
C’est l’INSEE qui vous le dit :
Le 04 mai 2020, cela faisait déjà 7 jours que le nombre de morts en 2020 était inférieur à celui de 2018 et de 2019 (voir le cercle vert).
Et alors combien de morts le COVID-19 ?
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
C’est l’INSEE qui vous le dit :
Le 04 mai 2020, cela faisait déjà 7 jours que le nombre de morts en 2020 était inférieur à celui de 2018 et de 2019 (voir le cercle vert).
Et alors combien de morts le COVID-19 ?
De Jean-Pierre Maugendre, président de Renaissance catholique :
Le couperet est tombé. Raide comme l’injustice ! L’article 8 § III du décret 2020-45 du 11 mai prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l’épidémie de Covid 19 est parfaitement clair : « Les établissements de culte sont autorisés à rester ouverts. Tout rassemblement ou réunion en leur sein est interdit ». Cet article est repris, in extenso, dans le décret 2020-548 art 10 § III du même jour avec cependant un article 27 qui prévoit que : « Le préfet peut interdire tout rassemblement ou réunion au sein des établissements de culte à l’exception des cérémonies funéraires ». S’il « peut interdire » c’est que l’interdiction n’est pas systématique. L’intention de réprimer perdure, avec cependant deux décrets différents le même jour sur le même sujet et en prime une contradiction entre deux articles du même décret. Tout cela n’est pas très sérieux.
Le dispositif antérieur interdisait les rassemblements de plus de 5 personnes. Le dispositif nouveau interdit les rassemblements de plus de 10 personnes dans les lieux publics ou ouverts au public, y compris par conséquent dans les lieux de culte : on passe de 5 à 10 personnes ! Dans bien des diocèses le culte public avait été tout simplement suspendu. Assez paradoxalement, le dispositif législatif reste confus et une forme de discrimination se poursuit vis-à-vis des cultes alors que l’heure est au déconfinement avec la réouverture des commerces, transports, etc. L’épiscopat français est sous le choc. Depuis des lustres il pensait que sa culture du compromis sur les questions morales lui permettrait au moins de préserver la liberté du culte. Il n’en est rien. Immédiatement l’AGRIF de Bernard Antony et quatre instituts religieux de droit pontifical (Fraternité Saint Pierre, Institut du Bon Pasteur, Institut du Christ-Roi et Fraternité saint Vincent ferrier) ont déposé un référé-liberté devant le Conseil d’État pour atteinte à la liberté de culte. Avant eux Civitas et le PCD de Jean-Frédéric Poisson avaient également déposé un référé-liberté. A ce jour la Conférence des Evêques de France ne semble pas avoir entamé de démarche juridique. Et surtout, elle s’est bien gardée de faire valoir, tant auprès des pouvoirs publics qu’auprès des fidèles, le principe sacré de la liberté de l’Église.
Sur une période très courte, les Français ont accepté une restriction importante de leurs libertés.
Le 11 mai 2020 restera dans l’histoire comme une date nébuleuse ; celle d’un déconfinement qui déconfinera sans déconfiner, tout en déconfinant : comprenne qui pourra !
Seulement certains Français en bénéficieront, mais ni en tous lieux, ni en tout temps : point trop n’en faut. À cette occasion, le conseil scientifique viendra de nouveau en renfort du gouvernement. Avec force tableaux statistiques et cartes de France colorées de rouge et vert. Il légitimera ainsi une décision que les Français ont bien du mal à comprendre et a fortiori à accepter. Ce faisant, le savant continuera une fois de plus d’offrir au politique sa caution dans un exercice qui apparaît cependant de plus en plus périlleux car il engage également la responsabilité des experts(1).
Par Hervé Novelli*
L’expression « politique profonde » (deep politics) remonte aux années 1990. Le professeur Peter Dale Scott de l’université de Berkeley publie alors un ouvrage dans lequel il parle de système politique profond. Il y explique que le gouvernement des Etats-Unis est influencé par un milieu confidentiel et restreint qu’il appelle « l’Etat profond ». Il précise : « Ce que j’appelle “Etat profond” aux Etats-Unis n’est pas une institution formelle, ni une équipe secrète, mais plutôt un cercle de contacts de haut niveau [...] par lequel le pouvoir politique est susceptible d’être dirigé. »
Selon ce concept, il existerait, à côté, ou mieux encore, à l’intérieur des pouvoirs publics, une politique s’imposant aux acteurs traditionnels, décidée en dehors d’eux ou avec leur consentement, éclairé ou non. En somme, « l’Etat profond » est une autre façon de désigner les bureaucraties permanentes.
L’agence européenne de police Europol a averti vendredi 15 mai que le trafic de migrants, ralenti par la pandémie de coronavirus, risque de connaître une recrudescence à mesure que le déconfinement se poursuit à travers l’Europe.
Bernard Plouvier
Tout a été dit sur l’ineptie des politiciens dans la gestion de la part française de cette pandémie. Soyons honnêtes : cela fait un demi-siècle que les politiciens français sont d’une nullité qui mériterait de passer en proverbe.
Macron-Philippe and Co. ne sont ni plus ni moins minables que les clowns qui font semblant de nous diriger dans cette Ve République dont l’agonie traîne tellement qu’elle en devient un plaidoyer pour l’euthanasie. La faute en revient en dernière analyse aux citoyens-électeurs.
Plutôt que de s’invectiver en pure perte, il serait bon de tirer les leçons de notre merveilleuse inefficacité, de notre Ineptocracie. Nos princes sont à la fois inaptes et ineptes, c’est une question entendue. Mais l’électorat est-il prêt à devenir enfin « adulte et responsable » ? Là est la seule question.
De Bernard Mitjavile :
S’il y a une chose que la crise du Covid-19 aura montré, c’est que l’Europe telle qu’elle est fantasmée par ses partisans européistes ou opposants du Rassemblement National, une puissante entité supranationale contrôlant les politiques nationales dans les domaines de l’économie, la santé ou du contrôle des frontières et autres, cette Europe n’existe simplement pas.
L’Europe de la santé rassemble différents organismes avec un certain nombre de fonctionnaires bien payés à Bruxelles ou ailleurs qui font croire qu’ils planifient et coordonnent les politiques de santé des différents pays mais qui ont en fait très peu de contrôle sur ces politiques.
Cela explique que l’on ait eu face à la pandémie du Covid-19 des politiques sanitaires très différenciées avec des résultats si différents entre l’Europe de l’Est, l’Europe du Nord, l’Allemagne et l’Europe du Sud dans laquelle on peut inclure la France.
Ce jeudi, le Premier ministre Edouard Philippe présentait son plan de soutien à la filière du tourisme, qui “fait face à la pire épreuve de son histoire moderne, alors que c’est un fleuron de l’économie française”. “Les Français pourront partir en vacances en France au mois de juillet et au mois d’août”, a-t-il assuré, sous réserve toutefois “de possibles restrictions très localisées” en fonction de l’évolution de l’épidémie de coronavirus.
Au sujet des cafés et restaurants, le Premier ministre précise que « Notre objectif c’est que les cafés et la restauration puissent rouvrir dès le 2 juin dans les départements restés en vert ».
7sur7 / BFMTV