Mes chères impertinentes, chers impertinents,
« Dans une décision du 20 janvier, le tribunal judiciaire a approuvé la demande de la mainlevée d’une saisie attribution des loyers du premier confinement au nom de la « destruction de la chose louée ».
Si cette première fait jurisprudence, les bailleurs commerciaux ne seraient plus en droit de réclamer les impayés de mars et avril 2020. »
C’est sur cette phrase lourde de conséquences que commence cet article très important du journal les Echos.fr ici.
En effet, un bailleur a été débouté de sa demande de paiement des loyers qu’un commerçant ne versait pas en raison du confinement.