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  • Le maire de Suresnes finance la future mosquée de la ville

    Les élus municipaux FN préviennent la population :

    "L’association Islamique Al Badr peut avoir le sourire. Tous les élus municipaux Ump Ps pcf ont voté hier [28 mai] lors d’un Conseil municipal houleux un bail emphytéotique administratif pour l’inauguration d’une salle de prière musulmane de 349M² au 5 rue des Velettes.

    Laurent SALLES, Chef de file du FN Suresnois, a une nouvelle fois dénoncé le double jeu de la fausse droite qui, au niveau national reprend nos thématiques, mais qui au niveau local applique le programme du Parti socialiste. Cette délibération est symptomatique des libertés que l’UMPS prend avec les principes fondamentaux de la laïcité édictés par la loi de 1905. Depuis 2006, vraie gauche et fausse droite ont permis aux élus locaux decontrevenir au principe de non-subventionnement des cultes, grâce au bail emphytéotique administratif. Nous ne voyons pas en quoi un édifice ou un local cultuel constituerait une mission de service public ou même une opération d’intérêt général comme le sont les crèches, les commerces par exemple… alors que cela relève d’un intérêt privé. En achetant en VEFA ce lot nu au promoteur Bouygues pour 977 000€, on peut considérer que la Ville a pris à sa charge le coût du gros œuvre, ce qui est à notre sens un avantage considérable accordé à cette association cultuelle, même si il lui est laissé le soin de réaliser les travaux de second œuvre évalués par France Domaine à 506 000€. [...]

    Laurent SALLES s’insurgea contre le Maire C. Dupuy quand celui-ci évoqua le financement de lieux de culte antérieur à la loi de 1905 : « Monsieur le Maire vous n’allez tout de même pas comparer nos cathédrales, nos églises avec des mosquées en parpaing !?. Il s’agit là de notre patrimoine. C’est d’ailleurs pour cela que nous avons chaque année 70 millions de touristes ! »"

    Les deux élus vont attaquer la délibération en justice devant le Tribunal administratif de Cergy-Pontoise.

    Michel Janva

  • Résignés les Français ?

    Les Français attendent visiblement autre chose. Selon un sondage Odoxa pour Le Parisien, 72% des personnes interrogées ne souhaitent pas que Nicolas Sarkozy se représente à la présidentielle de 2017 et 77% sont du même avis pour François Hollande. Un pourcentage également très élevé au sein de leur propre famille politique avec respectivement 50% et 56% de leurs partisans qui y sont opposés ! Certes, M. Sarkozy et même M. Hollande malgré les chiffres catastrophiques du chômage, dont l’inversion de la courbe ascendante est, a-t-il dit, la condition sine qua non de sa candidature, tablent sur leur bonne étoile. Ils sont parfaitement conscients du rejet qu’ils suscitent mais estiment être en mesure de l’emporter s’ils parviennent à se qualifier au second tour face à Marine Le Pen. Ils sont persuadés que les Français otages de ce Système, n’auront pas d’autre choix : ce sera eux ou le saut dans l’inconnu anxiogène, le déluge national-populiste ! Reste à savoir dans l’hypothèse catastrophique pour le pays d’une réélection d’un candidat de l’RPS, quelle sera la marge de manœuvre du futur président, élu par défaut, démonétisé dés son arrivée au pouvoir ? Pour reprendre la célèbre formule lepéniste, pourquoi les deux candidats du Système feraient-ils demain ce qu’ils n’ont ni su, ni pu, ni voulu faire hier? Est-il vraiment étonnant que la classe politicienne n’inspire plus depuis longtemps, ni confiance, ni respect chez une large majorité de nos compatriotes ?

    Date symbolique de cette rupture, on fêtait la semaine dernière les dix ans du NON au référendum du 29 mai 2005 sur la ratification de la Constitution européenne, laquelle fut imposée, sous un autre nom, par Nicolas Sarkozy dés son arrivé au pouvoir avec l’aval de l’UMP et du PS. Un NON, un sursaut des Français qui fut, comme l’a rappelé Le Figaro, « un cataclysme dans la vie politique française ». Or, selon le sondage Ifop réalisé pour l’occasion, «si François Hollande posait aujourd’hui la même question, ce serait pire encore. Une bérézina. 62 % des Français, qui étaient en âge de voter en 2005, diraient non, soit sept points de plus qu’il y a dix ans. Et seulement 38 % voterait oui, soit sept points de moins ». Il y a dix ans Nicolas Sarkozy et François Hollande posèrent ensemble en couverture de Paris-Match, exhortant les Français à voter OUI, PS et UMP s’engageant activement dans ce but, tout comme 99% des grands médias. Aujourd’hui encore, il n’y a aucune différence de nature entre l’Europe atlanto-mondialiste voulue, défendue, imposée par l’actuel gouvernement et le projet sarkozyste; l’RPS campe a peu de choses prés sur la même ligne.

    Invité hier de de l’émission Controverse de France Bleu Orléans/France 3/République du Centre, le député FN Bernard Monnot a eu l’occasion de souligner cette identité de vue entre la gauche et la droite. Il a rappelé le souhait de l’opposition nationale d’un retour au franc, une des conditions du « retour au plein emploi », en l’espèce le passage au « nouveau franc français, coexistant avec un euro monnaie commune», avec «une parité un euro=un nouveau franc » qu’il s’agirait d’obtenir dans le cadre d’une « renégociation du traité de Lisbonne». Traité, répétons-le, qui a été voté par les élus de droite comme de gauche qui ont bafoué la volonté populaire, puisqu’il est la transposition exacte du projet de traité constitutionnel de 2005 rejeté par nos compatriotes.

    Des Français, a encore souligné le député frontiste, qui souhaitent sortir des entraves de Schengen, retrouver la maîtrise de leurs frontières. Une France qui gagnerait elle aussi à retrouver, comme le Royaume-Uni qui ne fait pas partie de la zone euro, une banque centrale française indépendante.

    Tous sujets abordés qui n’ont pas empêché l’animateur de cette émission, Stéphane Barbereau, qui ne prenait guère la peine de dissimuler son parti-pris antifrontiste, d’ânonner quelques approximations historiques pour évoquer le cas Bruno Gollnisch… dans les mêmes termes que le magazine d’extrême gauche Politis…un hasard certainement.

    Selon ce procureur-journaliste du service public, le député Gollnisch, défendu ici par notre camarade Monnot,  ce serait rendu coupable d’une sorte de crypto-maréchalisme. Il aurait repris des «arguments que l’on entendait sous Vichy», des «argumentaires pétainistes» (sic) pour évoquer le ministre du calamiteux Front populaire, Jean Zay, qui vient d’entrer au Panthéon –voir notre article en date du 28 mai. Interrogé sur le fait de savoir si Philippe Pétain avait « un bon bilan » à son actif ( !) , à croire qu’il s’agit d’un sujet essentiel chez certains journalistes, Bernard Monnot a rappelé que ce dernier s’était vu confier les pleins pouvoirs par une majorité écrasante des députés de l’Assemblée nationale, dont des députés socialistes. Et que le vieux maréchal avait fait « ce qu’il a pu » dans un contexte pour le moins difficile.

    N’en déplaisent aux obsédés et autres monomaniaques des « heures les plus sombres », sujet autrement plus angoissant, plus essentiel pour les Français, la question européenne sera en tout cas très prégnante dans la présidentielle de 2017. En 2012, elle ne fut abordée que par Marine et le FN, problématique européenne qui fut très largement mise sous le tapis, et pour cause, par les candidats Sarkozy et Hollande. Une occultation qui sera plus difficile à opérer dans deux ans. La campagne pour la conquête de l’Elysée se déroulera en effet certainement dans la foulée du referendum promis aux électeurs, à des fins tactiques pour couper l’herbe sous le pied aux souverainistes de UKIP, par le Premier ministre britannique David Cameron sur une éventuelle sortie de son pays de l’UE (« brexit »).

    M. Cameron entend monnayer son maintien dans l’Europe en contrepartie d’aménagements avec les immortels principes bruxellois. Il entend ainsi imposer chez lui plus de restrictions sur la liberté de circulation des citoyens des pays membres, notamment vis-à-vis des ressortissants des pays de l’Est, et une baisse des droits sociaux accordés aux étrangers. Mais surtout, mesure phare de défense de la souveraineté nationale, que les élus britanniques aient un droit de veto sur les législations européennes.

    Demandes qui ont été fermement rejetées par François Hollande qui a rencontré le Premier ministre conservateur lors de sa tournée européenne, vœux que M. Sarkozy aurait lui aussi pareillement balayé s’il avait été à la place de M. Hollande. Preuve de son embarras, d’habitude si prolixe, le président des Républicains n’a pas pipé mot sur cette épisode. Les exigences de M. Cameron apparaissent pourtant comme étant des souhaits de bon sens pour une majorité de Français qui, contrairement à leurs voisins d’Outre-manche, ont été de surcroit dépossédés de leur souveraineté monétaire et du contrôle de nos frontières par notre intégration à l’espace Schengen.

    Alors, certes, Le Figaro avait raison de souligner la semaine dernière « les positions très contradictoires », de nos compatriotes « sur l’Europe », « présentée depuis des années comme une gage de prospérité et de sécurité ». « Côté face, ils réclament majoritairement (62 %) des politiques économiques et budgétaires propres à chaque État. Côté pile, 59 % se disent favorables à la création d’un poste de ministre de l’Économie et des Finances européen et 71 % sont opposés à une sortie de l’euro. En réalité, les Français ne veulent pas forcément moins d’Europe. 60 % de sondés sont ainsi favorables à l’élection d’un président de l’Europe au suffrage universel direct et 71 % à la création d’une armée européenne. Plus largement, 62 % des sondés estiment même que l’appartenance de la France à l’Union européenne est plutôt une bonne chose. Il y a, estime Jérôme Fourquet de l’Ifop, une acceptation résignée de l’Europe chez les Français. Beaucoup pensent en effet qu’une France seule et isolée ne ferait pas le poids.»

    Une acceptation résignée des Français, des réponses antagonistes, voire schizophréniques parfois, qui s’expliquent par le flou qui entoure pour le plus grand nombre les mécanismes, les institutions de cette UE technocratique et totalitaire. Résignation, fatalisme qui sont  aussi le résultat, constate Bruno Gollnisch, du décalage existant entre la propagande européiste intensive sur le thème « hors de l’UE, de l’euro, point de salut » et le choc du réel. Celui d’une Union dont le logiciel, à l’instar des familles politiques qui se succèdent eu pouvoir en France depuis quarante ans, a contribué à détruire nos entreprises, nos emplois, notre tissu économique, industriel, à paupériser et tiers-mondiser notre pays. Et ça, c’est vraiment un bilan désastreux dont les politiciens devront (devraient) répondre devant les Français en 2017.

    http://gollnisch.com/2015/06/02/resignes-les-francais/

  • 18 170 interceptions de clandestins à Calais en moins de 5 mois

    Statistiques tenus secrètes :

    "Selon des chiffres provenant de la police aux frontières du Pas-de-Calais, que francetv info a pu consulter en exclusivité, les policiers déployés à Calais ont procédé, rien qu'entre le 1er janvier et le 21 mai 2015, à 18 170 interceptions de clandestins cachés dans des camions pour tenter de rejoindre l'Angleterre.

    En comparaison, les policiers totalisaient 8 336 interceptions entre le 1er janvier et la mi-mai 2014, et 4 117 interceptions entre le 1er janvier et la mi-mai 2013. Dit autrement, cela signifie que le nombre de ces interceptions d'étrangers en situation irrégulière, toujours sur cette période, est multiplié par 2,2 par rapport à l'an dernier, et par 4,4 par rapport à 2013. [...]

    Les policiers ont pour consigne de ne procéder à des interpellations qu'en cas de violences. La plupart du temps, leur mission consiste donc simplement à repousser les clandestins des abords du tunnel sous la Manche et du port. [...] . Le 21 mai, un triste record a ainsi été atteint : en vingt-quatre heures, les policiers ont découvert près de 1 200 clandestins, cachés dans 300 poids lourds."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Le TTIP est sur les rails, grâce aux eurodéputés

    Jean-Paul Baquiast, ENA, ancien haut fonctionnaire avec une carrière administrative au ministère de l’Economie et des Finances.

    Les analyses n’ont pas manqué depuis des mois pour montrer que le TTIP (Transatlantic Trade and Investmen Partnership) était, en corrélation avec son frère, le TPA (transpacifique) une énorme machine de guerre montée par les intérêts financiers et industriels des Etats-Unis pour imposer une zone de libre échange mondial où disparaitront les spécificités des administrations et services publics nationaux ayant jusqu’ici relativement protégé les citoyens contre les abus des multinationales. Inutile de reprendre le procès ici.

    « Les électeurs nationaux n’auront rien à dire. Ainsi fonctionne la démocratie en Europe, plus que jamais colonie des Etats-Unis ».


    Or malgré un rejet général de ce projet par les opinions publiques européennes (celles du moins ayant pris la peine de s’informer), nous apprenons le 28/05 qu’avec 28 voix pour et 13 contre, les eurodéputés de la commission « commerce international » ont apporté leur soutien jeudi au projet de traité de libre-échange avec les Etats Unis en y ajoutant quelques garanties, par exemple sur la protection des données personnelles. Ce compromis, débattu jusqu’à la dernière minute, prépare le terrain à un feu vert en séance plénière, à Strasbourg le 10 juin.

    Devant ce qu’il faut bien appeler cette trahison des parlementaires européens, les gouvernements les plus réticents, eux-mêmes travaillés en permanence par les lobbies n’auront plus qu’à s’incliner. A plus forte raison en sera-t-il des syndicats et mouvements politiques hostiles au traité.

    Certes, le texte sur lequel les élus européens ont voté n’est qu’un rapport d’initiative. Il est censé envoyer à la commission de Jean-Claude Juncker – qui négocie en ce moment avec Washington – les « recommandations » des députés. Or comme la Commission est, encore plus que les gouvernements, pénétrée par les lobbies et intérêts transatlantiques, ce ne sera pas d’elle que surviendront des objections, sauf sur des points mineurs. Si bien que les eurodéputés pourront, une fois les négociations terminées entre Bruxelles et Washington, valider ou rejeter le texte final. Le vote de ce jour permet d’anticiper une validation de leur part.

    Les électeurs nationaux n’auront rien à dire. Ainsi fonctionne la démocratie en Europe, plus que jamais colonie des Etats-Unis. On constatera sur cette question que se maintient la complicité des députés européens et de leurs collègues nationaux. Marine le Pen, pour sa part, n’aurait pas jugé bon d’assister à la séance du Parlement. Pourtant, si le TTIP était ratifié, cela en serait fini des quelques volontés d’indépendance des Européens. Munich avant la Deuxième Guerre mondiale avait montré ce par quoi se paie le renoncement. Mais qui parle de Munich à propos du TTIP et de ses nombreux soutiens en France?

    Jean-Paul Baquiast, 29/05/2015
    www.automates-intelligents.com
    www.admiroutes.asso.fr
    www.europesolidaire.eu/cont.php

    http://www.polemia.com/le-ttip-est-sur-les-rails-grace-aux-eurodeputes/

  • Propagande islamiste : des vidéos de plus en plus soignées

    Même si plusieurs raisons expliquent le succès de l’État Islamique auprès d’une partie de la jeunesse musulmane de France et d’Europe, la communication vidéo du groupe en est une principale. Les vidéos de Daesh sont bien loin de celles de Ben Laden parlant assis devant un drapeau du takbir et regardant fixement la caméra pendant de longues minutes. Il semblerait que l’écho trouvé par les productions de l’EI inspire d’autres groupes jihadistes (Ahrar al-Sham du Front Islamique Syrien) qui viennent de sortir à leur tour une bande annonce de leur prochaine vidéo de propagande.
    Cette bande-annonce pourrait sortir tout droit d’un studio hollywoodien tellement l’image est propre, les effets travaillés et la musique parfaitement intégrée. On pourrait presque croire à l’annonce d’une grosse production de guerre américaine ou à la sortie d’un jeu vidéo. La vidéo est même sous-titrée en anglais afin d’appâter les musulmans ne parlant pas bien l’arabe.

    http://www.contre-info.com/

  • Livre : Le monde vu de la plus extrême droite : Du fascisme au nationalisme-révolutionnaire

    Dès l'origine, les mouvements fascistes connaissent une marge qui se veut européenne et socialiste. N'ayant pu jouir du pouvoir, ayant souvent été éliminée, elle a toutefois su inventer des discours et des idées pour la construction d'une Europe nationaliste. Ceux-ci ont largement contribué à la formation de la propagande des Etats fascistes après 1942, mettant en exergue l'édification d'un " Nouvel ordre européen ". Après la Seconde Guerre mondiale, et particulièrement avec la phase de décolonisation, puis post-1968, le néo-fascisme a redéployé ces éléments dans le cadre de ce qu'il est convenu d'appeler le nationalisme-révolutionnaire. Ayant placé l'unité européenne en horizon d'attente, ces fascistes oeuvrent à la constitution d'une action et d'une idéologie internationales. Ils participent dès lors à de nombreux champs politiques, nationaux et internationaux, et y entreprennent des tactiques différentes de l'un à l'autre. Leurs idées européistes les entraînent ainsi non seulement dans une élaboration post-moderne du politique, n'hésitant pas à puiser aussi bien dans les signes gauchistes que moyen-orientaux, mais les poussent à des réorientations géopolitiques éclairant l'évolution du monde des lendemains de la Première guerre mondiale à ceux du 11 septembre. De là, ce sont l'histoire et la nature du phénomène fasciste qui sont revisitées. Cet ouvrage s'appuie avant tout sur une documentation inédite : les archives internes des mouvements néo-fascistes et des documents des services de police, essentiellement des Renseignements Généraux. Il reprend des éléments d'une thèse d'histoire contemporaine soutenue à l'Université de Perpignan-Via Domitia (directeur : Jean-Marcel Goger, Université de Perpignan-Via Domitia ; rapporteurs : Pascal Dry, Université Paris I Panthéon-Sorbonne et Roger Grifin, Université d'Oxford Brookes ; Michel Cadé, U P V D ; Olivier Dard, Université de Metz). 

    qu'est ce que le nationalisme révolutionnaire ?

    A commander ici

    Nicolas Lebourg

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuFFEAAZuEAjeAOfHn.shtml

  • Santé : les médecins allemands incitent à arrêter totalement l’éolien

    L’éolien est présenté comme une énergie alternative propre et durable qui doit se substituer progressivement au nucléaire. Si deux reportages réalisés par Armel Joubert des Ouches pour Réinformation.tv mettent en garde contre l’éolien (voir ici et ici), cette fois-ci ce sont des médecins allemands qui tirent la sonnette d’alarme.

    Trouvé sur economiematin.fr : L’assemblée des médecins allemands, réunis en congrès à Frankfort du 12 au 15 mai 2015 vient de lancer une alerte (Beschlussprotokoll des 118. Deutschen Ärztetages in Frankfurt am Main vom 12. bis 15.05.2015 [PDF] p353) concernant l’impact néfaste sur la santé de l’implantation d’éoliennes à proximité des habitations.

    Elle attire l’attention sur les graves carences des critères de danger retenus et tout particulièrement sur les risques liés aux basses fréquences et infrasons. Ce rapport souligne les effets sanitaires néfastes des fréquences éoliennes inférieures à 1 Hz et mentionne leurs effets potentiels même en l’absence de toute rotation des pales, sous la seule action des vibrations solidiennes générées par le mat.

    Lire la suite sur economiematin.fr

    http://www.contre-info.com/

  • La Résistance n'est pas au Parti.

    La Résistance n’a jamais été la propriété d’un parti ou d’un courant politique, ce qui n’a pas empêché les uns ou les autres, une fois la Libération passée et le danger écarté, de vouloir la récupérer au profit de telle ou telle cause, comme un facteur légitimant et fortifiant : à ce petit jeu, le Parti communiste fut le plus acharné, et sa réaction à la panthéonisation de quatre noms symboliques de la Résistance et de sa diversité résumée plutôt qu’exhaustive, est très révélatrice à cet égard… Accuser le président Hollande de vouloir effacer la résistance communiste est, en fait, faire preuve d’un culot certain, et en appeler à l’unité de la Résistance, quand le Parti communiste n’a cessé en d’autres temps (pas si lointains, à bien y regarder) de vouloir la monopoliser, au nom de ses « 75.000 fusillés » (1), est une intention louable mais peu suivie d’effets dans le quotidienL’Humanité de ce mercredi 27 mai 2015.

    Ce qui m’a particulièrement agacé dans l’édition du jour du quotidien communiste, c’est la tentative d’effacer, pour le coup, toute trace des résistances « non-républicaines », que cela soit pour les « premiers résistants » ou pour les étudiants du 11 novembre 1940 : or, les nationalistes maurrassiens, souvent malgré Maurras lui-même, et les monarchistes (parfois les mêmes, d’ailleurs) partisans du comte de Paris, furent nombreux parmi la petite cohorte des « résistants de 1940 ».

     

    Quelques uns de ces résistants royalistes...

    Cela ne veut pas dire que la Résistance fut royaliste et aucun de ces combattants de la première heure n’a cherché à imposer la fleur de lys sur les drapeaux de la France libre. Si certains arborèrent le sacré-cœur chouan sur leur chemise (peut-être ceux de la petite revue clandestine L’Ageasse, en Vendée, ou ceux duCamp Saint-Louis, non loin de Paris ?), comme l’évoque l’écrivain Jacques Perret, la « France d’abord » était leur combat et participer à sa libération était l’objectif qu’ils partageaient avec des socialistes, des républicains, des gaullistes (dont certains de ces royalistes étaient), et, même si cela peut paraître surprenant au regard des affrontements passés et de ceux à venir, des communistes ! Il n’est pas certain que ces derniers, surtout les plus liés à Moscou, aient eu, à l’époque, le même désintéressement politique…

    Une fois la France libérée, les jeux politiciens, malheureusement, reprirent : était-ce illogique alors que la Résistance n’avait, formellement et fondamentalement, qu’un seul but commun à tous ceux qui en firent partie, la Libération, comprise d’abord et avant tout par le retour de la liberté de la France, de celle sans laquelle il n’y a pas de libertés publiques ni privées pour les Français quels qu’ils soient ?

    Que, de temps en temps, et comme ce mercredi au Panthéon, l’on se rappelle de cette unité éphémère mais éminemment française, me réjouit, même si cette joie se teinte parfois d’une certaine amertume au regard de la situation actuelle de notre « cher et vieux pays »…

    Pour en savoir plus sur ces résistants qui, peut-être, rentreront un jour au Panthéon...

     

     

     

     

    (1)        On sait désormais que le nombre total des fusillés français durant l’Occupation n’a pas atteint les 5.000, si l’on en croit le récent dictionnaire qui leur est consacré, et qui en recense 4.500, ce qui est déjà beaucoup trop !

    http://nouvelle-chouannerie.com/index.php?option=com_content&view=article&id=1225:la-resistance-nest-pas-un-parti&catid=49:2015&Itemid=60