Nous publions ce dimanche la seconde partie de la contribution de Pieter Kerstens à notre enquête sur l'après crise... Pour lire la première partie cliquez ici
S.N.
Pieter Kerstens
Avec une parfaite synchronisation, la grande majorité des gouvernements occidentaux, et les européens en particulier, ont imposé un confinement (réelle assignation à résidence) à leurs peuples, sous prétexte de ralentir l’épidémie de Covid-19.
Aucun responsable politique, aucune sommité médicale ni scientifique renommée n’a fait appel au devoir de mémoire indispensable, pour évoquer les épidémies précédentes bien plus mortelles que celle que nous vivons et qui jusqu’à maintenant n’a pas fait exploser le nombre mensuel de décès en France (57.000 en moyenne ces 5 dernières années). En décembre 1969 et en janvier 1970, l’épidémie de H1N1 avait entraîné la mort de 32.000 personnes (souvent très âgées en souffrant d’autres pathologies), sans pour cela que les ministres, le Président ou les médias n’expriment la moindre émotion ou ne s’adressent aux Français pour disserter sur un score journalier des ravages de la maladie.
Emotivité et pleurnicheries sont les deux mamelles de l’Europe hédoniste
Selon l’allocution du docteur Micron, le 13 avril dernier, nous allons vers « des jours meilleurs et des jours heureux ».Cet oracle du mondialisme à visage humain tente, malgré des constats alarmants, de réanimer la confiance de la population, après les cafouillages, les mensonges et l’impréparation de l’administration face à cette épidémie connue de la sphère sanitaire mondiale depuis le début décembre 2019.
Pourquoi une quarantaine stricte pour les malades contaminés n’a-t-elle pas été mise en place ?