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Retraites : les énormes mensonges de Macron DÉMOLIS !
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Retraites : le feu aux poudres ? - JT du mercredi 11 janvier 2023
A la une de cette édition, la réforme des retraites est de retour. Age de départ, trimestre, pénibilité… vous saurez tout sur la réforme des retraites prévue par le gouvernement. Un texte qui devrait susciter la colère de l’opposition et de la rue.
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La grève est-elle un bon outil ? - Café Richelieu n°9
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Le report de l'âge de la retraite, vers la fin de l'acceptabilité sociale ?
Le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans, annoncé mardi soir par Mme Borne, n’est qu’une étape avant un report vers un âge encore plus élevé, comme le suggèrent déjà les journalistes économiques sur les ondes radiophoniques, en attendant qu’ils l’écrivent, une fois de plus et noir sur blanc, dans leurs éditoriaux des jours prochains. Déjà, la scénographie syndicale se prépare, à grands renforts de manifestations, de slogans, de calicots couleur fluo, et la Gauche, celle-là même qui a préparé les 43 ans de cotisation pour avoir une retraite à taux plein (réforme Touraine, sous le quinquennat de M. Hollande), monte sur ses grands chevaux, son amnésie en bandoulière et son hypocrisie en oriflamme : triste spectacle d’un pays légal qui dévalorise la parole politique pour quelques pourboires électoraux.
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Age de départ à la retraite :… le vrai problème c’est la Loi Touraine, votée par la gauche !
Bernard Germain
63 ans, 64 ans, 65 ans… voire plus, comme âge de départ à la retraite ?
C’est la question qui fait le «buzz» en ce moment, auprès des partis politiques, syndicats et associations, suite à l’annonce faite par Macron de mettre en œuvre la réforme des retraites dès l’été prochain.
La «Gauche» (partis, syndicats, …) est vent debout contre la modification voulue par Macron.
Une manifestation est appelée le 10 janvier à Paris (et ailleurs) sur le thème.
On notera d’abord que ceux qui appellent à cette manifestation sont pour le moins… gonflés.
En Avril 2022, ils ont tous appelé à voter Macron «pour empêcher la France de sombrer dans le fascisme».
Peut-être n’avaient-ils pas imaginé que Macron, une fois élu, allait reprendre la mise en œuvre de ses mesures anti-sociales ?
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Retraites : pourquoi s’acharner sur l’âge de départ ?
De Jean Rouxel dans Les 4 Vérités :
[…] Mais, surtout, pourquoi s’acharner sur l’âge de départ à la retraite ? Il serait si facile de laisser les actuaires définir l’âge moyen de départ nécessaire pour l’équilibre financier et de donner des malus à ceux qui voudraient partir avant et des bonus à ceux qui voudraient partir après (ou auraient exercédes métiers plus difficiles). En un mot, laisser une place à la liberté et à la subsidiarité. Ajoutons que, quand 44 % des actifs de 55 à 64 ans n’ont pas d’emploi, il n’est pas certain que cette réforme des retraites suffise à remettre l’économie française sur les rails.
Mais peut-être est-ce là que le bât blesse: comment des technocrates pourraient-ils comprendre quoi que ce soit aux réalités économiques?
https://www.lesalonbeige.fr/retraites-pourquoi-sacharner-sur-lage-de-depart/
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Electricité. TPE, Copro, l’Etat propose un prix multiplié par 5.6 !
par 10 Jan 2023 | |
Ils sont tous contents d’eux, ils sont tous réjouis.
Pensez donc, 2 jours après avoir sauvé les TPE, Olivier Klein le grand mamamouchi préposé aux DPE foireux, et à la crise du logement qu’il est en train de créer de toutes pièces vient d’annoncer « un tarif d’électricité garanti pour les copropriétés en 2023, sur le modèle des TPE ».
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La retraite à 65 ans, cette nouvelle injustice sociale...
Les débuts d’année sont l’occasion de diverses cérémonies de vœux plus ou moins sincères et, souvent, très politiques quand il s’agit de ceux des ministres et de leur président, ainsi que de leurs opposants. 2023 n’a donc pas dérogé à la règle, et le locataire de l’Élysée en a profité pour lancer, véritablement, le coup d’envoi d’une rentrée sociale qui pourrait s’avérer tumultueuse si l’on en croit les devins médiatiques. Il est vrai que la question des retraites est, depuis longtemps, beaucoup plus inflammable que nombre d’autres sujets sociaux : sans doute parce qu’elle touche, concrètement, à l’espérance d’une vie tranquille « après l’emploi » et que, pour nombre de nos concitoyens, l’entrée dans cette période post-professionnelle est vécue comme une forme de libération du temps et des efforts obligatoires et salariés.
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Tiers-mondisation sanitaire : Scène de misère dans le Centre-Bretagne
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Retraites : ce qui manque au mondialiste Macron pour demander des efforts aux Français
Le dossier des retraites, flou, variable, plus flexible qu’une canne de bambou au printemps, illustre à nouveau la méthode du président. On tente de satisfaire les intérêts de tous en commençant par ceux qui crient le plus fort. Sur les retraites, c’est l’Europe qui exige des réformes. Mais les syndicats sont écoutés aussi, on réduit le départ à 64 ans. On écoute encore LR dont les voix seront nécessaires à l’Assemblée. Le tout après avoir annoncé une campagne éclair et reculé indéfiniment l’échéance. L’aiguille du baromètre n’a jamais montré de direction très claire, elle s’agite aujourd’hui sans fin, elle est devenue folle. « En même temps ». La formule macronienne décrit décidément le mieux possible l’incapacité du président à prendre un cap, à déterminer la hiérarchie des priorités, à choisir et à trancher.