l'information nationaliste - Page 1119
-
Révolte paysanne : ça déborde d’Allemagne et ça explose partout !
-
Comprendre cette impardonnable défaite du 22 juin 1940
Cet article didactique recense les principales causes de la défaite de juin 1940. Que de fautes commises depuis novembre 1918 !
Le 22 juin 1940 à 18h50 (Heure allemande), la France signe une réédition déshonorante qui se dissimule sous le nom d'armistice. En six semaines, elle vient de perdre ce que De Gaulle s'emploiera à qualifier depuis Londres de bataille. Mais, c'est belle et bien une guerre que la France vient de perdre contre l'Allemagne revancharde de la Grande Guerre de 1914 -1918.
L'Histoire officielle actuelle fait toujours état d'une sorte de fatalité attribuant la débâcle au destin de la France, aux "circonstances". Pour se dédouaner de ses responsabilités, la classe politique d'avant-guerre, très majoritairement de Gauche, ira même à considérer cette honteuse défaite de juin 1940 comme "inévitable" ou même "excusable" ! Elle ira même jusqu'à reporter l'exclusivité de la responsabilité sur l'Armée française qui s'est pourtant bien défendue avec les maigres moyens mis à sa disposition durant deux décennies de pacifisme et dix ans de démoralisation orchestrée par le Parti communiste aux ordres de Moscou.
-
La crise des banques centrales occidentales
Source : https://www.geopolitika.ru/pt-br/article/crise-dos-bancos-centrais-ocidentais
Alors que l'Occident continue de s'enfoncer dans une crise structurelle irréversible, des questions se posent sur le rôle joué par les banques centrales dans les pays libéraux-démocratiques.
La sonnette d'alarme est tirée dans les pays occidentaux : leurs banques centrales ne sont pas en mesure de résoudre les problèmes économiques actuels. En outre, on n'attend plus d'elles qu'elles résolvent des problèmes que d'autres acteurs peuvent mieux résoudre. Les analystes et les planificateurs demandent de plus en plus aux banques centrales et à leurs gouverneurs de se concentrer sur trois objectifs: la stabilité des prix, la stabilité financière et la stabilité macroéconomique. Or, il est difficile d'atteindre ces trois objectifs.
-
L’avortement, première cause de décès dans le monde
Selon les statistiques compilées par Worldometer, le nombre d’avortements dans le monde en 2022 dépasse les 73 millions, ce qui en fait la première cause de décès – 52% sur un total de 140 millions de décès – et dépasse ainsi toutes les autres causes additionnées. Worldometer est une organisation indépendante qui recueille et publie des données reçues de gouvernements et diverses organisations, et établit des estimations et des projections basées sur ces chiffres.
-
Lyon : armé d’une fausse grenade, un Algérien hurle « Allah Akbar » dans la gare de la Part-Dieu ; des objets pointus également retrouvés sur lui
Selon nos informations, vers 17h30, un homme s’est mis à crier « Allah Akbar » à plusieurs reprises alors que le hall était bondé, en cette veille de week-end, laissant planer la menace d’un éventuel acte terroriste. L’individu aurait fait dans la foulée un malaise et a été pris en charge par les sapeurs-pompiers, qu’il aurait menacés de mort alors qu’ils lui portaient secours.
-
Les Verts allemands rejettent la responsabilité sur les supermarchés alors que les manifestations d’agriculteurs font rage
-
Olivier Véran, tête de liste aux européennes : un poisson d’avril précoce ?
-
KEN À MATIGNON L’éditorial de François Marcilhac
Quand on veut réduire la politique à de la com’, encore faut-il en faire de la bonne : il n’est pas certain que Macron y ait totalement réussi avec ce remaniement ministériel. Certes, celui-ci a pris tout d’abord l’allure d’un conte de fée : « La sorcière et le prince charmant », dans lequel un sémillant et dynamique jeune homme réussit à sortir la mégère de service, qui avait pourtant fidèlement servi celui qu’il l’avait appelée à Matignon. Mais chacun sait que le Premier ministre n’a aucune reconnaissance à attendre de l’Élysée. C’est particulièrement vrai sous Macron, qui a courageusement laissé le Gouvernement se dépatouiller seul des mesures impopulaires qui, pourtant, constituaient tout son programme : nous pensons principalement à la réforme des retraites. On rappellera bien sûr l’article 20 de la Constitution : « Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la Nation. » Mais passons aux choses considérées comme sérieuses en Macronie.
-
Le vrai crime d'une bureaucratie
Parti, fin 2019, de la ville de Wuhan, le Covid-19 avait de bonnes raisons de mériter l'appellation de virus chinois. Le gouvernement de Pékin a cependant tout fait pour exonérer cette métropole, et se dédouaner lui-même, de cette localisation jugée pénalisante.
On n'a jamais entendu dire pourtant que le tourisme en Espagne ait jamais souffert de l'appellation de grippe espagnole. Celle-ci désigna en 1918 à l'épidémie mondiale qui endeuilla pourtant des millions de foyers. On estime le nombre de ses victimes autour de 50 millions de morts, peut-être jusqu'à 100 millions, soit 2,5 à 5 % de l'humanité, entre 4 à 20 % des malades. Or, elle s'était propagée à partir de premiers cas répertoriés en France et aux États-Unis... et non dans la péninsule ibérique.
-
Que veulent les écologistes pour Paris ? Plus de migrants et moins de touristes.
N’essayez pas de reproduire cette cascade chez vous. À deux semaines d’intervalle (le 19 décembre et le 5 janvier), l’adjoint EELV parisien à la mobilité David Belliard s’est prononcé en faveur d’un « droit universel à la mobilité », puis de Jeux olympiques « dédiés uniquement aux spectateurs français et européens ». Dans le premier cas, il s’insurgeait sur Twitter contre une disposition de la loi immigration supprimant les tarifs sociaux dans les transports en faveur des étrangers en situation irrégulière. Quant à son étonnante préférence nationale et européenne, exprimée sur Sud Radio, elle serait, elle, dictée par la volonté de limiter, au nom du climat, le recours à l’avion.