Les Français peuvent donc être assignés à résidence à titre préventif, pour la deuxième fois cette année, mais pas les fichés S : il paraît que c’est contraire à notre Constitution. Dans le même registre, le principe de précaution au nom duquel l’exécutif vient de décider la paralysie économique de nombreux secteurs de l’économie réelle (cafés, bar, restaurants, commerces de proximité) ne s’applique pas à l’arrivée de migrants sur notre sol dont on ne sait, le plus souvent, rien du parcours de vie, mais dont le vivier fournit régulièrement les terroristes islamistes qui frappent sur notre sol.
santé et médecine - Page 175
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On confine les Français, mais pas les terroristes islamistes
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SOUTIEN TOTAL AUX MAIRES FRONDEURS QUI AUTORISENT LES PETITS COMMERCES À OUVRIR ! (pétition)
Confinement et fermeture des commerces (mais pas des "gros", les grandes surfaces) : la colère monte chez les Maires et certains prennent un arrêté poir laisser les commerces non-alimentaires de leusr villesouverts : ils ont raison !
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Véronique Besse : « Il faut arrêter de stigmatiser les petits commerces de proximité alors qu’ils se sont préparés ! »
Comme plusieurs autres maires (Montauban, Villeneuve-Loubet, Béziers, Yerres, Perpignan, Barneville-Carteret, Fresnay-sur-Sarthe, Salbris…), Véronique Besse, maire des Herbiers (Vendée), a pris un arrêté de réouverture des petits commerces “non essentiels” de sa ville. Elle explique ses raisons au micro de Boulevard Voltaire. « Il y a aujourd’hui moins de risques d’aller dans un petit commerce de proximité que dans une grande surface ! »
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J’accuse le gouvernement de propager la misère économique et sociale en France
Le premier confinement a détruit 700.000 emplois, qui se transformeront bientôt en une destruction d’un million d’emplois, et même 1,5 million d’emplois après le deuxième confinement, selon les économistes. « Nous n’avons jamais vécu une situation pareille depuis la Deuxième Guerre mondiale, et il y a urgence », affirme la secrétaire générale du Secours populaire, Henriette Steinberg. Un million de Français de plus ont basculé dans la pauvreté, une personne sur quatre ne mange pas à sa faim, un tiers des Français renoncent à des soins, faute d’argent.
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Lettre ouverte au temps de la « crise » du Covid 19
Lettre ouverte reçue d'un lecteur de ce blog sous forme de commentaire, merci à lui ou à elle
Remerciement aux femmes et hommes qui osent réfléchir, contester et partager leurs interrogations…
Nous avons découvert avec stupeur le pouvoir des laboratoires, les liens et conflits d’intérêts entre le monde la recherche, le monde politique et ces mêmes laboratoires ; que l‘on pouvait priver les médecins de leur libre arbitre et de leur liberté de prescrire ; à quel point le système de santé est fragile et que nous - les pays les plus riches du monde - pouvons manquer de tout (lits, masques, test, blouses, gants, respirateurs, médicaments...), tandis que nos responsables continuent de refuser de payer le personnel médical de façon décente ;
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Covid-19 : les Français ne sont pas coupables
Une tribune d’Ivan Rioufol publiée le 28 octobre 2020, juste avant la prise de parole d’Emmanuel Macron.
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Non, les Français ne sont pas responsables de l’épidémie de Covid-19. Ils n’ont pas à être punis de n’avoir pas été sages cet été. La deuxième vague, annoncée depuis des mois par le discours catastrophiste, donne enfin raison à Olivier Véran, ministre de la Santé. Selon les projections, cette flambée saisonnière semble sérieuse. Pour autant, il est insupportable d’infantiliser les citoyens en les déclarant coupables. C’est ce raisonnement que devrait tenir, ce mercredi soir, Emmanuel Macron en annonçant d’autres interdits. -
Gérard Maudrux : « Tout est fait pour empêcher les médecins de travailler »
Ancien chirurgien, président de la Caisse Autonome de Retraite des Médecins de France (CARMF) et de la Caisse d'Assurance Maladie des Professions Libérales de Province, le docteur Gérard Maudrux ne pratique pas la langue de bois. Il répond avec son franc-parler coutumier aux questions de Monde et Vie.
M & V : Les médecins sont sujets à des arrêts maladie fréquents et le taux de suicides dans cette profession est trois fois plus élevé que la moyenne nationale. Comment expliquez-vous cette « déprime » du corps médical ?
Gérard Maudrux : Plusieurs raisons y concourent. La principale tient aux très lourdes contraintes administratives qu'ils subissent - la plupart de ceux qui se suicident font l'objet d'un véritable harcèlement de la part des caisses d'assurance maladie, alors qu'ils sont par ailleurs surchargés de travail, stressés et épuisés : les plus fragiles craquent. Les contrôles et contraintes exercés par l'administration leur font perdre beaucoup de temps, au détriment de leurs patients. Un chirurgien de l'Isère a récemment été condamné à rembourser une cinquantaine d'actes médicaux qu'il avait réalisés, parce qu'il n'avait pas rempli le compte-rendu obligatoire comme l'y obligent les textes. Débordé, il avait fait passer les soins donnés aux malades avant la paperasserie. Mais la Sécurité sociale considère que si le compte-rendu n'a pas été rempli, l'opération n'a pas eu lieu il a donc été condamné et n'a aucun recours contre cette brimade. Tout est fait aujourd'hui pour empêcher les médecins de travailler.
Le médecin est toujours tenu pour responsable
Leur « déprime » s'explique aussi par la dégradation de l’ambiance dans laquelle ils travaillent et par l'évolution de l'attitude des patients, qui a changé au cours des 30 dernières années. Les soins sont considérés comme un dû et les médecins n'ont pas le droit à l'échec non seulement leurs malades ne les remercient plus de leur avoir sauvé la vie, mais au moindre soupçon d'erreur, ils leur intentent un procès avec toutes chances de le gagner - les politiques votent des lois à cet effet. Si le malade meurt, quelle que soit la gravité de l'affection dont il souffre, le médecin en sera tenu pour responsable.
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[EXCLU] Didier Raoult va porter plainte pour mise en danger de la vie d’autrui contre l’ANSM
Depuis le début de la crise sanitaire, les débats autour de l’hydroxychloroquine, une molécule utilisée dans le protocole de soins du professeur Didier Raoult, ont fleuri partout, au point de transformer une question scientifique en hystérie générale. Il y a une semaine, l’ANSM, l’agence nationale de sécurité du médicament, a refusé une RTU, une recommandation temporaire d’utilisation pour l’hydroxychloroquine à l’infectiologue marseillais. Un refus infondé selon Didier Raoult qui rappelle que la molécule est utilisée depuis des décennies.
Mais sa colère ne s’arrête pas là, au contraire. En effet, face au refus de tester dans des conditions sérieuses l’hydroxychloroquine, les autorités de santé ont consenti il y a plusieurs mois à délivrer une ATU, autorisation temporaire d’utilisation, au médicament du laboratoire américain Gilead, le Remdesivir. Un médicament reconnu comme dangereux par la HAS, la Haute Autorité de Santé.Face à ce « deux poids deux mesures », Didier Raoult a donc décidé de saisir la justice en déposant une plainte pour mise en danger de la vie d’autrui contre l’ANSM. Son avocat, maître Fabrice di Vizio, nous explique cette affaire complexe.
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Reconfinement : Macron sonne la fin de nos libertés
Le confinement du printemps avait été traumatisant. Le nouveau confinement sera commencé à l’heure où nos lecteurs auront entre les mains cette édition papier, puisque la date de mise en place était annoncée pour ce jeudi à minuit. Il durera au moins quatre semaines. Autrement dit, le mois de novembre est d’ores et déjà plié pour tout ce qui concerne notre vie sociale, culturelle, familiale, religieuse. La période de tolérance expirera dimanche soir, puis toute la France va passer au régime du métro-boulot-dodo.
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Eric Zemmour : « En reconfinant, on nous mène à la mort économique (…) La politique d’un pays est défini par l’engorgement des hôpitaux…» (Vidéo)
Eric Zemmour : « En reconfinant, on nous mène à la mort économique (…) La politique d’un pays est défini par l’engorgement des hôpitaux…» Retrouvez l’émission face à l’info du 28 octobre 2020.