C’est la manifestation nationaliste annuelle à Bordeaux.
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1er juin à Bordeaux : manifestation d’hommage à Ste Jeanne d’Arc
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Violence LGBT à Lille contre les veilleurs
Communiqué des veilleurs de Lille :
"Le mouvement « des veilleurs » est né d’une initiative de jeunes manifestants parisiens de la Manif pour tous. Son déploiement est exponentiel dans toutes les villes de France (plus d’une centaine depuis mars dernier). Il reçoit le soutien du collectif La Manif Pour Tous. Hier, le mouvement des veilleurs lillois avait décidé de se retrouver pour une 13ème veillée pacifique et dans le calme pour défendre le droit des enfants à avoir un père et une mère. Alors qu’ils débutaient leur veillée, assis, une bougie à la main, un groupe d’une cinquantaine d’individus sont venus les agresser."
Témoignage :
"« Je m’appelle Benoit, j’ai 30 ans et suis père de deux enfants. (…) Mardi soir pour la 13ème nuit des veilleurs, l’organisateur des veilleurs m’a demandé si je voulais bien animer, ce que j’ai bien sûr accepté (…) Après l’arrivée des quelques retardataires, nous décidons de démarrer la veillée, nous sommes une vingtaine. A ce moment, les contestataires se ruent sur nous en hurlant, certains partant dans une danse en chantant du Michel Sardou. Un contestataire arrive en courant, s’empare des drapeaux au sol, renverse les bougies et s’enfuit. Nous chantons l’Espérance en rallumant les bougies. Plusieurs pétards éclatent, très proches de nous (1 mètre) mais heureusement sans toucher personne. Nous avons peur. La police est prévenue. Dès que nous commençons à parler, les contestataires reprennent leurs chants, leurs slogans, leurs insultes, afin de couvrir notre voix. Dès que nous faisons silence, ils tournent autour de nous, menaçants, l’un d’eux vient me susurrer à l’oreille que « j’avais une bonne gueule de catho », un autre commence à éteindre nos bougies, puis décide de nous les prendre « parce que je n’en ai plus chez moi ». (…) Admirablement, les veilleurs font face, en silence, ne répliquent pas. Pour certains, c’est très difficile et je le vois sur leur visage. Les insultes continuent, les slogans fusent, un groupe de contestataires tient une banderole que je n’arrive pas à lire et tourne autour de nous, en chantant et en dansant. Le drapeau des veilleurs nous est relancé, déchiré et sali. (…) Vers 21h45, la police arrive, d’abord 4 ou 5 policiers, puis un second fourgon rejoint le premier(…). 30 minutes durant, nous subissons moqueries, hurlements, bruits de casseroles et de tambours, insultes, sans réagir. Le tintamarre continue. Le groupe de musique joue pendant des périodes de plusieurs minutes, de la musique uniquement de percussions. Dès que la musique s’arrête, nous reprenons le chant de l’Espérance. Et leur réaction est immédiate : moqueries, cris, insultes, pour couvrir notre chant (…)
Nous négocions avec la police pour rester jusque 22h15. A l’heure dite, je conclus en remerciant tout le monde. Nous choisissons de partir tous ensemble, escortés par la police. De cette soirée, je retiens plusieurs choses : D’abord, nous avons eu l’occasion, pour la première fois à Lille, de prouver que notre calme, notre paix et notre détermination sont à toute épreuve, même parmi un environnement particulièrement hostile. Par ailleurs, malgré leurs cris de victoire quand nous avons quitté la place, il me semble que nous avons remporté la bataille. A leur provocation, leurs insultes, leur agressivité, ils n’ont eu pour retour que le calme et le silence, seules armes des veilleurs »
Autre témoignage :
"Une horde d'individus cagoulés nous ont attaqué (...). Ils ont déchiré nos banderoles et le bruit des pétards ont résonné dans toute la ville. Ils nous ont jetés des préservatifs, et nous ont arrosés de lubrifiant Durex".
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Intoxication dès l'école primaire
Communiqué du PCD :
"Le Parti Chrétien-Démocrate s’élève contre la tentative des lobbys homosexuels et du gouvernement de s’attaquer à nos enfants pour faire passer leurs idéologies.
Avez-vous lu le dernier fascicule que le FSU met à la disposition de ses enseignants pour éduquer vos enfants à la tolérance ? Si non, vous le trouverez à ce lien. Nous ne pouvons nous laisser faire ! Non contents de manipuler la loi, ils veulent désormais faire de nos enfants les « petits-soldats » du gender sous couvert de lutte contre l’homophobie. Cette pratique est digne des idéologies les plus sombres de notre histoire !"
Une fois de plus nous vous appelons à ne pas vous laissez faire ! Ensemble, résistons !"
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Mariage gay : ZEMMOUR recadre trois journalistes
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Les Playmobils rejoignent les Veilleurs pour une résistance pacifique..
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Veilleurs Montpellier Résistance
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Photos des exactions commises sur l’ordre de Manuel Valls et communiqué de l’Action française
Et le lendemain, Hollande célébrait la Résistance aux côtés de Daniel Cordier, secrétaire de Jean Moulin... en ordonnant des interpellations arbitraires !
Après la matraque, les rafles.
Chaque année l’Action française rend hommage aux étudiants patriotes qui ont bravé l’interdit de l’occupant allemand, le 11 novembre 1940. C’est toujours avec une certaine émotion que nous imaginons ces étudiants et lycéens, mains nues devant l’envahisseur nazi. Bon nombre d’entre eux étaient d’Action française, et nous avons encore des aînés chez nous pour témoigner de ce premier acte historique de résistance à l’occupant.
Tir de Flashball
Dimanche soir, le 26 mai, c’était aussi et surtout des étudiants et lycéens qui faisaient face aux forces du régime. On est libre de ne pas me croire, mais j’affirme qu’il y a eu plus de blessés le 26 mai 2013 que le 11 novembre 1940.
Valls a lâché les chiens (policiers) sur les Français, comme jadis le gouverneur teuton du « Groß Paris ».
Arrestation d’un manifestant
L’Action française toujours consciente des risques que faisaient courir aux manifestants les grossières provocations policières, a ciblé (avec quelque succès) dans les échauffourées des Invalides, les policiers en civil qui tantôt faisaient mine d’agresser les CRS et tantôt mettaient prestement leurs brassards en sortant les matraques télescopiques pour exfiltrer avec une rare violence des manifestants un peu isolés.
Bilan : 17 interpellations et mises en garde à vue dans les seuls rangs de l’Action française et plusieurs blessés notamment par « flash ball » dont deux grièvement, poignets cassés et côtes fêlées, encore hospitalisés à l’heure où j’écris.
Cela continue, hier, lundi 27 mai 2013, à Buffon des manifestants qui voulaient pacifiquement interpeller Hollande ...venu célébrer la Résistance, un comble !, se sont fait embarquer manu militari par des CRS au seul motif qu’ils portaient sur eux le polo de La Manif Pour Tous. Parmi eux, beaucoup de mères de famille.
Les Kapos de la « Reich-publique » s’affolent, frappent, traquent, raflent.
Le pouvoir rend fou, et, avec leur police, ses détenteurs se croient tout permis. Nos enfants dans les crèches et dans les écoles sont réellement en danger de viol idéologique, demandez à Bertinoti, Vallaud-Belkacem et Peillon, ce qu’ils en disent.
A la violence aveugle d’un pouvoir sectaire aux abois, nous répondrons avec la force tranquille d’un peuple en marche, sûr de la victoire finale.
Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action Française
Pour couvrir les frais de justices nombreux, vous pouvez dès à présent envoyer vos dons via Paypal ou par chèque au CRAF, 10, rue Croix-des-Petits-Champs, 75001 Paris.
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Le 26 mai ou l’imitation du socialisme soviétique par le socialisme français
Le nombre
C’était écrit à l’avance, depuis plusieurs jours, notamment depuis cette rencontre entre le ministre de l’Intérieur et les dociles représentants des médias qu’il avait convoqués : dimanche 26 mai, selon la préfecture, Civitas rassemblerait 2.800 personnes et la Manif pour tous 150.000. Défense de rire, circulez, il n’y a rien à voir, tout est dit.
Les incidents
Et puisque Manuel Vals était l’auteur du scénario du roman de la journée, il était aussi stipulé qu’il y aurait des “incidents”. D’ailleurs, afin d’effrayer les braves gens et de dissuader de participer à l’une ou l’autre des manifestations de dimanche, Manuel Vals s’est invité au journal télévisé de 20h sur France 2 samedi soir et a pris le ton le plus glacial pour mettre tout le monde en garde (à vue, serait-on tenté d’ajouter).
Donc, pour respecter le scénario du ministre de l’Intérieur, tout a été fait pour créer des incidents là où il n’y en avait pas. Dès le début de la journée, contrôles d’identité arbitraires, vexations et intimidations se multiplient partout : dans la rue, dans le métro, à la sortie des gares, à la terrasse de cafés,…
A l’issue de la manifestation de Civitas, vers 18h, alors que l’essentiel de la foule a déjà quitté la place de l’Opéra et que j’y termine quelques interviews, des CRS reçoivent ordre de la préfecture d’encercler 25 personnes qui discutaient paisiblement. Ces personnes seront interpellées et gardées dans un commissariat jusque 23h pour, selon la version journalistico-policière, avoir refusé d’obtempérer à un ordre de dispersion qui, bien entendu, n’a jamais existé, et pour cause puisque nous avions l’autorisation d’occuper la place de l’Opéra jusque 19h.
Ailleurs et plus tard, sur les Invalides, après la fin de la Manif pour tous, c’est le retour des barbouzes. Des policiers en civil, portant parfois des insignes nazis -caricature oblige-, jouent le rôle de “casseurs d’extrême droite” parmi les nombreux jeunes venus simplement exprimer leur légitime colère devant la promulgation d’une loi infâme. Belle mise en scène ! Plus loin, comme l’ont immortalisé des images filmées par une agence de presse et visibles sur internet, des policiers en uniforme jettent copieusement des bouteilles vides dont les éclats de verre peuvent sérieusement blesser des Français qui ont pour seul tort d’être venus défendre la Famille, socle de base de la société.
Sale besogne pour des forces de l’ordre bien moins présentes et répressives lorsqu’il s’agit de traiter les racailles qui incendient des voitures et pillent des boutiques au Trocadero.
La résistance
Mardi soir, toutes les télévisions ont montré François Hollande nous expliquer, sur un ton professoral, que le mot “résistance” est réservé à la seconde guerre mondiale et ne peut être utilisé par les défenseurs de la Famille. Mais notre président-professeur a la mémoire bien courte. Pour le seul vingtième siècle, s’il y eut la résistance au national-socialisme, il y eut aussi, jusque bien longtemps après la seconde guerre mondiale, la résistance au socialo-communisme. Est-ce parce que la république socialiste française s’inspire de plus en plus des méthodes autrefois pratiquées dans l’union des républiques socialistes soviétiques que François Hollande occulte ainsi la portée du mot “résistance” ? Le nom de Soljénitsyne lui est-il inconnu ? Les écrits de ce résistant russe vont pourtant précieusement pouvoir inspirer la nouvelle génération de résistants français. Car, dans l’esprit de Manuel Vals, du “mariage pour tous” au goulag pour tous, il n’y a qu’un pas…
Alain Escada,
président de CIVITAS
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Tugdual Derville : “C’est l’âme de la France qui est en train de se réveiller”
Extrait de l’interview de Tugdual Derville sur France Info :
“Cette manifestation est la dernière d’un cycle ; il y aura d’autres manifestations dans les années à venir pour défendre l’enfant, pour protéger la famille. (…)
Ce fut une fête des mères extraordinaire ! La manifestation est historique par sa taille. Pourquoi tant de personnes pour une loi promulguée, démocratiquement votée mais qui, à nos yeux, blesse en profondeur la démocratie parce qu’elle ne respecte pas l’enfant qui est le plus fragile. (…)
Depuis le début, on a toujours été piétiné, étouffé, méprisé. Notre colère s’exprime dans la non-violence ; c’est la seule solution. Le gouvernement a fait une lourde faute politique en ne voulant pas nous entendre. Nous sommes entrés dans une forme de résistance intérieure. (…)
Nous avons toujours dit que les élus étaient les bienvenus dans notre mouvement, de droite comme de gauche, mais nous avons voulu récuser, depuis toujours, toute récupération politique. Aucun parti politique n’est capable de rassembler de telles foules. Notre mouvement est inédit.(…)
Les dizaines de milliers de jeunes qui se sont mobilisés vont construire une nouvelle société non pas individualiste, comme la montré la loi Taubira, mais altruiste ; c’est l’âme de la France qui est en train de se réveiller. (…)
Nous n’avons pas été compris parce que nous ne nous battons pas pour notre intérêt, mais pour un altruisme qui doit construire une société qui respecte les plus faibles et les plus fragiles”
source Le Salon Beige
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Les vieux chefs de l’UMP ont peur
D'Alain Dumait dans Les 4 Vérités :
"Toujours, quand la gauche est amenée à constater son propre déclin, elle s’efforce de manipuler l’opinion pour affaiblir son adversaire, la droite parlementaire, dite « de gouvernement ». Ses tiroirs sont pleins de bombinettes, dont les matières explosives s’appellent « modification du mode de scrutin », « droit de vote des étrangers », « taxe exceptionnelle sur les riches »… En 2012, ce fut donc le mariage homo. Le sujet ne concernait que quelques milliers de personnes, et même peut-être quelques centaines seulement. Mais c’était un marqueur. Comme la peine de mort trente ans plus tôt. François Hollande, en bon politicard, devait savoir que le projet de loi, qui plus est défendu par une ex-indépendantiste guyanaise, mettrait la France « normale » en révolte. Qu’il y avait des risques de guerre civile, en tout cas de débats sans fin et inopportuns. Une sorte de nouvelle « affaire Dreyfus », du point de vue de la césure entre les pour et les contre au niveau de l’opinion.
Et tout ça, 1) pour « embêter » l’UMP, 2) pour occulter la situation économique calamiteuse. Pour ce qui est de l’UMP, le « coup », comme disent les journalistes politiques, est peut-être bien joué. On verra d’ici peu si l’appareil entend ses troupes – accessoirement présentes sur le pavé le 26 mai – et, au-delà, le peuple de droite, hier couché et maintenant debout. On voit bien que les vieux chefs de l’UMP ont peur. Ni Juppé, ni Raffarin ne sont à l’aise. Jusqu’à NKM qui voudrait que le mariage homo « n’interfère » pas sur les primaires à Paris ! Comme s’il revenait aux stars de dire aux électeurs-téléspectateurs ce qu’ils doivent considérer…
Compte tenu de ces circonstances, les primaires pour la désignation du chef de file UMP en vue des élections municipales à Paris de mars 2014 seront plus qu’un test, un moment de vérité. Le taux de participation sera un premier indicateur. Les caciques parisiens tablaient sur 12000 votants. Il y en a déjà plus de 16000. Qu’il y en ait finalement plus de 20000 et on pourra mesurer l’influence des réseaux numériques participant activement à cette nébuleuse qu’il faut bien appeler – comme Christophe Barbier – « teaparty à la française ». Qu’il y ait un deuxième tour serait aussi inattendu que la victoire de Copé sur Fillon à la présidence de l’UMP!… Mais, bien sûr, le nom du vainqueur sera l’essentiel. J’espère que ce ne sera pas NKM, mais plutôt JFL, c’est-à-dire Jean-François Legaret, le plus fidèle à la « Manif pour tous » des quatre élus (dont trois « parisiens ») candidats à cette primaire."
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