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Point de vue n°8 - la Constitution sociale
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De la crise économique à la crise sanitaire, l’exode rural n’a plus la cote.
Et la raison leur revient !
Une maison alsacienne typique, aux colombages noirs et aux volets verts, que Franck Eisele indique d’un mouvement de main. « C’est celle de mes grands-parents. Je voudrais m’y installer un jour. » A 17 ans, le garçon n’imagine son avenir qu’« ici », dans ce village de 450 habitants de l’Alsace rurale, à 60 kilomètres de Strasbourg, où il a grandi. Comme six générations avant lui. Les commerces du bourg ont hélas fermé un à un au fil des ans. « Il ne reste plus qu’un coiffeur, décrit Franck. Mais c’est chez moi, je ne partirais pour rien au monde. Ce sont mes champs, ma nature. »
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Le Covid-19 enrichit les milliardaires et appauvrit le reste du monde
Deux rapports publiés la semaine dernière documentent la disparité considérablement croissante entre les personnes les plus riches du monde et le nombre croissant de familles vivant dans la pauvreté en raison des politiques gouvernementales COVID-19.
Un rapport de l’Organisation internationale du travail (OIT) des Nations Unies a révélé que «8,8% des heures de travail dans le monde ont été perdues par rapport au quatrième trimestre de 2019, ce qui équivaut à 255 millions d’emplois à temps plein». Cela équivaut à une perte d’emploi «environ quatre fois plus importante que lors de la crise financière mondiale en 2009.»
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Eric Zemmour : “Vous dites qu’il faut remettre les infirmières dans les logements sociaux, mais elles ont tout fait pour les fuir, parce qu’on y vivait selon des mœurs islamiques”
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Le corporatisme au service du localisme. Le nouveau livre de Guillaume Travers.
Le corporatisme a mauvaise presse, il est quasiment devenu synonyme d’immobilisme. Mais à l’heure des « bullshit jobs », il pourrait redonner un sens au travail. Dans un nouvel essai, clair, synthétique et dense, qui ne surévalue pas les vertus de son objet (pas plus qu’il ne les sous-estime), « Corporations et corporatisme. Des institutions féodales aux expériences modernes », paru aux éditions de la Nouvelle Librairie, Guillaume Travers retrace l’histoire de ce qui fut bien plus qu’un mode d’organisation des métiers : l’expression d’une vision de l’ordre social. Avec ce nouveau volume, l’économiste d’« Éléments » et de l’Institut Iliade poursuit ainsi son exploration du temps long économique, en quête d’expériences et de modèles susceptibles de constituer des alternatives au rouleau compresseur de l’économiquement correct.
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73% des Français disent se sentir «perdants» de la politique d’Emmanuel Macron depuis son élection, selon un sondage
Selon un sondage Ifop-Fiducial pour CNEWS et Sud Radio, diffusé jeudi 11 mars, 73% des Français disent se sentir «perdants» de la politique d’Emmanuel Macron depuis son élection. Dans le détail, l’étude précise que 51% des sondés se considèrent «plutôt perdants» et 22% «tout à fait perdants».
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La France À L'agonie
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Anne Hidalgo croit-elle que les villes de province sont encore éclairées au bec de gaz ?
En plein décalage horaire, Anne Hidalgo avait mis son réveil à sonner pour être sûre de ne pas rater l’heure de son interview sur France Inter. Sept heures du matin ! En pleine nuit ! Est-ce une heure pour inviter les gens à la radio ? Non, décidément, ce couvre-feu si tôt dans la journée ne pouvait plus durer et elle allait profiter de cette invitation pour le faire savoir.
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Sur Valeurs Actuelles, resto du Coin : une alternative française à Uber Eats ?
Yonathan Malet lance une application de commande et #livraison de repas à domicile pour aider les #restaurateurs. Misant sur le #local et la simplicité, Resto du Coin joue des coudes face aux géants du domaine, comme Uber Eats et #Deliveroo.
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Corentin et Clémentine, boulangers à Cambremer : la jeunesse du petit matin contre celle du Grand Soir, par Gabrielle Cluzel.
L’actualité vous donne envie de vous pendre ? Attendez un peu. Il suffit d’un rien, parfois, pour vous redonner foi en l’humanité.
On le sait, la chaîne M6 s’est fait une spécialité du « divertissement populaire ». Et de populaire à populiste, il n’y a qu’un suffixe.
Difficile, il faut dire, d’attirer des foules enthousiastes sur les débats goûtés avec gourmandise par la petite élite de France Culture (« Si Babar faisait l’éloge de la colonisation ? »), du HuffPost (« Avoir ses règles quand on n’est pas une femme ») ou de Slate (définir les femmes comme « trous de devant » ou « propriétaires de vulves » n’est-il pas une façon « d’invisibiliser les femmes au nom de l’inclusion des personnes trans » ?). Amis du glamour et du romantisme, bonjour !