De nombreux médias américains ont révélé, le mercredi 11 novembre, qu’Albert Bourla, le PDG de Pfizer, avait vendu, lundi 9 novembre, pour 5,6 millions de dollars d’actions du laboratoire américain.
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Le jour de l’annonce du vaccin anti-Covid, l’action Pfizer bondit de 7 %… son PDG en vend pour 5,6 millions de dollars
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LE COVID VA DURER... VERS UN NOUVEAU PARADIGME SOCIO-ÉCONOMIQUE
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Etat-providence et despotisme sanitaire
Dans l’Incorrect, Thibaud Collin dénonce le caractère disproportionné et injuste de l’interdiction des cultes publics :
L’État moderne trouve grâce à Thomas Hobbes (1588-1679) sa justification dans l’impérieux désir des individus de se soustraire à la peur de la mort violente, inhérente à l’état de nature pré-social (« la guerre de tous contre tous »). Ils sacrifient leur liberté naturelle à l’État souverain afin qu’en retour celui-ci garantisse leur sécurité. Hobbes fonde ainsi la science politique moderne sur une condition nécessaire et égale pour tous : la fuite du mal absolu qu’est la mort. Tel est, considère-t-il, le seul moyen de sortir des divisions sociales engendrées par la poursuite du bien ultime. L’unité de la société politique ne tient plus à une quête illusoire du bien commun mais à la peur, bien réelle, d’un mal commun mettant ainsi « tout le monde d’accord ». La mort devient la nouvelle figure de l’absolu disqualifiant la question surnaturelle du salut et de la damnation. L’État est cet artifice par lequel les hommes s’assurent une société paisible, jouissant dans leur vie privée des libertés individuelles que celui-ci, ce « dieu mortel », leur garantit.
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Confinement: près de 90.000 PV dressés en moins de deux semaines en France
Selon une information du ministère de l’Intérieur relayée jeudi par RMC, entre le 30 octobre et le 10 novembre, 88.455 procès-verbaux ont été établis pour non-respect du confinement en France. Près d’un tiers d’entre eux, environ 30%, ont été dressés en Ile-de-France.
Dans le détail, 91,4% de ces verbalisations concernaient des déplacements individuels non-autorisés, entraînant une amende de 135 euros. L’ouverture irrégulière d’établissements recevant du public ou de lieux de réunion, comme des restaurants et des salons de coiffure, a donné lieu à 315 PV.
Pour rappel, lors du premier confinement, qui s’est déroulé entre le 17 mars et le 11 mai 2020 ,plus de 12,5 millions de contrôles avaient été effectués en un mois et plus de 760.000 amendes infligées par les forces de l’ordre.
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Sur Sud Radio, Covid19 : Faut-il rendre la vaccination obligatoire ?
Philippe Rossi avec Philippe Bilger, Caroline Pilastre, Michel Pourzol et Dr. Philippe Vermesch, président du Syndicat des Médecins Libéraux.
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LE COVID EST-IL UNE MALADIE FAKE ? ENTRETIEN AVEC UN DOCTEUR CHERCHEUR EN BIOLOGIE
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Le reconfinement : brutal, injuste, infantilisant, kafkaïen et amateuriste
par (son site)
Heureusement pour lui que les Français se sont convaincus de la nécessité de ce second confinement. Car sans cela, il y a fort à parier que la gestion effarante du gouvernement aurait pu entrainer une véritable révolte de la population contre ce gouvernement qui démontre une nouvelle fois toutes les lacunes de cette équipe, autoritaire, profondément inégalitaire, et bien peu professionnelle.
Ni la santé, ni l’économie, ni la liberté
Bien sûr, l’augmentation du nombre de morts et des personnes hospitalisées et en réanimation justifie sans doute que des mesures fortes aient été prises pour contenir l’épidémie. Mais le confinement à la Française n’était probablement pas la seule option disponible, comme le simple tour d’horizon des autres pays européens le démontre. Pire, comment ne pas incriminer le gouvernement pour l’échec de sa stratégie de test, le moyen clé de la réussite d’autres pays ? En effet, si les résultats des tests étaient arrivés immédiatement, alors, il aurait été possible de « tester, tracer, isoler » et probablement de fortement réduire l’ampleur de cette seconde vague. A posteriori, il semble que ce gouvernement se soit satisfait de la hausse de la capacité de tests sans même s’assurer que les délais de traitement seraient suffisamment courts. Pourtant, le temps n’a pas manqué pour s’en assurer.
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Reconfinement : Gérald Darmanin a adressé une note aux préfets pour leur demander un «renforcement» des contrôles de police
RT – Un début de reconfinement trop laxiste ? Dans une note envoyée aux préfets le 10 novembre, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a notamment appelé à accorder une «attention spécifique» aux contrôles dans «les parcs et jardins».
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a adressé une note aux préfets pour leur demander un «renforcement» des contrôles du confinement, a appris l’AFP le 10 novembre, confirmant une information d’Europe 1.
Le message, envoyé la veille à l’ensemble des préfets et consulté par l’AFP, a pour objet le «renforcement des actions de contrôles du confinement». Après une «première phase de forte volonté d’explication et de nécessaire pédagogie […] il faut désormais que chaque Français prenne conscience de la nécessité de respecter strictement les règles de confinement», écrit le ministre.
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Gestion de la crise du Covid-19 : le parquet de Paris ouvre quatre informations judiciaires
À la suite d’une vaste enquête préliminaire, le pôle Santé publique du parquet de Paris vient d’annoncer l’ouverture, ce mardi 10 novembre, de quatre informations judiciaires sur la gestion critiquée de la crise du Covid-19, relate France Bleu.
253 plaintes contre les décideurs et organismes publics
Quatre informations judiciaires distinctes ont ainsi été ouvertes contre X pour « abstention volontaire de combattre un sinistre », « mise en danger de la vie d’autrui » et « homicides et blessures involontaires ».
En juin dernier, le procureur Rémy Heitz précisait que l’enquête préliminaire « n’était pas là pour définir des responsabilités politiques ou administratives, mais pour mettre au jour d’éventuelles infractions pénales » de décideurs nationaux. L’ouverture de ces quatre informations judiciaires fait suite au dépôt de « 253 des 328 plaintes mettant en cause des décideurs et des structures publics nationaux dont le parquet de Paris a été destinataire depuis le 24 mars ».
Cette enquête nationale ne concerne pas les établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD), qui font l’objet d’enquêtes locales, dont deux à Paris, mais également à Nanterre ou Grasse (Alpes-Maritimes).
Le mois de juillet dernier, une autre information judiciaire visant Édouard Philippe, Olivier Véran et Agnès Buzyn avait été ouverte au sujet de leur gestion de la crise sanitaire avec une enquête confiée à la Cour de justice de la République. Le 15 octobre, plusieurs perquisitions avaient été menées. Parmi les personnalités concernées figuraient le ministre de la Santé et l’ex-Premier ministre.
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Raoult, gilets jaunes : brûler ce que nous avons adoré!