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santé et médecine - Page 217

  • Coronavirus : cinq millions de masques vendus en quelques heures chez Lidl

    Depuis lundi, les masques sont disponibles à la vente dans la grande distribution. Chez Lidl, ils ont tous été vendus en l’espace d’une matinée.

    C’est l’objet que tout le monde s’arrache en ce moment : le masque de protection. À une semaine du déconfinement, ces masques pour le public – chirurgicaux et textile – sont vendus dans les pharmacies, les petits commerces mais aussi la grande distribution, depuis lundi. Les magasins, notamment Lidl, ont fait face à un afflux important de clients.

    L’express

    https://www.tvlibertes.com/actus/coronavirus-cinq-millions-de-masques-vendus-en-quelques-heures-chez-lidl

  • UCHRONIE A LA FRANÇAISE

    13625420.jpgFranck Buleux 

    L’heure est à la préparation du déconfinement, pas au déconfinement lui-même mais à sa préparation. Le pouvoir avance masqué, sans réelle ligne politique.

    Si les masques sont en nombre insuffisant, ils sont facultatifs, s’ils sont en nombre suffisant, ils deviennent obligatoires. Tant que les tests seront en nombre insuffisant par rapport au nombre de nos concitoyens, ceux-ci seront facultatifs. C’est la politique de Gribouille mise en place par le président de la République et le premier ministre, assisté du ministre Olivier Véran et du scientifique Jérôme Salomon, l’homme du décompte morbide. La gouvernance n’est donc plus l’art de prévoir, comme l’indiquait Émile de Girardin en 1852, mais de l’empirisme pur et simple. Pour cela, il n’est nul besoin d’élus, il suffit de gestionnaires de stocks, une bonne formation de manager commercial et vous voilà promu ministre de la Santé. Rien de péjoratif ici, bien au contraire, un bon gestionnaire de stocks saura commander (et à qui surtout… et dans quels délais !) lorsque les stocks vont baisser. Un rapport d’équilibre entre les acquis et les besoins, se fondant sur un éventuel déficit sera mis en place.

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  • Le Sénat rejette le plan de déconfinement du gouvernement

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    © ERIC FEFERBERG Source: AFP Gérard Larcher présidant une session du Sénat. (Image d'illustration).

    Les sénateurs n'ont pas validé le plan de déconfinement du gouvernement, à 89 voix contre 81 et 174 abstentions. Ce vote n'empêche néanmoins pas le lancement du déconfinement, prévu le 11 mai. Douche froide pour la majorité présidentielle : le plan de déconfinement défendu par l'exécutif, a été rejeté par le Sénat (dominé par Les Républicains). 89 sénateurs ont voté contre et 174 se sont abstenus, tandis que 81 élus ont voté pour.

    En savoir plus sur RT France : https://francais.rt.com/france/74787-senat-rejette-plan-deconfinement-gouvernement

  • Pour l’instant, nous avons déclenché un cataclysme nocif et même létal en sur-réagissant à une épidémie aux contours normaux

    Pour l’instant, nous avons déclenché un cataclysme nocif et même létal en sur-réagissant à une épidémie aux contours normaux

    Nous avions relayé la vidéo de Jean-Dominique Michel, l’un des plus grands spécialistes mondiaux de santé, qui s’opposait au confinement. Suite aux critiques, il explique :

    […] La démarche scientifique - puisqu’il s’agit, sans la dénigrer ou la stigmatiser, de dépasser la réaction émotionnelle - vise à cerner les contours d’une problématique pour l’appréhender dans sa juste étendue.

    On nous vend depuis des mois l’épidémie de Covid comme étant la pire catastrophe sanitaire de tous les temps : eh bien  non, ce n’est absolument pas le cas ! Les historiens de la médecine nous le rappellent, les philosophes nous le rappellent, les épidémiologistes sérieux nous le rappellent. Le Covid est pour l’instant (sous réserve de mauvaises surprise à venir) une épidémie d’une gravité comparable aux autres épidémies infectieuses respiratoires, ni plus ni moins. De l’ordre de l’épidémie d’influenza 2017, qui avait été plus forte que les autres années sans que personne ne s’en émeuve et sans que l’on terre la population entière chez elle.

    Dire du Covid qu’il s’agit d’une gripette ou d’une grippe ne veut rien dire. Les infections banales sont les affections banales, l’influenza est l’influenza et le Covid est le Covid. Une maladie bien étrange puisqu’alors qu’elle conduit aux drames que l’on a évoqués chez des personnes présentant des facteurs de risque (et uniquement chez elles), les trois quarts des personnes infectées ne se rendent selon les données dont nous disposons même pas compte qu’elles l’ont contractée !

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  • Fruits et légumes la flambée inflationniste

    C’est un article du journal la Provence qui découvre que les prix des fruits et légumes sont en forte hausse.

    Du coup le journal se demande donc mais: « pourquoi le prix des fruits et légumes a flambé depuis le début du confinement » ?

    « Selon une étude de l’UFC-Que choisir, le prix des fruits et des légumes a bondi de 9 % entre la semaine du 2 au 9 mars et celle du 6 au 11 avril. Une hausse qui varie selon les produits : de 6 % pour les produits classiques jusqu’à 12 % pour celles et ceux qui consomment bio.

    La raison de ces écarts ? La crise du coronavirus, certes, mais aussi le fait que certaines productions soient devenues plus rares. C’est le cas des citrons verts bio, dont le prix a grimpé de 16 % alors que celui des tomates en grappe bio a augmenté de 25 %.

    Selon UFC-Que choisir, la hausse des coûts de production est elle aussi responsable de cette augmentation des prix. Les frais de transport auraient augmenté de 30 % et il faut aussi souligner le fait que la mise en place de mesures de sécurité comme des masques mis à disposition ou le nettoyage du matériel n’aide pas puisque cela génère des coûts supplémentaires.

    Autre facteur pointé du doigt pour expliquer cette hausse des prix : la difficulté à importer des produits d’Espagne, d’Italie ou de Pologne du fait de la crise du Covid-19 et de la fermeture des frontières ».

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  • Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire

    Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire

    C’est une analyse que l’on découvre dans le Washington Times du 28 avril. Extraits

    Le nouveau coronavirus est réel.

    La réponse au coronavirus est médiatisée. Et avec le temps, ce battage médiatique sera révélé comme un canular politique. En fait, COVID-19 sera considéré comme l’une des plus grandes exagération du monde politique, la plus honteusement exagérée, excessivement et irrationnellement gonflée avec des réponses faussement trompeuses à un problème de santé.

    Les faits sont les suivants: COVID-19 est une véritable maladie qui rend malade certains, se révèle mortelle pour d’autres, surtout les personnes âgées – et ne fait rien à la grande majorité.
    C’est ça.

    En un mot, c’est tout.

    Ou, selon Dan Erickson et Artin Massih, médecins et copropriétaires de Accelerated Urgent Care à Bakersfield, en Californie: rouvrons le pays – et maintenant.

    «Avons-nous encore besoin d’un abri sur place? Notre réponse est catégoriquement non. Faut-il fermer des entreprises? Non catégoriquement. … [L] es données montrent qu’il est temps de lever ».

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  • Déconfinés, mais surveillés et (au besoin) punis : la magie du «en même temps»

    Devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre a pensé que le refrain bien connu ferait illusion. Mais les Français ne peuvent être «en même temps» libérés et contrôlés, juge la philosophe Julia de Funès.

    Par-delà la difficulté de l’exercice, la justesse du ton et le bien-fondé probable des mesures prises, le discours d’Édouard Philippe devant l’Assemblée nationale fut l’incarnation de la pirouette terminologique qu’est le «en même temps». Le «en même temps» de la complexité ne prenait-il pas soudain quelques airs de duplicité?

    Nous serons déconfinés mais en même temps plus contrôlés. Nous passerons de l’enfermement à l’examen, de l’isolement à la surveillance: massification des tests, identification des cas-contacts, mises en place de brigades, plan de mise à l’abri, quadrillage géographique départemental, kilométrage limité. On troque une restriction de liberté physique contre une restriction de liberté psychologique.

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  • La gestion de la crise sanitaire : réflexions sur les spécificités de l’incurie macronienne

    La gestion de la crise sanitaire : réflexions sur les spécificités de l’incurie macronienne

    La crise du coronavirus et sa gestion par le pouvoir politique donnent lieu à des commentaires souvent intéressants et pouvant être développés à l’infini. D’autant plus que, mondiale, elle autorise aussi des comparaisons instructives.

    Cependant, l’objectif de ce texte n’est pas d’étudier cette gestion de la crise en France au regard d’une situation inédite de privations de libertés considérées comme fondamentales ; ni de pointer les incohérences d’une action qui suffiraient à remplir plusieurs tomes épais, même en tenant compte d’une compréhensible progression dans découverte des caractéristiques du virus, juste au regard de ce qu’est le bon sens ; ni même de juger de la pertinence intrinsèque des actions décidées ; ni encore de prévoir des perspectives judiciaires promises par certains.

    Le but est l’analyse de ce qui sous-tend en France l’action politique depuis le début de la crise sanitaire, révélant par là-même des spécificités de l’exercice du pouvoir macronien. Révélant d’ailleurs aussi de quelques traits de la société française qui seront vus en conclusion.

    Premier aspect : l’usage du mot « guerre ». Les fameux « nous sommes en guerre » dans l’adresse aux Français de M.Macron le 16 mars 2020.

    Cet usage est une contrefaçon, bien sûr. Car il ne s’agit que d’une crise sanitaire. Nous employons le terme contrefaçon, car il peut recouvrir tout à la fois une erreur d’analyse (inconvenante venant de gens si subtils et intelligents, comme le dirait Gilles Le Gendre) et un besoin de mise en scène (beaucoup plus probable). Cela permet mieux à l’exhibitionniste qui nous gouverne de plastronner.

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  • Faudrait savoir : transports publics ou voitures particulières ?

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    Pieter KERSTENS

    Les automobilistes, nouveaux serfs du 21ème siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir. Téléphoner dans son auto est un délit et entraîne de fortes amendes. Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !

    Que ce soit à Bruxelles, à Madrid ou à Paris, les jours de « SMOG », il est interdit de dépasser les 50 km/h en ville ou les 90 km/h sur autoroute !

    De plus, les politicards ont même établi une circulation alternée, en fonction de l’immatriculation (plaques avec numéros pairs ou impairs) lors de « pics de pollution » et inventé une vignette payante « Air Pur » à coller sur votre pare-brise.

    Des dizaines de milliers de contraventions donnent lieu à d’innombrables protestations.

    Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon dans les Zones de Sécurité Prioritaires à forte densité d’immigrés.    Discrimination ?

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