Il s’en est fallu de peu, en 1871, pour que le Louvre, incendié par les communards, ne soit détruit avec ses collections.
Le 21 mai 1871, l’armée pénètre dans Paris par la Porte de Saint-Cloud. Le sang va couler.
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Il s’en est fallu de peu, en 1871, pour que le Louvre, incendié par les communards, ne soit détruit avec ses collections.
Le 21 mai 1871, l’armée pénètre dans Paris par la Porte de Saint-Cloud. Le sang va couler.
En lisant cela, nous serons sûrement un certain nombre à penser à une solution alternative définitive et beaucoup plus économique, concernant cette « chance pour la France » comme disent les politiciens du Système…
Lors d’un entretien avec un think tank américain, le président de la République a osé une analogie entre les deux événements, déplorant un “nouveau mode de vie” basé sur la violence.
Réputé, depuis le début de son quinquennat, pour ses petites phrases qui ont le don d’enflammer le débat, Emmanuel Macron a récidivé. Lors d’un entretien avec le think tank américain Atlantic Council, auquel il s’est longuement confié en anglais, le président de la République a en effet dressé une analogie qui risque de faire parler, rapporte notamment BFMTV, le 4 février.
Dans une note du CAP de l’ISSEP sur le projet de loi « séparatisme », il est fait la synthèse suivante :
Il est regrettable qu’au nom de la poursuite de ce projet républicain, le Gouvernement porte ainsi atteinte à plusieurs libertés fondamentales de manière disproportionnée ou injustifiée et ajoute des contraintes, contrôles et restrictions à l’ensemble des citoyens, cultes et associations, alors que son intention initiale consistait, à travers ce projet de loi annoncé, à lutter contre le communautarisme et le séparatisme islamistes.
Un article de l’Opinion révèle que la France a dépensé autant à l’étranger en achats de masques en un an que sur son territoire pour investir dans la santé sur cinq ans.
La France a importé 10,3 milliards d’euros de produits liés à la crise sanitaire en 2020, en hausse de 7,2 milliards d’euros par rapport à 2019. Il s’agit en majorité de masques (pour 127 000 tonnes) et de réactifs pour les tests, tous deux achetés en Chine.
Cet été, l’ensauvagement a été dans toutes les bouches, pour le dénoncer ou dénoncer le terme. L’actualité estivale méritait une mise en regard avec l’ouvrage du Dr Maurice Berger est réelle, ses causes profondes.
Dans la nuit du 29 au 30 août, deux agressions au couteau à Toulouse. Le 26, c’est au Havre qu’un serveur est blessé à l’arme blanche pour avoir demandé à un client de porter son masque. Le 22, à Pont-de-Roide, dans le Doubs, un père de famille se fait fracasser le crâne à coups de marteau par des « jeunes » (dans la Novlange médiatique, « un jeune » désigne une appellation d'origine plus qu’une tranche d’âge) pour leur avoir demandé d’attendre leur tour à un plongeoir.
En Mer Égée, Erdogan réactive la vieille lutte contre l’occident. Dans cette histoire, un nom résonne : Lépante.
Les anciens l’appelaient Naupacte. Pour l’envahisseur ottoman, c’était Inebahti. L’éternité, elle, a retenu Lépante, « le seul nom moderne qui dans la Grèce rivalise de beauté avec les noms antiques », selon Chateaubriand. Ce petit port fortifié du golfe de Patras, gardant l’entrée de de Corinthe, fut témoin d’une des plus grandes batailles navales de tous les temps.
Dans la course à la vaccination contre le Covid-19, la Russie est partie tôt. Elle a été le premier pays au monde à homologuer un vaccin contre le coronavirus Sars-CoV-2, dès août 2020 : le Spoutnik V, baptisé en hommage au premier satellite envoyé dans l’espace par l’URSS en 1957. A l’annonce de cette réussite russe, les anti-poutiniens de service, comme le chien de Pavlov, ont immédiatement aboyé en choeur sur cette “fake-news”.
Impossible qu’un dirigeant étiqueté tyran par la bien-pensance occidentale, politique et médias confondus – ce sont souvent les mêmes – puisse être à l’origine d’une telle “avancée” médicale !
Qui n’a entendu dire que l’Église d’Ancien régime tyrannisa les consciences et pourchassa de sa haine les esprits libres ?
Une plongée dans les querelles ecclésiastiques qui ont pourri le siècle de Louis XV remet les pendules à l’heure. Ce sont les juges laïcs qui n’ont cessé de s’ingérer dans les affaires religieuses, et jamais l’Église qui s’est mêlée d’affaires judiciaires.
Le combat des juges, des juges jansénistes essentiellement, a ouvert la voie à la constitution civile du clergé et à la guerre civile.Leur victoire sur les jésuites ouvrit celle du capitalisme sauvage.
D’Henri IV à la Révolution, histoire d’une guerre de l’autorité royale contre les prétentions des juges.
Cette conférence fut donnée à Dijon en 2013, à l’invitation d’Égalité et Réconciliation.
http://re-histoire-pourtous.com/du-pretendu-pouvoir-tyrannique-de-leglise-sous-lancien-regime/