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social - Page 283

  • Gilets jaunes : un acte 7 pour prouver que le mouvement ne s'essouffle pas ? Suite

    Gilets jaunes : un acte 7 pour prouver que le mouvement ne s'essouffle pas ?
    © STEPHANE MAHE Source: Reuters
    Manifestation des Gilets jaunes à Nantes, le 22 décembre 2018.

    Ce 29 décembre, les Gilets jaunes, rejetant l'idée d'un essoufflement du mouvement, se sont donné rendez-vous pour l'acte 7. Un peu partout en France, les manifestants se réuniront pour un nouveau samedi de mobilisation.

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    • A Rouen, le cortège – fort d'un millier de personnes selon un journaliste sur place – poursuit sa marche, et entonne une puissante Marseillaise sous les applaudissements.

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  • Alexandre Jardin, le nouvel imposteur macroniste chargé de conseiller une liste Gilets Jaunes aux européennes

    Décidément, le système ne manque pas d’imagination pour tenter de cornaquer les Gilets Jaunes. L’hebdomadaire Paris Match signalait que l’écrivain Alexandre Jardin “prépare la liste des gilets jaunes” pour les élections européennes de mai 2019. Voilà qui ne manque pas de sel quand on regarde les images d’un meeting d’Emmanuel Macron au cours duquel un certain… Alexandre Jardin le flatte et l’encourage.

    Vidéo intégrée
    En Cause@EnCausee
     

    Je vous présente @AlexandreJardin qui est en train de monter une liste pour les . Je me demande bien à qui cette liste va profiter <img class="Emoji Emoji--forText" title="Thinking face" draggable="false" src="https://abs.twimg.com/emoji/v2/72x72/1f914.png" alt="

  • Mécontents d'être taxés d'antisémites, des Gilets jaunes bloquent l'impression de Ouest-France

    Mécontents d'être taxés d'antisémites, des Gilets jaunes bloquent l'impression de Ouest-France
    © Jean-François Monier Source: AFP
    Deux Gilets jaunes, dont un portant un bonnet phrygien, le 10 décembre 2018, à Allonnes, près du Mans, dans l'ouest de la France (image d'illustration).

    Plusieurs éditions de journaux du groupe Ouest-France n'ont pu être diffusées ce 27 décembre après que Gilets jaunes ont bloqué des camions à la sortie d'une imprimerie en Loire-Atlantique. Ils reprochent au média sa couverture du mouvement social.

    Les Gilets jaunes en veulent-ils au groupe Ouest-France ? Des manifestants se réclamant du mouvement social «ont bloqué la sortie des camions dans lesquels étaient conditionnés des journaux qui étaient déjà imprimés», ainsi que le rapporte ce 27 décembre Philippe Boissonnat, adjoint au rédacteur en chef de Ouest-France et directeur des rédactions.

     

    La veille, aux alentours de 23h30 «une vingtaine de manifestants» se sont ainsi présentés devant l'imprimerie de la Chevrolière, au sud de Nantes.

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  • Gilets jaunes : un acte 7 pour prouver que le mouvement ne s'essouffle pas ?

    Gilets jaunes : un acte 7 pour prouver que le mouvement ne s'essouffle pas ?
    © STEPHANE MAHE Source: Reuters
    Manifestation des Gilets jaunes à Nantes, le 22 décembre 2018.

    Ce 29 décembre, les Gilets jaunes, rejetant l'idée d'un essoufflement du mouvement, se sont donnés rendez-vous pour l'acte 7. Un peu partout en France, les manifestants se réuniront pour un nouveau samedi de mobilisation.

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    • Interrogés par BFM TV lors de leur action au fort présidentiel de Brégançon, des Gilets jaunes ont refusé de répondre aux questions du média, déclarant simplement tour à tour : «Une seule chose RIC», «référendum», «d'initiative», «citoyenne», «en toutes matières surtout !»

      Alors que le journaliste tentait de leur poser des questions, un Gilet jaune a expliqué : «Aujourd'hui, d'un commun accord avec tous les Gilets jaunes, comme vous n'êtes pas impartial, on se retourne.»

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  • Sans dents, jaunes et maintenant...antisémites!

  • Gilets Jaunes : un acte VII avant le nouvel an – Journal du vendredi 28 décembre 2018

     

    Social / Gilets Jaunes : un acte VII avant le nouvel an

    Il y aura bien un Acte VII pour les gilets jaunes. Samedi, les manifestants battront une nouvelle fois le pavé avant une mobilisation spéciale du mouvement pour le nouvel an. Une septième épreuve de force pour un gouvernement à bout de souffle.

    Société / Mosquées radicales : le casse-tête de la bien-pensance

    Comme après chaque attentat, le problème des mosquées qui prêchent un islam salafiste revient sur le devant de la scène. En France, on compterait quelque 130 lieux de cultes musulmans rigoristes. Une véritable bombe à retardement que les politiques successives n’ont pas le courage d’étouffer.

    International / Afrique : Nigéria, la GPA sans frontières

    L’actualité en bref

  • I-Média n°230 – Les médias veulent siffler la fin de la partie

    Les médias veulent siffler la fin de la partie

    Mobilisation en baisse, violence et même accusations d’antisémitisme… Tous les moyens semblent bons pour tenter d’endiguer la révolte populaire des Gilets Jaunes !

    Zapping

    Macron se maquille les mains mais n’hésite pas à les exhiber au Tchad. Pendant ce temps, les Gilets Jaunes continuent de se révolter, allant jusqu’à rester sur leur rond-point pour Noël !

    Menu de fête pour les médias : intox sur lit de propagande

    Période de fête oblige, les médias ont décidé de nous repasser quelques films cultes… revisités !
    Au programme : Un métro nommé délire, grand classique, et L’Expert (avec Sylvain Boulouque à la place de Stallone).
    En plus, ils nous ont offert un drôle de spectacle son et lumières avec des policiers voltigeurs n’hésitant pas à allumer eux-mêmes les feux d’artifices.

    Tweets

    Alors que LVMH verse 80 millions d’euros au Parisien pour éponger des dettes abyssales, la jeune Fiorina a reçu 50 000 € de la part de milliers d’internautes. Chacun sa solidarité !

    Journaliste primé, articles truqués

    En Allemagne, c’est un énorme scandale médiatique. L’un des jeunes journalistes les plus récompensés avait falsifié de nombreux articles !

    https://www.tvlibertes.com/les-medias-veulent-siffler-la-fin-de-la-partie

  • En soutien aux gilets jaunes, un entrepreneur se paye la tête de la police et de BFMTV

    Michel-Ange Flori, patron de la société varoise d’affichage Flori, s’est fait plaisir. Sur une route du Var, à la Seyne-Sur-Mer, l’un de ses panneaux publicitaires affiche le message : « 150 euros de plus par mois par policier, et nous ? La matraque dans la gueule ? ».

    Un message en soutien aux Gilets Jaunes qui a rapidement commencé à faire le tour des réseaux sociaux.

    Un second panneau publicitaire a fait son apparition. Avec cette fois pour message : « Les syndicats de Police et BFM vous souhaitent un bon enfumage 2019 ».

    Après les attentats du 13 novembre 2015, cet entrepreneur d’origine corse avait déjà utilisé un de ses panneaux pour réclamer la peine de mort « pour les terroristes et leurs complices ».

    « C’est mon avis et je l’affiche à la place d’une publicité pour le supermarché du coin. J’investis pour communiquer mon opinion », avait-il déclaré à Franceinfo.

    https://www.medias-presse.info/en-soutien-aux-gilets-jaunes-un-entrepreneur-se-paye-la-tete-de-la-police-et-de-bfmtv/102953/

  • Zoom – Jean-Michel Vernochet : Mai 68, clap de fin !

     

    Pour achever (dans tous les sens du terme) l’année anniversaire de Mai 68, Jean-Michel Vernochet publie « En l’an 68 » aux éditions Sigest. L’écrivain et géopolitologue revient sur les origines de cette véritable Révolution, à savoir comment des minorités agissantes se sont organisées pour faire triompher l’idéologie ultra libérale-libertaire. Ainsi que sur ses conséquences : l’élimination des classes laborieuses par le déclassement et le chômage de masse.

  • Noël, l'espérance au-delà des désespérances...

    La fête de Noël n’est pas un moment ordinaire et le croyant y trouve aussi des raisons d’espérer quand l’incroyant la vit surtout comme le retour des joies et des plaisirs simples de la table et de la famille, mais c’est toujours, pour l’un comme pour l’autre, la joie de Noël qui s’exprime. Les enfants attendent la récompense de leur premier trimestre studieux, chantant parfois le soir autour de la crèche qui, elle, attend son principal personnage, déposé délicatement sur son lit de paille dans la nuit de la Nativité. Tant de souvenirs me remontent à la mémoire, en ce jour particulier qui s’annonce : autour de la grande crèche familiale, nous nous retrouvions le soir, à l’orée du coucher, et nous allumions les petites bougies colorées avant d’entonner quelques chants, invariablement clos par un vibrant et harmonieux « In excelsis Deo ». Ce rituel ne cessait pas lorsque j’étais chez mes grands-parents Lechaptois, mais la crèche était alors toute petite et en plastique, ce qui n’enlevait rien à ma ferveur enfantine et à celle de Mamé. Jours heureux…

    Aujourd’hui, si je suis plus près de l’hiver que de l’enfance, je n’ai pas perdu mes espérances de Noël, même si les années passées ont effacé tant de visages familiers, les réduisant au souvenir parfois attristé, à cette nostalgie qui m’envahit parfois plus que de raison, celle d’un monde ancien qui était le mien avant que de devenir celui, incertain, des temps contemporains. Les événements récents n’incitent pas forcément à l’optimisme mais doivent susciter, dans le même temps, une espérance « raisonnable » mais aussi, sans être contradictoire, « passionnée ».

    L’agitation automnale du pays, qui s’est couverte de jaune fluo, a étonné, effrayé parfois, suscité tant d’espoirs quand elle exprimait tant de colères, et ses éclats se sont fichés dans le mur des certitudes gouvernementales, au point d’en briller jusqu’aux palais lointains des puissants de ce monde-ci. Les ronds-points, lieux incontournables et pourtant négligés de notre société, ont été les espaces d’où les « personnes des recoins » ont crié leurs désespérances, leurs peurs,  leurs émotions, leurs sentiments, mais aussi leurs résistances à l’air du temps, aux oukases venus « d’en haut », de Paris ou de Bruxelles… Les « perdants de la mondialisation » ont ensuite gagné la rue, et cela s’est vu et entendu, au point de réduire la République à s’enfermer dans le palais de Madame de Pompadour derrière des murailles de fer et d’acier gardées par des troupes nombreuses et casquées… « Quand l’ordre n’est plus dans l’ordre, il est dans la révolution », affirmait Robert Aron (et non son homonyme Raymond), et le samedi 1er décembre a semblé lui donner raison, au moins quelques heures, avant ce « retour à l’ordre » qui, derrière lui, a laissé gravats et ressentiments, mais aussi l’impression d’un nouveau rapport de forces, moins favorable au « Pays légal » et à sa République cinquième…

    Ces événements, inattendus et largement inédits, ne peuvent laisser indifférent : s’il y a eu cette « grande peur des bien-pensants » qu’évoquait déjà le royaliste Bernanos en son temps et qui a parcouru les élites mondialisées et une part des bourgeoisies urbaines bousculées en leurs centres-villes par des foules de jaune vêtues, il y aussi eu des « moments d’espérance », parfois cachés par des violences (émeutières comme répressives) dont certaines étaient tout aussi inacceptables que le mépris des dominants à l’égard des Gilets jaunes et de leurs revendications, voire de leur être même. La convivialité observée sur les fameux ronds-points, le retour de solidarités anciennes que l’on croyait disparues, la joie de se retrouver comme communauté de destin malgré des situations fort différentes… Tout cela ne peut être négligé, et constitue déjà des milliers de souvenirs et d’histoires particulières qui s’entremêlent et s’embellissent parfois, sources d’une nouvelle mémoire populaire et, pour demain, d’une histoire qui ne sera pas la seule propriété des historiens. 

    De cela, surgit aussi une espérance passionnée, celle d’un changement, d’une rupture avec ce monde, cette mondialisation sans entraves ni racines, cette bétonisation des vies et des imaginaires, et d’une nouvelle prospérité, qui n’est pas forcément celle d’une croissance démesurée ou simplement économique. Est-elle réductible à l’espérance raisonnable, celle d’une amélioration du pouvoir d’achat compatible avec les règles économiques qui régentent notre pays et le monde contemporain ? Non, évidemment non, car « on n’est pas amoureux d’un taux de croissance », comme le clamait un slogan royaliste de la fin des années 1980 évoqué dans la publication d’alors des lycéens d’Action Française, Insurrection, titre provocateur pour une revue aux plumes alors prometteuses que l’on retrouve désormais dans quelques grands journaux d’aujourd’hui… Toute espérance dépasse la simple raison, autant raisonnement que sagesse : elle constitue une sorte d’au-delà des possibilités mais elle motive l’action et la réflexion, pour « rendre possible ce qui est nécessaire (ou ce qui est souhaitable »), et doit éviter l’hubris (la démesure), toujours dangereuse et perturbatrice. Ce sera sans doute l’enjeu des prochains mois, de la prochaine « saison » des Gilets jaunes ou de leurs successeurs. Il s’est levé, en ces temps incertains, une espérance qui, d’inquiète, est devenue vive, active, réactive… Il faut souhaiter qu’elle ne devienne pas cyclone destructeur mais qu’elle soit porteuse du meilleur possible pour notre pays et nos compatriotes, mais aussi pour ceux qui regardent la France avec amour ou simple curiosité. Bien évidemment, rien n’est sûr, mais le pire encore moins si les royalistes et les hommes de bonne volonté savent donner à l’espérance des formes heureuses et vigoureuses tout à la fois.

    En tournant mes regards vers la crèche de cette veille de Noël, je discerne les visages des santons comme ceux des spectateurs du moment : tous semblent attendre, dans une sorte de patience tranquille… Croyants et incroyants, réunis dans l’espérance. L’espérance universelle de Noël, et particulière d’un Noël pour la France…

    http://nouvelle-chouannerie.com/