A la veille du déconfinement, un sondage Ifop pour le cabinet de conseil No Com paru ce dimanche 10 mai dans Le Parisien révèle que 65% des Français estiment qu’il vaut mieux trop de précautions plutôt qu’un retour rapide à la vie normale qui serait risqué sur le plan sanitaire.
santé et médecine - Page 212
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Crise sanitaire: 58% des Français estiment que la principale menace est économique plutôt que virale
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Agnès Buzyn devant la Cour de justice de la République : un vœu pieux ?, par Sabine de Villeroché.
(Vu sur le blog de notre ami Marc Rousset et merci d'avoir relayé cet article)
Sources : http://marcrousset.over-blog.com/
« Responsables mais pas coupables » : un verdict qui pourrait redevenir d'actualité.
55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes. Outre des initiatives individuelles, ce sont des élus, des médecins, 31 détenus, un syndicat de magistrats et la Fédération nationale des victimes d’attentats et d’accidents collectifs qui, pour l’instant, demandent réparation pour « mise en danger de la vie d’autrui » et « non-assistance à personne en danger » et dénoncent, pêle-mêle, le manque de dépistage et d’équipements de protection personnelle, la fermeture tardive des frontières, le manque d’anticipation, les conflits d’intérêts concernant les traitements médicaux et le maintien des élections municipales.
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Prends ton masque et … tire toi !
Le billet de Patrick Parment
Alors, ça y est, c’est le grand frisson du déconfinement. Enfin, c’est beaucoup dire. Ce serait plutôt le confinement du déconfinement. Tremble carcasse, le virus n’est pas mort. D’ailleurs, à son sujet, j’avoue qu’on se perd en conjonctures. Du Covid-19 lui-même à tous les conseils scientifiques qui se contredisent les uns les autres, au final que sait-on réellement de cette saloperie ? En fait pas grand-chose, si ce n’est qu’il est contagieux. Quant à la perspective d’un vaccin, voyez où l’on en est avec le sida. On cherche toujours.
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Zoom – Ivan Rioufol : Après le politiquement correct, le sanitairement correct !
Le journaliste-éditorialiste du Figaro, Ivan Rioufol, est devenu le défenseur courageux de la révolte des Gilets Jaunes et le « gaulois réfractaire » à la Macronie, ses pompes et ses œuvres.
Pour TVLibertés, l’auteur de « Macron, la grande mascarade » dénonce la bunkérisation de la pensée dans notre pays et affirme qu’au politiquement correct s’ajoute aujourd’hui le sanitairement correct. Le Parti de l’Ordre Sanitaire fait régner sa loi. Et malheur à ceux qui, comme le Professeur Raoult, osent exprimer des analyses divergentes.
Entretien sans langue de bois…
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VINCENT VAUCLIN : « LE MONDE D’APRÈS POURRAIT BIEN MARQUER UNE NOUVELLE ÉTAPE DANS LE PROCESSUS DE DÉRIVE AUTORITAIRE DU MONDIALISME LIBÉRAL »
Source Paris Vox cliquez ici
LA DISSIDENCE FRANÇAISE A PRÉSENTÉ RAPIDEMENT UN PLAN AFIN DE RÉPONDRE À CETTE CRISE SANITAIRE. QUEL EST VOTRE SENTIMENT SUR LA GESTION DE LA CRISE ACTUELLE PAR LE GOUVERNEMENT ?
En effet, la Dissidence Française fut l’un des premiers partis politiques français à présenter un plan global de gestion de crise décliné qui décline une trentaine de propositions concrètes, et ce dès le 24 mars. Et déjà, nous alertions l’opinion sur l’inertie du gouvernement, le non-respect des mesures de confinement dans les banlieues immigrées, l’absence de tests, de masques et de gels désinfectants, le manque de moyens dans les hôpitaux, le refus obstiné de fermer les frontières, les conflits d’intérêts impliquant l’industrie pharmaceutique et de hauts responsables politiques, et les conséquences considérables que ferait peser une prolongation du confinement sur l’économie française et notamment sur les PME, les artisans et les commerçants.
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L’Assemblée nationale a adopté en première lecture dans la nuit du 8 au 9 le projet de loi prolongeant l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 juillet et qui prépare l’après-11 mai
L’Assemblée nationale a voté dans la nuit de vendredi à samedi en première lecture le projet de loi prolongeant l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 10 juillet et qui « intègre les enjeux » du déconfinement progressif à partir de lundi. Les députés et sénateurs tenteront ce samedi en commission mixte paritaire (CMP) de s’accorder sur une version de compromis du projet de loi, en vue d’une adoption définitive d’ici dimanche soir.
Les députés ont adopté le texte à main levée, avec l’appui des élus LaREM, du MoDem et de la majorité des UDI-Agir. LR a voté contre, comme le PS au nom des « libertés individuelles », ainsi que LFI notamment en raison de l’absence de mesures sociales et le PCF, jugeant l’état d’urgence « contreproductif ». Les élus du groupe Libertés et Territoires se sont partagés essentiellement entre votes contre et abstentions.
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Coronavirus : Libérés de prison pour raison sanitaire, ils récidivent et y retournent. Liste non exhaustive. (MàJ)
8 mai – Vannes (Morbihan) : Détenu pour apologie du terrorisme et fiché S, il est libéré grâce au Covid et de nouveau interpellé
L’un des fuyards interpellé, mardi soir, à Vannes, à l’issue d’une course-poursuite, était fiché S et détenu pour apologie du terrorisme. Mi-avril, il avait été libéré à la faveur de la crise du Covid-19.
Près de 10 000 détenus en moins dans les prisons, entre le 15 mars et le 15 avril : c’est l’une des mesures fortes qui ont été prises par l’administration pénitentiaire et le ministère de la Justice pour éviter une propagation incontrôlable du coronavirus derrière les barreaux. Ramenant ainsi, pour la première fois depuis des années, un taux d’occupation historiquement bas dans les prisons françaises.
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Covid-19. Sous l’eau qui dort, la lame de fond de la révolte ?
Par Pierre Lours, essayiste et romancier, auteur de La Révolte des silencieux
Pierre Lours perçoit, sous l’apparente acceptation du confinement par les Français, des raisons de croire en leur volonté de restaurer la France.
On peut s’étonner de la docilité des Français face aux restrictions sans précédent de leurs libertés, les plaçant de facto en résidence surveillée sous la garde des forces de l’ordre, à coups d’amendes et de peines de prison en cas de récidive.
Nos concitoyens sont réputés allergiques aux contraintes mais « en même temps » ils semblent résignés au bon vouloir de gouvernants qui les enferment pour contenir le virus mais surtout leur légitime colère devant l’impuissance des autorités à anticiper une pandémie pourtant annoncée dans tous les plans prévisionnels civils ou militaires.
Obéissants, les Français !… Et, pourtant, furieux de voir que depuis dix ans l’État a ânonné la gestion d’un mauvais comptable qui, en « économisant » des masques, des lits de réanimation, des tests pour quelques centaines de millions, génère une perte de quelques centaines de milliards d’euros puisqu’il a été forcé d’adopter la solution moyenâgeuse à sa disposition, le confinement.
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La Macronie et les masques : pièce à conviction, en date du 7 mai
Il y aura, sans doute bientôt, un post-mortem sur les mensonges réitérés de l’état macronien concernant l’utilité des masques comme moyen de contrôle de la propagation de l’épidémie de COVID-19. Nous versons une petite pièce au dossier.
Savez-vous quel est le gouvernement qui édite, en date du 7 mai 2020, un « Protocole national de déconfinement pour les entreprises pour assurer la santé et la sécurité des salariés » ?
Le gouvernement de M.Macron.
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En pleine crise de coronavirus, Macron n'oublie pas de pousser l'arabisation de la France !
Un communiqué du MNR :
Le 30 avril 2020, a été signé le décret publiant l'accord du 31 mars 2017 entre la Tunisie et la France, permettant l'organisation de cours de langue arabe du CE1 au CM2 ; l'article 5 indique que « Les résultats obtenus par les élèves dans le cadre de cet enseignement sont pris en compte dans l'appréciation générale de leur travail scolaire et portés à la connaissance des familles. » De plus, l'article 6 indique que « Une continuité des apprentissages sera progressivement et selon les conditions locales, assurée au collège. » Cet accord avait été signé par Najat Vallaud-Belkacem, à l'époque ministre de l'éducation nationale.
Ce n'est pas en enseignant une langue étrangère dès l'enfance qu'on améliorera la qualité du langage des adultes. On a l'impression que nos autorités veulent à toute force détruire notre identité nationale.
Affirmons que ce n'est pas en rappelant aux immigrés leurs origines qu'on les intégrera, et souhaitons que nos gouvernants soient un peu plus préoccupés de la préservation de notre identité.