
L’association de consommateurs l’UFC-Que choisir dénonce une « multiplication et un allongement des pénuries de médicaments », relate Le Parisien. La responsabilité incombe, selon elle, à la fois aux laboratoires et aux autorités.
Selon l’UFC-Que choisir, 75 % des pénuries concernent des médicaments commercialisés depuis plus de vingt ans et des produits à faible marge, vendus moins de vingt euros : corticoïdes, anesthésiants, anticancéreux, antalgiques, vaccins.







