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tradition - Page 321

  • Zoom sur cette étrange nébuleuse qui fait tant de vagues aujourd’hui

    PARIS (via Belle et Rebelle) - On croyait bien qu’ils n’existaient plus, ou presque. Qu’ils ne se résumaient qu’à quelques arriérés complexés qui se cachaient dans les églises une heure chaque semaine, et qui trouvaient encore le moyen de se chamailler. Mais voici qu’on les découvre nombreux, assumés et forts au point de peut-être avoir un poids politique, au point d’être capables de foutre le bazar dans les rues de notre beau pays de France ! Vous l’aurez compris, je veux parler des cathos !

     

    Les cathos donc, vaste partie de la population ignorée, se révèlent encore nombreux, et leur sphère est assez complexe : en effet les tendances cathos sont on ne peut plus diverses et nombreuses, et les querelles de clochers, que l’on croyait oubliées dans cette marée humaine que l’on voyait se déverser dans les rues de Paris, commencent déjà à pointer à nouveau le bout de leur nez.

    Aujourd’hui, pour vous, Mesdames, Mesdemoiselles de Belle et Rebelle, je me suis amusée à essayer de vous faire comprendre un peu plus en quoi consistait la sphère catholique, et à vous dépeindre les différents profils de catho qui existent…

    La catho trad’
    Les cathos trad’ sont les moins nombreux, mais ce sont aussi ceux dont on parle le plus et qui font le plus peur.

    En général la catho trad’ a été éduquée dans un univers très particulier et fermé : elle a été élevée par des parents trad’, puis à l’école avec des enfants trad’, elle n’a que des amies trad’, a eu des professeurs trad’ et a fréquenté des mouvements de scoutisme trad’. Avec tout ça, rien d’étonnant que la catho trad’ se retrouve un peu désaxée dans le moooooooooonde, ce monde affreux qu’on lui a décrit depuis son enfance, et dont Satan est le prince.

    La catho trad’ se réfugiera donc le plus souvent possible dans des milieux où les gens pensent comme elle, où elle peut exprimer son horreur pour notre société laïciste, sans risquer les quolibets de son entourage. C’est aussi pour cette raison que la catho trad’ est souvent assez frileuse : elle ne veut pas s’engager car s’imagine qu’elle sera fichée. C’est pourquoi la catho trad’ se contente de prier. On ne peut rien attendre de ce monde pourri, donc pour le changer il faut prier. Prier, et encore prier

    Agir est inutile et dangereux car on risque de tomber dans “l’activisme” et d’oublier Dieu, alors que cette terre n’est qu’une vallée de larmes, et que notre seul but est d’atteindre le paradis.

    Pourtant, j’ai bien envie de rappeler à la catho trad’ cette petite phrase de sainte Thérèse de l’Enfant Jésus : “Il faut toujours prier comme si l’action était inutile, et agir comme si la prière était insuffisante.”

    La catho chacha
    La catho, tendance charismatique, vit un peu dans un monde de bisounours.

    Elle est joyeuse, agréable à vivre, mais presque trop. Toujours heureuse et exprimant son enthousiasme, elle en devient très facilement fatigante.

    Souvent, la catho chacha fréquente la communauté de l’Emmanuel, et aime à exprimer son amour pour Dieu en dansant et en chantant ce qu’elle a sur le cœur. Elle aime également à parler avec enthousiasme de son amour pour Dieu et pour ses créatures, au point qu’elle peut parfois donner l’impression d’être un peu illuminée.

    C’est qu’il n’est pas rare que la catho chacha revienne de loin : récemment convertie, le feu de sa foi toute récente brûle ardemment et voudrait embraser tout ce qui l’entoure. C’est pourquoi le prosélytisme est régulièrement une caractéristique de la catho chacha : elle cherche à tout prix à vous emmener dans ses groupes de prières, ou aux JMJ, ou à Taizé, et ne vient vous parler quasiment que pour réussir à vous entraîner dans une rencontre avec Dieu.

    De plus, pour la catho chacha, le monde n’est qu’amour, et elle a souvent mal interprété certains préceptes de l’Église catholique, comme la charité fraternelle ou l’universalité de l’Église : de ce fait la catho chacha AIME, elle aime tout, tout le monde et toute chose, quelles qu’en soient les conditions ; elle sera la première à plaindre les immigrés, à vouloir venir en aide aux clandestins, toujours prête à excuser les délinquants etc. Parce qu’elle ne voit du monde que son aspect positif.

    Un petit rappel que j’aimerais faire à la catho chacha : “Charité bien ordonnée commence par soi-même.”

    La catho de bonne famille
    La catho de bonne famille vient bien souvent d’un milieu aisé et bourgeois. Elle a été bien élevée, elle est bien sous tous rapports. Elle a fréquenté les collèges et lycées privés très huppés, a eu son bac avec mention.

    Ensuite elle s’est bien souvent dirigée vers les grandes écoles ou les facs privées (médecine ou droit de préférence). Elle a souvent été guide de France ou d’Europe, et a des connaissances assez fermes en catéchisme. A la fac, elle va à l’aumônerie, où elle pourra se lier d’amitié avec d’autres cathos de bonne famille, qui viennent souvent des mêmes lycées qu’elle. Avec eux, elle pourra sortir dans des rallye et danser le rock, elle pourra également rencontrer de beaux jeunes hommes très chics, en école de commerce ou d’ingénieur, et sans doute trouver son futur mari, avec qui elle fondera une famille de cathos de bonne famille. En général, la catho de bonne famille est pleine de bonnes intentions, mais elle respire le snobisme malgré elle.

    Un peu comme la catho chacha, elle a tendance à se croire dans un monde de bisounours… Pour la simple raison qu’elle ne vit que dans les quartiers huppés, et ne fréquente que les endroits classes, elle ne comprend vraiment pas pourquoi les Français se plaignent autant de la crise, de l’immigration et de l’insécurité.

    La catho bobo, branchée
    Cette catho là n’a qu’une peur, celle d’être assimilée aux cathos intégristes, ou à toute autre sorte d’extrémistes. Elle n’a qu’un credo : faire reconnaître au monde entier que les cathos sont quand même des gens hyper cools, et qu’on peut très bien être catho et stylée.

    La catho bobo montrera cela dans ses codes vestimentaires : elle sera à la mode à tout prix, s’habillera chez Zara ou Promod, en mini jupe, en jean slim, avec des petites tuniques près du corps etc. Elle se liera volontiers d’amitié avec des homosexuels et toute personne issue de la diversité, afin de montrer qu’elle est en phase avec le monde actuel, et qu’elle est open.

    La catho bobo branchée est en général issue d’une famille de cathos de bonne famille, mais c’est quelque chose qu’elle n’assume pas du tout, et elle aura absolument horreur qu’on le lui rappelle.

    Niveau loisirs, la catho bobo branchée se fera un point d’honneur à sortir de la même façon que n’importe quelle personne de son âge : bars, boîtes de nuit, concerts, etc. Surtout, elle voudra à tout prix que cela se sache.

    Au final, la catho bobo branchée sera totalement obnubilée par son image, et de ce fait elle considérera avec mépris tous les cathos qui contrairement à elle ne sont pas capables de se faire aimer par leurs contemporains, et de prouver que la religion catholique peut coexister avec le monde de la bien-pensance.

    Les autres cathos ne trouveront en général pas pire ennemie qu’elle, car elle sera prête à leur cracher dessus si elle juge que sa propre image pourra en tirer bénéfice.

    A la catho bobo branchée j’aimerais rappeler que Jésus, il était peut-être hyper populaire, mais qu’il a quand même fini sur une croix pour sauver les hommes, et qu’il a affirmé: “S’ils m’ont persécuté, ils vous persécuteront aussi.”

    La catho qui ne s’assume pas
    En général, la catho qui ne s’assume pas ne vient pas du même milieu que la plupart des cathos (milieu bourgeois, il ne faut pas non plus se voiler la face). Aussi la catho qui ne s’assume pas ne s’entend pas tellement avec les autres cathos : elle n’a pas les mêmes façons de s’habiller, n’a pas les mêmes goûts musicaux, n’a pas les mêmes loisirs.

    La catho qui ne s’assume pas a souvent été à l’école publique, alors que les autres cathos ont fréquenté les collèges privés, elle a ensuite fait un bac pro, pour se lancer par la suite dans un BTS et vu que ses parents n’ont pas de quoi lui payer de supers longues études, elle entre assez vite dans le milieu du travail.

    Parmi ses amis et connaissances, il n’y a que très peu de cathos. En fait non, pire que ça : elle est la seule catho parmi ses connaissances. Ce qui fait qu’elle a un peu l’impression d’être une espèce en voie de disparition, et elle a un peu de mal à l’assumer. C’est pourquoi la catho qui ne s’assume pas ne parle que très rarement de sa foi avec ses amis, qui parfois ne savent absolument pas qu’elle est catho.

    Cette tendance de ne pas s’assumer peut d’ailleurs se retrouver dans les catégories 1, 3 et 4 de cathos : en effet les cathos ont pour beaucoup cette manie de vouloir se montrer ouverts et comme tout le monde, mais ceci en taisant plus ou moins qui ils sont vraiment. Et hop, une petite citation du Christ: “Celui qui rougira de moi devant les hommes, je rougirai de lui devant mon Père.”

    La catho qui n’en a que le nom
    La catho qui n’en a que le nom est souvent un peu du même style que la catho bobo-branchée, mais pas dans le même esprit. En effet la catho qui n’en a que le nom n’est pas spécialement obnubilée par son image. Elle a juste envie de s’amuser, et cela en profitant à fond de tous les plaisirs de la vie.

    Elle a la foi, mais les commandements de Dieu et tout ça, ça la saoule carrément.

    Alors tous les week-ends elle se lance dans des grandes nuits de fêtes endiablées durant lesquelles elle goûte à tous les plaisirs qui horrifieraient la catho trad’. Et au final, la catho qui n’en a que le nom se félicite d’appartenir à une religion aussi pratique que la religion catho où il existe un outil magique pour effacer toutes ses bêtises : j’ai parlé de la confess’ !

    La catho dont vous rêvez !
    La catho sympa, créative, engagée, fière, ouverte et assumée, bref la catho parfaite : si, si, elle existe !

    Et vous en avez de beaux exemples chez les Belles et Rebelles : ouvrez l’œil, c’est tout…

    Marie Vermande http://fr.novopress.info

  • « La modernité à l’épreuve de l’image » de Jure Georges Vujic

    L’obsession visuelle de l’Occident.
    Nouveau livre de Jure Georges Vujic, « La Modernité à l’épreuve de l’image / L’obsession visuelle de l’Occident », aux Editions l’Harmattan.
    A travers la métaphore du « Narcisse » du Caravage, l’auteur nous retrace les dérives de la culture visuelle et numérique contemporaine, en nous livrant les principales matrices philosophiques, sociales et métapolitiques de l’« occidentalo-scopie », à savoir le mental scopique de l’Occident hypermoderne, dans lequel s’est opérée depuis la Renaissance jusqu’à nos jours une vaste mutation du « regardant » collectif et individuel. (l’Harmattan)
    À la suite de son livre Un ailleurs européen-Hestia sur les rivages de Brooklyn ( éditions Avatar) Jure Ggeorges Vujic, écrivain franco-croate non conformiste signe aux Editions l’Harmattan son dernier et nouveau livre  La modernité à l’épreuve de l’image  : A travers la métaphore du « Narcisse » du Caravage, l’auteur nous retrace les dérives de la culture visuelle et numérique contemporaine, en nous livrant les principales matrices philosophiques, sociales et métapolitiques de l’ « occidentalo-scopie », à savoir le mental scopique de l’Occident hypermoderne, dans lequel s’est opéré depuis la Renaissance jusqu’à nos jours une vaste mutation du « regardant » collectif et individuel. Selon l’auteur, il s’agit bien ici de la grimace du regard « occidental » contemporain, à savoir l’image spéculaire et déformante qui a de la sorte aliéné et soumis l’ensemble de l’épistémè de la modernité occidentale à une pulsion scopique généralisée.
    L’auteur nous dévoile à travers de nombreuses références philosophiques, artistiques et sociologiques comment la modernité dans le sillage des Lumières a bouleversé la question de la visibilité. L’hypermodernité contemporaine correspond à une conquête obessionnelle de la sphère symbolique par l’image, ce qui a indéniablement bouleversé les lois de la perception. L’emprise de l’image dans notre culture hypermoderne est révélatrice d’un tournant non seulement iconique dans les nouvelles formes de perception et de représentation, mais aussi d’un tournant épistémologique qui remet en cause les fondements de  la sociologie de l’art comme élément structurant de la réalité sociale et culturelle. L’hypermodernité n’est peut être que le symptôme d’une profonde coagulation socio-culturelle d’un nouveau paradigme post-épistémologico-culturel, lequel sera inévitablement précédé par un vaste processus de décomposition des fondements modernistes de l’art.L’auteur considère que l’Occident constitue  avant tout une dimension mentale, un vécu à la fois collectif et subjectif avant d’être une catégorie politique ou géopolitique. Selon lui, l’Occident représente un gigantesque « Vidéo Corridor » qui relie des écrans de TV superposés á l’expérience interactive de spectateurs qui sont en quelque sorte plongés et imprégnés en temps réeel dans la virtualité télévisuelle, l’illusion de l’interactivité étant elle même générée par l’interpassivité consumériste. Le « simulacre » force « le malin génie de l’image » à accaparer l’espace privé et public. L’événement retransmis en temps réel est en quelque sorte cannibalisé par les stratégies de l’excès. La stratégie de l’excès conduit par conséquent à un univers hyper-visuel absurde, privé de valeur et surtout de hiérarchie, puisque tout est aplati au même niveau, du fait le plus insignifiant au meurtre le plus sanglant.
    Dans la seconde partie de l’ouvrage, l’auteur se livre au jeu des miroirs déformants et tente de démystifier l’opposition entre la modernité et l’antimodernité. En effet, pour l’auteur « L’antimodernisme, tel qu’il nous est légué par la tradition philosophique et intellectuelle représentée par J.Evola, L.Klages, T.S. Eliot, D.H. Lawrence, F.Nietzsche, M.Heidegger, R.Wagner, E.Junger, E.Pound, R.M. Rilke, Ortega et Gasset, bien qu’ancré dans une critique épistémologique du projet révolutionnaire progressiste et illuministe des Lumières, n’en demeure pas moins contaminé de l’intérieur par un systéme de pensée et de valeurs qui appartient éminemment á la modernité. Ainsi, même si l’antimodernisme se réclame de l’héritage intellectuel et spirituel romantique et d’un certain pessimisme tragique á l’égard d’une modernité mobilisatrice, ce courant d’idée, in fine, ne partage pas les affinités passéistes et pré-modernes du courant contre-révolutionnaire ». Vujic, dans une optique néoheideggerrienne, estime que les postures anti-modernes et modernes-progressistes sont illusoires. L’être, tout comme les peuples ont toujours été versés dans le monde du devenir. Dans cette perspective, l’auteur opte pour une supramodernité synthétisante qui conjugue une approche terceriste, historiciste et différentielle du monde.  L’auteur se livre à une critique acerbe et documentée de la «légo-démocratie» et du mythe atlantiste et constuctiviste de la «nation building»         en tant que nouveaux despotismes éclairés. L’auteur déconstruit  tour à tour les mécanismes du nouveau despostisme financialiste néoliberal et plonge les lecteurs dans le méandres de ce qu’il nomme le nouvel «eugénisme libéral» comme figure de proue du «racisme global»: l’auteur d’autre part tente avec courage de réactualiser la posture évolienne du «Chevaucher le tigre» en la soumettant à l’epreuve de l’époque et des  faits contemporains. L’auteur  prend part à une innovation conceptuelle dans le domaine de la réflexion métapolitique et propose un recours à ce qu’il nomme  une nouvelle politique archi-texturale en tant qu’« approche qui  permettrait d’identifier et de rassembler de façon moléculaire dans le monde global uniformisé, la multitude des « devenirs », « des fritures de résistance » dispersées, déterritorialisées, latentes ou manifestes, qui s’opposent à la stratégie globale inflationniste et molaire de la forme capitale et néolibérale, vecteur de marchandisation totale. Cette même stratégie « oblique » constituerait une sorte de « main droite » supramoderne, implosive et postfuturiste néo-évolienne. Un auteur à suivre et un ouvrage de référence pour mieux décrypter notre époque.
    A.L. Mai 2013 http://www.polemia.com/

  • Génération garde à vue

    En opposition à la loi Taubira contre la famille, c'est une nouvelle génération qui s'est levée, une génération qui refuse de se battre uniquement pour des plaisirs et des droits individuels, mais qui souhaite défendre les valeurs fondatrices de la société. Cette génération pacifique a fait de la rue son champ de bataille, et elle est devenue la génération des gardes à vue injustifiées, et des répressions policières ! Le site internet tient à montrer le vrai visage de cette répression policière : pour cela il recueille les photos des gardés à vue et leurs témoignages.

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Le 26 mai, l’Action française s’engage contre la loi Taubira

    Manif pour tous, 26 mai 2013

    Le 26 mai, l’Action française, fidèle à elle-même, s’engage contre la loi Taubira

    Liberté ! Solidarité !

    http://www.actionfrancaise.net

  • Intervention magistrale d'Alexandre Gabriac au Conseil régional de Rhône-Alpes

    http://cache.20minutes.fr/img/photos/20mn_indesign/2011-04/2011-04-08/article_0804-GRE-03-GABRIAC.jpg« Nous sommes particulièrement scandalisés par les agissements et les déclarations de ceux qui n’hésitent pas à aller se recueillir sur la tombe de Mussolini, déclarent vouloir "abattre la République, ou à défaut lui casser la gueule", ou encore font référence au Maréchal Pétain ou à Charles Maurras. Rien ne masquera jamais les fondements anti-républicains et autoritaires de l’extrême droite (…) » JJ Queyranne enchaîne en tant que Président de la Région, parle d’élu provocateur, de sa consternation et de sa colère, et enfin indique que le Ministre de l’Intérieur va être saisi pour examiner la question de la dissolution des groupuscules d’extrême droite. Tous les élus FdG, PS, EELV et PRG de l’hémicycle régional se lèvent, applaudissent et quittent la salle.

    Réponse d'Alexandre Gabriac, conseiller régional de Rhône-Alpes :

    « Monsieur le président, mes chers collègues,

    Je commencerai ma réponse à votre attaque délibérée par deux définitions :

    Police politique : Utilisée pour maintenir le pouvoir en place au lieu de protéger l’état de droit. Au lieu de faire appliquer les lois comme les simples organismes de police, elle peut fonctionner au-delà et au-dessus de la loi.

    Répression politique : Oppression ou persécution d’un individu ou d’un groupe pour des raisons politiques, particulièrement pour restreindre ou prévenir la possibilité qu’il puisse participer à la vie politique de la société.

    http://www.francetvinfo.fr/image/74vu3h987-823e/570/320/2034694.jpgEn effet, au cours de ces derniers mois, de nombreux français qui manifestaient pacifiquement comme ils en ont le droit ont été arrêtés arbitrairement par la police de Manuel Valls.

    Lundi encore, une protestation contre François Hollande, alors en visite dans un lycée du XVéme arrondissement de Paris n’a pas échappé à un traitement scandaleux.

    Des jeunes filles, des mères de famille, des femmes enceintes et des prêtres ont été embarqués sans ménagement, direction le commissariat.

    http://jeunesses-nationalistes.fr/wp-content/uploads/2013/05/BJGR6kZCYAAY0_4.jpgLauranne, une militante des Jeunesses Nationalistes n’a pas échappée à ce traitement. Elle a même été placée en garde à vue pour « possession d’une arme blanche non classée ».

    La seule chose qui soit blanche, c’est la couleur de sa canne ! Car en effet, notre amie est malheureusement atteinte de cécité. 

    La police a eu le culot de la placer en garde à vue, parce qu’elle possédait sa canne blanche, moyen indispensable à son autonomie et à ses déplacements. 

    « Pas de laxisme » osera dire le policier.

    Je veux rendre hommage ici à tous ces militants courageux, qui continuent malgré la politique de terreur à défier ce système contre nature.

    manifestants gazésCes gazages, ces persécutions politiques, ces passages à tabac, ces fichages, et ses persécutions religieuses que vous êtes d’habitude si prompt à condamner lorsqu’elles visent d’autres communautés sont aujourd’hui effectuées dans l’impunité et le silence le plus total.

    Vous tentez de nous abattre car vous savez que si vous ne le faîtes pas en premier, nous, nous nous chargerons de ce système corrompu et mortifère dont vous êtes les artisans.

    Le combat est loin de s’achever car la route est droite, et elle nous mènera à la victoire, à celle de la France ressuscité, par un beau matin de printemps Français…

    http://4.bp.blogspot.com/-1LjcrPeDdJw/T9sccXC-6PI/AAAAAAAAC58/FFk_qkb7uU8/s1600/MG_6165-52.jpgPour ma relation à la gueuse, la « république » comme vous l’appelez, soyez rassurés, lors du jour béni de la libération ce conseil régional restera ce qu’il a toujours été : un grand théâtre.

    Je vous remercie, et je note que s’il suffit que je prenne la parole pour que les groupes du Front de gauche et des écolos sortent du conseil régional, je la prendrai plus souvent. »

    Source

  • La police du nouvel ordre mondial et les familles françaises

    Alors les requins arrivèrent et mangèrent
    les femmes et les enfants d’abord.

    Jean-Charles

    Certains trouvent à l’étranger qu’il est difficile de savoir ce qui se passe en France et pourtant les choses sont très simples : le mariage et l’adoption gay imposés par les Bilderbergs, les lobbies et les médias sous contrôle ne sont pas très populaires, comme les politiques de famine des gouvernements sociaux et libéraux qui se succèdent ici ou là. Le dynamisme de la communauté catholique française, communauté traditionnelle à la fois dynamique sur le plan démographique, intellectuel et spirituel, se heurte donc à la police planétaire de la pensée, dont le vice-président US Joe Biden, a rappelé les origines.

    Les médias et les services secrets trafiquent les images des manifestations et les données. On a vu la même chose à Moscou, où la police russe est restée impeccable ; en Syrie bien sûr et dans presque tous les épisodes du faux printemps arabe, partiellement tournés dans les studios de la télé qatari. Google collabore bienveillamment à ces truquages éhontés qui transforment un million de personnes en 150 000 manifestants ; des policiers déguisés en délinquants et des voyous infiltrés au service de la police, comme dans un banal épisode de Vidocq ou d’Orange mécanique, achèvent de donner aux manifestations le caractère hérétique, homophobe, odieux réac voulu par les médias et l’ordre nouveau mondial ; ordre nouveau dont la clé ultime est le Google baby, le bébé sur commande fabriqué et Inde et conçu en Israël et aux USA, bébé-produit qui remplacera dans un avenir plus ou moins proche l’enfant à naître de nos vieilles familles mal vues par la communauté trans-humaine.

    Le 27 mai, la police socialiste ou mondialiste ou fasciste rose, c’est selon, a brutalement arrêté des dizaines de Français venus protester à l’occasion de la visite de Hollande au lycée Buffon. Quel signe, Buffon le naturaliste ! Quel signe encore, la plupart des parents ont été arrêtés rue de l’Evangile par des flics disposés à n’importe quelle vilenie pour préserver leurs 35 heures ou leurs RTT. Cochin nous avait déjà prévenus que l’héritier du coupeur de tête de la Révolution, que l’héritier du violeur et de l’assassin de septembre 92 ce serait le rond-de-cuir. Taine et Cochin rappellent aussi les origines étrangères des bourreaux de la Révolution. Les métèques ou colons bigarrés sont toujours plus insensibles quand il s’agit de liquider les populations autochtones jugées rétives ou réactionnaires. Voyez l’Amérique avec les Indiens.

    Il ne faut de toute manière pas oublier que la république laïque s’est imposée en France (grâce aux Allemands, c’est comme pour la Russie) après un demi-siècle de persécutions anticatholiques à partir des années 1870. Arrestations, expulsions, confiscations, persécutions tous azimuts sont déjà passées dans ce pays et dans un aussi grand silence que la honteuse destruction par les bolcheviks et Kaganovitch de l’Eglise Saint-Sauveur en 1931. Dans la foulée Roosevelt décida d’établir des liens avec un régime aussi antichrétien que le sien. C’était déjà une conspiration (respirer ensemble, en latin !) du nouvel ordre mondial.

    Le même jour que l’on laisse les enfants et les bébés sur le trottoir pour emmener et tabasser les papas et les mamans qui portent le sweat-shirt fautif (notre nouvelle étoile jeune ?), on offre des armes et des sucettes aux tueurs syriens baptisés les rebelles par la novlangue orwellienne et chargés de tuer les chrétiens orthodoxes et les minorités musulmanes là-bas ; ou l’on a le culot de menacer le petit Vietnam pour protéger je ne sais quel combattant des droits de l’homme. Pendant ce temps à Paris, alors qu’on a laissé en rigolant les voyous immigrés des banlieues (tout en accusant les cathos, mais pourquoi s’arrêter ?), on enferme des centaines de personnes accusées d’être trop blanches, trop raffinées, trop cultivées, trop chrétiennes.

    Car ce nouvel ordre mondial c’est la fabrication à l’échelle planétaire du nouvel orque de synthèse. Je crois que les gens qui comme moi aiment bien le "Seigneur des Anneaux" avaient compris vers quel monde nous nous dirigions.

    L’insensibilité est une donnée de l’opinion actuelle ; l’UMP pense comme le PS sur à peu près tous les sujets motivants. Il faut liquider la nation, la famille, les patrimoines des classes moyennes, il faut liquider la culture, la foi chrétienne et l’humanisme. Il faut une société de clones unisexe planétarisés et politiquement corrects, qui dénoncent des complots là où ils n’y en a pas, et les ignorent là où il y en a.

    On vient d’apprendre que la Commission européenne va s’en prendre au jardin potager, coupable de ne pas reconnaître assez le droit de l’antéchristique Monsanto et des boîtes américaines à accaparer le vivant breveté par nos brillants juristes, savants fous et experts en bioéthique. Je crois moi aussi que le katholik park n’aura même pas droit au chapitre sur le plan local et politique ; car même cela, le système fou ignoré par les beaufs qui votent pour lui sans savoir ce qu’ils font ne le tolérera pas.

    Enfin, comme disaient les premiers chrétiens avant d’être bouffés par les lions, l’important est de ne pas désespérer. Nous sommes les derniers chrétiens, et nous sommes les défenseurs du jardin potager, de la famille et de la liberté vraie. C’est déjà beau de savoir que nous avons raison et que les païens ont tort.

    Nicolas Bonnal http://www.france-courtoise.info

  • S’engager jusqu’où ? Lui a compris qu’il n’y avait pas de limite

    Titre de l'article de Famille Chrétienne : La Manif dans la peau. Dans le n°1845 de Famille Chrétienne (25 au 31 mai 2013), Clotilde Hamon dresse le portrait d’Albéric Dumont, coordinateur de la Manif pour tous. Extrait :

    A[…] Comment ce fils de notaire parisien a-t-il pu se retrouver à 21 ans au cœur de l’organisation ? Son expérience de l’événementiel associatif : JMJ, Jamborees scout, Marches pour la vie… Redoutable organisateur né, il a été capable de diriger 8000 personnes, de négocier en direct avec le préfet de police et le ministre de l’Intérieur, de répondre aux interviews techniques de l’AFP, de gagner le respect des gradés venus l’aider, comme le général Bruno Dary, cinq étoiles, ancien gouverneur de Paris…

    Tout le monde s’est extasié sur la maturité de ce garçon sympa et franc, capable de se faire obéir sans jamais se la jouer petit chef. Il minimise, en ironisant sur ce pays où il faut avoir 40 ans et une bordée de diplômes pour qu’on vous confie la moindre responsabilité.

    S’engager : oui, mais jusqu’où ? La question obsède sa génération. Lui a compris qu’il n’y avait pas de limite. Il y aura sacrifié sa troisième année de droit au Panthéon-Assas, sa vocation de commissaire de police (compromise par cette notoriété), une vie sentimentale, les copains et la famille entre parenthèses. […]

    Un mot sur la primaire UMP pour la mairie de Paris : « Franchement, est-ce que vous croyez qu’on peut s’identifier à NKM ? ». Comme ses pairs, il se dit « sans représentant », adepte de la « ré-information » sur les réseaux sociaux. Il évoque un « ras-le-bol de la langue de bois » avec une cruelle lucidité sur les aînés, qui ont toujours « loupé le coche » sur les questions essentielles.

    « La loi Taubira a réveillé une génération qui ne s’arrêtera jamais, dit-il en évoquant les milliers de bénévoles. Il faut que la classe politique comprenne que l’avenir, ce sont les jeunes. On pourra faire avec ou sans. Sauf que sans, ce sera la défaite. »

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Tout à gauche, des recettes pour la résistance

    Les jeunes qui sont descendus dans la rue pour dire non à la dénaturation du mariage veilleurs, campeurs ou autres, ont montré leur efficacité et leur créativité militante. Et pourquoi ne pas puiser aussi des idées et des recettes dans le champ d'expérience de l'ultra-gauche ?
    Le pouvoir démocratique, dans son déni de la réalité, dans son adhésion brutale au marché, dans sa mainmise totalitaire sur la production médiatique de masse, a provoqué depuis longtemps des résistances organisées : l'époque est aujourd'hui favorable à l'émergence d'une version « catho de droite » pérenne et décomplexée.
    À ce titre, l'extrême gauche représente un laboratoire intéressant puisque, hormis le meurtre, tout y est toléré et faiblement réprimé par le pouvoir. Cette tolérance est le fruit de la collusion entre la gauche extrême et les corps intermédiaires (syndicats, partis, médias) et de la « victoire morale » de la gauche bourgeoise sur la droite bourgeoise, qui lui amène un flot continu de personnalités (politiques, scientifiques, universitaires, intellectuels, histrions...), comme caution médiatique et gage de financements.
    Mais l'extrême gauche vit aussi alternativement selon d'autres modalités, moins spectaculaires, dans une résistance quotidienne, intellectuelle et communautaire - qui risque d'ailleurs de finir par transformer les gauchistes en affreux réacs, façon « révolution moulée à la louche » et « contestation à l'ancienne, garantie faite main ». Résistance communautaire, dans la reconnaissance mutuelle et la capacité à oublier très régulièrement les divergences théoriques au profit d'actions concertées: mise à disposition du réseau, forte implication des militants, affichage égalitaire des différents groupuscules organisateurs...
    Investir les médias collaboratifs
    Résistance intellectuelle, dans la capacité à réfléchir en permanence la société, à critiquer sans relâche les pouvoirs en place, quels qu'ils soient, sans prétendue et illusoire concession tactique, à proposer en continu séminaires, colloques, universités d'été, à créer des médias alternatifs (sites, revues et blogs) riches en contenus, mais surtout à investir les médias collaboratifs : Wikipédia, blogs asiles dans les plateformes de presse, site à la « rue89 », longs commentaires dans les forums, etc.
    Par comparaison, si la révolution digitale réactionnaire est bien en route - avec une faiblesse dans le collaboratif -, il lui manque sans doute encore un véritable écosystème éditorial, capable de proposer une offre culturelle complète (le réactionnaire est individuel, farouche et vétilleux : difficile de lancer avec lui une librairie-imprimerie coopérative).
    Un terrain d'expérimentation riche en perspectives militantes
    Résistance quotidienne, enfin, dans ses modes de vie. Si la vocation catholique a tendance à interdire les réflexes identitaires, qui seraient une abdication, la résistance au marché et à ses sbires, dans l'esprit de non-violence des veilleurs, autorise en revanche des comportements communautaires de refus et de survie : utilisation intelligente du chômage pour donner des cadres bénévoles aux mouvements, constitution de groupements de production/consommation (comme les AMAP), habitat collectif raisonné (ne serait-ce que saisonnier), préférence pour les acteurs économiques acquis à la cause, la gamme est large qui permet de constituer un « entre soi » économique tout en promouvant un « vivre ensemble » universel. Les jeunes générations, économiquement sacrifiées, digitalisées à outrance et biberonnées au tribal ont devant elles un terrain d'expérimentation riche en perspectives militantes. Pour ne rien lâcher.
    Hubert Champrun Monde & Vie mai 2013

  • L’Action Française occupe la rue pour défendre le mariage !

     

    L’Action Française occupe la rue pour défendre le mariage !

    Nous ne lâcherons rien ! Ni intimidation ni arrestations arbitraires ne nous feront reculer jusqu’à la victoire finale !

    http://www.actionfrancaise.net

  • Manif pour tous: fin de la saison 1

    COMMUNIQUÉ de la Ligue du Midi

    L’appel à la mobilisation lancé sur les différents sites du Réseau et relayé par des groupes amis a porté ses fruits puisque, en ce dimanche 26 mai, ce sont une centaine de patriotes militants ou sympathisants qui formaient le cercle à proximité du Jardins des Plantes autour du Réseau Identités : solidaristes, identitaires, royalistes etc...
    Venus de toutes nos provinces: du Nord, de Normandie, de Bretagne, d’Aquitaine, de Provence, des Alpes, d’Auvergne avec une délégation occitane, forte quant à elle, de plus de 30 membres, adhérents de la Ligue du Midi. Richard Roudier et les autres dirigeants du Réseau défilaient, encadrés par le drapeau de la Ligue et par un portait de Dominique Venner sur un velours noir. Celui qui s’était donné la mort il y a quelques jours dans la Cathédrale Notre-Dame de Paris, avait écrit dans sa dernière lettre : “Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation”.
    Il est évident qu’une telle grandeur d’âme ne pouvait convenir aux petits Kapos du service d’ordre de cloportes de la “manif pour tous” qui intervenaient sournoisement pour tenter d’arracher le portrait tant haï.
    Quelques horions plus tard, qui ont permis à nos amis –même les vétérans- de démontrer leurs vertus pugilistiques, l’ordre des choses pouvait reprendre son cours avec une série de slogans radicaux : “Un père, une mère, c’est identitaire”, “Hollande cass’toi, ta loi on n’en veut pas”, et le désormais incontournable: “Taubira démission”.
    L’attitude des organisateurs et de leurs valets, démontre, s’il en était besoin, que le rideau doit tomber sur cette première saison de la “Manif pour tous”. Les palinodies de “la Frigide”, la connivence entre les organisateurs et la préfecture de police –les cortèges ne doivent pas faire la jonction!-, les flics déguisés en gentils organisateurs, les rafles de militants... tout cela entretient un profond malaise et fait le lit du pouvoir via Manuel Valls pour décimer, à coup de Garde à Vue et de comparutions immédiates, les organisations patriotes. La cerise sur le gâteau étant la place donnée sur le podium aux islamistes et leurs voilées.
    Nonobstant, malgré ces tentatives de découragement, les familles, les femmes, les enfants étaient présents. C’est un signe : quand les mères, malgré la crainte qu’elles pourraient avoir pour leur progéniture, décident malgré tout de manifester, c’est que la colère est profonde et la détermination forte.
    Cette formidable mobilisation ne doit pas être un point d’orgue, mais le socle, le début d’une reconquête de notre histoire, de notre mémoire et d’un nouveau départ vers l’avenir. En route pour la saison 2 !

    Ligue du Midi
    BP 1-7114
    30912 – Nîmes cedex 2
    Tel: 04 34 40 41 29 / 06 83 25 36 10
     
    La vidéo de la Ligue du Midi/Réseau Identités