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tradition - Page 190

  • La civilisation post-chrétienne ne produit pas du vide : elle est le vide

    Politique Magazine a interrogé Richard Millet. Extraits :

    Une137réduite2"Depuis l’attentat de Charlie Hebdo, on assiste au déploiement d’une effarante propagande où il n’est question que de liberté d’expression. Que vous inspire la pseudo-unité nationale qu’elle suscite, vous qui avez été condamné à mort socialement et médiatiquement pour vos écrits ?

    Ce genre d’unanimité ne peut se faire, comme René Girard l’a montré, qu’au détriment de quelques-uns.La prétendue recomposition nationale qui a eu lieu après les meurtres de Charlie Hebdo nous dit deux choses : d’abord qu’elle n’aurait pas été aussi grande si les victimes n’avaient pas été des journalistes (les meurtres de Toulouse et de Montauban, il y a deux ans, pourtant de même nature, n’avaient pas suscité un pareil émoi) ; il est vrai, ces journalistes appartenaient à l’extrême-gauche, celle-là même qui clame qu’il n’ y a pas encore assez d’immigrés, pas assez d’« Europe », et qu’il faut en finir avec les nations. D’autre part,cette unanimité s’est faite au détriment même de la « liberté d’expression », c’est-à-dire de ceux qui, Français de souche et catholique sont constamment insultés par Charlie Hebdo. Il en va de cette liberté comme de la « tolérance » : elle est une arme de contrôle, pour le pouvoir médiatico-politique qui trouve à présent chez Zemmour, Camus, Finkielkraut et moi-même des « responsabilités » dans le climat d’ « islamophobie » qui fait des musulmans les victimes d’un « amalgame », d’une « stigmatisation » (ces mots ayant remplacé celui, dévalorisé, de racisme). Le serpent socialiste se mord d’ailleurs la queue : son discours rejoint ici celui des islamistes prétendus « modérés ».

    La religion républicaine peut-elle s’aveugler encore longtemps sur le fait qu’elle n’est qu’un dangereux simulacre ? Est-ce finalement l’islam qui va le lui apprendre ?

    L’islam, dans sa violence comme dans ses conquérantes prétentions juridiques, a le mérite de rappeler, involontairement, que la classe politique joue, depuis une trentaine d’années, avec le feu immigrationniste. Soyons réalistes ; il y a une bonne immigration : celle qui veut s’assimiler, et une autre, problématique, généralement musulmane, qui trouve dans le multiculturalisme une citoyenneté minimaliste. Je suis « français » faute de mieux (faute d’être américain, par exemple, ou de vivre selon la charia), peuvent se dire les jeunes immigrés. L’islam est, pour beaucoup, un ordre politique avant d’être une religion, comme l’a rappelé Houellebecq dans son roman Soumission. Tout cela occulte le fait majeur : la déchristianisation de l’Europe, dont la religion laïque ou celle des droits de l’homme ne peut plus masquer qu’elle fait le lit de l’islam, lequel a horreur du vide religieux. Et si les catholiques ont montré qu’ils sont une force puissante lors de la Manif pour tous, cette force ne semble pas avoir, hélas, d’avenir politique. Les socialistes continuent leur œuvre de destruction, cette forme de guerre civile, commencée en Vendée, en 1793. [...]

    La civilisation post-moderne, post-historique, post-chrétienne ne produit pas du vide : elle est le vide, la jouissance du vide, du présent perpétuel, du light, de l’insignifiant, de la « glisse », de l’absence de mémoire, etc. Le multiculturalisme d’état est un des visages de ce vide. A la différence du romancier consensuel ou du propagandiste littéraire, l’écrivain doit sans cesse redéfinir sa condition : le terrain sur lequel il s’avance est infiniment piégé par le Spectacle qui tente de le récupérer, comme il l’a fait pour Debord et pour Muray. L’écrivain vit dans une époque si trouble, si inquisitoriale, si judiciarisée qu’il ne peut être qu’un solitaire, un franc-tireur. Tout le condamne, mais il écrit à partir de cette condamnation même…"

    Michel Janva

  • Les valeurs républicaines n'existent pas

    Excellente tribune de Denis Tillinac dans Valeurs Actuelles :

    "Depuis les attentats du mois dernier à Paris, l’invocation aux “valeurs républicaines” tourne au moulin à prières. Gauche et droite s’en gargarisent pour légitimer leur mise au rebut du FN, mais Marine Le Pen ne s’en réclame pas moins.

    Tous les éditos, tous les sermons politiques soulignent la nécessité de resserrer les rangs sur les “valeurs républicaines”, talisman pour nous prémunir du communautarisme, panacée pour forger l’armature morale de notre jeunesse. Or, n’en déplaise à la gent prédicatrice, les “valeurs républicaines”, ça n’existe pas. On confond indûment valeur et principe.

    L’honneur, la liberté, l’altruisme, le courage, la probité, la pudeur, l’équité, le respect de soi et d’autrui, la bonté, le discernement, la générosité sont des valeurs, et il serait opportun qu’on les inculquât à l’école. À la fois universelles et modulées par la culture de chaque peuple,elles ne sauraient être l’apanage d’un régime politique déterminé.

    Elles sont aussi enracinées dans les monarchies européennes que dans notre République. Les sujets de Sa Majesté la reine d’Angleterre jouissent de la même liberté que les citoyens français. Ceux des républiques d’Iran, du Soudan, du Pakistan ou de l’ancien empire soviétique en sont privés. Bref, le mot “république” ne recèle en soi aucune “valeur”, et en conséquence il n’a pas la moindre vertu morale.

    Les aléas de notre histoire ont abouti pour l’heure à un consensus sur la forme républicaine de nos institutions et personne n’en conteste la légitimité (...) Notre attachement à la Marseillaise ne doit pas occulter dans notre imaginaire collectif l’oeuvre patiente des Capétiens, des Valois et des Bourbons. Faute de quoi la promotion d’inexistantes “valeurs républicaines” se résumerait à une propagande sectaire visant à éradiquer nos racines (...)

    Ce qui manque à tous les étages de la société française, depuis l’école jusqu’aux “élites”, c’est bel et bien une architecture morale reposant sur un socle de valeurs. Des vraies. Les velléités pédagogiques que l’on voit poindre ici et là ne s’y réfèrent nullement, on n’y distingue en filigrane qu’un catéchisme “républicain” de gauche, autant dire une fiction maquillant un déni de mémoire à des fins bassement partisanes. Rien de probant n’en résultera.

    Dans une société aussi matérialiste, où tout incite la jeunesse à ne convoiter que des choses consommables, où les politiques nous parlent exclusivement de taux de croissance, où la vulgarité médiatique menace d’engendrer des fauves amoraux, amnésiques et avides, il serait urgent de renouer avec les valeurs cardinales. Elles ont toutes en commun une exigence d’élévation, comme c’était le cas dans toutes les civilisations quand les modèles du saint, du héros ou du sage équilibraient les pulsions inhérentes à la nature humaine. Aussi longtemps qu’on mettra la barre des aspirations à l’altitude zéro du mercantilisme, “républicain” ou autre, on lâchera dans une jungle sans foi ni loi des êtres intellectuellement, psychiquement, spirituellement invertébrés. Et on verra surgir de partout des candidats au djihad."

    Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Qui sont les activistes de LMPT ?

    Les mouvements qui étaient à l’origine de LMPT et ceux qui en sont nés ne se recoupent pas, à tout le moins pas parfaitement. A bien des égards, les derniers nous renseignent davantage que les premiers sur l’essence de ce « printemps conservateur » car ils en sont autant le produit que les acteurs et parce qu’ils concentrent, de surcroît, les plus jeunes des militants. Certains de ces mouvements ont été suffisamment visibles pour n’avoir plus à être présentés, de même que l’intensité de leur engagement ne prête plus à discuter. La diversité de leurs modes d’action demande cependant à être interrogée. 
         Roland-Garros, le 9 juin 2013 : un jeune homme, torse nu, s’élance sur le court central. Les anciens se souviennent que les castristes avaient inauguré cette forme de happening politico-sportif en enlevant pacifiquement le coureur automobile Fangio en 1958 à la veille du Grand Prix de La Havane. Le Mouvement du 26 juillet avait ainsi fait la une de la presse internationale. Cette fois, c’est au sein d’une démocratie réputée apaisée qu’une performance encore plus canularesque, mais à la visée non moins politique, perturbe la finale du célèbre tournoi de tennis. Sous le regard de millions de téléspectateurs, les Hommen viennent de s’illustrer. Leur groupe, calqué sur celui des Femen, en détourne les codes pour servir une cause opposée, tout en créant le buzz. Ainsi, trois semaines plus tard, le 29 juin, jour de la marche des fiertés LGBT, la Gay pride, ils apparaissent sur le parcours, exhibant du haut d’un balcon une banderole appelant à lutter contre la « dictature des minorités ». D’un thème récurrent à la droite de la droite, notamment sous la plume de Jean-Yves Le Gallou, un ancien du Club de l’Horloge, et volontiers traité de manière anxiogène, les Hommen réussissent de la sorte, par la satire, à faire un sujet de dérision au retentissement médiatique assuré. 
         Souvent présentées comme le pendant féminin des Hommen, partageant à l’évidence les mêmes préoccupations que les Veilleurs, dont l’écologie, les Antigones revendiquent néanmoins leur singularité. Ainsi que tient à le préciser l’une d’entre elles, Iseul : 
    Les Antigones n’ont pas d’affiliation politique ou confessionnelle. Cependant, notre position est à contre-courant de l’idéologie actuelle, elle dérange. Certains se sont empressés de vouloir nous discréditer en nous collant une étiquette de « réactionnaires » ou « d’extrême droite ». Nos prises de positions, nos actions et le nombre considérable de femmes qui veulent nous rejoindre seront notre réponse à ces allégations complotistes : nous sommes la voix de nombreuses Françaises qui veulent prendre leur place dans le débat public. 
    Gaël Brustier, Le Mai 68 conservateur
     

  • Le réenracinement face au laïcisme outrancier

    Que représente la République si on l’isole du pays auquel elle appartient ?

    Najat Vallaud-Belkacem a dévoilé, jeudi dernier, son plan pour lutter contre la radicalisation d’une partie des élèves dans certains établissements scolaires, suite aux nombreuses minutes de silence perturbées. Un programme basé en priorité sur la laïcité et la République. La politique de l’autruche se perpétue.

    Dans une France où son histoire est de plus en plus passée sous silence (on ne parle plus de la bataille de Poitiers, de Napoléon, de la guerre de Vendée…), l’identité dissimulée dans le magma de la globalisation, les « enfants de la République », produits hors-sol dans ce système mondialiste et sans substance, ne croient plus en la nation et certains se tournent vers une culture ou religion étrangères.

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  • La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page) suite

    On la retrouve ici en tête du cortège avec Cécile Edel, co-fondatrice et présidente de la marche pour la Vie, Jean-Marie Le Méné, co-organisateur et président de la Fondation Lejeune, Jérôme Triomphe, avocat de madame Lambert :

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    Cécile Edel se dit fière d'être à côté de madame Lambert et déclare pour votre blog préféré, contente que cette marche puisse défendre Vincent Lambert : 

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    "Cette marche est prometteuse. La vie est au dessus des lois et la loi doit servir la vie".

    Julie Graziani a rejoint la Marche pour la Vie cette année comme porte-parole. Elle est à la tribune : "je suis née en 1978. J'ai tjrs connu la loi Veil. On m'a expliqué que j'avais été un amas de cellules". 

    Elle rappelle également que le Pape François bénit les marcheurs et soutient la marche pour la Vie!

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    14h25 : départ du cortège en musique 

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    "Mort sur ordonnance = médecine en déshérence"!

    Une Femen a tenté d 'intervenir : interpellée en 3 secondes, elle n'a même pas eu le temps d'enlever un seul vêtement!

    A suivre

  • La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page) suite

    C'est au tour de Gregor Puppinck, Directeur du Centre européen pour le droit et la justice, de s'exprimer. Il est l'auteur de cet article "Le drame des enfants nés vivants durant leur avortement" publié cette semaine : 

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    "Une grossesse sur 5 finit par un avortement en France, et une sur 3 en Europe!".

    Ca y est, la place Denfert-Rochereau est pleine! Et du monde arrive encore de partout..

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    L'orateur remercie les rares députés qui ont voté dernièrement contre la résolution sur l'avortement. C'est désormais Jacques Bompard qui est au micro.

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    Le cortège est désormais près, la place comble :

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    14h10: Dans une marée de ballons noirs, les premiers slogans fusent  "je suis Vincent Lambert!".

    «Je marche pour la vie de mon fils» déclare madame Lambert mère de Vincentici.

    A suivre

  • La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page)

    Voici 10 ans que les défenseurs de la vie martèlent le pavé parisien. C'est la jeunesse de France qui demande la fin du massacre des enfants dans le sein de leur mère, la'abrogation de la loi Weil et par conséquent l'instauration de toutes les mesures nécessaires à l'accueil de la vie et à l'accompagnement en fin de vie.

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    La Marche se déroulera en toute sécurité : merci à l'ordre de  Malte !

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    Cette année, un rappel élémentaire concernant l'avortement et l'euthanasie : 

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    La tête du cortège se met en place : 

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     13h55 : première intervention. Jean-Pierre Maugendre prend la parole.

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    Jacques Bompard et Marie-Claude Bompard sont fidèlement présents.

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    Ballons noirs et boucliers verts : une nouveauté de cette année

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    A suivre

  • Un jour, un texte !

    « La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. »

    Georges Bernanos, La France contre les robots

    Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui, à l'heure où le pouvoir politique incapable de gouverner le pays, déclenche une guerre tous les 6 mois : le soldat et sa famille (21)

    Quelques livres à lire pour appronfondir le sujet

    • « Ce qui demeure. Lettres de soldats tombés au champ d'honneur. 1914 - 1918 » Éd. Bartillat, 2000. De Benoist-Mechin

    Dernières lettres écrites par des soldats de tous âges et grades avant des assauts dont ils pressentaient qu'ils ne reviendraient pas.

    • « Sonis. Un héros. Un saint. Père de douze enfants. » - Beauchesne - Chiré, réédité en 1999. D'Albert Bessières, s.j.

    Héros de la bataille de Loigny, en 1870, où il fut grièvement blessé et miraculeusement sauvé après une charge héroïque à la tête des Zouaves Pontificaux, derrière la bannière frappée du Sacré-Cœur, le général de Sonis tient tout entier dans cette définition d'un de ses pairs : "Sonis, c'est l'Honneur !". – Cavalier hors pair, fin tacticien, il participa aux campagnes du Second Empire et s'y distingua par sa bravoure. Sa foi profonde lui valut de nombreuses vexations et son absence de fortune personnelle l'obligea à de nombreux sacrifices affectifs et financiers. Père de douze enfants, il fut un modèle tant dans sa vie familiale que dans sa vie d'officier.

    • « Sur ma vie, Hervé de Blignières, 1914 - 1989. » - Éd. Dominique Martin Morin, 1989. D'Hervé de Blignières

    Après un bref récit, par son fils aîné, de la vie de ce grand soldat, suivent des témoignages de ses enfants et de ses amis sur celui qui fut aussi un grand chrétien et un père de famille nombreuse.

    • « Les sentinelles du soir. » - Éd. Les Arènes, 1999. D'Hélie Denoix de Saint-Marc

    Au soir de sa vie, le commandant Denoix de Saint-Marc se penche sur son passé et évoque, comme dans une sorte de méditation vespérale, les hommes, les femmes et les faits qui ont jalonné une existence marquée par l'Honneur.

    • « Honoré d'Estienne d'Orves, pionnier de la Résistance. » - Éd. France-Empire, 1985. De Rose et Philippe d'Estienne d'Orves

    Le livre de la piété familiale : recueil de témoignages de tiers et de lettres d'une grande élévation adressées, par lui, à sa famille.

    • « Un officier français, Gérard de Cathelineau. » - Nouvelles Éditions Latines, 1960. Du Père Michel Gasnier, o.p.

    Ce très beau livre, fondé essentiellement sur la correspondance et les écrits de Gérard de Cathelineau, nous révèle un officier français dans toute l'acception du terme. A une époque où l'on parle beaucoup d'éthique du commandement dans l'Armée, son sens du devoir aigu, sa noblesse innée, son élévation spirituelle et son rejet de la médiocrité et de la vulgarité font du capitaine de Cathelineau un exemple et un modèle pour le chef militaire français du XXIème siècle.

    • « J'ai épousé un légionnaire. » - Les Éditions La Bruyère, 1993. De Jacqueline Gervais-Geoffrey

    Racontés avec humour, fraîcheur et amour, les souvenirs mouvementés et pittoresques d'une épouse d'officier de Légion qui a suivi son mari à travers conflits et continents.

    • « Commandant rebelle. » - Éd. J.-C. Lattès, 1998. De Georges Robin

    Portrait d'un soldat qui de 1940 à 1962, à travers la Débâcle, l'Armée d'Afrique, l'Indochine, Suez et l'Algérie, n'a eu qu'un seul guide : l'Honneur… et qui en a lourdement payé le prix.

    • « Hector. » - Éd. du Club du Grand Livre du Mois, 2000. De Jacqueline de Romilly

    Réflexions autour d'Hector, Troyen donc ennemi, qui est présenté par Homère sous un jour sympathique, entouré des siens : sa femme Andromaque et son fils Astyanax. Les chants où il apparaît expriment la douleur de la mort du guerrier et le devoir de respecter les corps. Ils sont parmi les plus beaux de l'Illiade.

    • « Mon illustre inconnu» - Éd. Fayard, 1998. De Guillemette de Sairigné

    Âgée de 10 mois à la mort de son père, le lieutenant-colonel de Sairigné, chef de corps de la 13e D.B.L.E., Guillemette de Sairigné, cinquante ans plus tard, part à la recherche de ce père de 35 ans, tué dans une embuscade en Indochine. C'est cette quête émouvante à laquelle elle nous convie. – Très beau témoignage de piété filiale, plein de la fraîcheur, de l'humour et de cette légère impertinence qui caractérisent souvent les rapports père-fille.

    Lois Spalwer  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html