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social - Page 78

  • L'Assemblée nationale vote contre l'avis du gouvernement un texte pour «protéger EDF d'un démembrement»

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    Vu sur TVL

    L’extension du bouclier tarifaire des PME adopté jeudi par l’Assemblée nationale.

    Nouveau revers pour le gouvernement Macron-Borne. Jeudi 4 mai, les députés ont voté un texte pour «protéger EDF d'un démembrement». Portée par la gauche, soutenue par la doite LR et le Rassemblement National, la proposition de loi a été validée par 127 voix contre 89, et une abstention.

     

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  • Emmanuel Macron peut-il encore rebondir et éviter l’abîme électoral à son parti ?

    Emmanuel Macron a mené des réformes en matière fiscales et sociales qui, à l’évidence, ne furent imaginées qu’au travers des seules données comptables dans une incohérence parfois déconcertante, ce qui a soulevé les réactions d’opposition que l’on sait. Si on y ajoute son attitude jugée souvent méprisante par les citoyens, cela ne peut qu’expliquer la situation de rejet qui le caractérise.

    Une bonne mesure, certes très partielle, mais qui en efface plusieurs autres qui sont à la fois controversées dans la méthode de présentation et rejetées par la majorité de la population

    La suppression totale de la taxe d’habitation pour tous dès 2023, ainsi que la redevance télé est l’une des réformes dont l’exécutif est le plus fier. La taxe d’habitation, impôt dû par les locataires comme par les propriétaires et jugé inégalitaire par Emmanuel Macron en 2017, dont sa suppression fit partie de l’une de ses annonces au lendemain de son élection présidentielle de 2017 et a été effective progressivement sur la résidence principale.

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  • En avoir pour mes impôts : Gabriel Attal a juste oublié l’immigration !

    C'est la saison des impôts, non seulement pour les communes au pied du mur avec la suppression de la taxe d'habitation dont Georges Michel a souligné les effets pervers, mais aussi pour les simples particuliers, tenus de remplir leur déclaration d'impôts sur le revenu. Et pour vous aider à accomplir ce geste citoyen parfois douloureux, tout en réalisant une opération de com' à son avantage, Gabriel Attal, qui n'est pour le moment que ministre délégué chargé des Comptes publics (il paraît que le personnage serait « Premier-ministrable »...), a lancé un site En avoir pour mes impôts. Ce n'est rien d'autre que la traduction numérique du camembert papier qui accompagnait chaque année votre déclaration et qui détaillait, secteur par secteur, « à quoi servent nos impôts ».

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  • Avec ou après Macron, le déluge ?

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    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés. (Propos recueillis par Guirec Sèvres).

    Vous publiez le 20e volume de vos chroniques barbares intitulé La France macronisée ; le sous-titre est explicite : « Le “quoi qu’il en coûte”, de l’arnaque à la crise »… Ne trouvez-vous donc rien de positif dans la politique menée par Emmanuel Macron et ses ministres ?

    Et vous, pourriez-vous me citer une réalisation positive à porter à leur crédit ? Des déclarations d’intentions pour des lendemains qui chantent, certes, ses Ministres et lui en font à la pelle, on y est habitué, mais concrètement ? Un endettement abyssal, une inflation galopante, des services publics à la ramasse, une explosion de la délinquance, un système scolaire qui n’en est plus à s’effondrer, mais à s’enfoncer désormais sous le niveau de la croûte terrestre… Plus anxiogène encore sont les multiples fractures dans la population : certes, quelles que soient les situations dramatiques, certains tirent leur épingle du jeu – et pas forcément tous de façon malhonnête ou immorale – mais la grande majorité de nos compatriotes a désormais le sentiment qu’on était plus heureux dans le passé que de nos jours, malgré des progrès techniques aussi incessants qu’insatisfaisants. Le fil rouge de la politique française, depuis plusieurs présidences, c’est le choix « nous ou pire que nous »… Hier c’était « eux » ou la menace Lepéniste et ses hordes fantasmées de haineuses  chemises brunes ; aujourd’hui, c’est « eux » ou la fureur mélenchoniste et une France transformée en immense ZAD avec miradors et guillotines à chaque coin de rues…

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  • Info : Oliv Oliv a pris une grenade dans la tête lors des manifestations du 1er mai

  • 1er Mai : le pouvoir profite de la violence des antifas

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    Bernard Germain

    Lundi avaient lieu de multiples manifestations, à travers toute la France, contre la réforme des retraites de Macron. Comme d’habitude, les cortèges de manifestants furent calmes et sans incident. À l’exception de quelques accrochages avec les antifas, regroupés en blackblocks, qui entendaient pouvoir rentrer dans les cortèges syndicaux afin de se cacher après avoir agressé les policiers. Pas de chance pour eux, les services d’ordre des syndicats ne l’entendaient pas de cette oreille et les antifas ont vite compris qu’ils n’étaient pas les bienvenus.

    On assista donc à cette situation incroyable : un « pré-cortège » comme disent les journalistes, constitué d’énergumènes ultra-violents qui cassaient tout sur leur passage, mettaient le feux à tout ce qu’ils pouvaient et attaquaient à intervalles réguliers les policiers.

    Et pour ces gens-là, il n’y a pas de limite. Ils sont là pour casser et… tuer !

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  • Impasse Macron

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    Le billet de Patrick Parment

     Qu’importe au final le nombre de participants aux défilés du 1er mai en France. En revanche, ces mobilisations montrent bien que le pays n’est pas démobilisé contre ce gouvernement. Car les manifs de la réforme des retraites (treize à ce jour) ne sont que la partie émergée de l’iceberg. C’est une France des « gilets jaunes » sans gilet qui descend à chaque fois dans la rue. Les syndicats font de cette réforme un gimmick alors qu’ils savent pertinemment que le gouvernement ne reviendra pas en arrière. Par ailleurs, les syndicats ne sont pas représentatifs de l’ensemble des travailleurs, loin s’en faut. Mais ils restent un excellent détonateur. Cependant faire la grève coûte cher aux ménages qui ont un seuil d’acceptation limité.

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  • « Acceptez d’être plus pauvres », la déclaration de la banque centrale du Royaume-Uni soulève la colère

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    Les Britanniques « doivent accepter » d’être plus pauvres et donc renoncer aux revendications d’un ajustement salarial face au coût élevé de la vie. La déclaration a suscité une vive colère des deux côtés de l’échiquier politique britannique.

    Pour freiner l’inflation, les ménages et les entreprises britanniques doivent cesser de rechercher des augmentations de salaire et de faire monter les prix

    Les ménages et les entreprises britanniques « doivent accepter » d’être plus pauvres et cesser de rechercher des augmentations de salaire et de faire monter les prix, a déclaré l’économiste en chef de la Banque d’Angleterre, Huw Pill, suscitant une vive controverse.

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  • Puisque l'on fête le travail

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    Les historiens sérieux de la Gaule, de Camille Jullian à Régine Pernoud mettent tous en lumière un fait essentiel. Ce trait traversa les siècles : ceux que l'école d'autrefois apprenait aux enfants à considérer comme leurs ancêtres, formaient un peuple d'artisans et de paysans, tous amoureux du travail bien fait. Quelques très belles pages de Péguy nous le rappellent, l'art des cathédrales du Moyen Âge ou le mobilier du XVIIIe siècle le confirment.

    Leurs descendants actuels le sont-ils demeurés ? Les dirigeants de la république les respectent-ils vraiment ? On peut en douter au vu des débats sabotés, des oukases technocratiques et des agitations sinistres tournant autour de la non-réforme des retraites.

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  • Les bas salaires sont rattrapés par le Smic net à 1 383 € au 1er mai 2023

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    Les bas salaires victimes de la progression du Smic. 

    Avec une pirme d'activité, les smicards ont un pouvoir d'achat d'un peu plus de 1580€. Indexé sur l'inflation, le Smic augmente automatiquement si cette dernière croît d'au moins 2% par rapport à l'indice constaté au moment de la dernière évolution du Smic. Le salaire minimum interprofessionnel de croissance a pris 10% en deux ans et augmenté de 114€ net depuis le mois de janvier 2022. 

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