
Nouveau rebondissement dans l’affaire des SMS échangés entre la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, et le PDG de Pfizer-BioNTech, le Grec Albert Bourla. Dans un communiqué publié ce 12 septembre, la Cour des comptes européenne pointe du doigt l’opacité des échanges entre les deux personnalités, lorsque celles-ci avaient négocié les termes d’un contrat d’une certaine envergure, entrainant la commande d’1,8 milliard de doses de vaccins, facturés à 35 milliards d’euros.