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social - Page 133

  • Irréversibilités Crise du covid, ce qui ne sera plus jamais comme avant

  • La grande dépression de Covid-19

    La grande dépression de Covid-19

    Un article d’Antoine Bordier pour Le Salon beige :

    Des économistes et des essayistes, comme Nicolas Baverez, tirent la sonnette d’alarme. Ils parlent de l’hyperdette. La planche à billets de la dette souveraine est de nouveau en pleine production. La raison ? Le financement de notre économie sous perfusion, à la suite des vagues successives de la pandémie. Pour les arrêter, le gouvernement a décidé de reconfiner sa population. Conséquence, notre économie risque la faillite. La France vivrait-elle sa grande dépression ? Derrière ce sombre tableau, où la peur s’installe dans les foyers, des raisons d’espérer existent, grâce au digital, à l’inclusion, et aux valeurs.

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  • 85% des Français redoutent une explosion sociale dans les mois à venir, selon un sondage

    L’inquiétude des Français quant au climat social ne cesse de croître, rapporte un sondage. Dans ce contexte tendu, les enjeux sécuritaires prennent une place importante.

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  • Zoom – Franck Buleux : La guerre sociale qui vient

    Enseignant et diplômé en analyse des menaces criminelles contemporaines, Franck Buleux décortique les mouvements indigénistes ou nihilistes et observe les militants islamo-gauchistes pour dénoncer la nébuleuse révolutionnaire qui s’apprête à mener la guerre sociale. Pour lutter contre ces groupes qui prônent le chaos, l’auteur propose deux remèdes immédiats : la solution policière par le renseignement et la délégitimation de toutes les actions de l’ultragauche, souvent encensées par les médias mainstream. L’essai de Franck Buleux, « La guerre sociale qui vient », est une mise en garde. Pour lui, l’ordre ne succède pas toujours au chaos.


    https://www.tvlibertes.com/zoom-franck-buleux-la-guerre-sociale-qui-vient

  • OUI à la réouverture de TOUS les COMMERCES dès le 27 novembre. Laissez-nous travailler !

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    Patrick Binder

    Les lecteurs de Synthèse nationale, en particulier ceux d'Alsace dont il fut longtemps conseiller régional, connaissent Patrick Binder. Celui-ci dirige une entreprise de restauration, la "Brasserie du Rhin", et l'an dernier, à l'occasion de notre Rendez-vous Bleu Blanc Rouge, il s'occupait justement du banquet amical du samedi soir qui rencontra un vif succès. Il est donc bien placé pour attirer l'attention des pouvoirs publics sur la situation catastrophique que subissent les artisans et les commerçants actuellement. Il vient de publier une lettre ouverte à cet effet que nous reprenons bien volontiers sur ce site.

    R.H. 

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  • Solidarité royaliste avec les 863 de Béthune !, par Jean-Philippe Chauvin.

    Une fois de plus, une mul­ti­na­tio­nale montre le visage d’un capi­ta­lisme sans cœur mais pas sans inté­rêts, ceux de ses pro­prié­taires et de ses action­naires. Ain­si, l’entreprise de pneu­ma­tiques Brid­ges­tone a déci­dé de fer­mer son usine de Béthune et de sacri­fier ses 863 sala­riés, sans même jeter un œil aux pro­jets alter­na­tifs pro­po­sés par l’État et la Région.

    Cette fer­me­ture, même si elle se veut accom­pa­gnée de mesures de reclas­se­ment, est une véri­table tra­gé­die sociale pour la ville et les envi­rons, autant pour les ouvriers eux-mêmes que pour les entre­prises sous-trai­tantes et les com­merces avoi­si­nants : plus de 5.000 emplois sont ain­si mena­cés et fra­gi­li­sés, au moment même où la Répu­blique semble inca­pable de s’opposer à l’hégémonie des grandes pla­te­formes numé­riques étran­gères et qu’elle menace la sur­vie de nombre de com­merces de proxi­mi­té par sa poli­tique erra­tique de confi­ne­ment sans stra­té­gie de long terme.

    Pour faire entendre rai­son aux mul­ti­na­tio­nales mon­dia­li­sées et favo­ri­ser le tra­vail en France, encore faut-il un État qui soit non seule­ment stra­tège mais qui dis­pose d’une véri­table durée et d’un réel enra­ci­ne­ment social sus­cep­tible d’amortir les chocs sociaux et de pro­mou­voir des alter­na­tives indus­trielles cré­dibles quand une branche d’activités est mena­cée. Non un État « chef d’entreprise », non un État intru­sif, mais un État qui aide, qui sou­tient les ini­tia­tives en les valo­ri­sant, un État qui ne dirige pas tout mais qui s’appuie sur un réseau enra­ci­né d’entrepreneurs et de sala­riés moti­vés, et orga­ni­sés, non pour « reven­di­quer » mais pour ordon­ner les acti­vi­tés et les métiers.

    En atten­dant cette Monar­chie sociale et cor­po­ra­tive que nous tra­vaillons à ins­tal­ler en France, le com­bat d’urgence est de sou­te­nir, haut et fort, les pro­tes­ta­tions et les ini­tia­tives ouvrières et pro­fes­sion­nelles des sala­riés de Brid­ges­tone, et de « faire force » face aux mul­ti­na­tio­nales égoïstes et insou­cieuses du sort des tra­vailleurs et de la ville de Béthune.

    Source : https://www.actionfrancaise.net/

  • Catholiques, commerçants... Même combat.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    L'interdiction pour les Français de participer au sacrifice de la messe ne sera pas levée avant la mi-décembre, voire avant Noël. Si, toutefois, Noël nous est autorisé par le Robespierre de l'Elysée et le père Combes de Matignon.
    En prenant cette décision, Castex se livre à un abus de pouvoir et enfonce la France spirituelle dans une fosse d'obscurité. 
    Faudra-t-il bientôt pour pouvoir dire la messe de toujours que nos prêtres, sous peine d'être déclarés réfractaires et de subir la persécution,  jurent leur fidélité à la Constitution civile et sanitaire de la République ? Du laïcisme anti-clérical a l'application de la terreur, n'oublions jamais qu'il n'y a qu'un pas.
    Dans le même temps, le régime, en tuant nos commerces de tradition, livre une part entière de notre économie à Amazone.
    Dans les deux cas, c'est l'identité française qui est visée.
    Pour la république macronienne la messe est une cérémonie non-essentielle, une manière d'habitude désuète et, pour tout dire, un loisir du dimanche. Pour nous elle est une convocation du Seigneur. Le "Vous ferez ceci en mémoire de moi" n'est pas une invitation optionnelle.
    Dans toutes les grandes villes de France des rassemblements s'organisent pour exiger le libre accès de tous à la messe, comme se multiplient les manifestations de commerçants pour la réouverture des magasins de proximité. Ces combats, s'ils ne sont pas de même nature, participent d'une même volonté : la préservation de ce que nous sommes.
    S'il devait s'avérer que la résistance française au totalitarisme progressiste et à la dictature sanitaire trouvât sa source, son expression et sa force, d'une part dans la liberté fondamentale pour notre peuple de vivre sa foi, d'autre part dans la défense des commerçants et des petites entreprises, alors rien, non rien ne serait perdu pour notre pays.
  • Un nouveau front, poujadiste ?, par Michel Corcelles.

    L’establishment est ébran­lé : de crise sani­taire en menace sécu­ri­taire, de mon­tée du chô­mage en pau­pé­ri­sa­tion, le sys­tème et son socle idéo­lo­gique sont sou­mis à rude épreuve.

    Dans un tel contexte peut paraitre déri­soire la réflexion sur un phé­no­mène daté et contem­po­rain d’une socié­té que moder­ni­té et post moder­ni­té sem­blaient avoir défi­ni­ti­ve­ment enter­ré : le pou­ja­disme. Et pourtant !

    Le Mou­ve­ment des gilets jaunes a été qua­li­fié de « pou­ja­diste » , terme com­mode pour dési­gner tout mou­ve­ment des classes moyennes infé­rieures trop liées au « sys­tème » pour bas­cu­ler dans un gaucho/syndicalisme post mar­xiste mais suf­fi­sam­ment mar­gi­na­li­sé par le « sys­tème » pour bas­cu­ler dans une contes­ta­tion vio­lente. Une révolte « petite bour­geoise » pour reprendre la ter­mi­no­lo­gie léni­niste, située à l’intersection des artisans/commerçants, des lais­sés pour compte de la socié­té d’abondance et, pour l’avoir consta­té sur les ronds-points « des petits blancs déclas­sés » avec en prime une domi­nante rurale.

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  • Faudra-t-il choisir : mourir du Covid ou mourir de faim ?

    « Combien de gens faut-il affamer pour désengorger les hôpitaux ? »

    Bonne question, la seule qui vaille aujourd’hui, titre d’une tribune publiée dans Le Point, le 2 novembre dernier, jour des Morts…

    C’est le Secours populaire qui décrivait, au début de ce mois, « une précarité jamais vue depuis la Seconde Guerre mondiale », expliquant que, pendant les deux mois du confinement de mars, environ 1,3 million de personnes avaient sollicité son assistance – dont 45 % jusque-là inconnues de l’association – contre « un peu plus de 3 millions sur l’ensemble de l’année 2019 ».

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