L'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ce jeudi soir se voulait responsable et porteuse d'un message de puissance publique.
santé et médecine - Page 271
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Macron et le coronavirus : la politique du carton-pâte.
Elle ne fut qu'inutilement anxiogène, à l'image de la gestion brouillonne et incohérente qui, depuis les premiers jours, est celle de l'Elysée et du gouvernement face à la crise du coronavirus.Incapable, malgré ses appels factices à l'unité et à "faire Nation", de s'élever au dessus des contingences et de prendre, au delà de la fermeture des écoles, les mesures concrètes de protection des Français comme le font, par exemple les Présidents russes et américains, oscillant entre tentative décalée de rassurer et une dramatisation à la limite du ridicule, le Président de la République n'aura réussi qu'à convaincre les Français qu'ils n'étaient ni dirigés ni protégés mais conduits dans la nuit noire par un aveugle.C'est au pied du mur que l'on voit le Macron.Des murs... Loin de dresser ceux qui seraient nécessaires pour combattre l'épidémie et ses effets sanitaires comme économiques et sociaux, loin de bâtir les digues contre l'invasion migratoire, loin d'ériger les barrières commerciales dont auraient besoin notre industrie et notre agriculture, loin de cimenter les remparts stratégiques que l'accumulation des menaces rendrait indispensable, Macron lézarde encore et encore notre édifice national et laisse la France à claire-voie. Ses murs à lui sont des murets. Ils sont en carton-pâte. -
Guillaume Bernard : « Coronavirus : les politiques et Macron jouent plus leurs intérêts personnels que le bien commun »
Au micro de Boulevard Voltaire, réaction de Guillaume Bernard à la suite de l’allocution d’Emmanuel Macron sur la crise sanitaire du coronavirus.
Vous avez écouté le discours d’Emmanuel Macron qui portait sur la gestion de la crise de cette épidémie de coronavirus. Comment avez-vous trouvé le président de la République ?
Je réagis quelques minutes après le discours, alors qu’il faut souvent un peu de temps pour décanter. À chaud, je vous dirai deux choses. De manière générale, il a été moins ondoyant, sans doute plus efficace et un peu plus crédible qu’il ne l’est d’habitude.
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Face aux crises, l’efficace retour des nations Par Yvan Rioufol
Où est passé l’Union européenne ? Cofrontée au coronavirus qui a atteint l’Europe début février, Bruxelles en est encore à envisager une coordination des moyens. Face à la menace d’une invasion migratoire massive, encouragée par le Turc Erdogan, elle demeure pareillement empotée. Ses réponses à la crise financière qui se profile ne sont guère plus lisibles. Pourtant, les promoteurs de cette Union, tatillonne pour les petites choses, ne cessent de vanter ses mérites. Ils fusillent de mots blessants ceux qui constatent que ce club de technocrates et de faux curés aggrave la vulnérabilité des peuples, en plus de ne rien comprendre au nouveau monde qui vient.
L’UE a toujours vu les nations comme un obstacle à sa domination, et les frontières comme une contrainte à dépasser. Résultat : le Covid-19, venu de la Chone sans entraves, se balade dans la « Société ouverte » promue par George Soros et ses disciples, tandis que des « réfugiés » prêts à passer en force, rêvent d’en faire autant.et vogue la galère !
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Têtes à Clash n°65 – Coronavirus : un danger ?
Franck Tanguy reçoit Grégoire Boucher, Yves Christen, Charles de Bourbon Parme et le sénateur Jean-Louis Masson. Au programme des débats :
1) Coronavirus, le gouvernement est-il à la hauteur ?
2) Le 49-3, un passage en force ou enfin la sortie ?
3) Polanski et les Césars, scandale dans un bocal ou signal d’une société la tête en bas ?Un point complet sur le Coronavirus dans Le Samedi Politique – Coronavirus : le virus qui fait craquer la mondialisation
Coronavirus et médias: revoir I-Média n°283 – Coronavirus : intoxication médiatique ou véritable danger ?
https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n65-coronavirus-un-danger
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Allocution de Macron : report des municipales, état d’urgence et stade 3 sur la table
Trouvé sur le JDD : « Sans être acté, le report des municipales devient vraisemblable à cause de la crise du coronavirus. Selon nos informations, le processus de consultation des présidents des deux chambres, à propos d’un décalage du scrutin, a commencé.
Que va annoncer Emmanuel Macron, jeudi soir à 20 heures lors de son allocution télévisée, filmée dans son bureau de l’Elysée et censée durer une quinzaine de minutes? « Toutes les options sont ouvertes », indiquait en tout début d’après-midi son entourage, laissant présager un changement de pied par rapport à la position adoptée depuis quelques jours par l’exécutif face à la diffusion de l’épidémie de Covid-19. Certes, « rien n’est décidé », poursuit cette source. Mais l’évolution de la situation, ces dernières heures, pourrait inciter le chef de l’Etat à annoncer des mesures fortes qui ne figuraient pas forcément dans son projet initial. Et ce sur plusieurs plans.
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Le Coronavirus est-il vraiment dangereux ? La réponse en 4 points
Par Nicolas Faure, journaliste ♦ Après des jours de tergiversations et une dramatique augmentation des décès et des hospitalisations en soins intensifs, le gouvernement italien a décidé de placer l’intégralité du pays en confinement. Une décision qui peut étonner alors qu’en France, de très nombreuses personnes continuent à relativiser la dangerosité de la crise sanitaire qui vient. Le Coronavirus est-il véritablement dangereux ? Si de nombreuses caractéristiques du Covid19 restent encore méconnues, la réponse à cette question est assez claire : oui le Coronavirus peut s’avérer très dangereux pour la France et pour l’Europe.
La dangerosité intrinsèque du virus
1/ La létalité
La létalité du virus est estimée par l’OMS entre 2 et 5 % des cas avérés.
Une étude, basée à la fois sur les données du Diamond Princess et sur les données chinoises, a récemment été publiée. Si ce travail n’est pas encore « validé par les pairs » des chercheurs, il est néanmoins en phase avec toutes les estimations des experts.
Selon les estimations des chercheurs, la létalité serait de :
– 18 % des cas déclarés chez les + de 70 ans
– 2,3 % des cas déclarés pour l’ensemble de la populationLa principale limite de cette estimation, c’est bien entendu que l’on ne connait pas avec précision le nombre total de personnes contaminées puisque de nombreux cas sont très légers et n’entrent donc pas dans les comptages.
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« Paniquez, paniquez, il en restera toujours quelque chose »
Bernard Plouvier
Depuis Beaumarchais, la propagande s’est multipliée de façon exponentielle : on est passé de la vitesse du cancanier à pied aux réseaux sociaux planétaires en direct. Les gens en sont encore moins sages et l’on n’a fait que faciliter la tâche des manipulateurs d’opinion.
Voilà que nos politiciens – dont l’efficacité à la tête des États n’échappe à personne – jouent aux « lanceurs d’alerte » et aux propagateurs de panique.
Pourtant, il semble logique de raisonner froidement... et, pour une fois, les statistiques – à qui l’on « ne fait dire ce que l’on veut » que lorsqu’on les truque – aident l’homme de bon sens.
1 – La pandémie de grippe 2009-2010 a touché, en 16 mois, plusieurs centaines de millions de personnes. La mortalité a d’abord été estimée aux alentours de 150 000 victimes. Puis les chiffres de l’OMS ont paru fort suspects et une méta-analyse publiée dans The Lancet le 26 juin 2012 faisait état d’environ 284 000 morts. Certains épidémiologistes ont même doublé cette estimation, la portant à 575 000 morts.
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Psychose, Paranoia, Panique and C°
Pieter Kerstens
« Psychose » est une œuvre cinématographique de Sir Alfred Hitchcock (1899-1980) né à Londres, naturalisé américain. Tous les amateurs du grand écran se souviennent de ce petit bijou du cinéma interprété par Anthony Perkins et Janet Leigh, dirigés magistralement par le maître du suspense et de l’angoisse.
Depuis fin janvier en France, avec le rapatriement sanitaire de 220 citoyens résidents en Chine, les responsables politiques et la totalité des médias ont orchestré une réelle manipulation mentale de la population. Bien plus grave que la psychose des attentats durant l’année 2015, la paranoïa actuelle de cette épidémie d’origine virale, risque de déboucher sur une hystérie collective et une panique générale de peuples dorlotés dans un confort matérialiste exclusif.
Le Covid-19 n’est qu’une affection saisonnière contagieuse.
Et chacun ferait bien de raison garder et de faire appel à son devoir de mémoire.
Le Bulletin Epidémiologique Hebdomadaire (BEH) issu de l’Institut de Veille Sanitaire (InVS) nous apprend que le nombre de décès des personnes sans domicile fixe (SDF) est estimé à environ 3.600 par an -soit 300 par mois- selon « Libération » du 20/02/2018.
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Prisons : le coronavirus réveille la gauche
Les députés auraient-ils enfin pris conscience de l’urgence à traiter la question des prisons ? Les récentes mutineries dans le nord de l’Italie, coronavirus oblige, pourraient les avoir réveillés. On l’espère, à la lecture d’une tribune de Mme Braun-Pivet dans L’Obs. Cette dernière, par ailleurs président de la commission des lois et député LREM, nous livre un texte qui pourrait constituer un premier pas, insuffisant, mais nécessaire.
Dans la mentalité de gauche dominante, la prison, c’est mal. Inspirée des pages de Victor Hugo, de son célèbre et apocryphe « Ouvrir une école c’est fermer une prison », toute la bien-pensance humaniste a considéré, des années durant, que la prison était l’école du crime, quand ce n’est pas la société qui a généré le criminel. Cette douce utopie a fait, et continue de faire, des ravages au sein de la magistrature biberonnée au lait de l’indulgence dès son entrée à l’École nationale de la magistrature. Sauf, bien entendu, pour certains déviants que notre société libérale avancée doit empêcher de nuire, surtout lorsqu’ils ne partagent pas la doxa officielle.
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C’est le grand retour des frontières… il aura fallu le coronavirus…