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santé et médecine - Page 220

  • Coronavirus en Bretagne : « Sacrifiée » en 2018, l’usine de fabrication de masques peut-elle ressusciter ?, par C. Allain et R. Le Dourneuf.

    Image datant de 2005 de l'usine de fabrication de masques de protection à Plaintel. L'usine a fermé en 2018. — F. Dufour / AFP

    Source : https://www.20minutes.fr/

    EPIDEMIE A Plaintel, dans les Côtes d’Armor, des millions de masques étaient fabriqués chaque année jusqu’à la fermeture du site en 2018.

    Une usine de fabrication de masques a été fermée en 2018 à Plaintel dans les Côtes d’Armor.

    Moins de deux ans après, la demande en masques est énorme en raison de l’épidémie de coronavirus. Emmanuel Macron a appelé à une relocalisation de la production.

    L’ancien directeur du site fermé par le groupe américain Honeywell réfléchit à relancer l’usine mais le site a été vendu et les machines ont disparu.

    La crise mondiale du coronavirus a réveillé bien des maux. La casse des hôpitaux publics ou encore l’hyper dépendance au marché chinois en sont quelques exemples. A Plaintel, dans les Côtes d’Armor, c’est une cicatrice pas encore soignée qui s’est remise à saigner. Dans cette petite commune proche de Saint-Brieuc, on constate avec effroi que la France manque de masques de protection contre l’épidémie de Covid-19. Car ici, on se rappelle qu’il y a moins de deux ans une entreprise locale en fabriquait des millions, jusqu’à ce qu’elle soit « sacrifiée » par le groupe américain Honeywell, parti avec les machines et le savoir-faire pour un site délocalisé en Tunisie. « On a vu certaines machines être démontées et jetées à la benne pour être vendues à des ferrailleurs. Alors qu’elles marchaient très bien. C’est un immense gâchis », lâche une ancienne salariée de l’usine, amère.

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  • Après-11 mai : Olivier Véran manie la carotte et le bâton, avec une préférence pour le bâton !

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    C’est, paraît-il, le propre des néophytes de faire preuve d’un zèle particulier. C’est, sans doute, le cas d’Olivier Véran, depuis qu’il a accédé par accident au poste de ministre de la Santé. Il prend son rôle au sérieux et n’hésite pas, à l’instar du Premier ministre ou du Président, à faire la leçon. Ainsi, après le Conseil des ministres de samedi, il a présenté les mesures qui vont encadrer le . À partir du 11 mai, si, toutefois, les Français ne se relâchent pas ! Pour en rajouter une couche, il a accordé un entretien au Parisien-Aujourd’hui en France de ce dimanche.

    Qu’on se le dise ! Le déconfinement ne sera pas le début d’une plus grande liberté mais le démarrage de nouvelles contraintes. Un projet de loi va être examiné illico presto par le Parlement pour prolonger l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 24 juillet, en « conforter le cadre juridique » et l’« élargir » pour « intégrer les enjeux du déconfinement ». Olivier Véran déclare qu’il ne s’agit pas d’« un pur, simple retour en arrière ». Sinon, « il y aurait fort à parier que tous ces efforts réalisés de manière admirable par les Français auraient été vains ». Nous voilà donc prévenus !

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  • EDOUARD PHILIPPE TON DECONFINEMENT EST NULLISSIME !

  • Déconfinement, définancement : de l’État toujours plus à l’État un peu moins – Olivier Pichon

    Nous arrivons à l’heure des comptes et du grand saut dans l’inconnu. Mais, dans ce retrait partiel de l’Etat celui-ci, sans le dire compte sur l’émission monétaire, notamment de la BCE, c’est là qu’il fait fausse route.

    Fin de l’intérim d’état ?

    Fallait-il que l’état n’assume pas l’intérim, des parents, des entreprises des administrations publiques, pendant la période ce confinement ? Non bien sûr, il était dans son rôle et son aide ne fut pas vaine, mais il est réputé avoir été supérieur aux autres pays européens, plus circonspects vis-à-vis de l’intervention étatique. Le PIB aura diminué de 5% au premier trimestre qu’en eut-il été en cas de non-intervention de l’état ? L’hypothèse est difficile à vérifier. Maintenant comment va se dérouler la transition ?

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  • La colère monte

    La colère monte

    La colère gronde contre cette infantilisation permanente, contre la gestion catastrophique de la crise par l’Etat jacobin, contre le caporalisme de ces ministres sans légitimité. Quelques tweets parmi des dizaines d’autres:

    Voir les tweets

    Ou encore cette pétition contre les slogans abêtissants sur les chaînes télévisées.

    https://www.lesalonbeige.fr/la-colere-monte-3/

  • En attendant le Grand Soir ! La Chine peut dire merci au Covid 19

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    La chronique de Michel Malnuit

    Même si depuis quelques semaines plusieurs critiques contestent l’attitude de Pékin face au Covid 19 – voire mêmes des attaques l’accusant d’en être à l’origine volontairement ou non –, l’empire du Milieu sort grandi sur le plan politique et économique.

    Le pangolin n’aura pas la peau de Pékin. Alors que la plupart des pays touchés par le Covid 19 auraient pu accuser la Chine, aucun ne le fait (à l’exception notoire de Donald Trump) ou alors à demi-mots, usant du plus beau langage diplomatique.

    Et si l’empire du Milieu a critiqué sans langue de bois toute critique de son action ou toute allusion à une responsabilité dans la création et/ou la diffusion du virus, il ne peut que se satisfaire de la situation en ce début mai. En effet, les allusions aux mensonges de Pékin sur le nombre de réel de morts sont passées par pertes et profits – idem pour le matériel plus que défectueux envoyé par la Chine –, le confinement à Wuhan érigé en modèle, sans parler des hôpitaux construits en peu de jours.

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  • Les conséquences économiques de la pandémie : qui va payer ?

    Source : https://www.causeur.fr/

    Emmanuel Macron, face à un choix terrible, devra agir contre son électorat.

    Pour sauver l’économie, partout dans le monde, les États vont devoir « euthanasier les rentiers » (l’expression est de Keynes). Si l’euro y fait obstacle, la monnaie commune va sauter.

    Pour bien mesurer les enjeux économiques soulevés par le confinement, il faut distinguer les effets sur le passé et sur l’avenir de cette quasi mise à l’arrêt du pays et de l’essentiel de la production mondiale. 

    Le gel complet des trois quarts de l’activité exerce deux types d’effets. Prenons l’exemple de la France.

    Le premier effet, c’est d’empêcher une part importante de la richesse d’être produite (si le confinement dure trois mois, en fin d’année, près d’un quart de PIB va manquer). Le deuxième effet découle des mesures prises par l’État pour  éviter que les entreprises coulent ou que les ménages privés d’emploi plongent dans  la misère.  Qu’il s’agisse de garantir des emprunts, de ne pas encaisser des taxes ou encore de verser les salaires du privé (le chômage partiel), de facto la majeure partie de l’économie a été de facto nationalisée.

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  • AVEC LE CONFINEMENT, TOUT FOUT LE CAMP 2ième partie

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    Nous publions ce dimanche la seconde partie de la contribution de Pieter Kerstens à notre enquête sur l'après crise... Pour lire la première partie cliquez ici

    S.N.

    Pieter Kerstens

    Avec une parfaite synchronisation, la grande majorité des gouvernements occidentaux, et les européens en particulier, ont imposé un confinement (réelle assignation à résidence) à leurs peuples, sous prétexte de ralentir l’épidémie de Covid-19.

    Aucun responsable politique, aucune sommité médicale ni scientifique renommée n’a fait appel au devoir de mémoire indispensable, pour évoquer les épidémies précédentes bien plus mortelles que celle que nous vivons et qui jusqu’à maintenant n’a pas fait exploser le nombre mensuel de décès en France (57.000 en moyenne ces 5 dernières années). En décembre 1969 et en janvier 1970, l’épidémie de H1N1 avait entraîné la mort de 32.000 personnes (souvent très âgées en souffrant d’autres pathologies), sans pour cela que les ministres, le Président ou les médias n’expriment la moindre émotion ou ne s’adressent aux Français pour disserter sur un score journalier des ravages de la maladie.

    Emotivité et pleurnicheries sont les deux mamelles de l’Europe hédoniste

    Selon l’allocution du docteur Micron, le 13 avril dernier, nous allons vers « des jours meilleurs et des jours heureux ».Cet oracle du mondialisme à visage humain tente, malgré des constats alarmants, de réanimer la confiance de la population, après les cafouillages, les mensonges et l’impréparation de l’administration face à cette épidémie connue de la sphère sanitaire mondiale depuis le début décembre 2019.

    Pourquoi une quarantaine stricte pour les malades contaminés n’a-t-elle pas été mise en place ?

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  • « Désinfox » ou la démocratie libérale en question

    safe_image.png?w=300&h=157Nous apprenons l’existence d’un dispositif officiel dont l’objectif est d’identifier et valider  les informations de presse considérées comme authentiques et ainsi d’opérer un tri, dans la presse écrite ou radio professionnelle –  entre les « bonnes » et les « fausses » informations – qui ne sont pas dignes d’y figurer. Un tel raisonnement correspond à une logique de censure. Il incombe à la puissance publique, érigée en garante de la vérité, de valider les bonnes informations et dès lors, en creux, d’invalider les autres qui ne correspondent pas à sa conception du vrai ou du bien, de la vérité,  ce qui revient à une forme de bannissement aux yeux du public. Certains journaux, certains articles,  disent le vrai, les autres non: dès lors inutile de les lire. Or, en démocratie libérale, il n’appartient pas à l’Etat d’opérer un tri dans l’information. Nous avions déjà un naufrage du régime dans le culte de la personnalité, la neutralisation du parlement, la déresponsabilisation des gouvernements devenus quasi inamovibles quels que soient les désastres, une banalisation de la suspension des libertés individuelles (confinement obligatoire de deux mois), l’acceptation de principe de pratiques qui n’ont rien de libéral, comme le traçage. Aujourd’hui, la réintroduction d’un contrôle officiel sur l’information. Et tout cela dans l’indifférence généralisée. Une interrogation profonde: ont-ils conscience de ce qu’ils sont en train de faire? Ou juste dans l’incapacité intellectuelle d’en avoir conscience? Nous nous disions, attention, la démocratie libérale est d’autant plus précieuse qu’elle est fragile. Mais nous n’y croyons pas vraiment, nous la pensions, au fond, immortelle. La preuve est faite que non.

    Maxime TANDONNET

    https://maximetandonnet.wordpress.com/

  • Le pouvoir en France, un pompier incendiaire ?, par Christian Vanneste.

    Le pouvoir qui règne en France joue-t-il les pompiers incendiaires ? Certes, ce n’est pas une « barbouze » du style Benalla qui a mis le feu à Notre-Dame, pas plus que ce n’est une vaste conspiration mondiale, à laquelle notre gouvernement « progressiste » participerait, qui est à l’origine du Covid-19, mais dans les deux cas, bien qu’à une échelle très différente, il y a un scénario analogue : l’Etat a un devoir archi-prioritaire de protection des biens et des personnes, que le législateur a même cru devoir inscrire dans la Constitution sous le nom de principe de précaution, revêtu de l’onction écologique pour satisfaire l’idéologie à la mode et placé dans cette intention dans la Charte de l’Environnement.

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