L’Italie a enregistré 4.207 nouveaux cas d’infection au Coronavirus ce jour et 475 nouveau décès. Plus de 35.700 italiens ont été touchés par le virus depuis le début de l’épidémie.
santé et médecine - Page 271
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Covid-19: triste record pour l’Italie qui enregistre 475 décès en une journée
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Les déclarations d’Agnès Buzyn : mensonges et postures, ombre et clarté…
La France vit, depuis une semaine à peine, comme si, brusquement, au monde réel, habituel, s’était substituée une autre réalité. Il y avait une épidémie menaçante, et il y avait des élections municipales. Les aveux étonnants de l’ex-ministre de la Santé, Mme Buzyn, parus dans Le Monde de mardi, jettent à la fois une ombre sur le comportement de l’exécutif et de la clarté sur la chronologie de cette étrange période.
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Pendant que l'on s'affole sur le coronavirus, l'invasion continue...
L'envoyé spécial de Valeurs actuelles, Bastien Lejeune, a été à la frontière gréco-turque pour constater la situation. Il décrit une police grecque extrêmement tendue, qui fait face à des tentatives d’intrusions des migrants et qui est abandonnée par l’Union européenne, censée être gardienne des frontières extérieures de l’union.
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Dans la revue l'Incorrect, « À quoi a servi le principe de précaution qui figure dans la Constitution ? », par Nicolas Lecaussin.
Nicolas Lecaussin dirige l’IREF (Institut de recherches économiques et fiscales), « think tank libéral et européen » fondé en 2002. Grand contempteur du rôle de l’État en France, il vient de publier Les donneurs de leçons (Pourquoi la France est en vrac !) au Rocher, où il s’attaque aux intellectuels de gauche, aux journalistes de l’établissement et aux hauts-fonctionnaires. La crise du coronavirus, ses conséquences et la réaction de l’État sont l’occasion de lui donner la parole.
En tant que directeur de l’Iref, vous dénoncez évidemment dans votre livre, Les donneurs de leçons, le poids certain de l’État dans l’économie française. En période de coronavirus, n’est-on pas heureux pourtant de posséder un État fort, capable de prendre des décisions sanitaires autant qu’économiques pour résister à la crise ?
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Coronavirus en France: les hôpitaux saturés vont devoir « prioriser » les patients
Selon une information diffusée par LCI, un document transmis aux hôpitaux fournit des recommandations pour prioriser les patients en cas de saturation des services. Le ministre de la Santé Olivier Véran refuse de son coté le terme de « sélection » des patients et détaille le rôle d’aide et d’accompagnement des cellules d’éthique aux médecins. Toutefois, celui-ci s’interroge : « Tout malade est soigné. On ne laisse personne à l’extérieur d’un hôpital. La question, c’est jusqu’où vont les soins accordés à des malades dont l’état est critique ?
LCI – La pandémie de coronavirus met à rude épreuve le système hospitalier. Dans un contexte où le nombre de malades augmente de façon exponentielle en France, certains services d’urgences et de réanimation sont déjà au bord de la saturation. Dans le Grand Est, durement touché avec 1.820 cas positifs et 61 décès recensés, l’armée a ainsi été mobilisée pour soulager les hôpitaux en première ligne face à la maladie. Et ce, alors même que le pic épidémique n’est pas encore atteint. Par ailleurs, les personnels soignants redoutent, alors qu’ils souffrent déjà du manque de moyens, d’avoir à sélectionner les patients en réanimation.
Un texte remis mardi 17 mars à la Direction générale de la Santé (DGS), intitulé « Priorisation de l’accès aux soins critiques dans un contexte de pandémie » que Le Monde a pu consulter, vise à aider les médecins à opérer des choix en cas de saturation des services et d’un manque de lits de réanimation, en respect de l’éthique et le principe de réalité. Le document, transmis aux hôpitaux, s’appuie sur un « score de fragilité », qui classe les patients selon leur état de santé préalable au Covid-19.
L’article complet sur LCI
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Voyage en Absurdie
Ce qui est bien avec la Macronie, c’est qu’on n’a pas du tout l’impression d’être pris pour des abrutis. “Nous sommes en guerre”, nous répète Jupiter. Mais la guerre n’a pas empêché d’exfiltrer Agnès Buzyn du ministère de la Santé, pour remplacer Benjamin Griveaux que ses prouesses cinématographiques rendaient momentanément indisponible. Et maintenant, nous apprenons que les quelque 30 000 conseils municipaux qui ont été élus au premier tour éliront leurs maires entre vendredi et dimanche prochains. On nous précise que ce sera “à huis clos”. Merveilleux. Mais, quand on réunit un conseil municipal, fût-ce à huis clos, on dépasse la barre que l’on dit fatidique de 5 personnes. Il faut croire que le suffrage universel doit immuniser contre le virus. Quand on pense que ces grotesques personnages ont en plus eu le front d’insulter les Français qui avaient eu le malheur d’aller se balader dimanche dernier…
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Crises sanitaires et folies idéologiques
Par Jean-Yves Le Gallou ♦ Au cours des 40 dernières années, la France a fait face à trois grandes crises sanitaires : l’affaire du sang contaminé, la canicule et le Coronavirus. À chaque fois, il a fallu faire face aux aléas de la nature : un virus qui apparaît ou qui mute, un été particulièrement chaud, etc. Ces aléas de la nature sont inévitables. Mais il faut leur opposer la réponse la plus adaptée. Et, en France, le conformisme idéologique domine et interdit justement toute réponse adaptée.
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Drôle de guerre, par Franck Deletraz
Un tantinet théâtral, le chef de l’Etat, qui s’est adressé une nouvelle fois aux Français lundi soir, n’a pas hésité à revêtir l’uniforme un peu trop grand pour lui du « chef de guerre » pour annoncer son nouveau train de mesures contre le coronavirus. Multipliant en effet les métaphores martiales et les appels à la « mobilisation générale », le président est même allé jusqu’à marteler que « nous sommes en guerre » contre l’épidémie. De quoi renforcer surtout notre inquiétude, tant le « généralissime » Macron, par son imprévoyance, sa sous-estimation permanente du danger, son effarante lenteur à réagir, et ses incessantes contradictions, nous a montré depuis le début de cette crise qu’il était un bien piètre « chef de guerre ».
« Confinement », un autre mot tabou ?
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Face au Coronavirus, l’Etat n’exclut pas de nationaliser certaines entreprises (Vidéo)
Hier, l’Etat s’est dit prêt à prendre ses responsabilités pour gagner la guerre économique contre le coronavirus. Edouard Philippe a annoncé une série de mesures pour sauver les entreprises françaises. Dans son allocution, le Premier ministre n’a pas exclu des nationalisations. Selon Nicolas Doze, l’Etat se garde la possibilité de monter au capital d’une entreprise. « Une entreprise qui est à 100% dans les mains de l’Etat repartira immunisée contre la faillite même si elle n’est pas viable économiquement », poursuit-il. – L’édito Eco de Nicolas Doze, du mercredi 18 mars 2020, sur BFMTV.
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Dans Valeurs Actuelles, les mesures barrières négligées dans des "quartiers populaires".