Le groupe ArcelorMittal, en annonçant la disparition prochaine de plus de 600 emplois en France (dont près des deux tiers sont des emplois de production industrielle) sur sept sites du Nord et de l’Est de la France, menace la pérennité de certains écosystèmes des régions touchées et risque d’accroître une désindustrialisation néfaste pour notre pays.
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Communiqué d’Action française – Notre industrie victime des réglementations européennes
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L’industrie permettant la construction de l’armement français licencie
par Philippe Rosenthal
La France et l’Union européenne n’ont pas de réelles possibilités pour procéder à un réarmement à grande échelle. Le leader mondial de la sidérurgie, ArcelorMittal, annonce la suppression de 600 emplois en France. La porte-parole du gouvernement français, Sophie Primas, s’inquiète car «l’acier ça fait les canons Caesar».
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Communiqué d’Action française – Sauvons les usines et les emplois français d’ArcelorMittal !
Aujourd’hui, la direction d’ArcelorMittal a décidé de licencier environ 600 salariés sur sept sites industriels du Nord de la France : Basse-Indre, Desvres, Dunkerque, Florange, Mardyck, Montataire et Mouzon, en arguant de « la crise qui frappe l’industrie de l’acier en Europe », alibi classique de toutes les politiques asociales des grandes firmes capitalistiques transnationales.
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Trump a gagné. Le labo suisse Roche va investir 50 milliards aux États-Unis !
C’est une dépêche de l’agence Reuters source ici qui nous apprend que Roche va investir 50 milliards de dollars aux États-Unis pour éviter les droits de douane de Trump et créer 12 000 emplois.
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Pour réindustrialiser, c’est simple: que l’État laisse les entrepreneurs investir et cesse de leur faire les poches
Lu dans Les 4 Vérités :
Les politiciens appellent volontiers à des efforts pour réindustrialiser la France. Mais se rendent-ils compte qu’ils sont les principaux responsables de notre désindustrialisation? Olivier Andriès, directeur général de Safran, l’une des rares pépites industrielles qui nous restent, a récemment mis les pieds dans le plat en répondant à une commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les freins à la réindustrialisation. Il a mentionné la mésaventure qui lui était arrivée lorsqu’il avait voulu implanter une fonderie à Rennes et avait été accueilli par des militants écologistes lui lançant des tomates.
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« L’aérien n’a pas d’avenir pour Sandrine Rousseau… qui n’imagine pas pouvoir se tromper ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Le problème de certains de nos politiques, encore plus quand ils sont habités par une idéologie qui confine au religieux et au dogmatisme ce qui est évidemment le cas de tous les saints croyants de l’église de l’écologie, c’est un manque évident d’humilité.
La véritable humilité.
On peut se tromper.
Affirmer n’est jamais argumenter.
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La méthode Trump est-elle la bonne ?
Il est de bon ton dans les salons économiques de dire que Trump est un abruti qui n’a plus toute sa raison. Il est surtout de droite et le personnage déplaît, donc ce qu’il fait est idiot par définition. Au RPF, chez les gaullistes, nous sommes plutôt pour la régulation du capitalisme sauvage et ce n’est pas vraiment une position iconoclaste. C’est la base keynésienne de nos économies des années d’après guerre, jusqu’au milieu des années 70. Et puis nous avons commencé à « déréguler ». En sommes nous plus heureux ? Non. Nous y avons perdu nos industries, nos usines, nos savoir faire, nos ouvriers qualifiés… ce qui reste a été « actionarisé », vendu à des fonds de pension qui ont délocalisé, asséché, revendu, avec à la clé des pertes d’emplois et des friches industrielles.
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« Si c’est pour se faire accueillir par des tomates, ce n’est pas la peine » : Le groupe Safran ne veut plus investir dans les villes écologistes
Olivier Andriès, directeur général du groupe Safran, a annoncé qu’il refuserait désormais toute implantation industrielle dans des villes dirigées par des majorités écologistes. La décision fait suite à l’accueil hostile reçu lors de l’installation d’une fonderie à Rennes en février 2024, où certains élus écologistes locaux s’étaient publiquement opposés au projet.
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Masochisme
Gaëtan de Capèle
La guerre commerciale déclenchée par Donald Trump donne à voir un spectacle fascinant : une crise économique et financière mondiale créée de toutes pièces. Mensongère et populiste, sa justification – une Amérique « pillée et violée » par le reste de la planète – peine à convaincre, de la part de la première puissance économique du monde, hégémonique à maints égards. Pas davantage que le protectionnisme, cette arme de défense à double tranchant, causant autant de dégâts chez l’agresseur que chez l’agressé. Enfin, la méthode - une litanie quotidienne d’embardées brutales et contradictoires - crée un climat d’incertitude et d’insécurité qui paralyse l’activité. Donald Trump veut rendre l’Amérique plus forte, mais il la punit en même temps que le reste du monde.
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Communiqué d’Action française –Ne laissons pas délocaliser les fonctions support d’ArcelorMittal France
Au moment où la France parle de réarmement et de réindustrialisation (l’un et l’autre nécessaires), il est paradoxal de constater que les multinationales implantées chez nous préfèrent leurs profits aux intérêts de la France qui les accueille sur son sol et à ceux de leurs travailleurs.
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