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social - Page 415

  • L’Union européenne organise l’invasion migratoire

    L’intégration est en panne ? Nous n’avons plus les moyens de mettre au travail ces nouveaux venus ? Le terrorisme islamiste menace chaque jour un peu plus ? Pas grave, vous allez encore devoir recevoir chez vous des clandestins.

    Le continent est frappé par la crise économique. Politiquement, l’Union européenne est un néant antidémocratique. Les mensonges se succèdent les uns aux autres, François Hollande assimilant l’Europe à l’Union européenne et l’Union européenne à la zone euro, omettant de préciser que de nombreux pays européens n’appartiennent ni à l’Union européenne ni à la zone euro. Mais la priorité de ces pathétiques dirigeants reste la même : faire de l’Europe un continent-monde, censé accueillir un flux migratoire d’une importance jamais vue dans l’histoire de l’humanité. L’intégration est en panne ? Nous n’avons plus les moyens de mettre au travail ces nouveaux venus ? Le terrorisme islamiste menace chaque jour un peu plus ? Pas grave, vous allez encore devoir recevoir chez vous des clandestins.

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  • L'absurdité sociale de la retraite à 67 ans

    La Grèce, prisonnière de son endettement et des institutions européennes qui ne lui font (et feront...) aucun cadeau, est redevenue le laboratoire d'un libéralisme de plus en plus violent, encore plus arrogant depuis la « victoire de l'Europe » (sur la Grèce...) vantée par M. Hollande dans un exercice d'autosatisfaction qui promet bien des désillusions. Ainsi, l'âge du départ à la retraite des Grecs sera désormais de 67 ans... Pour ceux qui me lisent régulièrement, ils se souviendront que, depuis le début 2011, je dénonce ce projet (qui n'est pas nouveau) défendu par la classe dirigeante allemande, la Commission européenne et les divers patronats d'Europe pour qui ce n'est qu'un « début », certains prônant le passage à 69, voire 70 ans, tandis qu'il était évoqué, en France il y a quelques mois, par les services de Mme Marisol Touraine, la possibilité de retarder le départ à la retraite des chirurgiens à... 72 ans ! 

    Si le choix était laissé, librement, aux personnes concernées, et qu'elles l'acceptent, pourquoi pas ? Je crois me souvenir que mon grand-père n'a jamais pris sa retraite et qu'il était encore en activité quelques semaines avant d'être emporté par la maladie, à 75 ans... Mais, dans le cas grec et dans les propositions insistantes du Medef et des fonctionnaires européens (qui, eux, gardent un système de retraites très avantageux !), cet âge de départ serait inscrit dans le marbre de la loi et n'ouvrirait de droits à toucher une pension, d'ailleurs pas forcément pleine et entière, qu'à partir de celui-ci, ce qui est proprement dément quand on connaît le taux de chômage en Grèce et plus généralement en Europe, et la difficulté à retrouver du travail après 50 ans !

    Ce qui est certain, c'est que « la stratégie du choc » et du chantage pratiquée par l'Union européenne sous domination allemande permet de véritables « avancées » libéralistes qui m'apparaissent comme autant de régressions sociales, et je sais trop bien que la France en sera sans doute prochainement (après l'élection présidentielle et les législatives de 2017 ?) la victime, toujours « au nom de l'euro » et de « l'application des traités ».

    La retraite à 67 ans comme obligation légale est un véritable scandale, qui repose sur quelques malentendus ou (et ?) manipulations. L'argument d'un accroissement permanent de l'espérance de vie est l'un de ceux-ci, ne serait-ce que parce que, dans le même temps, l'espérance de vie en bonne santé est aujourd'hui, en France, de 62 ans et 5 mois, donc bien inférieure à 67 ans ! De plus, et je reviens sur ce fait indéniable, les personnes de plus de 50 ans, réduites au chômage, ont de moins en moins de chances et de possibilités de retrouver un emploi stable dans leur branche d'activité initiale ou dans une nouvelle fonction pour laquelle leur formation peut être plus ou moins longue, au risque d'accroître la période de non-emploi et, donc, de les pénaliser encore dans le calcul de leurs retraites...

    Un autre point, peu évoqué par les économistes, c'est le déséquilibre de l'espérance de vie selon le métier et la catégorie sociale : un professeur ou un cadre peut espérer vivre, en moyenne, près de sept ans de plus qu'un ouvrier... Or, ces derniers sont ceux qui, en double peine pourrait-on dire, ont le plus le malheur de connaître une période longue de chômage, en particulier en fin d'activité professionnelle, et qui risquent aussi le plus d'accidents du travail, parfois lourdement handicapants : cela explique en partie la différence d'espérance de vie avec d'autres salariés, même si c'est souvent la dureté des conditions de travail (sur les chantiers par tous les temps, y compris en période de canicule ; dans les usines avec des gestes répétitifs qui peuvent entraîner de lourds problèmes squeletto-musculaires ; etc.) et la difficulté à pouvoir se nourrir de façon équilibrée qui l'expliquent encore plus sûrement...

    Faut-il adapter l'âge légal de départ à la retraite à la profession exercée ? Cela peut être une réponse intelligente, même si elle ne peut avoir son plein effet positif que si elle s'inscrit dans une stratégie économique et sociale (l'un ne devant pas être complètement disjoint de l'autre) plus générale et dans une logique qui n'oublie pas les personnes, les familles et, tout simplement, la vie...

    (à suivre : quelques arguments supplémentaires contre la retraite légale à 67 ans.)

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1242:labsurdite-sociale-de-la-retraite-a-67-ans&catid=49:2015&Itemid=60

  • L'hôpital ne se fout pas de la charité (avec nos impôts)

    120 millions d'euros : c'est le montant de la dette accumulée par les pays étrangers, à la fin 2014, à l'égard de l'Assistance publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP). Ce chiffre, qui ne concerne pas les patients étrangers résidant en France, équivaut à plus du double du déficit du compte principal (activités de soins) de l'AP-HP, soit 49 millions d'euros en 2014.

    Parmi les pays les plus redevables :

    • l'Algérie avec 31,6 millions d'euros,
    • le Maroc (11 millions),
    • les États-Unis (5,7 millions),
    • la Belgique (4,9 millions),
    • la Tunisie (4,7 millions) 
    • l'Italie (4,1 millions).

    De 2010 à 2014, le nombre de séjours liés à l'accueil de patients domiciliés à l'étranger a crû de 9,8%, avec, en 2014, des séjours plus nombreux pour l'Algérie, le Maroc, l'Italie et le Koweït.

    Michel Janva

  • Sénat: relèvement de l'âge de la retraite au-delà de 62 ans préconisé

    La commission des Affaires sociales du Sénat a proposé de relever l?âge légal de départ en retraite au-delà de 62 ans pour arriver progressivement à 64 ans en 2024, a-t-on appris jeudi auprès de la commission.

    Elle préconise d'augmenter de 5 mois par an l?âge légal de départ en retraite au-delà du 1er janvier 2017, date à laquelle il sera de 62 ans pour les personnes nées en 1955. Il passerait ainsi à 62 ans et 5 mois en 2018, puis 62 ans et 10 mois en 2019, avec pour objectif d'arriver à 64 ans en 2024.

    Selon un rapport adopté par la commission, le système de retraite "fait face depuis le milieu des années 2000 à une forte dégradation du ratio cotisants/retraités". "Creusé dans des proportions sans précédent par la crise économique et financière de 2008-2009, son déficit n?a qu?en partie été résorbé par la courageuse réforme des retraites de 2010 et les ressources nouvelles mises en place depuis lors", ajoute-t-il.

    Au vu des dernières projections du Conseil d?orientation des retraites (COR), le rapport constate également que le système de retraite, régimes de base comme régimes complémentaires, "reste insoutenable financièrement, à court comme à moyen et long termes".

    "Aux yeux de la commission des affaires sociales, ces éléments démontrent les insuffisances de la réforme de 2014, une nouvelle réforme étant donc indispensable", souligne-t-elle dans un communiqué.

    Selon elle, "il serait totalement déraisonnable d?augmenter une nouvelle fois le taux des cotisations vieillesse, alors que la compétitivité et l?emploi sont pénalisés depuis des années par un coût du travail trop élevé". Par ailleurs, le montant des pensions par rapport aux revenus des actifs va "mécaniquement baisser" dans les années à venir en raison de l?indexation des pensions sur les prix et non plus sur les salaires.

    La commission s?est donc prononcée en faveur d?un relèvement de l?âge de départ en retraite, comme elle l?avait fait lors de l?examen du projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) 2015. "Seule une mesure de ce type est susceptible de produire un impact suffisamment significatif pour assurer, surtout à moyen et long terme, le retour à l?équilibre des régimes de retraite", écrit-elle dans son communiqué.

    "En opposition à cette vision unique du libéralisme", les sénatrices du groupe Communiste Républicain et Citoyen (CRC) ont aussitôt dénoncé une "nouvelle attaque contre le système de protection sociale et son régime de retraites.

    "Les élus de la majorité se sont fait les porte-paroles du MEDEF en criant à la perte de compétitivité et en faisant du chantage sur l?emploi lorsque notre groupe a proposé d?augmenter le taux des cotisations vieillesse des entreprises", écrivent-ils dans un communiqué.

    "Des solutions alternatives existent comme la taxation des revenus financiers des entreprises et la modulation des cotisations patronales en fonction de la part des salaires dans la valeur ajoutée", ajoutent-ils.

    source

    Afp via yahoo :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/etranger/EuFZplkVFuLxpDXWOg.shtml

  • Les recettes-clé pour nourrir 9 milliards de personnes en 2050

    Le livre «The End of Plenty : The Race to Feed a Crowded World” (“La fin de l’abondance: la course pour nourrir un monde surpeuplé“) préconise une révolution bleue et une révolution rose pour pouvoir faire face à l’augmentation de la population mondiale.

    En 2050, la Terre devrait compter 9 milliards de bouches à nourrir. Il faudra alors produire autant de nourriture qu’on en a produit depuis le début de l’agriculture pour alimenter tout le monde, explique Joel K. Bourne Jr., ex-rédacteur en chef de National Geographic sur NPR, la radio publique aux États-Unis.

    La hausse démographique est d’autant plus problématique qu’on est arrivé à la fin de la révolution verte du siècle dernier. Les rendements atteignent un plafond, même s’il reste des innovations à venir dans les OGM, comme le riz c4 qui pourrait augmenter la production par 50% ou le riz qui peut résister aux inondations.

    Les cultivateurs marins
    À l’heure où plus de 800 millions de personnes souffrent de sous-alimentation chronique et où un tiers de la population mondiale présente des carences alimentaires, Joel K. Bourne Jr. soumet dans The End of Plenty: The Race To Feed A Crowded World, publié en ce mois de juin, une recette des solutions.

    Au-delà des bonnes initiatives déjà lancées comme la réduction des émissions de carbone ou le changement de position de l’église catholique sur le changement climatique, il propose de mieux utiliser notre approvisionnement d’eau, ainsi que de produire plus de protéines avec l’aqua-culture, qui s’annonce comme la révolution bleue.

    Inspiré par l’explorateur océanographique Jacques Cousteau, ce système espère remplacer les chasseurs-cueilleurs par des cultivateurs marins.

    Il faut également réduire la demande en éliminant les nourritures à base de biocarburants, ce qui ouvrirait 10% de terres cultivables aux États-Unis et 15% en Europe du jour au lendemain. Dans cette même logique, il lui paraît indispensable de réduire la consommation de viande, créant ainsi un épargne de céréales.

    Des écarts de rendement à réduire ?

    Mais le facteur-clé reste une chute des taux de natalité. La transition démographique peut s’accélérer notamment dans des régions où la surpopulation est très forte. Il y a donc des avancées à faire en matière d’éducation sexuelle et d’équilibrage des opportunités hommes-femmes. Réduire la hausse démographique et rendre la moitié de la population plus productive. Voilà les bases d’une véritable révolution rose.

    En attendant, la question des écarts de rendement fait aujourd’hui débat. Joel K. Bourne Jr. souligne qu’il faut réduire les disparités partout dans le monde, notamment là où la production serait un tiers à un quart moins efficace qu’ailleurs. Un avis que ne partage pas Mark Bittman.

    Dans un éditorial de 2014, ce contributeur au New York Times, écrit qu’augmenter les rendements pour donner à manger aux pauvres équivaudrait à produire plus de voitures et de jets pour que chaque personne puisse en avoir un.

    Selon lui, la question fondamentale n’est pas “Comment nourrir les 9 milliards?“, mais comment réduire la pauvreté. Le problème vient d’abord de prix trop élevés. Pour une partie de la population, se nourrir, c’est simplement trop cher.

    Slate

    http://fortune.fdesouche.com/386309-les-recettes-cle-pour-nourrir-9-milliards-de-personnes-en-2050#more-386309

  • La France rurale est plus pauvre que les banlieues mais on n’y brûle pas de voitures…

    Un criminologue tient à l’antenne des propos de bons sens qui font du bien. Il a analysé la répartition de la pauvreté en France et constate que les zones les plus pauvres ne sont pas les banlieues mais la France rurale, notamment le Cantal. Et pourtant on n’y brûle pas de voitures et on n’y constate pas d’augmentation de la délinquance.

    Expliquer la délinquance des personnes d’origine immigrée par la pauvreté est donc bien un mensonge et une manipulation.

    Source MPI

    http://www.contre-info.com/

  • Paris : nouvelle évacuation du camp de clandestins dans le 18e

    Sans doute de peur d’une pétition d’artistes, c’est en demandant bien poliment que l’on a évacué une nouvelle fois le camp de clandestins de la halle Pajol. Enfin ceux qui voulaient bien…

    Pas de CRS, leur présence énerve les clandestins et les bobos, mais des représentants de la ville de Paris accompagnés du directeur de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). Voilà le nouveau dispositif pour évacuer les camps d’immigrés dans Paris. Ces braves gens ont donc invité les immigrés à monter dans les neuf bus spécialement affrétés pour rejoindre les huit centres d’hébergement mobilisés en banlieue parisienne qui contiennent 100 à 150 places disponibles. Certains n’aiment pas le bus, ou la banlieue, et ont refusé d’obtempérer. A la mi-journée, une vingtaine d’immigrés ayant refusé la solution d’hébergement se trouvait encore dans le camp.

    A noter que pendant ce temps, des Français en règle, ayant cotisé et payé leurs impôts se voient refuser des aides… 

    http://fr.novopress.info/

  • Loi Macron : la grande illusion (Présent 8394)

    La loi Macron est définitivement adoptée après un nouveau recours à l’article 49‑3, qui permet l’adoption du texte sans passer par le vote des députés. C’est ce procédé que François Hollande dénonçait en 2006 quand Dominique de Villepin alors Premier ministre, l’utilisait pour imposer le CPE : « Le 49‑3 est une brutalité, le 49‑3 est un déni de démocratie, le 49‑3 est une manière de freiner ou d’empêcher le débat parlementaire. »

    C’est la seconde fois que Valls use de ce procédé pour le même projet de loi. Lors de la précédente, en février 2015, afin de justifier cette méthode expéditive, il invoquait « l’esprit du 11 janvier », ce qui était hors-sujet. Cette fois, cet esprit ayant fait long feu, il se raccroche à une autre actualité : « C’est peut-être encore plus utile aujourd’hui, au moment où le monde est confronté à une crise, celle de la Grèce, mais avec des inquiétudes également avec ce qui se passe en Chine. » Sauf à considérer que du fait de la mondialisation tout, partout, est dans tout et réciproquement, la réforme des prud’hommes en France, n’a évidemment aucun rapport avec ce qui passe en Chine, en Grèce ou dans le Béloutchistan oriental.
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    Le seul motif de ce passage en force, c’est de tordre le bras des députés socialistes frondeurs qui, alliés à la droite parlementaire, feraient capoter cette réformette. À défaut de rassembler les socialistes, Macron a réussi à unir gauche et droite contre lui. Car son projet est trop libéral pour l’aile gauche du parti et pas assez pour les députés libéraux. C’est dans le droit fil de l’action de Hollande qui ménage la chèvre et le chou : il se fait donc mordre par la chèvre après qu’elle a dévoré le chou. Pour les libéraux, on ouvrira largement le travail du dimanche et pour apaiser les syndicalistes on imposera aux patrons d’informer les salariés en amont de la vente d’une entreprise. Emmanuel Macron veut libéraliser le transport en autocar, mais il laisse intact le statut des taxis alors qu’il entendait abolir les rentes de situation. Il préfère s’en prendre aux notaires qui ne peuvent paralyser les villes, c’est moins risqué.

    Le but de tout cela ? Montebourg, le prédécesseur de Macron qui avait lancé le projet l’a dit : « Rendre 6 milliards de pouvoir d’achat aux Français » après qu’impôts et taxes leur en eurent ponctionné quelque 20 milliards ! Quoique urgente pour « l’emploi et la croissance » on ne sait pas quand la loi sera appliquée. Décidée il y a un an, elle attend maintenant le verdict du Conseil constitutionnel et l’avis des partenaires sociaux, après quoi, si tout se passe bien, il faudra passer aux décrets d’application, sachant que 40 % des décrets attendus pour 2014 ne sont toujours pas publiés. Le chef de l’État est déjà dépassé, lui qui disait le 16 juin : « Si on pense que ce texte est utile à la croissance et à l’emploi, il faut qu’il soit mis en œuvre avant l’été, avant les vacances. » Ce ne sera pas le cas. La loi Macron et ses mesurettes inopérantes, c’est la grande illusion de ce quinquennat agonisant.

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/

  • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1

    Des données sur la famille contenues dans le recueil 2015 de l’UNAF viennent combattre un certain nombre d’idées reçues et justifient l'attachement très fort au modèle de la famille durable que les AFC promeuvent sans relâche. Parmi les chiffres :

    • 75,2% des enfants mineurs vivent avec leurs deux parents ensemble …
    • Le nombre de divorces recule depuis 2010 …
    • 5490€ par an : c'est en 2012 la différence de niveau de vie médian d'un couple avec 3 enfants par rapport à un couple sans enfants.
    • 0 = déficit du régime de retraites en 2045 si le taux de fécondité atteignait 2,1. Ce taux est à 2,01 en 2014.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les agriculteurs français souffrent de l'embargo russe

    Lu sur Sputniknews :

    "La nuit de colère, organisée par les agriculteurs bretons, a été provoquée par les résultats des sanctions économiques et financières imposées par l'UE à la Russie. La Bretagne est une région qui est très touchée par les contre-sanctions russes. Les éleveurs porcins subissent un effondrement des cours. Les revenus moyens des éleveurs sont inférieurs à 12 000 euros par an. Selon Paul Auffray, président de la Fédération nationale porcine, "on perd un éleveur de porc par jour depuis des mois".

    "Malheureusement, dans le différend qui oppose l'Union européenne à la Russie, on a laissé les producteurs tous seuls payer l'addition", a déclaré Jean-François Jacob, président de la SICA dans une interview accordée à Sputnik.

    Selon M.Jacob, malgré les grandes déclarations que fait l'Europe sur l'accompagnement des producteurs qui subissaient en effet le contrecoup des décisions politiques, rien n'a été fait.

    "On a menti à l'opinion et on a laissé les producteurs dans la détresse subir les conséquences des décisions qui n'étaient pas les leurs. Il n'y a pas eu de solidarité de la part de l'Europe, on a laissé tomber les agriculteurs et notamment en France", ajoute le président de la SICA.

    Avant l'embargo, 25% des exportations de viande de l'UE étaient destinées au seul marché russe. A ce jour, les cours du porc en France sont retombés sous le seuil de rentabilité, à 1,32 euro le kilo. Ce qui explique d'ailleurs en partie la montée en puissance des revendications dans ce pays."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html