Olivier Andriès, directeur général du groupe Safran, a annoncé qu’il refuserait désormais toute implantation industrielle dans des villes dirigées par des majorités écologistes. La décision fait suite à l’accueil hostile reçu lors de l’installation d’une fonderie à Rennes en février 2024, où certains élus écologistes locaux s’étaient publiquement opposés au projet.
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« Si c’est pour se faire accueillir par des tomates, ce n’est pas la peine » : Le groupe Safran ne veut plus investir dans les villes écologistes
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Masochisme
Gaëtan de Capèle
La guerre commerciale déclenchée par Donald Trump donne à voir un spectacle fascinant : une crise économique et financière mondiale créée de toutes pièces. Mensongère et populiste, sa justification – une Amérique « pillée et violée » par le reste de la planète – peine à convaincre, de la part de la première puissance économique du monde, hégémonique à maints égards. Pas davantage que le protectionnisme, cette arme de défense à double tranchant, causant autant de dégâts chez l’agresseur que chez l’agressé. Enfin, la méthode - une litanie quotidienne d’embardées brutales et contradictoires - crée un climat d’incertitude et d’insécurité qui paralyse l’activité. Donald Trump veut rendre l’Amérique plus forte, mais il la punit en même temps que le reste du monde.
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Communiqué d’Action française –Ne laissons pas délocaliser les fonctions support d’ArcelorMittal France
Au moment où la France parle de réarmement et de réindustrialisation (l’un et l’autre nécessaires), il est paradoxal de constater que les multinationales implantées chez nous préfèrent leurs profits aux intérêts de la France qui les accueille sur son sol et à ceux de leurs travailleurs.
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Manigold a raison : la restauration n’a pas besoin d’immigration, la France non plus
Nous n’avions pas une bonne image de Stéphane Manigold, cet ancien cadre de l’automobile devenu patron de chaîne de restaurant qui s’est fait connaître pendant la période du Covid en jouant le jeu du gouvernement, et en profitant des aides de l’État pour justifier la fermeture d’établissements et la perte de sociabilité que cela entraînait.
Personne n’a oublié son célèbre débat contre Florian Philippot, où cela avait saigné !
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« La stratégie Trump appliquée. Le cas des couteaux Laguiole ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
La naïveté française est confondante et aussi inversement proportionnelle à notre suffisance qui ne manque pas de même que nos critiques à l’égard de Donald Trump qui ne serait qu’un imbécile alors qu’Elon Musk serait en train de se faire ruiner grâce à la chute des cours de bourse de Tesla.
Alors je vais remettre l’église au milieu du village, non pas vous dire que Trump est aimable ou gentil avec l’économie française ou européenne. Ce n’est pas le cas. Ce ne sera pas le cas même si vous partagez des convictions plus sociétales avec le courant de pensée que nous appellerons par simplification “MAGA”.
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Le chaos industriel de l’automobile
Les courbes de la production automobile parlent d’elles-mêmes, l’industrie européenne de la voiture s’effondre et quand on parle d’industrie de la voiture, on parle surtout de la France et de l’Allemagne, puisque la République Tchèque, la Slovaquie et l’Espagne n’ont pas de vraie production nationale, mais quasiment uniquement des usines de marques françaises ou allemandes décentralisées. Manque tout de même l’Italie dans ce graphique, mais ses courbes sont du même ordre catastrophique. Même en cumulant toute nos productions décentralisées, on va à la catastrophe et les Allemands s’en sortent moins mal uniquement grâce à la réputation de leurs voitures haut de gamme qui tiennent le choc sur des marchés étrangers dynamiques. En Europe, les décentralisations des constructeurs, depuis des années, suivies par les montagnes de normes et de contraintes, imposées par l’Europe et suivies de manière forcée, ou même avec zèle par certains, ont fini de couler ce navire, fleuron industriel hérité du vingtième siècle.
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Communiqué d’Action française – Ne laissons pas sacrifier ArcelorMittal France
ArcelorMittal, premier sidérurgiste mondial et ancien fleuron national passé en mains indiennes depuis 2006, annonçait courant février vouloir délocaliser ses fonctions « supports » en Inde et en Pologne. Mais comment le groupe indien peut-il perdre de l’argent en Europe, alors même qu’il y produit ses aciers de meilleure qualité ? La faute notamment aux normes européennes taxant l’acier européen car polluant mais autorisant, dans le même temps, l’importation massive et non taxée d’acier chinois. Serait-il moins polluant ? Il ne fait en tout cas travailler aucun Français, bien au contraire !
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Une politique pour le XXIe siècle
Fait capital pour comprendre le XXIe siècle, la France passe de la société industrielle à la société post-industrielle en 1982, au moment où les sociaux-démocrates du centre-gauche ont pris la relève des libéraux du centre-droit. Pierre Debray publie alors sa dernière grande étude monarchiste sur les conséquences de ce double phénomène.
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Effondrement ! La production automobile française au plus bas depuis les années 60
Voici le brillant résultat obtenu par la Commission Européenne et les politiciens Français qui ne sont pas les derniers à vouloir plier le secteur automobile au nom de la sainte écologie devenue une religion dogmatique que l’on ne peut ni questionner ni interroger sous peine d’excommunication. “Climatosceptique”! Vade retro !
Nous pourrions dire que nous avons un vrai problème de pollution et de particules avec les voitures mais le problème c’est qu’ils font cela avec tous les secteurs.
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Enfin… “le problème ce n’est pas le travail de ceux qui travaillent mais le nombre de ceux qui ne travaillent pas du tout”!
C’est un article du Figaro (source ici) qui revient sur les dernières déclarations de notre ministre du Travail Astrid Panosyan-Bouvet en se demandant si elle raison de dire qu’en France, « on n’a pas assez de gens qui travaillent » ?
Le problème, selon la ministre, ne proviendrait pas des individus en emploi, qui « eux travaillent beaucoup, si ce n’est plus que les Allemands et les Britanniques », mais plutôt du nombre de personnes qui travaillent.
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