Près de 300 universitaires, scientifiques, professionnels de la santé et de divers domaines ont signé, dernièrement, une tribune pour dénoncer le confinement, qui serait un remède pire que le mal. Seuls quelques sites comme Alternative Santé s’en sont fait l’écho, et pourtant, les arguments avancés auraient mérité d’être entendus par le plus grand nombre.
santé et médecine - Page 175
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Confinement : un remède pire que le mal ?
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Philippe de Villiers: «C’est au virus islamiste qu’il faut faire la guerre»
Philippe de Villiers déplore le traitement différentiel entre le coronavirus et le virus islamiste. Pour lutter contre le premier, le gouvernement n’hésite pas à mettre en oeuvre des mesures d’exception contestables tandis que pour face au second, qui relève selon lui d’ «une vraie agression invasive», on refuse de prendre des mesures de guerre au motif qu’elles pourraient être liberticides.
Une tribune publiée sur Figarovox.Tout est hors de contrôle: le Covid, le terrorisme. Emmanuel Macron court derrière, il court après les mots, après les morts, martial, impuissant. Le champ lexical utilisé depuis le printemps – «Nous sommes en guerre» – apparaît aujourd’hui comme une outrance et un terme inapproprié: l’épidémie court toujours et les terroristes aussi. Affleure dans la tête des Français, désemparés, l’idée que le pays n’est pas gouverné et que l’État est aux mains d’une bande d’amateurs.
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Hydroxychloroquine : «Tous les scandales de santé publique commencent comme ça»
Entretien du 30/10/2020 avec Fabrice Di Vizio, avocat du collectif C19 et de l’association Victimes Covid-19 France. Il revient sur le recours qu’il a déposé au Conseil d’Etat accompagné d’une plainte au pénal après le refus de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) d’autoriser plus largement l'hydroxychloroquine prônée par le professeur Didier Raoult.
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« Oser dire que les maires comme moi sont des irresponsables est une insulte », Robert Ménard face au préfet de l’Hérault
Cet après-midi, le Tribunal administratif de Montpellier se penche sur les arrêtés permettant la réouverture des commerces « non-essentiels » malgré l’application du confinement. A la barre, deux maires organisent leur propre défense : Robert Ménard et Louis Aliot.
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Cafouillage au Gouvernement : Jean Castex dément un nouveau couvre-feu à Paris
Ce mardi matin, Gabriel Attal était l’invité de Jean-Jacques Bourdin, sur RMC. Le porte-parole du Gouvernement a annoncé la mise en place d’un nouveau couvre-feu sur Paris et la région parisienne, en plus des mesures de confinement. Une information démentie par le Premier ministre dans la foulée.
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Espagne – La colère explose contre la dictature sanitaire
Espagne – De Madrid à Barcelone, la colère populaire explose contre les mesures de restrictions prises par les autorités politiques sous prétexte de lutter contre l’épidémie de coronavirus.
Durant la soirée et la nuit de dimanche à lundi, de nombreux affrontements ont éclaté entre manifestants et policiers dans plusieurs villes d’Espagne.
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DEVOIR DE REBELLION ?
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
En Seine et Marne, qu’on se le dise, tout contrevenant à l’arrêté préfectoral n°2020 PJI/92 portant complément aux mesures gouvernementales relatives à la Covid 19, si le port du masque sur la voie publique n'est pas effectif, sera puni en cas de violation à plus de trois reprises dans un délai de trente jours, de six mois d’emprisonnement, - oui, vous avez bien lu ! -, et de… 3 750 euros d’amende. Mais, ouf, le summum du ridicule a été évité, les conducteurs d’automobiles comme les sportifs et les cyclistes sur leur vélo, ne seront pas obligés de porter le masque. Rien n’est dit pour les cavaliers. Zorro en rigole encore….
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Déjà plus de 100 Maires soutiennent la réouverture des commerces locaux
Jean-Pierre Gorges, Maire de Chartres, Président de Chartres métropole, à l’initiative des Maires Indépendants :
Lancée samedi 31 octobre 2020 par Jean-Pierre GORGES, Maire de Chartres, Président de Chartres métropole, une pétition rassemble déjà plus de 100 Maires en faveur de la réouverture des commerces locaux.
Sans remettre en cause le reconfinement en cours, personne ne comprend la distinction entre les commerces prétendument essentiels et les autres.
Cette différenciation est vécue comme une discrimination.
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Le confinement de trop ? La fronde des maires
L’impréparation du second confinement crée de très fortes tensions entre l’exécutif et les Français. La fermeture des « commerces non essentiels » – malgré l’extraordinaire effort de mise en sécurité sanitaire du moindre bistrot, de la plus petite échoppe de cordonnier – prend des allures de provocation. Aussi la résistance s’organise-t-elle partout.
La révolte des commerçants et artisans, dans les années 1950, celle de Gérard Nicoud et du CIDUNATI, vers 1970, ou encore celle de Christian Poucet, vingt ans plus tard, avaient des causes bien précises : le développement anarchique et sans limite des grandes surfaces, qui a ruiné des dizaines de milliers d’entre eux.
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Magasins d'Etat.
L'avis de Jean-François TouzéInterdire la vente de livres, de disques, de jouets, de bijoux, de maroquinerie dans les grandes surfaces, comme se prépare manifestement à le faire le gouvernement à quelques semaines de Noël, n'est pas une mesure d'équité mais une punition de plus pour les Français déjà privés de leurs commerces de proximité.Incapable de justifier leurs décisions iniques de fermeture des commerces "non essentiels", Macron et Castex préfèrent niveler par le bas et renforcer la chappe de plomb. Au lieu de rouvrir les boutiques, le pouvoir choisit la fuite en avant et renforce par la même occasion son verrouilage.Le resserrement, par ailleurs, des "jauges d'entrée" dans les supermarchés, créera inévitablement les conditions de files d'attente interminables et contraires aux impératifs sanitaires.Voici venu le temps des magasins d'Etat. Ne manquent plus que les tickets de rationnemements et les bons d'achats.Petit à petit, la France glisse dans l'obscurité soviétique. Masques en plus.