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Qui sont les activistes de LMPT ?
Les mouvements qui étaient à l’origine de LMPT et ceux qui en sont nés ne se recoupent pas, à tout le moins pas parfaitement. A bien des égards, les derniers nous renseignent davantage que les premiers sur l’essence de ce « printemps conservateur » car ils en sont autant le produit que les acteurs et parce qu’ils concentrent, de surcroît, les plus jeunes des militants. Certains de ces mouvements ont été suffisamment visibles pour n’avoir plus à être présentés, de même que l’intensité de leur engagement ne prête plus à discuter. La diversité de leurs modes d’action demande cependant à être interrogée.Roland-Garros, le 9 juin 2013 : un jeune homme, torse nu, s’élance sur le court central. Les anciens se souviennent que les castristes avaient inauguré cette forme de happening politico-sportif en enlevant pacifiquement le coureur automobile Fangio en 1958 à la veille du Grand Prix de La Havane. Le Mouvement du 26 juillet avait ainsi fait la une de la presse internationale. Cette fois, c’est au sein d’une démocratie réputée apaisée qu’une performance encore plus canularesque, mais à la visée non moins politique, perturbe la finale du célèbre tournoi de tennis. Sous le regard de millions de téléspectateurs, les Hommen viennent de s’illustrer. Leur groupe, calqué sur celui des Femen, en détourne les codes pour servir une cause opposée, tout en créant le buzz. Ainsi, trois semaines plus tard, le 29 juin, jour de la marche des fiertés LGBT, la Gay pride, ils apparaissent sur le parcours, exhibant du haut d’un balcon une banderole appelant à lutter contre la « dictature des minorités ». D’un thème récurrent à la droite de la droite, notamment sous la plume de Jean-Yves Le Gallou, un ancien du Club de l’Horloge, et volontiers traité de manière anxiogène, les Hommen réussissent de la sorte, par la satire, à faire un sujet de dérision au retentissement médiatique assuré.Souvent présentées comme le pendant féminin des Hommen, partageant à l’évidence les mêmes préoccupations que les Veilleurs, dont l’écologie, les Antigones revendiquent néanmoins leur singularité. Ainsi que tient à le préciser l’une d’entre elles, Iseul :Les Antigones n’ont pas d’affiliation politique ou confessionnelle. Cependant, notre position est à contre-courant de l’idéologie actuelle, elle dérange. Certains se sont empressés de vouloir nous discréditer en nous collant une étiquette de « réactionnaires » ou « d’extrême droite ». Nos prises de positions, nos actions et le nombre considérable de femmes qui veulent nous rejoindre seront notre réponse à ces allégations complotistes : nous sommes la voix de nombreuses Françaises qui veulent prendre leur place dans le débat public.Gaël Brustier, Le Mai 68 conservateurLien permanent Catégories : actualité, France et politique française, lobby, tradition 0 commentaire -
LMPT : déploiement du 66 à Toulouse
Ce soir par les Sentinelles :
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Le réenracinement face au laïcisme outrancier
Que représente la République si on l’isole du pays auquel elle appartient ?
Najat Vallaud-Belkacem a dévoilé, jeudi dernier, son plan pour lutter contre la radicalisation d’une partie des élèves dans certains établissements scolaires, suite aux nombreuses minutes de silence perturbées. Un programme basé en priorité sur la laïcité et la République. La politique de l’autruche se perpétue.
Dans une France où son histoire est de plus en plus passée sous silence (on ne parle plus de la bataille de Poitiers, de Napoléon, de la guerre de Vendée…), l’identité dissimulée dans le magma de la globalisation, les « enfants de la République », produits hors-sol dans ce système mondialiste et sans substance, ne croient plus en la nation et certains se tournent vers une culture ou religion étrangères.
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La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page) suite
On la retrouve ici en tête du cortège avec Cécile Edel, co-fondatrice et présidente de la marche pour la Vie, Jean-Marie Le Méné, co-organisateur et président de la Fondation Lejeune, Jérôme Triomphe, avocat de madame Lambert :
Cécile Edel se dit fière d'être à côté de madame Lambert et déclare pour votre blog préféré, contente que cette marche puisse défendre Vincent Lambert :
"Cette marche est prometteuse. La vie est au dessus des lois et la loi doit servir la vie".
Julie Graziani a rejoint la Marche pour la Vie cette année comme porte-parole. Elle est à la tribune : "je suis née en 1978. J'ai tjrs connu la loi Veil. On m'a expliqué que j'avais été un amas de cellules".
Elle rappelle également que le Pape François bénit les marcheurs et soutient la marche pour la Vie!
14h25 : départ du cortège en musique
"Mort sur ordonnance = médecine en déshérence"!
Une Femen a tenté d 'intervenir : interpellée en 3 secondes, elle n'a même pas eu le temps d'enlever un seul vêtement!
A suivre
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La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page) suite
C'est au tour de Gregor Puppinck, Directeur du Centre européen pour le droit et la justice, de s'exprimer. Il est l'auteur de cet article "Le drame des enfants nés vivants durant leur avortement" publié cette semaine :
"Une grossesse sur 5 finit par un avortement en France, et une sur 3 en Europe!".
Ca y est, la place Denfert-Rochereau est pleine! Et du monde arrive encore de partout..
L'orateur remercie les rares députés qui ont voté dernièrement contre la résolution sur l'avortement. C'est désormais Jacques Bompard qui est au micro.
Le cortège est désormais près, la place comble :
14h10: Dans une marée de ballons noirs, les premiers slogans fusent "je suis Vincent Lambert!".
«Je marche pour la vie de mon fils» déclare madame Lambert mère de Vincentici.
A suivre
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La Marche pour la Vie 2015 en direct! (Actualisez votre page)
Voici 10 ans que les défenseurs de la vie martèlent le pavé parisien. C'est la jeunesse de France qui demande la fin du massacre des enfants dans le sein de leur mère, la'abrogation de la loi Weil et par conséquent l'instauration de toutes les mesures nécessaires à l'accueil de la vie et à l'accompagnement en fin de vie.
La Marche se déroulera en toute sécurité : merci à l'ordre de Malte !
Cette année, un rappel élémentaire concernant l'avortement et l'euthanasie :
La tête du cortège se met en place :
13h55 : première intervention. Jean-Pierre Maugendre prend la parole.
Jacques Bompard et Marie-Claude Bompard sont fidèlement présents.
Ballons noirs et boucliers verts : une nouveauté de cette année
A suivre
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Un jour, un texte !
« La civilisation française, héritière de la civilisation hellénique, a travaillé pendant des siècles pour former des hommes libres, c'est-à-dire pleinement responsables de leurs actes: la France refuse d'entrer dans le Paradis des Robots. »
Georges Bernanos, La France contre les robots
Cette nouvelle rubrique a pour objet de proposer des textes pour aider tout un chacun à réfléchir sur des sujets précis et si possible, d'actualité, aujourd'hui, à l'heure où le pouvoir politique incapable de gouverner le pays, déclenche une guerre tous les 6 mois : le soldat et sa famille (21)
Quelques livres à lire pour appronfondir le sujet
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« Ce qui demeure. Lettres de soldats tombés au champ d'honneur. 1914 - 1918 » Éd. Bartillat, 2000. De Benoist-Mechin
Dernières lettres écrites par des soldats de tous âges et grades avant des assauts dont ils pressentaient qu'ils ne reviendraient pas.
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« Sonis. Un héros. Un saint. Père de douze enfants. » - Beauchesne - Chiré, réédité en 1999. D'Albert Bessières, s.j.
Héros de la bataille de Loigny, en 1870, où il fut grièvement blessé et miraculeusement sauvé après une charge héroïque à la tête des Zouaves Pontificaux, derrière la bannière frappée du Sacré-Cœur, le général de Sonis tient tout entier dans cette définition d'un de ses pairs : "Sonis, c'est l'Honneur !". – Cavalier hors pair, fin tacticien, il participa aux campagnes du Second Empire et s'y distingua par sa bravoure. Sa foi profonde lui valut de nombreuses vexations et son absence de fortune personnelle l'obligea à de nombreux sacrifices affectifs et financiers. Père de douze enfants, il fut un modèle tant dans sa vie familiale que dans sa vie d'officier.
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« Sur ma vie, Hervé de Blignières, 1914 - 1989. » - Éd. Dominique Martin Morin, 1989. D'Hervé de Blignières
Après un bref récit, par son fils aîné, de la vie de ce grand soldat, suivent des témoignages de ses enfants et de ses amis sur celui qui fut aussi un grand chrétien et un père de famille nombreuse.
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« Les sentinelles du soir. » - Éd. Les Arènes, 1999. D'Hélie Denoix de Saint-Marc
Au soir de sa vie, le commandant Denoix de Saint-Marc se penche sur son passé et évoque, comme dans une sorte de méditation vespérale, les hommes, les femmes et les faits qui ont jalonné une existence marquée par l'Honneur.
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« Honoré d'Estienne d'Orves, pionnier de la Résistance. » - Éd. France-Empire, 1985. De Rose et Philippe d'Estienne d'Orves
Le livre de la piété familiale : recueil de témoignages de tiers et de lettres d'une grande élévation adressées, par lui, à sa famille.
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« Un officier français, Gérard de Cathelineau. » - Nouvelles Éditions Latines, 1960. Du Père Michel Gasnier, o.p.
Ce très beau livre, fondé essentiellement sur la correspondance et les écrits de Gérard de Cathelineau, nous révèle un officier français dans toute l'acception du terme. A une époque où l'on parle beaucoup d'éthique du commandement dans l'Armée, son sens du devoir aigu, sa noblesse innée, son élévation spirituelle et son rejet de la médiocrité et de la vulgarité font du capitaine de Cathelineau un exemple et un modèle pour le chef militaire français du XXIème siècle.
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« J'ai épousé un légionnaire. » - Les Éditions La Bruyère, 1993. De Jacqueline Gervais-Geoffrey
Racontés avec humour, fraîcheur et amour, les souvenirs mouvementés et pittoresques d'une épouse d'officier de Légion qui a suivi son mari à travers conflits et continents.
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« Commandant rebelle. » - Éd. J.-C. Lattès, 1998. De Georges Robin
Portrait d'un soldat qui de 1940 à 1962, à travers la Débâcle, l'Armée d'Afrique, l'Indochine, Suez et l'Algérie, n'a eu qu'un seul guide : l'Honneur… et qui en a lourdement payé le prix.
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« Hector. » - Éd. du Club du Grand Livre du Mois, 2000. De Jacqueline de Romilly
Réflexions autour d'Hector, Troyen donc ennemi, qui est présenté par Homère sous un jour sympathique, entouré des siens : sa femme Andromaque et son fils Astyanax. Les chants où il apparaît expriment la douleur de la mort du guerrier et le devoir de respecter les corps. Ils sont parmi les plus beaux de l'Illiade.
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« Mon illustre inconnu. » - Éd. Fayard, 1998. De Guillemette de Sairigné
Âgée de 10 mois à la mort de son père, le lieutenant-colonel de Sairigné, chef de corps de la 13e D.B.L.E., Guillemette de Sairigné, cinquante ans plus tard, part à la recherche de ce père de 35 ans, tué dans une embuscade en Indochine. C'est cette quête émouvante à laquelle elle nous convie. – Très beau témoignage de piété filiale, plein de la fraîcheur, de l'humour et de cette légère impertinence qui caractérisent souvent les rapports père-fille.
Lois Spalwer http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Défense de la vie : pourquoi deux manifestations ?
Le 21 janvier, Soulager mais pas tuer manifeste contre l'euthanasie ; le 25, c’est au tour de la Marche pour la vie, qui milite également contre l'avortement. Est-il encore possible de se battre pour une même cause sans faire l'unité ? Famille chrétienne a interrogé Tugdual Derville et Jean-Marie Le Méné à quelques jours de leur mobilisation respective. Un long débat, dont voici deux extraits :
"Une manifestation nationale annuelle et 60 rassemblements dans toute la France, le jour même d’un débat sont deux modes d’action complémentaires. Cela ne doit cependant pas évacuer la question, grave et complexe, de l’unité. Ce qui a présidé à la fondation de Soulager mais pas tuer, au-delà d’Alliance Vita, c’est le souci de l’unité, mais une autre forme d’unité que celle que revendique de façon légitime la Marche pour la vie. Il s’agit de l’unité de toutes les personnes qui sont hostiles à l’euthanasie.
C’est une question d’efficacité : il existe des opposants à l’euthanasie qui ne sont pas hostiles, pour des raisons qui leur sont propres, à d’autres transgressions. Coexistent au fond deux formes d’unité qui ne sont pas contradictoires : une unité de toutes les personnes hostiles à l’euthanasie, qui peuvent s’opposer sur d’autres sujets, et une unité des personnes qui ont des convictions semblables, dans des tonalités sans doute différentes, sur la défense de la vie, de son commencement à la mort naturelle.
L’unité, comme la paix, est un travail qui demande beaucoup de réflexion. Elle ne s’assène pas. Mais en France, je crois que l’on confond trop souvent l’unité avec un fantasme de centralisme démocratique. Au risque de nous laisser enfermer et réduire. Car si on mélange tous les sujets - certains y ajoutant une dimension religieuse -, on réduit nos mobilisations au « plus petit dénominateur commun ».""La Marche pour la vie a considéré, avec ce qui se passait sur la fin de vie, que la défense de la vie ne se divisait pas. Les deux sujets sont insécables. Le respect de la personne ne se coupe pas en tronçons. On ne peut pas dire : « Je défends la vie à la fin mais pas au début ». À mon sens, il y a encore plus de raison d’être favorable à l’euthanasie qu’il n’y en a d’être favorable à l’avortement. A fortiori, si on accepte de tuer des enfants avant la naissance, il est bien plus facile de considérer comme compassionnel un geste qui mettrait fin à la vie d’une personne malade ou gravement handicapée.
Je comprends la démarche de Tugdual Derville et de Soulager mais pas tuer, mais je suis réservé sur le fait que l’on puisse trouver des personnes qui seraient favorables à l’avortement et défavorables à l’euthanasie. Il en existe peut-être, marginalement, mais cela me paraît tellement incohérent. D’autant plus que l’avortement est l’un des principaux arguments en faveur de l’euthanasie. On le retrouve dans tous les débats parlementaires où l’on entend cette imprécation : « On s’est rendu maître de la vie au début, il n’y a aucune raison de ne pas s’en rendre maître à la fin ». Il faut simplement continuer le mouvement… Intellectuellement et en termes de cohérence, l’exercice que fait Tugdual Derville est très difficile en réalité. À ne pas rappeler les mécanismes du passé, on se condamne à les revivre. Nous sommes d’ailleurs en train de revivre ceux déjà utilisés en 1975 : le terrorisme compassionnel, le monde médical que l’on fait basculer dans le politique, la trahison des élites…" -
Il faudrait à la France une République des valeurs qui soient nationales et chrétiennes
Extrait de l'entretien accordé par Carl Lang, président du Parti de la France, au journal Présent :
"Il est clair, tout d'abord, que les appels à la mobilisation des Français de la part de l'ensemble de la classe politique, médiatique et syndical ne se seraient pas faits si les victimes des tueurs islamistes n'avaient pas été les journalistes de Charlie hebdo mais ceux de Présent. Il n'y aurait pas eu de journée de deuil national, pas de manifestation organisée par le parti socialiste derrière des banderoles Je suis Présent (...)
La conception socialiste de l'unité nationale est parfaitement idéologique, partisane et sectaire. Il se trouve que les victimes des islamistes faisaient parti du bon camp et du premier cercle de la nomenklatura journaliste de gauche et d'extrême gauche. Le martyre et les persécussions dont sont victimes les Chrétiens d'Orient par les mêmes islamistes n'ont émus ni le gouvernement français, ni les beaux esprits bien pensants de la soi-disante République des droits de l'homme (...)
Effrayant déni de réalité et affrayante manipulation intellectuelle et idéologique de la part de ceux qui devraient protéger la France et ne cessent, en fait, de l'affaliblir et de la détruire de l'intérieur par l'immigration-colonisation et l'islamisation (...)
La conversion à l'islam de jeunes Français est aussi le résultat du néant spirituel et du laïcisme militant comme soi-disant valeurs de la République, alors qu'il faudrait à la France une République des valeurs qui soient nationales et chrétiennes."
Philippe Carhon http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html
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Le grignotage juridique au service de la vie
Présent. Extrait :
"[...] Se servir d’un arsenal juridique, c’est justement la spécialité de nos adversaires. Ils sont très forts pour contourner une loi qui existe ou arriver à leurs fins, quand la loi ne le permet pas. Il faut que l’on arrive à user des mêmes méthodes pour avancer. Quand une loi existe, il faut en dénicher les failles. Par exemple, si une loi était votée pour permettre l’euthanasie, il faudrait utiliser la notion d’abus de faiblesse, et se mobiliser juridiquement pour attaquer là-dessus dès qu’il y aurait un cas d’euthanasie. Dans le cas de l’avortement, il faut que nous réussissions à réclamer de nouveaux droits qui viendraient battre en brèche la suprématie de l’avortement. On agit sur de petites choses : une meilleure information, etc. C’est par ce grignotage juridique que, petit à petit, nous pourrons arriver à quelque chose.
Enfin, tout ne se fait pas sur le plan législatif.Au quotidien, il faut s’engager pour développer une culture du soin, réfuter les arguments et proposer un discours alternatifà celui que nous servent constamment tous les faiseurs d’opinion.
Mais cela sert-il à quelque chose, aujourd’hui, d’en parler avec le Français de la rue ? Ecoute-t-il ?
Clairement, il y a certaines choses qui ne fonctionnent pas lorsque l’on parle de l’avortement en le présentant sous l’angle « pour-contre », « bien-mal ». Tout d’abord parce que nos contemporains se sentent jugés et ils ont horreur de cela, horreur des discours moraux.Ce qu’il faut, c’est revenir à la réalité concrète de l’avortement. Aujourd’hui, dans la grande majorité des cas, les femmes qui ont recours à l’avortement y sont forcées : des parents qui obligent leur fille, un conjoint sa femme. Il faut que ces femmes puissent avoir le choix de poursuivre leur grossesse. Il faut protéger la femme enceinte. Le gouvernement ne peut pas refuser cela.
Ensuite, il suffit d’expliquer concrètement ce qui se passe lorsqu’un enfant est avorté. L’exemple des avortements tardifs est particulièrement dur, mais c’est concret et cela parle aux gens. Certains se réfugient dans le déni, ne veulent pas en parler parce que c’est trop horrible. Mais en faisant appel à l’émotion, le discours porte ses fruits. [...]"
Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html