santé et médecine - Page 216
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LE DÉCONFINEMENT DE TOUS LES DANGERS
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Covid-19 : la Suède est-elle bientôt proche de l’immunité collective ?
L’épidémiologiste responsable de la stratégie de non-confinement en Suède estime que la région de Stockholm pourrait atteindre l’immunité collective, qui peut mettre fin à la propagation du virus, dès ce mois de mai.
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Faire peur afin d’éviter les soulèvements ?
Il n’est pas question de dire que la crise sanitaire n’existe pas, nous sommes nombreux à avoir des amis qui s’en sont allés ou des proches qui sont atteints ! Mais nos regrets et notre tristesse ne doivent pas nous faire oublier qu’il est une crise de plus grande ampleur : crise civilisationnelle s’il en est !
On ne le redira jamais assez : « tout est symbole ». Il faut avoir la lucidité et le courage de dire, pour employer un vieux mot français, ce que « monstre » ce symbole. Fût-ce dans ses aspects monstrueux. En la matière, et en paraphrasant ce que disaient, en leur temps, nos amis situationnistes, il convient donc d’établir un « véridique rapport » sur le libéral-mondialisme !
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Pour FrontPopulaire.fr, la revue de Michel Onfray, le combat de Didier Raoult contre le coronavirus.
Avec ses amis, Michel Onfray a décidé de créer une revue pour penser les jours "d’après". Son nom : FRONT POPULAIRE. Les auteurs : d’anciens élus, des gilets-jaunes, des enseignants, des juristes, des journalistes, des démographes…
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Gestion du Coronavirus : Macron et sa clique veulent s’auto-amnistier !
Alors que le Covid-19 met en lumière l’amateurisme, la dilettante et l’inefficacité de la Start-up nation dans la gestion d’une crise d’ampleur mondiale, les plaintes s’accumulent contre l’exécutif. La solution envisagée par Macron et ses acolytes pour ne pas avoir à rendre de compte fait pâlir de jalousie tous les dirigeants autoritaires du monde, l’auto-amnistie !
Trouvé sur VA : « Nombre de familles de victimes du virus, de collectifs de soignants ont déposé plainte sur le fondement d’infractions telles que la mise en danger d’autrui, les blessures involontaires ou encore l’homicide involontaire.
C’est dans ce contexte que les futurs textes législatifs et réglementaires vont être adoptés. Or, certaines mesures décidées par le gouvernement, dont l’ouverture des écoles, vont être mises en œuvre par les maires, qui pourraient donc engager leur responsabilité, y compris pénale, en cas de défaillances.
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Sans les nationalistes, le jour d’après sera comme celui d'avant.
Jean-François Touzé, ancien Conseiller régional francilien (FN), est aujourd'hui l'un des principaux responsables nationaux du Parti de la France. Depuis quarante ans, il a été de tous les combats pour la France française et pour la Civilisation européenne... Autant dire que nous en avons été, souvent, côte à côte.
De plus depuis quelques mois, plusieurs fois par semaine, il nous éclaire avec talent sur l'actualité en nous donnant son avis sur ce site ainsi que dans la revue Synthèse nationale. Voilà donc sa contribution à notre enquête sur l'"après crise", si toutefois un "après" il doit y avoir.
R.H.
Jean-François Touzé
En ces temps sombres où seule la petite lumière de l’espérance consent à nous être un fanal, grande est la tentation de croire à une automatique inéluctabilité transformatrice du « jour d’après ».
On se souviendra donc avec profit du sage conseil de Pythagore : « n'entretiens pas d'espoirs qui ne peuvent être espérés ».
Tout indique, en effet, que, sans un absolu bouleversement politique qui ne peut être que le fruit de combats militants renforcés, le monde post COVID-19 qui, au demeurant, sera nécessairement celui de l’avant prochaine crise quelle qu’en soit la nature, ressemblera fraternellement à celui d'avant.
En pire !
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Claude Rochet : Le monde d'après devra se faire sans eux. (EDLQ #6)
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Coronavirus : «Il est trop tôt pour dire si on pourra avoir des vacances» prévient Emmanuel Macron
Interrogé à l’issue de sa visite après une visite depuis une école de Poissy, dans les Yvelines ce mardi matin, au côté du ministre de l’Éducation Jean-Michel Blanquer, le chef de l’État Emmanuel Macron a prévenu qu’il était encore trop temps pour prévoir des vacances d’été.
« On n’a pas gagné la bataille contre le virus, on l’a ralentie », a d’abord rappelé le président de la République.
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Quand des philosophes et écrivains parlent du coronavirus…
Gustave Thibon, L’homme devant la nature, 1973 :
C.S Lewis, Tactique du diable, 1942 :
– Et comment as-tu fait pour amener autant d’âmes en enfer à l’époque ?-
– Grâce à la peur.
– Oh, oui. Excellente stratégie: vieille et toujours actuelle. Mais de quoi avaient-ils peur? Peur d’être torturés? Peur de la guerre? Peur de la faim?
– Non. Peur de tomber malade.
– Mais personne d’autre ne tombait malade à l’époque?
– Si, ils tombaient malades.
– Personne d’autre ne mourait?
– Si, ils mouraient.
– Mais il n’y avait pas de remède à la maladie ?
– Il y en avait.
– Alors je ne comprends pas.
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Coronavirus : changer de modèle économique ? Pas si vite...
Par Patrick Artus*
Les intellectuels, les économistes, les hommes politiques évoquent en Europe le passage à un autre modèle économique après la crise du coronavirus, passage qu’une très grande partie des opinions appelle de ses vœux. Il s’agit de s’occuper davantage du long terme, des activités stratégiques, des salariés mal payés mais indispensables, des populations les plus fragiles... Bref, de remédier à de nombreuses anomalies du modèle économique de l’Europe soulignées par cette nouvelle crise : la délocalisation de l’industrie du médicament et du matériel médical, le sous-investissement dans le système hospitalier, l’existence de populations fragiles (salariés titulaires de contrats de travail très courts, familles monoparentales...), la dépendance de l’activité économique vis-à-vis de certaines professions pourtant mal payées, donc peu considérées.