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Fidèles au principe qui veut que la rue appartient à celui qui y descend, les militants identitaires seront largement présents les 4 et 5 octobre prochains à Paris. Tout d’abord, rendez-vous samedi 4 octobre pour le meeting de Génération identitaire de 16 heures à 18 heures, pour présenter la nouvelle campagne de GI : “Nous sommes la première ligne”. Première ligne face à la racaille, première ligne pour défendre la famille, première ligne face à l’immigration-islamisation, première ligne face au pouvoir socialiste.
Les militants identitaires seront également présents le dimanche 5 octobre lors de la Manif pour tous. Car comme le rappelle dans un communique le Bloc identitaire“la famille c’est notre identité”.
Animé par la haine de la France, la haine de nos traditions et la haine de la famille comme socle identitaire fondamental, « Valls 2 » ne reculera devant aucune attaque. Après le mariage gay et malgré les reculades imposées par la colère populaire, il apparaît évident que le gouvernement va tenter de permettre par la techno-science (GPA et PMA) ce que la nature empêchera toujours : l’accès à la parentalité pour des couples homosexuels.
Voilà pourquoi il est fondamental que la France Normale se mobilise à nouveau face aux apprentis-sorciers qui sapent méticuleusement un par un les piliers de notre identité. C’est parce que la famille – un père et une mère ! – en constitue la cellule de base que le Bloc Identitaire, comme il l’a fait à chaque Manif Pour Tous, appelle ses membres et ses sympathisants à se mobiliser massivement le 5 octobre à Paris et à Bordeaux.
http://fr.novopress.info/175847/les-4-et-5-octobre-prochains-les-identitaires-sur-tous-les-fronts/
Voilà des chiffres qui devraient encourager tous les militants qui tentent d’enrayer la progression effrayante de la culture de mort conjuguée à l’acharnement de nos gouvernements à détruire notre civilisation millénaire. Les efforts finissent par payer, au prix d’une lutte incessante mais surtout persévérante. Alors qu’une énième manifestation est prévue dans les rues de Paris et Bordeaux dimanche prochain, certains sont tentés de ne plus y croire… Les résultats des lobbies « pro-vie » américains prouvent qu’il ne faut effectivement rien lâcher.
Tous les indicateurs culturels de nos sociétés occidentales semblent aller dans le mauvais sens : l’immigration et l’islamisation ne cessent de progresser, la consommation de drogue explose, les gens ne se marient plus, les lois iniques se multiplient et de trop nombreux enfants sont encore tués dans le sein de leur mère… Pourtant, aux Etats-Unis où les organisations opposées à l’avortement sont particulièrement actives et efficaces, les résultats sont là : le nombre d’avortements baisse de manière significative.
Ce nombre pour 1000 femmes est en effet passé de 20,9 à 16,9 entre 2001 et 2011, chiffre le plus bas depuis 1973, année durant laquelle l’avortement a été légalisé aux Etats-Unis. Plus d’un million d’enfants sont encore avortés chaque année et le combat n’est pas gagné, mais les esprits changent : dans un récent sondage mené par l’institut américain Gallop entre 2009 et 2014, six personnes interrogées sur dix se sont identifiées comme « pro-vie », un ratio qui permet donc largement d’espérer.
Depuis l’interdiction de l’avortement par naissance partielle en 2003 à des mesures restrictives contre l’avortement votées dans différents états, les victoires sont réelles et régulières. Depuis 2011, plus de 200 textes de loi pro-vie ont été adoptés dans la moitié des états américains grâce à l’engagement permanent de ces lobbies partout présents.
L’une des grandes victoires de ces organismes a été de se préoccuper autant des futures mères que des enfants à naître, notamment en s’occupant de trouver des familles d’adoption. Ils ont rendu aux femmes un choix de possibilités qu’on leur avait volontairement rendu inaccessible. Mais c’est aussi la compassion qui anime ce mouvement qui aide les femmes à choisir la vie qui les pousse à servir également celles qui la refusent, une démarche largement appréciée dans une société si individualiste…
Le message est finalement clair : il est possible de récupérer notre culture, de gagner du terrain sur la culture de mort par un travail acharné, de la créativité, une attention constante sur les débats politique mais également un service quotidien des personnes de l’entourage le plus proche.
http://www.contre-info.com/les-belles-victoires-des-pro-vie-americains#more-34776
La campagne d’automne des 40 Jours pour la Vie (40 Days for Life) est lancée aujourd'hui mercredi 24 septembre, elle s’achèvera dans 40 jours, c’est-à-dire le dimanche 2 novembre.
Pendant des 40 jours, des vigiles ininterrompues vont se succéder devant des avortoirs aux États-Unis et dans d’autres pays, 24 h sur 24, et 7 jours sur 7, afin de prier pour la fin de l’avortement, ce « crime abominable ».
Il ne s’agit pas de juger ni de stigmatiser : il s’agit de porter témoignage du caractère sacré de la vie, et de la vie à naître.
Depuis son lancement aux États-Unis, la campagne des 40 Days for Life a mobilisé plus de 625 000 volontaires dans 3 039 campagnes locales qui se sont déroulées dans 539 villes réparties dans 24 pays. Le résultat de ces efforts, ce sont 8 973 vies sauvées de l’avortement !
Daniel Hamiche propose de constituer une chaîne de prière “de l’arrière”. En quoi consiste-t-elle ? À prier pendant ces 40 jours dix Je Vous salue Marie aux intentions de cette campagne. Chaque jour. Pendant 40 jours. Accepterez-vous de vous joindre à ce pieux effort ? Il vous suffit de le signaler ici.
Il y a aussi une tout autre histoire, une authentique quête – véritable pendant celle de l’Anneau – qui sillonne le livre. Elle donne à la faërie une autre dimension, une dimension proprement humaine. Conduite exclusivement par les hommes et pour les hommes, sous l’œil bienveillant de Gandalf et des Elfes, c’est la quête d’Aragorn pour devenir ce qu’il est ! Cet engagement elfique pour que les hommes puissent avoir un destin en Terre du Milieu est tout aussi essentiel que la destruction de l’Anneau de Sauron. Mais cette quête-là est bien plus « calculée » : elle fait apparaître dans toute sa réalité le pouvoir des mythes anciens.
Quel sens peut bien avoir ce Retour du Roi, d’un Roi imaginaire, comme dit du Seigneur des Anneaux ? Les temps présents ignorent très largement ce que peut être un roi, et même ce que les rois, au cours de l’histoire humaine, ont pu représenter. On peut même voir une contradiction dans la manière dont Tolkien exploite ce thème.
Dans une faërie, un tel retour du Roi est tout à fait compréhensible : on peut parfaitement le concevoir comme faisant partie des thèmes incontournables de ce type de récit. Nombreux sont les textes médiévaux, en effet, qui se concluent sur cette eucatastrophe (néologisme tolkenien pour signifier la fin heureuse des faëries).
Mais son importance dans les livres du Seigneur des Anneaux est singulière. Ce n’est pas simplement un roi qui revient en puissance, mais une véritable quête qui parcourt le livre. Les livres I, II et IV sont entièrement consacrés à la quête de l’Anneau – mais les livres III, V et la moitié du livre VI sont, eux, consacrés à la guerre du Roi, au Roi, au retour du Roi et à la libération du Comté, terme de l’histoire. Si la vaste entreprise du professeur Tolkien a un sens – et, pour cela, on peut lui faire confiance : dans tous ses écrits, il a rigoureusement respecté la logique – ce sens, sans nul doute, il faut aussi le chercher là.
Tolkien a beaucoup écrit. Surtout pour répondre aux interrogations de ses lecteurs et critiques. Dans l’une de ses nombreuses lettres, à propos du pouvoir de l’Anneau, il dit ceci, qui peut sans difficulté s’appliquer à toutes les formes de pouvoir : « Si je devais philosopher à propos de ce mythe, je dirais qu’il s’agissait de représenter d’une façon mythique une vérité qui consiste à dire que la puissance (ou plutôt la potentialité), si elle doit être exercée et produire des résultats, doit être externalisée. A un degré plus ou moins important, elle doit, en quelque sorte, passer hors du contrôle direct de son propriétaire. Un homme qui veut exercer un pouvoir doit avoir des sujets extérieurs à lui-même et dont il dépend » (Lettre 211). Phrase éclairante : on y voit ce qui précisément différencie un pouvoir ayant comme « externalité » l’élection – dont la légitimité ne dépend alors que de l’efficacité de sa propagande, de sa « communication » – et un pouvoir dont « l’externalité » s’établit sur une tradition dans le respect des lois écrites et non écrites... Un pouvoir royal est contraint parce qu’il représente, parce qu’il est : c’est ainsi qu’il est tenu en laisse par son « externalité ».
Tolkien affirme à plusieurs reprises qu’il n’aime pas beaucoup ce que nous appelons démocratie. Mais on ne trouve sous sa plume aucun discours qui tenterait de théoriser un anti-démocratisme politique. Son livre n’a rien d’un livre politique. Ce n’est pas du tout de ce côté-là qu’il faut chercher.
Pour Tolkien, chrétien, catholique, la seule égalité qui vaille est devant Dieu : « Non pas que je sois un démocrate dans ses aspects habituels, sauf que je pense, pour parler littérairement, que nous sommes tous égaux devant le Grand Auteur » (Lettre 163). Cette pensée a conduit à certains esprits un peu limités à imaginer qu’il pourrait avoir quelque accointance avec des pensées et des penseurs hostiles à la démocratie. Il n’en est absolument rien ! Ce n’est vraiment pas son sujet. Son biographe Humphrey Carpenter précise : « Tolkien, en jargon moderne, était ‘de droite’ en ce qu’il honorait le roi et sa patrie et qu’il ne croyait pas au gouvernement du pays par le peuple ; mais il ne s’opposait à la démocratie que parce qu’il ne pensait pas qu’en fin de compte les hommes en tireraient profit » (Une biographie).
François-Marin Fleutot, Les mythes du Seigneur des Anneaux
http://www.oragesdacier.info/2014/09/la-quete-du-roi-fait-apparaitre-dans.html
Les Veilleurs étaient fidèles au rendez-vous pour la reprise hier à Paris à la place Maubert. Tout un symbole pour cette ancienne place d'exécution publique, qui fut aussi l'un des premiers lieux de barricades des Ligueurs du duc de Guise. Pratique aussi car c'est à 2 pas du commissariat et du musée de la Police de Paris ! Mais il n'y a pas eu de "sortie de classe" en GAV cette fois-ci...
L'équipe de Veilleurs a conçu de nouvelles formes d'action, avec des "équipes de dialogue" pour aller à la rencontre des badauds qui s'interrogent sur ces drôles de gens assis par terre, mais aussi des "expos volantes" : des équipes ponctuelles avec des panneaux pour présenter les Veilleurs en plein jour dans des lieux fréquentés.
La prochaine Veillée parisienne aura lieu le 5/10, après la manif LMPT.
Hier soir, le thème de la Veillée était la conscience, avec des allocutions remarquées de Jean-Marie Le Méné et d'un responsable de l'associationObjection pour la conscience.
Albéric Dumont a également donné de bonnes nouvelles sur la prochaine Manif du 5/10 : le début de la mobilisation est très encourageant. Expérience, aguerrissement, unité et persévérance y sont peut-être pour quelque chose !
Sa motivation principale est moins de faire pression sur les médias qui peuvent facilement piétiner des milliers de manifestants, mais de faire pression sur les partis politiques qui ont besoin des votes et qui ne pourront donc pas être insensible à une forte mobilisation. Plusieurs partis ont en effet des élections internes, et si certains partis sont clairs sur la volonté de revenir sur la loi Taubira, d'autres tergiversent encore.
"Phin Lyman n'avait pas imaginé que ses paroles auraient un tel retentissement. Ce jeune Anglais fait la couverture de tous les journaux. La raison: il est vierge et fier de l'être."
"Qui aurait pensé qu'un jeune apparaîtrait dans tous les journaux du fait de sa décision de rester vierge jusqu'au mariage ? Nos grands-parents n'auraient probablement jamais pu l'imaginer, mais de nos jours c'est devenu quelque chose de peu commun. C'est en tout cas ce que croit The Guardian, un journal anglais qui n'a jamais été très orienté vers les valeurs chrétiennes. La nouvelle a causé un tel engouement que le même journal a publié trois éditions de la même nouvelle, qui a été reproduite par d'autres grands médias britanniques, notamment The Times et The Daily Breast, l'un des plus lus par le public jeune d'Angleterre.
"Sincèrement, je me demande : quel problème y a-t-il à attendre ? Pourquoi pensons-nous que tout doit être rapide ? Repas rapide, bronzage rapide, sexe rapide." C'est avec ces mots que Phyn Lyman a commencé une lettre ouverte écrite pour The Wellingtonian, une revue publiée dans son école, et qui a eu un si grand impact auprès de ses collègues de cours que les médias ont fait tout leur possible pour en obtenir l'exclusivité.
Curieusement, les statistiques démontrent que Phyn n'est pas seul, et de plus en plus de jeunes en Angleterre choisissent de s'abstenir de relations occasionnelles, et par ailleurs beaucoup ont découvert qu'avoir des relations avec plusieurs personnes ne satisfait pas leurs besoins émotionnels, mais les aggrave.
Ils sont déjà nombreux, les jeunes à succès qui ont plaidé pour la virginité jusqu'au mariage, reconnaissant que c'est le chemin le plus sûr pour vivre une bonne relation matrimoniale. Nous verrons combien d'autres jeunes se joindront à eux et répondront à cette invitation du Christ et de l’Église."
(InfoVaticana - Traduction: Espérance Nouvelle)
Lu ici :
""ABCD de la complémentarité". Voilà le nom de la nouvelle action qu'a lancée ce week-end Farida Belghoul, l'égérie des Journées de retrait de l'école. Au programme, des lectures collectives de "contes traditionnels", suivies de séances de questions-réponses. [...] Pour participer à ces "ABCD de la complémentarité", parents, grands-parents, adultes sont invités à regrouper des enfants "entre 4 et 12 ans ou plus", "dans un domicile privé, en salle ou dans un parc", hors temps scolaire, pour leur lire des contes préalablement sélectionnés par l'équipe de Farida Belghoul. A la suite de quoi les adultes sont incités à poser toute une série de questions issus d'un questionnaire également proposé sur le site internet des JRE. "Ces échanges revêtent une importance considérable: compte tenu de la dissimulation des idées pro-genre à l'école, vos enfants seront les seuls à témoigner de la vérité" précise d'entrée le communiqué. "S'ils veulent sauver leurs enfants, les parents doivent trouver le temps et l'énergie de s'organiser et de se consacrer à des têtes-à-tête avec 'le fruit de leurs entrailles'" explique encore Farida Belghoul."
Human Life International est une organisation internationale pro-vie et pro-famille. Elle est la plus importante au monde de ce type car elle regroupe des centaines d’associations. Selon ses statuts elle défend le droit à la vie, de la conception à la mort naturelle. Elle est dirigée par le Père Shenan J. Boquet. Ce prêtre est d’origine française comme son nom l’indique. Il exerce en Louisiane. Le siège social de l’association est aux États-Unis à Front Royal en Virginie.
Cette association avait demandé son accréditation à l’ONU en 1990. Celle-ci lui avait été refusée. Sans but lucratif, elle demandait un statut consultatif. Ayant renouvelé sa demande, celle-ci s’est trouvée satisfaite le 1eraoût dernier. Elle peut désormais assister aux réunions de l’ONU, soumettre des déclarations écrites et orales aux assemblées générales, avoir accès aux textes officiels, bénéficier d’un budget. Ses déclarations feront partie de la documentation officielle de l’ONU.
Le père Boquet a bien expliqué l’intérêt d’une telle position stratégique. Un seul mot peut faire changer tout le sens d’un texte. Il s’est réjoui donc de pouvoir défendre la vie de cette manière. Il expliqua qu’il y avait eu trois tentatives ayant pour but de s’opposer à cette accréditation. Il s’était trouvé face à des oppositions farouches. « Nos adversaires anti-vie n’étaient guère heureux ». Il a expliqué qu’un pays peut tout à fait être opposé à l’avortement mais par naïveté va aider une ONG qui financera la culture de mort. Il voit dans cette décision inattendue l’intercession de la Sainte Vierge.
JP Dickès