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l'information nationaliste - Page 1194

  • Lâches soulagements

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    Un fait résume la situation du pays : en 20 ans, la dette publique de l'État central parisien, est passée de 1 000 à 3 000 milliards.(1)⇓

    Ce 2 décembre, un titre presque joyeux du quotidien Le Monde annonçait pourtant une nouvelle inattendue. Un répit, faussement miraculeux, venait d'être encore donné au gouvernement français par l'agence de notation financière américaine Standard & Poor's.

    Tout porte, hélas, à croire inutile et artificiel ce petit bol d'oxygène. Bercy compte en effet l'utiliser en 2024 pour pouvoir, sans trop souffrir du retour des taux d'intérêts à un niveau normal, lancer plus de 235 milliards d'euros de dettes nouvelles. Or, sur ces 235 milliards, 142 correspondront au déficit prévisionnel, cependant que 93 milliards serviront à couvrir les échéances d'emprunts antérieurs.

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  • La loi ordonnant le génocide vendéen publiée au JO du premier août 1793

    La loi ordonnant le Génocide vendéen publiée au Journal officiel du 1er août 1793

    Phénomène unique dans l'histoire, ce sont les élus d'un Peuple souverain qui, le 1er août 1793, à l'unanimité votent une loi de déportation et de destruction totale par le feu et par le fer d'un pan entier d'un territoire dont ils sont les représentants. Déçus des résultats obtenus par l’application de cette première loi génocidaire, ils votent à l'unanimité une seconde loi d'extermination de la population le 1er octobre 1793.

    Ces deux lois votées à l’unanimité par des révolutionnaires convaincus, en conscience, de leur bon droit et de leur devoir de salut public, sont publiées au Journal officiel de l'époque.

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  • Pourquoi l’État matraque les gens bien et laisse proliférer délinquance et terrorisme ordinaire

    C’est une question qui hante les gens bien, la population civilisée, “ceux qui éduquent leurs gosses“. On a enfin la réponse. Ou plutôt, on en connaît les raisons depuis des lustres, mais elles deviennent désormais de plus en plus manifestes à tout un chacun. Un mélange de bouée de secours, de mise en scène du “faire” et de répression contre un peuple anesthésié mais craint. Explications. (des explications qu’il est important de savoir formuler et qu’il faut divulguer. Car mettre un nom sur les choses, en comprendre le fonctionnement est le premier pas vers la possibilité d’une réaction).

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  • La députée Caroline Janvier brise le silence sur la consommation de stupéfiants chez les politiques : « Il existe des soirées où la drogue circule. »

     
    Crédit photo : Capture d’écran de Caroline Janvier, députée du Loiret.

    Caroline Janvier, représentante du Loiret, a pris la décision courageuse de parler franchement de la réalité des soirées politiques : « Il y a des soirées où de la drogue circule. Comme il y a des dîners ou des fins de sessions parlementaires où il y a une consommation excessive d’alcool », confie-t-elle sans détours à Paris Match.

    Louant le courage de Sandrine Josso pour avoir pris la parole, Caroline Janvier souligne la nécessité d’analyser cette problématique comme un système, sans pour autant justifier ces comportements déviants. Élue depuis 2017, elle témoigne des dérives observées au Palais Bourbon, principalement lors des séances nocturnes ou à la suite de soirées alcoolisées.

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  • Le tueur du pont de Bir-Hakeim : on n’avait rien vu venir…

    On peut dire que, dans cette énième affaire de meurtre gratuit, on n’avait rien vu venir. Le touriste allemand qui se promenait, en ce soir de décembre, en compagnie de sa femme, sur le pont de Bir-Hakeim, n’a rien vu venir non plus, d’ailleurs. À quoi pensait, d’ailleurs, cea pauvre jeune homme de 23 ans, au moment où ce terroriste l’a froidement poignardé, en criant « Allahou akbar » ? On se perd en conjectures. « C’est pas le boug, il a fait une dinguerie », diront les jeunes Français, sur les réseaux sociaux, dans les jours qui viendront. Une affaire tristement banale, comme il en arrive tous les jours en France. Tous les jours ou presque.

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  • Racisme anti-blanc : Selon Marie-Hélène Thoraval, maire de Romans-sur-Isère, « pendant les émeutes de juin, aucun des commerces communautaires (de la Monnaie) n’a été touché » (MàJ : La cité représente 12% de la population mais 45% du budget éducatif, “Pe

    03/12/2023

    (…)

    Pourriez-vous chiffrer les investissements faits en parallèle pour les 88 % de vos habitants qui ne résident pas à la Monnaie ?

    Je ne pourrais pas vous le dire parce que la loi et ces subventions ne concernent en l’occurrence que les quartiers prioritaires de la ville. Mais je pourrais isoler un exemple, qui ressort de ma compétence, pour vous donner une idée : tout ce qui relève de l’école dans le cadre du réseau d’éducation prioritaire dans le quartier de la Monnaie. Cela représente 12 % de ma population et 45 % de mon budget global consacré à l’éducation.

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  • Plaquette – Ecole Thomas More

    You are currently viewing Plaquette – Ecole Thomas More

    Une école de l’Institut Thomas More
    L’école est fondée sous l’égide de l’Institut Thomas More, laboratoire d’idées libre et indépendant, qui a près de vingt ans d’existence. Convaincus de la nécessité de libérer le débat en formant les générations de demain et en favorisant leur engagement dans tous les champs de la vie civique (institutionnel mais aussi local, associatif, etc.), ses animateurs aident à créer l’École Thomas More pour favoriser la transmission et le rayonnement des idées et des valeurs qui sont au cœur de son action.

  • Crépol, vers un spectaculaire basculement idéologique ?

    C’est un constat que je fais dans la vie quotidienne. A la suite du drame de Crépol, et de tant d’autres, une partie de l’opinion dite « de gauche » ou centre-gauche, la gauche culturelle, est en train de basculer. Tout un pan de la tradition de gauche anciennement électrice de la SFIO, ou du parti radical socialiste, de PMF et de Mitterrand, n’est pas forcément en cours de passer « à droite » ou encore moins extrême droite, mais, au-delà, de vouloir rejoindre le camp des défenseurs de l’ordre démocratique par opposition avec la radicalisation de la Nupes. Le phénomène est sans doute assez massif – et très impressionnant. Il rejoint les grands ébranlements idéologiques qui secouent la France en ce moment. La lettre ci-jointe, trouvée sur le site de la « médiatrice de Radio France », en témoigne. Fascinant.

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  • Le réveil de la colère française, ultime espoir d’une renaissance

    Qui, pour réparer la France brisée ? Certainement pas ceux qui, le 12 novembre, ouvraient la marche parisienne « Pour la République, contre l’antisémitisme ». Pour identifier les responsables du chaos français, il suffit de regarder la photo de la tête du cortège : ces visages connus, massés derrière la banderole, viennent de la gauche et de la droite. Ils affichent la même mine inquiète. Ils chanteront à plusieurs reprises La Marseillaise en s’applaudissant, comme ces enfants qui se rassurent dans le noir en faisant du bruit. Mais comment ne pas voir une palanquée d’incendiaires chez ces pompiers qui sonnent l’alarme ? Les « élites » protestent contre la haine anti-juive.

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