Il y aurait en France entre 130 000 et 235 000 SDF. Qui s'en soucie vraiment ?
Reportage édifiant de TV Libertés :
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Il y aurait en France entre 130 000 et 235 000 SDF. Qui s'en soucie vraiment ?
Reportage édifiant de TV Libertés :
Netanyahu refuse qu'Israël soit "submergé" par des migrants syriens et africains :
"Nous ne laisserons pas Israël être submergé par une vague de migrants illégaux et d'activistes terroristes", a affirmé M. Netanyahu lors du conseil hebdomadaire des ministres, au lendemain d'un appel du chef de l'opposition, Isaac Herzog, à accueillir des Syriens fuyant la guerre civile.
"Israël n'est pas indifférent à la tragédie humaine des réfugies syriens et africains (...) mais Israël est un petit État, très petit qui ne dispose pas d'une profondeur démographique et géographique, c'est pourquoi nous devons contrôler nos frontières", a-t-il ajouté"
Pour y parvenir, le Premier ministre a annoncé qu'Israël "commence aujourd'hui à construire une clôture à la frontière avec la Jordanie", le quatrième "mur" érigé par l'Etat hébreu.
Côté Koweit, un officiel explique pourquoi les pays du Golfe n’accueillent pas de migrants :
"Le Koweït et les pays associés ne peuvent accueillir aucun réfugié car nos pays sont riches. Notre pays, le Koweït, n’est fait que pour ceux qui travaillent, installer ces personnes chez nous seraient trop coûteux. De toute façon, notre niveau de vie est trop élevé pour eux, contrairement au Liban et à la Turquie qui sont bon marché et plus adaptés aux réfugiés syriens. Et pour finir, nous n’avons pas à accueillir des personnes qui sont différentes de nous. Nous ne voulons pas de personnes qui ont souffert de stress et de traumatismes dans notre pays."
Jeudi, 1500 tracteurs et 91 bus sont entrés dans Paris, soit par Issy soit par Ivry, comme chantait Reggiani… Trois jours à 35 km/heure sur l’autoroute pour rallier la capitale depuis leur cour de ferme. Et trois jours pour y retourner, la larme à l’œil et la rage au cœur.
« La France ne lâchera pas ses agriculteurs. Le désespoir, l’humiliation, la colère, nous les entendons. Et avec le gouvernement (…), nous y répondrons », leur a assuré le Premier ministre. Charles Péguy, si tu l’entends…
Réforme en juillet au temps des moissons, réforme en septembre au temps des vendanges… et réforme en novembre, au temps des semis ? C’est à craindre, car les mesures annoncées hier par un Manuel Valls adressant aux éleveurs « un message d’amour » (sic) ne changeront pas grand chose ou souvent même rien du tout à leur sort. Le romantisme bucolique et les vers de mirliton ne font pas une politique, tout juste de minables calculs électoraux : différer pour mieux sauter, en espérant que d’autres sauteront à votre place une fois passées les élections…
« Trois milliards d’euros en trois ans investis dans l’agriculture et l’élevage » a dit Manuel Valls. En réalité ce n’est rien d’autre que ce qui a été promis en juillet, un peu majoré : « année blanche » pour le remboursement des dettes des plus étranglés, prise en charge des intérêts d’emprunt et des cotisations sociales, moratoire sur les réglementations tatillonnes… En somme, il est urgent d’attendre. On verra – ou pas – après les élections.
Un seul s’est félicité de ces accords « emportés de haute lutte » : c’est Xavier Beulin. Un seul aussi a été hué par une partie de la foule aux cris de « Vendu ! » ou « Démission ! » : c’est le même Xavier Beulin, patron de la FNSEA, syndicat qui tient dans ses mains les rênes de l’agriculture française depuis… 1964. D’un gouvernement à l’autre, en jouant à « je te tiens tu me tiens par la salopette… »
Il est vrai qu’à regarder ce bonhomme qui dirige le syndicat depuis 2010, on se demande s’il est bien qualifié pour représenter les sous-smicards de la profession. En 2011, d’ailleurs, Isabelle Saporta dénonçait dans « Le livre noir de l’agriculture » l’entreprise de sape de ce syndicat « antipaysan » qu’est la FNSEA. Quant à son président, son fantastique parcours apporte à lui seul un brillant éclairage sur sa politique.
Certes, Xavier Beulin connaît le métier, ayant repris à 18 ans la ferme paternelle au décès de son père. Mais à 56 ans aujourd’hui, c’est un gros céréalier et un businessman avisé. Il dirige toujours en Beauce, avec ses frères, une exploitation céréalière de 500 hectares qui fait du blé, du colza, du tournesol, de l’orge. Au moins il n’y fait pas du maïs pompeur d’eau… Mais il est aussi et surtout, depuis 15 ans, président du groupe Avril, géant de l’industrie agroalimentaire, numéro 1 français des huiles avec les marques Lesieur et Puget, producteur des œufs Mâtines, des marques Sopral, Terrial, Theseo, Novaol, Abera (viande de porc), Adonial, Expur… Il dirige également Sofiproteol, le « partenaire stratégique de l’agro-industrie et de l’agroalimentaire », dit sa pub, dont la filiale Farmor (Glon-Sanders), à Guingamp, importe des centaines de milliers de tonnes de poulets industriels brésiliens produits dans des conditions ignobles. Bref, comme le disait Périco Légasse dans une interview au Figaro (22/07) : « D’une main j’envoie mes éleveurs de volailles faire des actions commandos, d’une autre j’importe en masse ce qui les conduit à la ruine. »
Entre biocarburants et aliments pour animaux vendus aux agriculteurs, le chiffre d’affaires du groupe Avril que dirige Xavier Beulin est de 7 milliards d’euros. Effectifs : 8.000 salariés.
Dernière précision : Xavier Beulin préside aussi le Grand Port Maritime de La Rochelle, qui est… le 2e port français pour l’exportation de céréales. Parce qu’on n’est jamais bien servi que par soi-même, c’est connu.
Question : en quoi ce monsieur est-il qualifié pour représenter à la table des négociations des petits paysans à 1000 euros par mois pour 70 heures de travail semaine ??
Marie Delarue
source : Boulevard Voltaire :: lien
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuuEuVVpyZjsihbhzF.shtml
Jean-Louis Laureau, fondateur des Journées paysannes livre à Famille chrétienne son analyse de la crise agricole. Extraits :
"La crise actuelle n’est plus du tout conjoncturelle, mais bien structurelle. Ce sont les symptômes d’une société qui a perdu le sens du réel, le sens du lien à la terre. Pour vivre, il faut à tout homme de l’air, de l’eau, et de la terre car l’aliment vient de la terre. Or, le produit de la terre aujourd’hui n’est plus considéré comme vital. On le perçoit comme une sorte de produit manufacturé qui doit arriver au consommateur au plus bas prix. Le budget des ménages consacré à l’alimentation est de plus en plus bas. Et à côté de cela, les coopératives et les industriels font en sorte que les agriculteurs ne fixent plus leur prix. Quelques acheteurs réduits à moins d’une dizaine imposent un prix qui ne correspond pas au coût de production. En plus de cela, les agriculteurs doivent faire face à des normes de plus en plus contraignantes et coûteuses. En somme, on ne respecte plus ni la terre ni les familles qui cultivent la terre.
Pensez-vous que les 3 milliards d’euros demandés par le président de la FNSEA, Xavier Beulin, puissent enrayer la crise ?
Quelles que soient les sommes attribuées, cela ne peut résoudre le vrai problème. Rafistoler les trésoreries ne peut que retarder une échéance. Certes, en retardant l’échéance, on pourra sans doute avancer sur certains sujets, mais il faudra beaucoup plus que cela pour résoudre un problème d’envergure.
Comment alors véritablement assainir le système ?
Plus que l’assainir, il faut en sortir. Il est d’abord urgent de rapprocher les agriculteurs des consommateurs. Pour cela, il faut que les consommateurs retrouvent le sens d’une bonne alimentation, et acceptent de consacrer une part plus importante de leur budget à la nourriture. Il faut ensuite une politique française, européenne et mondiale qui protège les exploitations familiales contre les aléas et la volatilité du marché. L’incessante variation des prix est absolument épouvantable pour les exploitations familiales.
Vous côtoyez de nombreux agriculteurs. Quelles sont leurs principales difficultés ?
En plus des problèmes de trésorerie que l’on a évoqués, il y a principalement la surcharge de travail. Certes, le travail manuel est soulagé par les techniques modernes, mais les agriculteurs sont de moins en moins nombreux sur les exploitations : des domaines de trois cents hectares sont parfois menés par une ou deux personnes. Les charges administratives deviennent aussi insupportables et prennent beaucoup de temps. L’agriculteur n’a plus le temps de prendre du recul et de réfléchir. Il y a ensuite les contrôles incessants qui provoquent une certaine appréhension. Enfin, la solitude pèse aussi sur de nombreux agriculteurs, qui n’ont plus de voisins et souvent plus de vie communale ni de vie paroissiale, car les églises sont fermées. La conséquence de tout cela est un désespoir très fréquent. [...]"
Bienvenue en France… Pays où le métèque a tous les droits et toutes allocs, pendant que les « sous-chiens » règlent la note et ferment leur gueule. C’est à quelques nuances de ton près ce que pense notre ministre de l’Intérieur. Il justifie le laxisme policier lors du blocage de l’autoroute A1 ce week-end par les 4 morts de la semaine précédente… Rappelons simplement qu’un agriculteur se suicide tous les deux jours en France…
Comment un pays peuplé de racistes invétérés, dont les autorités se repentent tous les jours des leurs méfaits ancestraux, supposés ou exagérés, sur place ou dans les colonies, peut-il encore attirer autant de réfugiés, au péril de leur vie ?
Essayons de mettre un peu de clarté, de franchise et de logique dans les débats concernant l’exode vers l’Europe de foules de « migrants », comme nos zélites voudraient qu’on appelle ces malheureux. Ils ne vont pas au hasard dans un monde immense et sans frontières. Non ! Ils risquent leurs vies pour quitter leurs pays ravagés et en atteindre d’autres où l’espoir est encore possible. Leur odyssée est jalonnée par des frontières plus ou moins étanches. Il s’agit en fait d’immigrants volontairement clandestins, donc hors-la-loi sur les terres d’accueil, qui ont décidé, délibérément et avec préméditation, de forcer illégalement la porte de ce qu’ils considèrent comme l’eldorado européen.
Plus de 1.500 tracteurs aujourd’hui place de la Nation, à Paris. Des milliers d’agriculteurs ont effectué un périple, vers la capitale, pour obtenir une aide concrète du gouvernement. Résultat : des subventions… Une fois de plus le syndicat FNSEA a bien joué son rôle de larbin du système en calmant les manifestants et en leur demandant de rentrer tranquillement à la niche. Ci-dessous le reportage audio poignant de Nathalie Bourrus pour France Info.
(NOVOpress avec le bulletin de réinformation)
République tchèque et Slovaquie font figure de bons élèves en Europe centrale. Déficits bas, balance commerciale excédentaire, tout semble aller pour le mieux… mais pourquoi diable n’entend on pas la technocratie bruxelloise se féliciter de ces résultats qui semblent si brillants ? Malheureusement pour celle ci, il se trouve que la République tchèque a choisi de rester en dehors de l’euro quand sa voisine embrassait la monnaie unique en 2009. Et la première de s’en tirer à bien meilleur compte. Si la monnaie unique a pu protéger la Slovaquie des fluctuations de change, cela s’est fait — selon une étude du Crédit Agricole — au détriment de l’emploi. Le chômage atteint 12 % à la fin 2013, alors qu’il est de 6 % en Tchéquie et 10 % en Europe). Le taux de change fixe imposé par l’euro empêche en effet Bratislava de dévaluer sa monnaie pour compenser l’inflation des salaires et des prix.
http://fr.novopress.info/191739/en-slovaquie-leuro-fait-grimper-chomage/