En 2020, ils ont été près de 600 à fréquenter la «coopérative d’autoconstruction» L’Atelier paysan. Ils le doivent à Joseph Templier, un maraîcher isérois qui, faute de trouver les outils adaptés à ses cultures sur planches permanentes, s’est ingénié à les façonner, déclenchant un défilé de curieux, puis la création, en 2014, d’une société coopérative d’intérêt collectif. Elle est aujourd’hui forte de trente salariés, de 126 sociétaires, et d’un grand prix décennal de la finance solidaire.
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Réinventer la charrue.
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Mainmise de l’industrie pharmaceutique sur le pays : pas plus de réaction que ça…, par Jérôme Serri.
Recevant, le 23 mars sur CNews, Gabriel Attal, porte-parole du gouvernement, Pascal Praud dénonça l’incohérence des dernières mesures gouvernementales, avant de lui faire la leçon avec l’inévitable citation de Boileau : « Ce que l’on conçoit bien s’énonce clairement. »
Il serait difficile de prétendre que les journalistes, depuis le début de la crise, ont contribué à la clarté du débat. Composer des plateaux et des duplex hétérogènes, c’est privilégier le spectacle plutôt que l’information. Comment se fait-il que la situation sanitaire du pays à un instant donné ne puisse faire l’objet d’un consensus ?
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Sur Sud Radio, crèches, écoles fermées : Les parents pourront-ils encore travailler la semaine prochaine ?
Philippe David avec Philipe Bilger, Caroline Grima, Caroline Pilastre et Chantal Huet, présidente de Familles de France.
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Une Toulousaine touche 57.000 euros d’aides sociales grâce à de fausses déclarations
Depuis 2016, une femme domiciliée à Toulouse accumulait les aides diverses. Le conseil départemental soupçonnait à l’origine une fraude au RSA. Les investigations de la police ont mis au jour une fraude atteignant 57.000 euros sur quatre ans et concernant également la caisse d’allocation familiale, la Sécurité sociale et Pôle emploi, rapporte La Dépêche.
La femme multipliait les demandes d’aide et ses fausses déclarations lui ont permis d’obtenir des soutiens financiers divers jusqu’à ce que les services du conseil départemental gérant le RSA alertent les services de police pour dénoncer une possible fraude. Pour obtenir son RSA, elle oubliait de déclarer la réalité de ses revenus. Les investigations de policiers ont confirmé des fraudes au RSA mais également auprès d’autres organismes.
Depuis 2016, 57.000 euros d’aides sociales indues
La Toulousaine de 48 ans a été placée en garde à vue, le 1er avril, et a reconnu ses fausses déclarations.
Selon l’enquête, entre 2016 et 2021, elle aurait perçu 57.000 euros d’aides diverses attribuées uniquement grâce à ses déclarations frauduleuses. Présentée au parquet, elle a été placée sous contrôle judiciaire et devra prochainement comparaître devant le tribunal correctionnel de Toulouse. Avec, au-delà de la sanction pénale, la probable obligation de rembourser les aides indûment perçues.
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Sur Georges Valois
Nous enchaînons sur l'étude du fascisme, ou plutôt de la tentative d’un fascisme en France. Bon nombre d’historiens, tels Pierre Milza et Serge Berstein, ont longtemps averti leurs lecteurs de ne pas comparer à tort la droite et même l’extrême droite française avec les modèles fascistes en Allemagne et en Italie.
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Du communisme au Covid-19 : l’Etat du dressage social
Dans un texte publié sur Alliance pour la France, l’auteur montre les analogies troublantes entre le système communiste et ce que nous appelons la postmodernité, en particulier depuis la crise sanitaire du Covid-19, à travers le livre de Michel Heller (né en U.R.S.S en 1922), La Machine et les Rouages :
L’Etat soviétique, nous dit Michel Heller, est une « école du dressage social ». Ce dressage social est apparu de manière patente dans la gestion gouvernementale de la crise du covid-19. Le confinement, le couvre-feu ont fait apparaître une criminalisation de la mobilité qui est aux antipodes de l’idéologie dite libérale du « laisser passer » et de la libre circulation des biens, des services et surtout des hommes. La mise en place de la fameuse « attestation de déplacement », l’évocation itérative d’un « passeport vaccinal », le vote d’un passeport sanitaire (le « certificat vert ») par le Parlement européen, ne sont pas sans rappeler l’instauration du passeport intérieur en U.R.S.S dans les années 30, les autorisations pour passer d’une ville à l’autre étant extrêmement limitées.
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Les néo-socialistes au-delà de la gauche et de la droite 1/3
1) Les néo-socialistes : "ni droite, ni gauche", "néos" et perspectives socialistes.
Si la guerre de 14/18 sonne le glas du vieux monde, des vieilles choses, des idées reçues et de la morale bourgeoise, force est de constater les mutations qu'elle entraîne dans les divers courants politiques. Mutations qui s'opèrent parallèlement à l'avènement du monde moderne. Il en est ainsi du "mouvement socialiste", nous devrions plutôt dire des socialismes qui vont éclore et parfois s'affronter. Certes le public retiendra longtemps l'impact du dernier avatar du marxisme, à savoir le bolchévisme et l'élan que suscita la Révolution d'Octobre 1917. En France, les conséquences en sont l'apparition du PCF et la scission dans le mouvement syndical de la CGT, consécutive à la déchirante révision idéologique née du congrès "historique" de Tours. Mais finalement la conception bolchévique n'est que la "radicalisation" du courant marxiste, accompagnée d'un rejet du jeu parlementaire et légaliste.
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Covid et confinement : Macron entre deux maux – JT du mardi 30 mars 2021
Au programme ce soir, le point sur les dernières nouveautés du Covid-19. L’hypothèse d’une allocution présidentielle mercredi soir est toujours dans les tuyaux. Un discours dont les objectifs devraient être bien plus politiques que sanitaires.
Également dans l’actualité, la gauche plus que jamais divisée sur les questions sociétales. Après les polémiques sur les réunions non-mixtes de l’UNEF plébiscitées par Audrey Pulvar, les différents partis de gauche se déchirent. De quoi tuer les ambitions d’union pour 2022.
Et puis nous reviendrons sur le dernier rapport concernant le génocide au Rwanda avec le colonel Jacques Hogard.
https://www.tvlibertes.com/covid-et-confinement-macron-entre-deux-maux-jt-du-mardi-30-mars-2021
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Après la crise : le localisme, un impératif vital.
Ma contribution au "Petit Daudet", mensuel de la Ligue du Sud.
La crise du Covid-19, par son ampleur et sa gravité, a mis en lumière trois éléments majeurs, complémentaires, particulièrement intéressants pour tout patriote soucieux de rompre avec le système qui nous a amené là :
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La révélation de l'incapacité totale des instances et institutions transnationales, internationales - qu'elles soient européennes ou mondiales - à gérer la crise. Face au danger, chaque pays s'est refermé et a mis en place ses propres règles de gestion de crise (pour me meilleur ou le pire, c'est une autre question). On a ainsi assisté au retour de l'Etat-Nation qu'on nous disait mort et enterré.
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Défense : Bruxelles asphyxie notre industrie en silence !
« Qu’avons-nous fait, nous, Européens de notre souveraineté » ? Depuis cette déclamation par Emmanuel Macron sur la colline du Pnyx à Athènes en 2017, pas grand-chose.
Le vote sur le rapport parlementaire des marchés publics de Défense ce jeudi 25 mars à Bruxelles aura eu le mérite de baisser le rideau sur une pièce mal jouée.