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  • Immigration : La Hongrie forme ses “chasseurs à la frontière”

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    Ces nouveaux gardes-frontières ont été institués par le Premier ministre Victor Orban et leur nom fait polémique.

    Les défenseurs des droits de l’homme y voient un sous-entendu de “chasse aux migrants”.

    Mark Kekesi, activiste du “Groupe Solidarité Migrants de Hongrie”, a déclaré : “Je crois qu’en lui-même ce nom de “chasseurs de frontière” est effrayant, j’aurais choisi autre chose.”

    De leur côté, les autorités hongroises démentent tout sous-entendu dans l’intitulé des nouvelles unités spéciales de gardes-frontières.

    Klara Kiss, vice directeur du Centre du centre de formation et d’entraînement de la police nationale hongroise, déclare pour sa part :

    Les médias peuvent tout interpréter à leur manière. Ce que nous voulons dire, c’est que ces jeunes gens vont travailler le long de la frontière, c’est cela le véritable sens.

  • Julien Rochedy : « Il y a un espace énorme à droite pour un mouvement nouveau »

    Julien Rochedy revient sur les erreurs stratégiques de Marine Le Pen. Son crédit est émoussé par le débat et elle est « piégée » par le « problème » Philippot. Il pense qu’il est temps de tourner la page car le Front national et la famille Le Pen ont fait une OPA stérile sur la droite nationale. Sur les ruines de LR et du FN, de nombreux talents travaillent déjà à l’émergence d’une nouvelle structure.

    http://www.bvoltaire.fr/y-a-espace-enorme-a-droite-mouvement-nouveau/

  • « France S .A. »

    Célébration multiculturalisme, négation de la culture française, le nouveau président annonce la couleur.  La France des français de souche et de la culture populaire sera l’une des premières victimes. Le pire, c’est maintenant.

    « Je vois les Arméniens, les Comoriens, les Italiens, les Algériens, les Marocains, les Tunisiens, je vois les Maliens, les Sénégalais, les Ivoiriens, j'en vois des tas d'autres que je n'ai pas cités. Mais je vois quoi ? Des Marseillais ! Je vois quoi ? Je vois des Français ! Des Français ! »

    Le discours de Marseille d'Emmanuel Macron n'a pas frappé les esprits que par le ridicule du braillement et le plagiat éhonté de son (ex ?) patron, François Hollande, dans cette même ville en 2012. Oui, Macron voit bien des Français, mais des Français qui revendiquent leurs origines, leurs cultures, insolubles dans celle de leur pays d'accueil, sommé par cette tirade de faire place à toutes ces « chances pour la France ». La définition même du multiculturalisme, mot que le candidat Macron aura pris soin de récuser par ailleurs dans son habituel double discours qui n'aura trompé que les (nombreux) gogos.

    Car dans cette tirade faite pour n'oublier personne, Macron aura tout de même oublié le principal, au moins numériquement parlant le Français de souche (ou de branche, mais qui se sent avant tout Français). Un oubli qui ne doit rien au hasard, tant « notre » nouveau président méprise cette catégorie qui peuple la France périphérique et qu'il a peu ou prou abandonnée à sa rivale malheureuse. En effet, l'héritier de Hollande a misé comme lui, plus encore même, sur le nouveau « peuple de gauche », façon Terra Nova immigrés, minorités ethniques, sexuelles ou religieuses, cadres bobos habitant les métropoles, bref les acteurs plus ou moins heureux de la mondialisation libérale et libertaire.

    Autant de personnes qui soit ignorent, soit méprisent (souvent les deux à la fois) notre héritage culturel et civilisationnel, qui sont les chantres, de gré ou de force, de « l'adaptation » de notre pays à la mondialisation que prône le nouveau locataire de l’Élysée. Et ceux qui refusent de plier à la marche du "progrès" sont condamnés à ne devenir qu'une communauté parmi d'autres ou à passer par pertes et profits, bref à disparaître, dans le langage managérial qu'affectionne Macron.

    Pas étonnant d'ailleurs que Michel Onfray ait pu lancer sur un plateau de télévision « Macron a séduit tous les incultes, ça fait du monde », tant la « start-up Macron » vantée par les médias, n'était que cela : quelques pros de la communication événementielle, du marketing digital, qui façonnaient, à coups d'applis et d'algorithmes, meetings et discours destinés à l'urbain zappeur façonné par le politiquement correct.

    Dans la « France SA. » qu'ils fantasment, la culture n'est au mieux perçue que comme un loisir, une marchandise. En témoigne la mesure-phare de son programme en la matière, le « Pass Culture », un crédit de 500 euros offert à tous les jeunes de 18 ans, à dépenser dans les activités culturelles de leur choix concerts, expos, achats de livres ou de contenus culturels, bref, une subvention déguisée à la FNAC, iTunes, Amazon et consorts.

    Chez Macron, le bal des ignares euphoriques

    Là, comme dans son ambition de créer un « Netflix » (service de location de films et séries) européen ou un « Erasmus des professionnels de la culture », on ne distingue guère la défense et la promotion de l'art de vivre, des arts, des traditions ou des savoirs français. Est-il besoin de rappeler que pour le président de la France, « il n'y a pas de culture française. Il y a une culture en France » et que « l’art français, je ne l'ai jamais vu » ?

    Bien des ouvriers et des employés qui sont allés passer un dimanche au Louvre en connaissent donc plus à ce sujet que l'énarque qui nous gouverne désormais... Ce n'est pourtant pas la disparition des chefs-d'œuvre de notre patrimoine artistique qui les préoccupe le plus, mais celle de leur mode de vie, hérité des Celtes, des Romains, des Grecs et de 1000 ans de christianisme. Une culture menacée par l'immigration de masse, principalement musulmane.

    Avec Macron au pouvoir, on ne saurait que trop recommander à nos compatriotes la (re) lecture du Camp des Saints, tant il prévoit d'ouvrir encore plus grand les vannes de l'immigration. Celui qui qualifie l'accueil d'un million et demi de clandestins par l'Allemagne de « fierté et de force pour l'Europe » a ainsi donné le ton de son quinquennat. Il enfonce le clou quand, en campagne à Alger (sic), il annonce vouloir « favoriser la mobilité entre les deux rives de la Méditerranée » et un peu plus tard, vouloir « créer une route de la liberté et de la responsabilité qui traverse l'Afrique jusqu'en Europe ».

    Une « autoroute migratoire », dénoncée par Marine Le Pen, dont le flot risque bien d'emporter les dernières digues de la culture française. N'évoquons même pas le volet sécuritaire (délinquance et terrorisme) de la question, ou son coût économique et social... Les classes moyennes et populaires, dans leur existence physique comme dans leur être, sont directement menacées.

    Richard Dalleau monde&vie 18 mai 2017

  • Une candidate FN choisit Molenbeek pour accorder un entretien filmé

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    Soraya-Lemaire-Molenbeek-FN-2-300x243.jpgSoraya Lemaire, candidate FN aux élections législatives dans la 4e circonscription des Français de l’étranger, celle du Benelux, fait dans le symbolique : pour son entretien au site belge Le Peuple, elle a choisi d’être filmée à Molenbeek, à deux pas de la maison familiale de Salah Abdeslam ! Pas pour s’adresser aux Français « issus de l’immigration » mais au contraire pour s’affirmer européenne et pour livrer, aux 200 000 Français qui résident dans cette circonscription qui comprend la Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg, un message identitaire de lutte contre l’immigration et d’affirmation d’une identité européenne.

    « Molenbeek, pourquoi ? Parce que c’est le résultat d’un laboratoire politique et social [voulu] par l’ancien maire socialiste [qui fait] qu’entre atermoiements et connivence, on est arrivés à une ville qui ne ressemble plus à une ville d’Europe. »

    Et Soraya Lemaire d’ajouter : « Voilà pourquoi il me semble important d’être à Molenbeek pour parler d’immigration, alors qu’on est à quelques encablures de la Commission européenne […] On a aussi des Molenbeek en France, dans le 93, à Lunel, à Lyon », etc.

  • Ramadan : La France à l'heure du djihad culturel

  • Affaire Ferrand : l’ère du soupçon

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    Les citoyens ont perdu toute confiance dans les instances chargées de dire le Bien ou le Mal.

    Comparer ce qui a accablé François Fillon avec les ennuis médiatiques de Richard Ferrand n’a pas de sens.

    D’abord parce que le parquet national financier, à la suite de l’article du Canard enchaîné, a jugé inutile d’ouvrir une enquête au sujet de ce dernier, premier soutien d’Emmanuel Macron.

    Ensuite, Richard Ferrand n’est que ministre et n’est pas l’un des protagonistes de la joute présidentielle.

    Enfin, parce que ce qui lui est reproché et qu’il a admis, sans être dérisoire, n’est pas gravissime.

    Il n’empêche que le processus est irrésistible quand la boîte de Pandore est ouverte. Il y aura une multiplication inévitable des alertes et des soupçons.

    La polémique concernant Richard Ferrand est évidemment très regrettable parce qu’elle s’inscrit dans un contexte qui semblait rendre inconcevable, de la part de ceux qui collaboraient avec le président de la République, la moindre incartade, le plus petit glissement sujet à caution.

    L’enseignement principal à tirer de cet épisode est que, décidément, aucun pouvoir, aucune autorité publique n’ont le droit de se désintéresser de la moralité et des structures pour la favoriser, mais qu’en même temps, ils se doivent de le faire avec modestie, sans la moindre arrogance. Personne n’est suffisamment légitime et impeccable pour pouvoir donner des leçons. Pour se poser en professeur de vertus. Tôt ou tard, la vie de demain rattrapera les censeurs d’aujourd’hui. 

    Cette frénésie pointilliste de pureté est d’autant plus déstabilisante que les citoyens ont perdu toute confiance dans les instances chargées de dire le Bien ou le Mal, de cibler les comportements inexcusables ou de faire l’impasse sur les attitudes et les actes ne révélant aucune faille personnelle et sans nuisance, donc, pour le climat démocratique. 

    Par exemple le PNF, je le regrette, n’est probablement plus perçu comme un outil impartial, et le poison du deux poids deux mesures va couler de plus en plus dans les veines républicaines.

    Et comment ne pas reconnaître qu’il est intolérable pour beaucoup qu’on focalise sur certaines catégories professionnelles et que d’autres soient systématiquement laissées à l’abri de l’opprobre ? Trop souvent, la morale est seulement pour les autres alors que je défie quiconque, où qu’il travaille et à quelque poste que ce soit, d’être à ce point assuré pour prétendre qu’il a toujours été irréprochable et à chaque seconde. Pour prendre deux exemples culturel et médiatique, qui peut contester la tare du clientélisme pour le premier et le risque de la connivence pour le second ?

    Enfin l’intégrité, l’aspiration à une éthique indépassable sont d’autant plus fluctuantes qu’elles ne relèvent pas, dans l’esprit public, que du transgressif et du délictuel, mais aussi de la décence et du convenable. Notre président de la République, qui permet enfin aux citoyens d’être fiers de la représentation qu’il a mise en œuvre et dans une lumière rare depuis le 14 mai, est en même temps celui qui a « un contrat moral » avec Mimi Marchand et son agence photos pour que Paris Match soit l’exclusif bénéficiaire de l’intimité du couple présidentiel et de sa famille.

    Une mise en demeure a été notifiée à Closer et Voici – presse people et non de caniveau – pour leur interdire toute diffusion de photos et de textes.

    De la part de ce Président dont je sais pouvoir espérer une rectitude entière, cet arrangement, aussi juridique qu’il soit, me gêne. Dès lors qu’on ne répugne pas à une exhibition médiatique, cette volonté de caporalisation et de mainmise perturbe. Elle ne s’accorde pas avec ce qu’il y a d’ouvert et de libéral chez le Président et son épouse. En l’occurrence, la morale imposerait l’universel.

    http://www.bvoltaire.fr/plus-ferrand-arrangements-de-macron-paris-match-genent/

  • Législatives - Agnès Pageard (FN) : "La droite LR est disqualifiée"

    Agnès Pageard est candidate du FN dans la 12e circonscription de Paris. Elle a accepté de répondre à nos questions.

    Vous avez annoncé votre candidature à l'élection législative pour la 12e circonscription de Paris. Pourquoi vous engagez-vous en politique ?

    Je suis engagée en politique depuis de nombreuses années.

    Mère de famille nombreuse (j'ai 4 enfants), ce sont les manifestations contre la loi Taubira qui m’ont incité à reprendre mon militantisme en 2013.

    J’avais déjà été candidate aux élections municipales à Paris en 1995 puis à nouveau en 2014 [elle avait alors signé des engagements pour la vie, NDMJ] et aux élections régionales de 2015. 

    Lorsque l'on m'a proposé d'être candidate aux élections législatives, j'ai accepté car je suis très attachée à la défense de la famille traditionnelle et des plus faibles et je pense que ce sont les grands oubliés des politiques menées par la droite et la gauche depuis de longues années.

    Je suis aussi tout à fait favorable à la défense de la souveraineté française dans le but de promouvoir l'identité française elles aussi mises à mal par notre soumission à l'Europe premier stade avant la mondialisation.

    Dans cette circonscription actuellement détenue par le député LR Philippe Goujon, vous allez affronter notamment un candidat DLF. N'êtes-vous pas en train de diviser la droite, vérifiant la formule selon laquelle nous avons la droite la plus bête du monde ?

    Concernant DLF, les accords avec Nicolas Dupont Aignan ne concernait pas les candidats aux législatives et donc ma candidature à Paris ville compliquée pour le Front National a tout son sens. La droite LR est quant à elle disqualifiée. La recomposition se fera autour du Front National.

    Si vous êtes élue, serez-vous favorable à former un groupe parlementaire  avec des élus d'autres partis, qu'ils soient de DLF, du PCD, du FN... ?

    Je serai personnellement plutôt favorable à une union des droites de conviction afin d’œuvrer au bien commun et donc à la formation d'un groupe au parlement avec les élus de bonne volonté.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • LE JOURNAL DE BORD DE JEAN-MARIE LE PEN DE CETTE SEMAINE

    Jean-Marie Le Pen nous relate ses lectures du mois. Parmi celles-ci, le Président a retenu le dernier numéro (n°45 - printemps 2017 cliquez ici) de Synthèse nationale (3,12 mn) qu'il conseille aux téléspectateurs.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/