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social - Page 484

  • Une annonce importante sera faite à l'issue du Jour de Colère

    Communiqué du Jour du Colère :

    "La préfecture de police a rendu son verdict : les manifestants du Jour De Colère n’auront pas le droit de défiler dimanche 26 janvier jusqu’à la place de l’Opéra, comme nous l’avions demandé depuis le 7 janvier dernier.

    C’est donc de la place de la Bastille jusqu’à la place Vauban que nous marcherons, avec un motif de colère supplémentaire, celui d’une nouvelle atteinte à nos libertés.

    Menaces prétendues de troubles à l’ordre public, zones difficiles à sécuriser, lieux sensibles à proximité : ces arguments sont de faux prétextes. La police de Manuel Valls se range une fois de plus du côté des censeurs. Liberté d’expression ? Droit à manifester ? Ces mots ne veulent plus dire grand-chose aujourd’hui dans la France de François Hollande.

    Alors nous marcherons, déterminés, pour dire notre colère. Nous la crierons sur la place Vauban comme nous l’aurions criée sur la place de l’Opéra. De même, nous ne cèderons pas aux éventuelles provocations policières par lesquelles l’Etat entend justifier la condamnation des Français qui refusent une politique injuste : Manuel Valls n’aura pas raison du Jour De Colère.

    Outre cette interdiction arbitraire, il semble que la préfecture ait dévoilé publiquement des informations personnelles sur les organisateurs de la manifestation. A l’atteinte aux libertés s’ajoute une atteinte à la vie privée de certains militants du Jour De Colère.

    C’est pourquoi notre avocat vient d’adresser une lettre au préfet de police, pour signaler ces manquements grave à la déontologie.

    A deux jours de la manifestation, ce changement de programme est une difficulté supplémentaire à surmonter sur le plan logistique mais nos équipes sont déjà mobilisées pour que le Jour De Colère soit historique.

    Le trajet sera plus long que prévu, merci donc d’être à 14h au plus tard place de la Bastille pour que le cortège puisse partir rapidement. N’oubliez pas vos drapeaux français, sifflets, mégaphones et cornes de brumes… pour vous faire entendre.

    Enfin, une annonce importante sera faite en fin de manifestation, à l’issue de l’intervention des porte-paroles du Jour De Colère. Nous vous invitons dès maintenant à prévoir de rester jusqu’au bout !

    La coagulation redoutée par François Hollande voit le jour et notre colère ne se taira pas tant qu’il n’aura pas démissionné. RDV le 26 janvier dès 13h30 place de la Bastille !

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/01/une-annonce-importante-sera-faite-%C3%A0-lissue-du-jour-de-col%C3%A8re.html

  • Une des photos du jour

     

    Ukren Ukraine, prêtres entre forces de l'ordre et manifestants.

    Lahire

  • Les Français rognent sur leur budget santé

    PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation) – L’explosion fiscale conjuguée à une inflation générée par l’euro a eu raison des dépenses de santé des Français.

    Selon une étude, le budget moyen d’un Français a baissé de 8 % pour l’année 2013. Les auteurs de l’enquête dressent un constat alarmant : « Que les Français renoncent de plus en plus aux soins et recherchent plus systématiquement des solutions alternatives, en France comme à l’étranger, pour optimiser leur budget et réduire leurs dépenses ». Les postes de dépenses les plus contraints par cette rigueur budgétaire concernent au premier chef les lunettes, les lentilles et les prothèses dentaires. 45 % des personnes interrogées déclarent avoir renoncé à en acheter.

    Pour pallier le manque de moyens, les Français se tournent malgré eux vers les traitements génériques. Ces médicaments bien que peu onéreux ne proposent pas toutes les garanties en termes de qualité et sécurité lorsqu’ils sont fabriqués dans des pays qui ne répondent pas aux critères européens, et notamment français.

    http://fr.novopress.info/153850/les-francais-rognent-budget-sante/

  • En trois ans, près de 900.000 personnes sont devenues pauvres en France

    En 2011, 8,7 millions de personnes vivaient en-dessous du seuil de pauvreté, qui s’élevait à 977 euros par mois. Soit 893.000 de plus qu’en 2008. Les chômeurs et les jeunes sont les populations les plus fragiles.

    Les conséquences de la crise de 2008-2009 se précisent au fil du temps. On connaissait déjà les effets de la crise sur l’activité – le PIB a reculé de 2,5% en 2009 selon l’Insee -, sur les défaillances d’entreprises – 65.000 en 2009, un record – et sur les destructions d’emplois qui se sont élevées à 331.000 en 2009 selon une étude du Trésor. Une étude de l’Insee publiée ce lundi nous éclaire sur l’impact de la crise sur la pauvreté.

    Seuls les plus aisés voient leur niveau de vie augmenter

    Selon l’enquête Revenus fiscaux et sociaux, le niveau de vie médian des Français s’est stabilisé entre 2010 et 2011 à 19.550 euros annuels. Les 10 % des personnes les plus modestes ont un niveau de vie inférieur à 10.530 euros par an. Les 10 % les plus aisés disposent d’au moins 37 450 euros par an, soit 3,6 fois plus. En 2011, les niveaux de vie ont augmenté uniquement pour la moitié la plus aisée de la population. En revanche, pour la moitié la plus modeste, ils reculent, mais moins que les deux années précédentes.

    Résultat, le taux de pauvreté, c’est-à-dire la proportion de personnes dont le niveau de vie se situe en-dessous du seuil du niveau de pauvreté, progresse de 0,3 point pour s’établir à 14,3%. A titre de comparaison, il atteignait 13% en 2008. En 2011, le seuil mensuel de pauvreté, qui correspond à 60 % du niveau de vie médian de la population, s’établissait à 977 euros mensuels en 2011, contre 985 euros en 2008.

    ” Cette hausse est la troisième consécutive, même si elle est plus modérée que celles enregistrées lors des deux années précédentes “, observe l’Insee. Résultat, 8,7 millions de personnes vivaient sous le seuil de pauvreté en 2011 contre 7,8 millions en 2008. Soit 900.000 personnes supplémentaires !

    Les chômeurs et les jeunes, les plus fragiles

    Qui sont les populations les plus touchées par la montée de la pauvreté ? La pauvreté s’accroît davantage parmi les chômeurs et les jeunes âgés de 18 à 29 ans. ” Dans un contexte où le chômage est resté relativement stable en moyenne annuelle entre 2010 et 2011, la diminution du niveau de vie des chômeurs provient en partie de l’augmentation des durées de chômage. Elle s’accompagne d’une légère hausse du nombre de ceux qui ne perçoivent plus d’indemnisation. (…) Par ailleurs, les revalorisations des allocations chômage ont été inférieures à l’inflation “, explique l’Insee.

    L’augmentation des difficultés financières de jeunes s’explique par le fait que la part des jeunes ayant un emploi recule (- 1,4 point à 55,4 %) et aussi parce qu’ils sont proportionnellement plus souvent au chômage (+ 0,4 point à 12,2 %) ou inactifs (+ 0,9 point à 32,3 %). ” En outre, ceux qui ont un emploi en 2011 sont plus souvent en contrat à durée limitée ou à temps partiel qu’en 2010.”

    La Tribune

    http://fortune.fdesouche.com/325962-en-trois-ans-pres-de-900-000-personnes-sont-devenues-pauvres-en-france#more-325962

  • En toute hypothèse et en toutes circonstances, le devoir d'un résistant est de faire de la résistance.

    Et oui, le verdict est tombé tel un couperet. Enfin. Pour la première fois, un homme a été condamné pour racisme anti-Blanc. Les faits remontent à septembre 2010 : un jeune homme franco-français (entendons Blanc et supposément athée ou chrétien) avait été battu comme plâtre par deux individus dont l’un, toujours insaisissable, a proféré des insultes racistes du type « Sale blanc, sale Français ». La scène a eu lieu sur un quai de RER situé gare du Nord. Cette histoire, quoique fort triste, aurait été cependant typique de certains endroits peu sécuritaires dont le RER fait partie depuis des lustres, si ce n’était son côté aussi paradoxal que significatif : les agresseurs étaient tout deux Français, sans autre origine, soulignons-le, que française.

    Ces deux jeunes énergumènes « alcoolisés » par-dessus le marché, présentaient-ils en plus une pathologie masochiste en s’insultant eux-mêmes tout en se défoulant de leurs complexes sur un tiers sans défense ? D’après les dires d’Arnaud Djender, seul prévenu d’une affaire qui a piétiné pendant près de trois ans ( ! ), les propos racistes de son complice tiendraient au conditionnement sous-jacent qu’il aurait subi sa vie durant en tant que banlieusard, c’est-à-dire ressortissant d’une zone en principe hostile aux Français et, plus largement, aux Européens. Ce n’est donc pas lui mais son subconscient qui s’était exprimé en cette sombre journée d’automne, éructant une haine quasi-bestiale à l’égard du Blanc qu’il est sans vouloir l’être.

    S’il y a une chose qui dérange dans cet étrange ramassis de faits, qui dérange comme une démangeaison au cerveau, c’est le sens du mot « Blanc ». Techniquement, un Maghrébin est blanc. Or, les cités sont majoritairement composées de Maghrébins. Les espèces de petits caïds qui donnent la chaire de poule à ce qui reste de « Gaulois » dans les quartiers chauds sont donc parfaitement blancs, le teint hâlé étant également caractéristique des peuples méditerranéens. Si je vous livre ce bouquet de lapalissades, c’est bien pour attirer votre attention sur la fiole à venin qui se cache entre pétales et épines. Le mot « Blanc » est pratique dans la mesure où il permet d’occulter le vrai sens du terme : un Blanc est quelqu’un qui était jusqu’alors maître chez lui, quelqu’un qui de par sa culture, son mode de vie, sa pensée, représente la nation française. Souvenez-vous de ce vieux film de Gérard Lauzier, Le plus beau métier du monde, où Depardieu a si bien interprété le rôle de l’instit « gaulois », habitué des bons lycées parisiens mais qui, suite à un adultère lourd de conséquences, demande à être muté dans un établissement de Saint-Denis pour être plus près de ses enfants. Pour rappel, le film a été tourné en 1996, soit, il y a environ 18 ans. S’il s’agit d’un film comportant des éléments de propagande en faveur d’un multiculturalisme au bout du compte triomphant, le happy end tranchant le nœud gordien de l’intrigue ne gomme en rien le fond de la problématique, c’est-à-dire l’insupportable existence d’un professeur franco-français au cœur d’une cité régie par ses propres lois.

    Il suffit d’égrener quelques pages indépendantes du net consacrées à la question de l’identité nationale pour retrouver une foultitude d’histoires analogues, à la seule différence que jamais jusqu’à présent elles n’ont eu de véritables échos dans la grande presse. Tel est le cas de Marie-Neige Sardin, libraire dans le 93. Les commentaires qu’elle poste sur facebook font davantage penser à des chroniques de guerre qu’à des comptes rendus classiques que beaucoup d’entre nous ont tendance à mettre en ligne sur leurs comptes. Tel est le cas de cette jeune prof que Le Point a baptisé aléatoirement de Sophie dans un article publié le 11 décembre 2013 et intitulé Journal d’un prof débutant (épisode 18) : « Sale Française » ! Non mais, franchement, depuis quand l’école est-elle devenue un champ de bataille sans pitié ni merci où la transmission des connaissances ne peut plus être une priorité ? L’accentuation croissante de cette tendance reflète autant l’échec total des politiques d’intégration mises en place sous François Mitterrand que l’éclatement progressif de la France en plusieurs communautés dont certaines sont plus aguerries, plus viables que d’autres, tandis que la communauté jusqu’ici logiquement prédominante – française de souche – est en passe de perdre sa prédominance quantitative et qualitative, ce dernier épithète faisant allusion à la veulerie des élites politiques françaises qui ne savent plus ou ne veulent plus défendre les intérêts de la nation.

    Conceptualisons.

    La sentence prononcée contre Arnaud Djender – quatre ans de prison dont trois ans ferme – répond à trois exigences incontournables.

    La première découle des préoccupations de la LICRA ou d’organisations du même type qui en l’occurrence n’ont pas tort de rapprocher antisémitisme et rejet de ce qui est authentiquement Français. Non pas que Juif et Français soient synonymes, la France étant un pays primordialement chrétien. Simplement, le trait d’union Juif-Français (Français chrétien, athée ou même bouddhiste) est un amalgame assez commode puisqu’il est plus « correct » de harceler un individu en se référant à des considérations religieuses plutôt qu’à un ressentiment bien plus vague et complexe visant l’ensemble d’une nation, ici, la nation française. On se demande si la cour d’appel de Reims aurait réagi s’il n’y avait pas eu cette secousse de la part des organisations juives inquiètes du lien qui s’est crée entre antisémitisme et racisme anti-blanc. C’est d’ailleurs en quelque sorte la portée du message véhiculé par Jean-Loup Amselle, anthropologue ayant publié la veille une analyse digne d’intérêt dans le journal Le Monde, un quotidien pourtant porté à se vautrer dans le déni de ce genre de réalités. Le traitement quasi-nul, voire inexistant des actes christianophobes perpétrés sur le territoire français confortent la thèse de M. Amselle puisque la christianophobie en acte, historiquement parlant, est davantage synonyme de racisme anti-blanc que l’antisémitisme.

    La deuxième exigence semble relative au critère d’exemplarité. En administrant une peine de quatre ans à un givré imbibé d’alcool et d’ « idéaux » banlieusards, on pense stopper l’avancée de l’anti-France du bas (l’anti-France du haut étant actuellement au pouvoir). On peut rêver tant qu’on veut, ce n’est pas en se défaisant d’un symptôme mineur tiré de la liste de millions d’autres symptômes qu’on changera quoi que ce soit au diagnostic.

    Enfin, il conviendrait de mentionner la remontée en puissance des deux droites, UMP et FN, la première, malgré certains points de convergence à l’intérieur du parti, se montrant de plus en plus sensible à la problématique du racisme à l’envers. D’ailleurs, selon un sondage réalisé tout récemment par l’IFOP, près de la moitié de la population française estime que « le racisme anti-Blanc est un phénomène assez répandu ». Si l’on tient compte du fait assez paradoxal que 44 % des électeurs mélenchonistes reconnaissent l’existence d’un racisme anti-Blanc un peu partout en France alors que M. Mélenchon lui-même s’obstine à prouver le contraire, on peut supposer que les résultats publiés par l’IFOP devraient être en réalité être supérieurs aux 47 % de « oui » obtenus . Tout dépend de l’échantillon (supposé) représentatif choisi. Il n’est donc pas exclu que la gauche (et l’article publié in Le Monde en est une confirmation indirecte) pousse la justice à sévir à l’égard de ce nouveau type de racisme.

    De toute façon, condamnation ou pas, on pouvait s’attendre à ce retour de manivelle longtemps masqué par les injonctions sacralisées du politiquement correct. Malheureusement, il n’est pas certain que le travail de la justice puisse dès lors stopper un processus avoisinant de plus en plus un climat de guerre civile latente déjà flagrant dans bien des quartiers. L’irruption du racisme anti-Blanc est le résultat d’une politique déconnectée des réalités les plus élémentaires appliquée à la lettre pendant trente ans. Maintenant que cela sent le grillé, il serait temps d’oublier les droits de l’homme. Osera-t-on les oublier ? Voici la question du jour.

  • ça va bouger !

    Toute la rédaction de Voxnr s’associe à moi pour présenter à notre lectorat nos meilleurs vœux pour 2014. La raison du retard quant aux vœux n’est autre qu’une hospitalisation qui fut mienne en ce début d’année. N’omettons donc jamais qu’humains, nous sommes faillibles, le corps pouvant à tout instant, nous lâcher, quand bien même la Foi est intacte.
    Mes vœux s’adressent aussi à tous les Français et Européens. A commencer par ceux qui se reconnaissent dans ce que l’on appelle la gauche, qui en ont le plus besoin. Naguère les gouvernements étaient avant tout soucieux d’agir. On peut se demander si pour François Hollande, Jean Marc Ayrault et les ministres, l’objectif majeur ne soit plus aujourd’hui, que de simplement durer. Tels les mauvais marathoniens, il ne s’agit plus de faire un temps, c'est-à-dire une performance, mais de simplement finir coûte que coûte, puisque de plus en plus de Français qui en ont « ras les antennes »…
    Ces Français aujourd’hui, sont bien moins politisés que voici un demi-siècle. Le fait a probablement commencé avec ce que les sociologues ont appelé la « bof génération », Français nés entre 1963 et 1970 qui inaugura le triomphe du positivisme, toujours omniprésent aujourd’hui. D’où les questions et réponses si fréquentes : « A quoi ça sert ? », « Quel est l’intérêt ?», « c’est une perte de temps », … On se souviendra aussi du milieu des années quatre-vingt-dix qui voit naître l’expression de « pensée unique ».
    Pour autant, on ne peut qu’être satisfait de l’involution : c’est justement parce que les Français ne sont plus politisés – ils ne sont donc plus partisans au sens péjoratif du terme – que leurs critiques sont à prendre au sérieux, dénuées qu’elles sont d’idéologie. On comprendra dès lors, le pourquoi de l’adhésion progressive et croissante au Front National, de la part de Français, aussi bien de gauche que de droite. Bien souvent donc, le rejet marqué des Français, n’est plus celui de la droite ou de la gauche, mais bien du Système, même si le plus souvent ils ne le perçoivent pas nettement, dans ce qu’il a d’essentiel.
    Le Système évolue. Menacé de l’intérieur, de par son essence ( les fameuses contradictions du capitalisme » selon Marx ?), il se radicalise. Il l’a fait à l’échelle militaire en intervenant en Irak, Afghanistan puis Syrie. Trois interventions, trois échecs… Mais il le fait aussi en politique intérieure. Comme par exemple la répression anormalement dure de la manifestation pour tous malgré une ambiance bon enfant, ou l’humoriste Dieudonné devenu « grande cause nationale ».
    Les gouvernants successifs, au motif que le Peuple semble endormi depuis plusieurs décennies, croit qu’il en sera toujours ainsi. C'est méconnaitre l’histoire des Peuples. Et contrairement à la légende, il n’est pas impossible que ce soit une princesse et non un prince qui, en France, par l’intermédiaire d’un baiser salvateur, réveille les Français.
    Le problème n’est plus même politique. On ne peut aller contre le bon sens éternellement. Interdire aux Français le feu de cheminée (1) ou la culture d’un jardin potager (2) comme cela semble être prévu, ce dans les deux cas pour des raisons économiques, fera beaucoup plus de mal au Système que n’importe quelle diatribe à caractère idéologique. Le passage de la vitesse limitée à 80 kms/h (3) plutôt que 90, aussi. Même remarque au sujet de l’interdiction de papa noel (4), des crèches (5) ou des bonbons haribo (6) lorsqu’ils sont de couleur noire ….
    Et ce n’est pas un hasard si la tenue de nos Crs est devenue celle de robocops : ça va bouger !
    « Je préfère être ouvrier de la première heure plutôt que profiteur de la victoire. » (7)

    Alain Rebours http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EFApuFVVAVHWbBmdHV.shtml

    (1) http://www.leparisien.fr/environnement/la-fin-des-feux-de-cheminee-27-01-2013-2516455.php

    (2) http://www.economiematin.fr/ecoquick/item/4827-cultiver-semences-illegal-commission-europeenne

    (3) http://www.ladepeche.fr/article/2014/01/21/1799764-routes-secondaires-bientot-80-km-h-certains-departements.html

    (4) http://www.midilibre.fr/2012/12/05/le-pere-noel-interdit-d-ecole-a-montargis-au-nom-de-la-laicite,606304.php

    (5) http://www.aleteia.org/fr/societe/article/noel-ces-creches-que-lon-veut-interdire-6470909665738752

    (6) http://www.lemonde.fr/vous/article/2014/01/17/accuse-de-racisme-haribo-elimine-ses-bonbons-noirs_4350208_3238.html

    (7) Lieutenant Colonel Brunet de Sairigné.

  • Les Bonnets Rouges accueillent Mélenchon à Saint-Malo

    mélenchonCelui qui se considère aujourd’hui dans l’opposition après avoir appelé à voter Hollande était en meeting en Bretagne à Saint-Malo avec Philippe Poutou du NPA, hier soir. Les Bonnets Rouges n’ont pas oublié son dénigrement pour ce mouvement que Mélenchon considère à la botte des grands patrons et du Medef. Une cinquantaine de Bonnets Rouges de Saint-Malo et des départements voisins se sont réunis sur les remparts puis se sont dirigés vers le Palais du Congrès où ils ont essayé en vain de rencontrer le leader du Front de Gauche qui n’a pas eu un mot pour eux. Le dénigrement continue !

    http://medias-presse.info/les-bonnets-rouges-accueillent-melenchon-a-saint-malo/5593

  • Entretien avec Jérôme Vayer des Bonnets Rouges Frontaliers, un mouvement en colère et dans la coagulation du 26 janvier

    / Par / le 23 janvier 2014 à 11:19 /

    bonnets rouges frontaliers3Les Bonnets Rouges Frontaliers sont une autre catégorie de citoyens français en colère contre le gouvernement. La cause de ce mécontentement est la fin du droit d’option pour les travailleurs frontaliers qui devront désormais choisir entre la sécurité sociale française et LAmal suisse.  Nous avons pu nous entretenir avec Jérôme Vayer, porte-parole des Bonnets Rouges Frontaliers.

    Le mouvement est né début novembre. Ces travailleurs frontaliers se sont inspirés des Bonnets Rouges bretons mais : « on ne veut pas faire de récupération. C’est un symbole. Il fait froid chez nous et le rouge est la couleur de la Haute-Savoie. »  Le mouvement comprend toute la corne Suisse. Il part de l’Alsace en passant par le Territoire de Belfort et la Franche-Comté jusqu’à la Haute Savoie. Cette décision du gouvernement leur semble injuste : « dans les années 60, la Sécurité Sociale ne voulait pas des frontaliers. Le frontalier s’est donc assuré dans son pays de travail à travers des assurances privées. Aujourd’hui, on voudrait les mettre à la poubelle. C’est bien sûr une question de sous. Le gouvernement français récupérerait 200 millions d’euros. » Le basculement doit s’opérer à partir du 1er juin 2014. 

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  • La gauche veut mettre la femme aux travaux forcés

    Lu dans L'Homme Nouveau :

    "L’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee) estimait à 2,1 millions le nombre de femmes au foyer en 2011, contre 3,5 millions en 1991. [...] Le premier motif invoqué par celles ayant cessé de travailler pour rester à la maison est la fin d’un contrat précaire, alors qu’il y a 20 ans les « raisons personnelles » primaient à 59 %, selon cette étude publiée l’an dernier. Elles ne sont plus que 21 % en 2011 à faire valoir ce choix personnel derrière la raison purement économique : la fin d’un CDD (35 % contre 10 % en 1991). [...]

    La vérité est que beaucoup de mères seraient heureuses d’éduquer leurs propres enfants et s’y épanouiraient pour le bien commun de tous si on leur attribuait un statut digne de ce nom. Mais un certain conditionnement idéologique les en dissuade en même temps qu’une politique (anti-)familiale, allergique au salaire maternel, les condamne aux travaux forcés. Il n’y a pas si longtemps, 80 % des femmes travaillant rêvaient aussi d’avoir un enfant de plus mais en étaient empêchées en raison des conditions matérielles et financières présumées.

    N’est-ce pas Nicolas Sarkozy lui-même qui avait parlé d’un « immense gâchis » (sic) à propos des mères qui préfèrent éduquer leurs tout-petits à la maison plutôt que d’aller travailler ? Parité idéologique oblige ! Comme si ces mères n’exerçaient pas le plus beau métier qui soit ! Plutôt que de leur attribuer une allocation parentale de libre choix, l’État préfère aider exclusivement les femmes qui travaillent en payant très cher des assistantes maternelles et des crèches pour garder les enfants des autres. Élever des enfants est un emploi sauf si ce sont les vôtres !"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les néo-pudibonds, ces gens puissants…

    Le 26 janvier ce sera Jour de colère : j’irai sous l’égide de la Liberté guidant le peuple de Delacroix.
    On peut tout faire contre les symboles et les croyances des chrétiens. C’est même encouragé et subventionné ! On peut tout dire et tout montrer en matière de sexe, y compris et surtout les pires déviances. Mais s’agissant de race, d’immigration ou d’histoire, on ne rigole plus ! Les néo-pudibonds veillent.
    Des gens puissants, ces néo-pudibonds : capables d’obtenir en deux heures d’un juge unique du Conseil d’Etat qu’il renverse une jurisprudence libérale séculaire ; capables de rétablir la censure préalable disparue depuis Napoléon III pour museler un humoriste qu’ils ne trouvent pas drôle du tout ; capables de prétendre bouleverser l’économie du Net en voulant y imposer la censure et même la logique du droit puisqu’ils prônent une censure privée.
    Qui sont-ils ces nouveaux pudibonds ?
    Des responsables d’associations subventionnées comme Alain Jacubowicz, président de la LICRA, qui préconise des « mesures coercitives » contre Youtube et les « tweeters déviants ». Des responsables d’institutions communautaristes comme Roger Cukierman, président du CRIF, le Conseil représentatif des institutions juives de France, qui a saisi le président Hollande du cas Dieudonné, le 16 décembre dernier. Sans parler de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) à l’origine de beaucoup de demandes de censure judiciaire d’Internet à travers les fournisseurs d’accès.
    On trouve aussi des hommes de médias. Patrick Cohen, responsable de la matinale de France inter, se fait psychiatre soviétique et établit une liste noire des « cerveaux malades » à ne pas inviter ; et conteste au passage la liberté de pensée (sic) avant de se corriger et de l’admettre – la liberté de pensée (pas la liberté d’expression) – « dans le cadre des lois qui la règlementent » (re-sic). Son collègue Christophe Barbier de l’Express mérite bien son écharpe rouge : il préconise le contrôle d’Internet avec cet argument impayable : « Les Chinois y arrivent bien » ; et affirme sans rire : « Le doute est un délit », avant de dire : « Les dictatures contrôlent bien Internet, pourquoi les démocraties ne le feraient pas », ce qui lui vaut cette réponse cinglante de Marine Le Pen : « Précisément parce que ce sont des démocraties ».
    Dans un tel contexte, les ministres ne sont pas en reste : Manuel Valls, ministre de l’Intérieur, adopte la posture d’un ministre des Cultes de Charles X, sous l’œil attendri de Christiane Taubira, tandis que la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, réclame, quant à elle, la censure privée d’Internet. Du côté de l’UMP aussi on est de la partie, de Copé à Juppé, c’est à qui en surajoutera dans le soutien « républicain » aux excellences socialistes. Anastasia et ses ciseaux, voilà leur nouvelle déesse ! Si Daumier revenait, il aurait de quoi croquer tous ces petits esprits sectaires incapables de comprendre que la liberté d’expression est faite précisément pour protéger les idées qu’on juge détestables !
A bas les ordonnances liberticides ! Le 26 janvier ce sera Jour de colère : j’irai sous l’égide de la Liberté guidant le peuple de Delacroix.
    Jean-Yves Le Gallou, 9/01/2014
    Source : Boulevard Voltaire
    http://www.polemia.com/les-neo-pudibonds-ces-gens-puissants/