° 2748 – du 15 mai au 4 juin 2008

  • Autour de la politique religieuse

    On a vu, en ces dernières années, se répandre chez trop de nos catholiques, un singulier état d’esprit ; il consiste à tenir le christianisme pour une panacée politico-sociale, capable de remédier par elle-même à tous les maux politiques. Rien de plus fallacieux et de plus illusoire, si l’on songe que la diffusion du christianisme n’a pas suffi à tout arranger dans la société. C’est risquer de le compromettre que d’en attendre des réalisations parfaites dans un ordre politique et terrestre qui n’est pas sa fin propre.

    Mais cet apparent optimisme religieux ne cacherait- il pas une sorte de renoncement à agir dans le monde, par impuissance à en résoudre les difficultés ? Car cette postulation messianique d’une cité parfaite, dont tous les citoyens seraient des saints, s’accommode fort bien d’un pessimisme catastrophique à l’endroit de la cité présente, que l’on renonce du même coup à organiser et qu’on abandonne « au processus de corruption » qui la travaille. Faudra-t-il donc attendre la conversion de tous les citoyens pour rétablir l’ordre dans la rue, l’honnêteté dans la vie publique, la responsabilité dans les corps de l’État ? Un tel absolutisme politico-religieux mène pratiquement à une sorte d’indifférentisme civique qui fait de ceux qui s’en réclament de véritables émigrés de l’intérieur.

    HENRI MASSIS

    Les idées restent Lyon, Lardanchet, 1941

    Si ces lignes étaient signées Charles Maurras, on crierait au naturalisme, mais elles sortent de la plume d’un écrivain catholique, qui, après L’Enquête d’Agathon avec Alfred de Tarde, a écrit sur Ernest Psichari et Jacques Rivière, qui a composé deux séries de Jugements (Renan, Barrès, Gide etc.), défendu le thomisme avec Maritain, avant de se séparer de lui après 1926, quand Rome crut bon de condamner l’Action française, condamnation fort provisoire levée par Pie XII dès 1939. Henri Massis était rédacteur en chef de la Revue Universelle que dirigeait Jacques Bainville. Sa Défense de l’Occident révèle parfois des accents prophétiques. Henri Massis a rassemblé dans Les idées restent des pages sur l’art, la littérature, la morale, la politique et l’histoire « non pas comme une anthologie, mais comme une somme des réalités essentielles éparses dans ses livres ».

    “Indifférentisme”

    Nous relèverons quelques expressions : « panacée politico-sociale » marque déjà une réserve ; le christianisme est présenté comme le remède miracle de guérisseurs qui ne sont pas des médecins. « C’est risquer de le compromettre » souligne une réserve encore plus grande. La religion en tant que telle ne doit pas être impliquée dans les luttes de la cité qui ne sont point « sa fin propre ». Henri Massis parle ensuite de « postulation messianique » : nous risquons de  sortir de l’ordre politique et naturel pour entrer dans une sorte de "sens de l’histoire"  que le catholicisme traditionnel a toujours r e j e t é . « L a conversion de t o u s l e s c itoyens » pour « l’ordre dans la r u e » r e l è v e d’une utopie moralisante, moralisatrice. L’ordre dans la rue se situe avant la cité de Dieu.

    Mais que deviennent nos catholiques entraînés dans cette nébuleuse ? Ils vont tomber dans un « absolutisme politico-religieux », la pire des attitudes politiques qui les mènera à un « indifférentisme civique » . Ils deviendront naïvement les complices du désordre et de l’erreur puisqu’ils ne prendront pas parti pour ceux qui ont politiquement raison. Qui se résigne à voir la France en république travaille en fait pour le désordre qui est l’anarchie dans les têtes avant même de l’être dans l’État.

    Lisons le De Regno de saint Thomas, nous avons un exposé de politique naturelle. La Politique tirée de l’Écriture sainte de Bossuet ne se réfère pas non plus à l’enseignement de l’Évangile, elle induit des préceptes politiques de l’histoire du peuple hébreu dans l’Ancien Testament à la lumière des principes d’Aristote et de saint Thomas. L’épanouissement spirituel de l’homme suppose l’ordre dans la cité, mais il ne le fonde pas. "Politique d’abord."

    Gérard Bauddin L’Action Française 2000 n° 2748 – du 15 mai au 4 juin 2008

  • Le dieu unique de l'islam ne connaît pas l'amour

    Dans Chesterton face à l'islam, Philippe Maxence présente la vision chestertonienne de l’islam, bien utile à l'heure où l'islam se fait de plus en plus menaçant. En s'appuyant sur des extraits des ouvrages et articles du romancier et journaliste britannique, l'auteur décrit la nature profonde de cette religion. Chesterton fait notamment un rapprochement entre l'islam et l'hérésie unitarienne, qui consiste à nier la Trinité pour considérer que Dieu n'est qu'une seule personne. Cela rejoint l'affirmation de la foi musulmane Extrait :

    C"Ignorer cette fixation sur l'unicité de Dieu, Un, non seulement dans sa substance mais dans sa personne, c'est risquer de ne rien comprendre à l'islam et jusqu'à sa volonté conquérante également inscrite profondément en lui. Car la conquête est permise et si l'on peut dire, elle est naturelle pour les disciples d'un Dieu qui étant seul ne peut pas aimer et ne connaît dès lors que la loi de la soumission. Pour les chrétiens de bonne volonté, ignorer cette insistance sur l'unicité de la part des disciples de Mahomet, c'est risquer également de se fourvoyer dans un dialogue islamo-chrétien qui risque de se révéler un véritable marché de dupes. Le Dieu des chrétiens et des musulmans n'est pas le même ou, plus exactement, la manière dont chrétiens et musulmans présentent Dieu n'est pas la même et, de ce fait, les répercussions théologiques de cette différence sont abyssales et nombreuses."

    Michel Janva

  • Hollande ignore Pâques

    Gérard Leclerc est un journaliste, philosophe et essayiste. Il est éditorialiste à France catholique et à Radio Notre-Dame. Il vient d’être interrogé par "Le Figaro" au sujet du nouvel "oubli" par François Hollande de l’existence de la fête de Pâque, un élément supplémentaire dans l’action cathophobe des milieux dirigeants.

    François Hollande oublie Pâques : faut-il renier les racines chrétiennes de la France ?

     

    François Hollande n’a pas souhaité une bonne fête de Pâques aux catholiques français. Rien d’étonnant à première vue, car la France est un pays laïque. Néanmoins, on se souvient qu’il avait adressé ses « vœux de bonheur, de santé et de réussite aux musulmans de France » pour la fête de l’Aïd qui clôture le ramadan. Que vous inspire ce deux poids, deux mesures ?

    Gérard Leclerc : Le salut aux musulmans de François Hollande est de nature opportuniste et politique. C’est une clientèle électorale essentielle au Parti socialiste, qui est en train de lui échapper à cause des réformes sociétales, et qu’il s’agit de bien soigner.

    Cela témoigne-t-il d’une hostilité particulière que vouerait le président aux catholiques suite à l’affaire du mariage pour tous, ou plus généralement une indifférence de la classe politique française à l’égard des catholiques ?

    Je pense qu’il s’agit d’un problème propre à François Hollande, mais qui rejoint également une tradition et une culture française. Comme l’a souligné Samuel Pruvot dans son livre "François Hollande, Dieu et la République"(Salvator, 2013), François Hollande s’est éloigné du catholicisme, pourtant prégnant dans sa famille, et retranché dans un agnosticisme fermé à l’égard de toute inquiétude religieuse.

    Il rejoint ainsi une tradition française positiviste née avec les Lumières qui ont eu en France une tonalité bien particulière par rapport à d’autres pays européens, celle d’une philosophie antichrétienne et anticatholique qui a débouché sur la déchristianisation entreprise par la Révolution française. De là provient l’ambiguïté fondamentale de la notion de laïcité dont on ne sait pas si elle traduit une neutralité du pouvoir ou la promotion délibérée d’un athéisme d’État.

    De l’autre coté de la Manche, David Cameron s’est fait tacler par des intellectuels pour avoir parlé de l’Angleterre comme d’un « pays chrétien ». Selon vous, David Cameron a-t-il raison d’assumer le caractère chrétien de son pays ?

    David Cameron fait preuve d’indépendance et de liberté en osant rappeler de telles vérités. Il y a fort à parier que, hormis la fronde d’intellectuels et d’artistes qui s’est déclenchée contre lui, l’opinion publique, elle, le suit.

    En France, il serait très difficile pour un homme politique de droite de tenir un tel discours. Il y a une pudeur, pour ne pas dire une gêne à droite sur ce sujet. Le premier à avoir manifesté son hostilité à la mention des « racines chrétiennes de l’Europe », c’est Jacques Chirac, dans la lignée du radical-socialisme plutôt que dans celle du gaullisme (« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne », disait le Général) dont il se voulait l’héritier.

    Ce rejet des racines chrétiennes est une triste exception française due à notre histoire très conflictuelle et à la rupture de la Révolution française. En Allemagne, Angela Merkel, fille de pasteur, n’hésite pas à employer le langage religieux dans ses discours et plaide pour des « racines chrétiennes de l’Europe ».

    La suite sur le blog de l’Action française Provence

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Hollande-ignore-Paques

  • Al Qaïda déclare la guerre au Hezbollah

    croah.fr:
    Le chef du réseau terroriste d’Al Qaïda, une invention de la CIA, a déclaré la guerre au Hezbollah, en guerre contre les takfiris au Liban.Cette déclaration de guerre a été assaisonnée bien évidement par quelques phrases anti-américaines pour ne pas éveiller le soupçon: un enregistrement vidéo du chef-terroriste appelle dans sa première partie à « la capture des Américains et des Occidentaux » avant d’appeler à « l’assassinat des combattants du Hezbollah en Syrie » ! « Le Hezbollah est l’ennemi juré des musulmans, de leur dignité et de leur honneur, mais surtout, il est l’allié d’Assad. C’est pourquoi il faut se battre légitimement contre le Hezbollah, car le parti a une vitrine en la personne de Nasrallah. »
    Al Zawahiri, chargé de provoquer la destruction totale de la Syrie, a évidemment oublié d’expliquer en quoi le Hezbollah a entaché l’honneur des musulmans, lui qui est la seule partie dans tout le monde islamique à avoir vaincu le régime sioniste !
    Dans la suite de son enregistrement, Al Zawahiri prétend que les « djihadistes » fait peser le plus grand danger à Israël (ndlr : oubliant toujours de souligner l’alliance militaire et logistique entre Israël et les takfiris qui n’est plus un secret pour personne) et demande à ce que ces mêmes djihadistes capturent le plus grand nombre d’Occidentaux en Syrie et ailleurs pour les échanger contre les prisonniers qaïdistes.
    En effet, ce genre d’appel ne trompe personne : étant allié d’Israël, Al Qaïda a peur des victoires de l’axe de la résistance qui se succèdent sur le terrain des combats.
    Source : Iran French Radio

    Note de la rédaction de Croah
    Après les nombreuses défaites americano-sionisto-takfiristes en Syrie, l’heure de faire tomber les masques commence à approcher ; les marionnettes dévoilent leur jeu, tel un joueur de Poker bien connu du plateau de Michel Drucker…

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/al-qaida-declare-guerre-au-hezbollah_106242.html

  • Roumanie – Un prêtre orthodoxe candidat aux élections européennes pour défendre la Famille contre la culture homosexuelle et mortifère

    iulian-capasali-candidat-famille-roumanie-mpi

    Roumanie – Iulian Capsali est un prêtre orthodoxe roumain qui sera candidat indépendant aux élections européennes pour défendre la Famille. Il a obtenu suffisamment de signatures pour se présenter. Il se présente comme « le candidat de la famille roumaine » et va faire campagne contre l’avortement, l’idéologie du genre et « la culture homosexuelle ».

    Le père Iulian Capsali est parvenu à rassembler plus de 120 000 signatures afin de pouvoir se présenter aux élections européennes de mai 2014. L’Église orthodoxe a largement contribué à cette récolte de signatures. La Roumanie fait partie des sept États membres ( Bulgarie, Chypre, l’Estonie, l’Irlande, Malte et le Royaume-Uni) où des candidats indépendants peuvent se présenter pour les européennes.

    Lire la suite