
Pendant que le gouvernement s’évertue à épouvanter les Français devant la menace d’une nouvelle vague virale qui touche beaucoup, mais, dieu merci, tue peu, pendant que la planche à billets d’un endettement faramineux continue de distribuer les étrennes, pendant que les Français pensent peu à la prochaine présidentielle, sauf bien sûr pour bénir leur génial protecteur tandis que son grand vizir multiplie les restrictions pointilleuses, les contraintes pesantes et les obligations tarifées, pendant que l’immense majorité de nos compatriotes s’habitue à porter le masque, à boire et à manger assis entre deux doses de vaccin, et que les laboratoires jonglent avec les milliards engrangés grâce à une consommation imposée de manière dirigiste, le monde continue à voir naître et grandir nombre de foyers de désordres et de guerres, qui généreront des vagues, migratoires cette fois, celles dont nos dirigeants pensent qu’elles sont finalement une chance pour notre Occident vieillissant.
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