« L’Éducation nationale est un système cogéré par un pouvoir transitoire, celui du gouvernement, et un pouvoir permanent, celui des gros syndicats. », écrivait en février 2010 le journaliste François d'Orcival dans Valeurs actuelles. Ce n'est plus un secret pour personne, le service public de l’Éducation nationale est devenu un monstre ingérable, un « mammouth » à dégraisser de toute urgence. Mais pour atteindre cet objectif, encore faudrait-il parvenir à libérer l’école de l'emprise et de l'influence des syndicats.
social - Page 140
-
Syndicats d'enseignants : il faut rendre l'école à la nation (texte de 2010)
-
Hold-up : la bande annonce
A voir absolument. Pour ceux qui doutent de la manipulation en cours.
-
Le bricolage gouvernemental atteint des sommets !, par Nicolas Dupont-Aignan.
"Je sors de la séance des questions d'actualité au Gouvernement. Le Premier Ministre et le Ministre de la Santé ont été incapables de répondre avec cohérence aux questions des parlementaires... Le bricolage gouvernemental atteint des sommets !"
-
La mondialisation numérique, une menace pour les télétravailleurs français ?
« La mondialisation est un fait, elle n’est pas forcément un bienfait », ai-je pris l’habitude de dire depuis quelques années, et ce n’est pas l’article publié mardi par le quotidien L’Opinion qui va me rassurer ou me démentir sur ce point : son titre, en lui-même, annonce bien la suite : « Télétravail : pyjamas délocalisables ». Car la Covid 19, en imposant le confinement (mais ne sont-ce pas plutôt les gouvernements qui ont joué cette carte, faute d’autre stratégie sanitaire et médicale dans nombre de pays ?), a changé les formes les plus marquantes de la mondialisation sans la remettre en question, contrairement à ce que certains espéraient ou prédisaient. Quand Michel Houellebecq annonçait un monde d’après qui serait juste « le même, en un peu pire », avait-il tort ? Nous l’espérions, nous en rêvions, même, mais il semble bien que le « sire triste »de la littérature française ait vu plutôt juste, même si les jeux ne sont pas totalement faits ni défaits.
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, l'emploi, social 0 commentaire -
Hôtellerie, restauration, transport, les secteurs les plus touchés selon la Banque de France
« Après une estimation de perte de PIB sur une semaine-type d’activité de -7 % en juillet par rapport au niveau d’avant crise et de -5 % en août, notre nouvelle enquête mensuelle de conjoncture (EMC), menée entre le 28 septembre et le 5 octobre auprès de 8 500 entreprises ou établissements, permet d’estimer que la perte de PIB resterait à -5 % en septembre. En prenant en compte nos estimations de pertes d’activité pour ces trois mois écoulés, nous maintenons inchangée notre estimation d’une hausse du PIB d’environ + 16 % au 3e trimestre 2020 (par rapport au trimestre précédent).
-
Eric Zemmour : “Il n’y a aucune discrimination envers les immigrés dans les quartiers. Il y a en revanche une discrimination envers les Français qui ont dû fuir ces quartiers !” (Vidéo
Eric Zemmour : “Il n’y a aucune discrimination envers les immigrés dans les quartiers. Il y a en revanche une discrimination envers les Français qui ont dû fuir ces quartiers !” (Vidéo). Christine Kelly et ses chroniqueurs débattent de l’actualité, puis Éric Zemmour débat face à un invité dans Face à l’info, replay du 13/10/2020.
-
Le point de vue de Marc Rousset sur l'affaire Suez/Véolia.
La Bourse de New York a fini la semaine sur une note positive vendredi, espérant un accord sur un soutien à l’économie, avec l’élection présidentielle en arrière-plan. Après plus de deux mois de négociations, Trump a finalement mis 1.800 milliards de dollars sur la table, espérant ainsi un accord avec les démocrates avant les élections. Les 2.200 milliards votés fin mars ont déjà été presque complètement dépensés ; les démocrates réclament une rallonge de 2.200 milliards, alors que Trump voulait la limiter à 1.600 milliards.
-
Pourquoi la dette de plus de 2 300 milliards ne se règlera que par l’esclavagisme et le sang du peuple
Par Valérie Bugault, Docteur en droit, ancienne avocate fiscaliste, analyste de géopolitique juridique et économique
Le sang est la face sociale et politique de la dette. Une analyse chiffrée de la dette se trouve sur le site de l’Agence France Trésor (AFT). Nous verrons, dans cet article, que la dette, qui suppose la disparition de tout ce qui cimente l’État et la possibilité de vie en commun est, historiquement, effectivement payée par le sang des populations endettées.
Autrement dit, l’endettement conduit, de façon inéluctable, à la disparition du bien commun, elle est, corrélativement, le moyen le plus sûr de nous mener à l’esclavagisme. Aussi, ce n’est pas sans raison que la Cour des comptes lance le 15 juillet 2020 une alerte sur le niveau de la dette publique française. A la fin du quatrième trimestre 2018, la dette publique recensée s’élevait à la somme astronomique de 2 315 milliards d’euros, soit 98,4% du PIB en décembre 2018. Or, nous allons voir que l’endettement s’est encore considérablement accru à l’occasion de la crise sanitaire liée à la Covid-19.
-
Charles Prats, auteur d'un livre sur la fraude sociale, invité de Bistro Libertés
Commander ce livre cliquer ici
-
Charles Prats : « Les millions de fantômes du système de protection sociale représentent 50 milliards d’euros ! »
On apprend aujourd’hui que la dette de la Sécurité sociale sera vertigineuse : estimée, il y a un an, à 5,4 milliards d’euros, le déficit du régime général et du fonds de solidarité vieillesse est, désormais, évalué à 44,4 milliards d’euros pour 2020. Tandis que la fraude aux prestations sociales, elle, est bien réelle, estimée à 50 milliards d’euros par Charles Prats, auteur du Cartel des fraudes : les révélations d’un magistrat français.
Entretien avec le magistrat et retour sur ces révélations au micro de Boulevard Voltaire.
Lien permanent Catégories : actualité, économie et finance, magouille et compagnie, social 0 commentaire