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santé et médecine - Page 269

  • Le député Laetitia Avia, censeur d’internet, veut forcer son attachée parlementaire à enfreindre le confinement

    Laetitia Avia est ce député africain chargé d’organiser la censure complète d’internet pour le compte du Régime. Elle s’était auparavant fait connaître par un comportement frisant le cannibalisme.

    « Restez chez vous et recourez au télé-travail ». La consigne du gouvernement est plutôt claire.

    « Or, selon des informations de Libération mercredi, une élue ne donnerait pas vraiment l’exemple. Il s’agit de Laetitia Avia, députée LREM de Paris. Cette dernière insisterait pour que son attachée parlementaire, pourtant confinée dans sa maison secondaire dans le Gard, revienne dans la capitale.

    «Cette collègue est en vacances depuis le 7 mars dans le Gard et sa députée veut depuis lundi soir (soit après l’allocution d’Emmanuel Macron, ndlr) qu’elle rentre à Paris. Ce qu’elle a clairement refusé pour faire prévaloir sa santé. Cela n’a aucun sens», a déploré Laurence de Saint-Sernin, la secrétaire générale du syndicat Solidaires de l’Assemblée nationale, alertée mardi. Détail notable : l’attachée parlementaire est atteinte d’une maladie auto-immune, ce qui l’expose davantage au risque de contamination du coronavirus. Pour la secrétaire générale du syndicat Solidaires, Laetitia Avia «met en danger sa collaboratrice, prend le risque de propager l’épidémie et ignore les règles liées au confinement de la population». Selon Libération, la députée LREM aurait même proposé de demander au ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, de mettre des moyens en œuvre pour assurer le retour de son assistante. […] » (source Le Figaro)

    http://www.contre-info.com/le-depute-laetitia-avia-censeur-dinternet-veut-forcer-son-attachee-parlementaire-a-enfreindre-le-confinement#more-61560

  • Le coronavirus aura eu raison d’Erdogan et de l’invasion migratoire: la Turquie ferme ses frontières

    Rien en semblait pouvoir arrêter la crise migratoire déclenchée par la Turquie aux frontières de la Grèce et de la Bulgarie. Rien en semblait faire entendre raison au président turc qui veut être sultan, Receypt Erdogan. 

    Rien… sauf le coronavirus. Ce minuscule organisme, invisible à l’œil nu, aura eu la peau de la pression exercée sur l’Europe par Erdogan, expert ès-maître-chanteur pour faire plier l’Union Européenne à ses desiderata. La Turquie, pour se protéger contre l’épidémie du Covid-19, a annoncé le 18 mars dernier, la fermeture de ses frontières terrestres avec la Grèce et la Bulgarie dans le cadre de mesures prises pour limiter la propagation du coronavirus.

    Les points de passages avec ces deux pays seront fermés aux voyageurs à partir de mercredi à minuit a décrété le ministère de l’Intérieur turc. Plusieurs milliers de migrants sont massés à la frontière de la Grèce, qui résiste vaillamment à l’invasion, depuis le mois dernier pour essayer de gagner l’Europe. Et vont y rester.

    Francesca de Villasmundo

    https://www.medias-presse.info/le-coronavirus-aura-eu-raison-derdogan-et-de-linvasion-migratoire-la-turquie-ferme-ses-frontieres/118878/

  • Les « quartiers ethniques » se fichent du confinement

    Pour les autorités, le confinement est le meilleur moyen pour limiter la violence du pic de l’épidémie ainsi que l’engorgement des hôpitaux et le nombre de décès. Un anesthésiste réanimateur de la Pitié Salpêtrière déclarait mardi soir sur LCI que la France peut gérer 6 000 malades en réanimation, jusqu’à 12 000 en bloquant tous les hôpitaux. Il précisait aussi qu’en cas d’échec du confinement, l’estimation serait de 100 000 à 150 000 malades devant être mis en réanimation. Commentaire : « Ça, on ne sait pas faire. On entre tous dans un autre monde, là. »

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  • Quel confinement dans les « quartiers » ?

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    Le propre des crises comme celle que nous tentons de traverser est de révéler des vérités qu’on aimerait bien tenir cachées. Des vérités qui montrent combien notre « vernis civilisationnel » est peu épais, prêt à craquer à la moindre contrainte dans notre temps où l’égoïsme est roi.

    Vérité des États et des peuples aussi, pour autant que cette mondialisation qui nous saute « viralement » à la gorge laisse encore s’exprimer un peu les mentalités profondes qui nous façonnent.

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  • Covid-19 : soupçons sur un mensonge d’Etat, par Ivan Rioufol

    Agnès Buzyn a menti. Envahie par le remords, elle le reconnait à ma consoeur Ariane Chemin, dans Le Monde daté de ce mercredi. Alors qu’elle était encore ministre de la Santé, elle avoue qu’elle n’aurait pas dû dire, le 24 janvier, parlant du coronavirus apparu en Chine : “Le risque d’importation de cas depuis Wuhan (…) est maintenant pratiquement nul (…) Le risque de propagation du coronavirus dans la population est très faible“. Disant cela, Agnès Buzyn savait qu’elle trompait l’opinion. Aujourd’hui, elle explique en effet :

    Je pense que j’ai vu la première ce qui se passait en Chine. Le 20 décembre, un blog anglophone détaillait des pneumonies étranges. J’ai alerté le directeur général de la santé. Le 11 janvier, j’ai envoyé un message au président sur la situation. Le 30 janvier, j’ai averti Edouard Philippe que les élections (municipales) ne pourraient sans doute pas se tenir. Je rongeais mon frein.

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  • HAUTE TRAHISON !

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    Michel Onfray cliquez ici

    Buzyn, sa vie, son œuvre
    En publiant un article (le 17 mars 2020) sur elle, le journal Le Monde vole au secours d'Agnès Buzyn, ex-ministre de la Santé qui a quitté le bunker du commandement général alors que, selon ses propres aveux, la guerre était certaine, qu'elle ferait quantité de morts et qu'elle se disait la seule à le savoir !
    Or, les Français ne sont pas débiles : ils savent que ce qui s'écrit dans un journal se discerne bien plutôt entre les lignes que dans ce qui s'y trouve explicitement écrit.
    Quelques phrases retiennent donc mon attention dans ce publireportage qui sauve (un peu) la dame et accable (beaucoup) Macron et les siens, comme si elle n'en avait jamais été. D'abord cette entrée en la matière : "Je me demande ce que je vais faire de ma vie."  Ensuite, le plat de résistance : "Je n’ai plus de boulot." Enfin, le dessert, c'est une interrogation de la journaliste : "Si elle est encore à ce poste en 2022 et que Macron échoue, confie-t-elle à des proches, que restera-t-il de sa réputation ?" Pauvre petite fille riche...
    Détaillons...

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  • Sur Sud Radio, André Bercoff : "Certains devront rendre des comptes" (État de l'hôpital public).

  • Nous sommes vraiment chez les fous!

    Nous sommes vraiment chez les fous!

    Muriel Pénicaud, ministre du Travail, vient de s’en prendre aux entreprises de bâtiment qui ont fermé leur activité. Elle les taxe de “défaitisme” (c’est curieux – vous ne trouvez pas ? – ce petit côté 1940, avec des ministres du Front populaire, pardon d’Emmanuel Macron, critiquant la population pour “défaitisme”, alors que ladite population essaie seulement de se “dépatouiller” au milieu des ordres et contre-ordres, parmi les ruines qu’a laissées un gouvernement anti-national et imprévoyant!). Mais, surtout, elle les accuse de manquer de civisme :

    Les entreprises qui se disent que l’État paiera et qu’elles n’ont pas à travailler ne sont pas dans une attitude de civisme.

    Peut-être faut-il informer Mme Pénicaud que son grand patron a, peu de temps auparavant, insulté la population française qui ne s’était pas assez vite calfeutrée (après lui avoir dit qu’elle pouvait aller voter sans problème pour le premier tour des municipales).

    Et peut-être faut-il aussi lui apprendre qu’une entreprise n’est pas seule au monde: quand ses fournisseurs ou ses clients ferment leurs portes, on serait vraiment curieux de savoir comment elle peut faire pour continuer à travailler !

    https://www.lesalonbeige.fr/nous-sommes-vraiment-chez-les-fous/

  • Covid-19 – stade 3 : nom de code d’une guerre idéale pour un gouvernement mondial

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    Comme l’a montré le discours présidentiel de ce 16 mars, l’infirmier-major général Macron a entrepris une guerre inespérée, sanitaire, qui le met davantage à son aise que face à d’autres ennemis, humains, car elle est totalement sous couvert et contrôle d’experts médicaux. Sa seule munition nécessaire est la persuasion, son exercice préféré. La clé de la victoire par les médecins est scientifique, pour lui, rhétorique, pour les Français, civique. Il suffit de suivre l’avis « de ceux qui savent » et de faire appliquer les consignes à des citoyens-enfants récalcitrants.

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