Avec la complicité de la majorité des parlementaires, le tyran Emmanuel Macron a instauré en France un Apartheid visant à discriminer les non-vaccinés (c’est-à-dire ceux qui, pour des motifs variés, refusent d’être les cobayes d’une expérimentation médicale) et à rétablir la pratique de l’Ausweis (pudiquement appelé passe sanitaire) pour la plupart des activités de la vie courante.
l'information nationaliste - Page 2848
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CIVITAS appelle à manifester contre le passe sanitaire et la vaccination obligatoire ainsi qu’à boycotter toute enseigne qui réclame le passe sanitaire
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NOTRE AMOUR DE LA FRANCE ! #PODCAST
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Pendant que l’Etat impose une camisole sanitaire aux Français, l’immigration clandestine se poursuit
Les immigrés clandestins ont tous les droits, alors que les Français voient se réduire leur liberté de mouvement dans leur propre pays.
Un camp de plusieurs centaines de migrants et des familles avec enfants sans logement s’installe sur la célèbre Place des Vosges à Paris.
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Le culte du VENT chez les Indo-Européens 2/2
Les Muses, déesses du vent
Apollon a, comme Rudra et Vâyu, un cortège de chantres. Ce sont les Mousai (Muses), filles de « Zeus, le dieu du tonnerre, qui se réjouit de la douce voix de ces déesses, quand elle se répand du haut de l'Olympe » (5). Les Muses, dont le nom signifie “tourbillon, tourmente”, apparaissent dans ces vers comme des déesses du vent. L'agitation de l'esprit au moment de l'inspiration ou de la divination, est comparée à celle du vent. Apollon, comme les dieux du vent, est, par excellence, en Grèce, le dieu de la divination. Son nom est fermement attaché à l'oracle de Delphes. Quant à ce nom même, il a beaucoup intrigué les étymologistes. L'explication la plus probable est celle qui le rattache à apella (assemblée, troupe).
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Italie : près d’un millier de migrants débarquent sur l’île de Lampedusa en 48 heures
Un peu moins d’un millier de migrants ont débarqué sur l’île de Lampedusa en 48 heures, rapportent plusieurs médias, qui précisent qu’au total, « 65 migrants ont débarqué à Lampedusa après minuit dans cinq bateaux différents. Hier, en l’espace de 24 heures, un total de 27 débarquements ont été effectués par 875 migrants, principalement des Tunisiens. »
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Jean-Pierre Fabre-Bernadac la guerre civile n'est pas une fatalité
« Sonneur de tocsin « Jean-Pierre Fabre-Bernadac, ancien officier, a lancé le premier appel de militaires sur le risque de guerre civile. Il va de l’avant et, pour lui, la solution à cette crise n'est à chercher ni chez les politiques ni chez les militaires.
Entretien. Propos recueillis par Richard Dalleau
Votre tribune et celle de camarades d'active ont recueilli des centaines de milliers de signatures. Selon un sondage Harris interactive, 58% des Français vous soutiennent. Cela suffira-t-il à ce que vous soyez écoutés des politiques ?
C'est à eux qu'il faut poser la question.
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Le culte du VENT chez les Indo-Européens 1/2
Il y a quelques ressemblances entre les dieux du vent et ceux du feu. Tous deux sont changeants, insaisissables, tous deux sont inspirateurs et bons artisans. De même qu'on lisait l'avenir dans le foyer, on le devinait dans la chanson des vents. De même que les flammes de l'âtre sont des âmes, le vent emporte les âmes à travers l'espace. Un méchant vent les amène, une aimable brise les éloigne (1). Il est l'ami du feu qu'il attire et dans lequel les âmes également se réfugient. Si la flamme est destructrice et bienfaisante à la fois, il en est de même du vent qui apporte la vie ou la mort, la maladie ou la prospérité. Le feu est la vie qui circule dans les arbres, les plantes, les hommes. Le vent, d'après une conception fort étendue, fertilise les champs et répand partout la fécondité.
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Sur Marianne, comment l’Allemagne tond la France : la conquête spatiale.
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Anne Trewby dans le Libre Journal de la Transmission du 26 juillet 2021
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Macron : Diviser pour mieux régenter
Alors que le Conseil constitutionnel étudie la validité du pass sanitaire, les Français se divisent en pour et contre. Une nouvelle fracture du pays à mettre à l’actif de Macron.
Députés et sénateurs se sont finalement mis d’accord sur le texte de loi mettant la nation sous contrôle sanitaro-judiciaire. Si la chambre haute a apporté quelques (très légères) atténuations au programme coercitif voulu par le gouvernement, la proposition originelle n’a pas connu de remaniement profond. L’Elysée attend maintenant l’avis du Conseil constitutionnel.